Parolesde la chanson: Sentiments usĂ©es Mais tu me manques tu sais Je n’en vois plus la fin Je veux sentir tes lĂšvres sur les miennes Et la tout ce temps qu’on voit passer Pourtant j’ai peur de t’avouer Que j’ai mal a chaque fois que je te vois Je rĂ©alise comme j’ai besoin de toi Je t’aime et je te hais Je dĂ©teste t’aimer Je ne veux pas Mais je ne sais pas Aimer un autre
Je te hais Lyrics[Hi-Tekk]Cosmopolis folie communicativeLe ciel est bleu j’en fais des copies lucrativesNique les copycats je les porte comme une cicatriceJ’ai l’copyright, les collectionne comme pokĂ©monUne colique unanime d’alcooliqueTu t’abĂźmes et ça se tasse avec l’ñgeMe classe dans le secteur noisy-le-secMoi si je vais moisir au secJe choisis mon cercle, Ă  boire s’il te plaitReste Ă  croire que j’effraie
[Refrain Hi-Tekk]Je te hais plus que tu ne t’aimes !Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre
[Hi-Tekk]Fais gaffe Ă  ton verre quand ilsTrafiquent la tise, ta pute manie la triqueElle excelle dans l’cannibalisme tribal et phalliqueElle salive Ă  l’avance ; c’est une acrobate caritative Ă  l’occaz Combustion spontanĂ©e, conducteur depuis tant d’annĂ©esDes contusions le long des brasTu prends du plomb dans les jambes et quand tu songesQue c’est l’offensive ethnocentrique j’ai l’égo dans l’slip
[Nikkfurie]J’ai vu tellement de tremblements de frĂšresD’effets de serre, de gouttes de sangVersĂ©es Ă  terre, de dents de lait dans de l’aluDemande-moi quand je m’amuse !Des tas de langues en ont abusĂ©Jusqu’aux Landes seuls nos bandits ont la bande »Sur la thune ![Refrain]Je te hais plus que tu ne t’aimes !Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre
[Hi-Tekk]L’acĂ©tone optimise la nicotine dans une pellicule de kerozenMon Ă©criture se paie l’honneur d’ĂȘtre une guillotine de cerveaux deadsHi-Tekk & Nikkfurie serait-ce le nec plus ultra c’est personnel serait-ce le vrai ?[Nikkfurie]À coups de perdiems, je perçais ton jerseyTon ouĂŻe me cherchait, je berçais ton birthdayTon anniversaire mais personne n’est prĂ©venu
Merde, ce n’est guĂšre une situation incongrue !Je rĂȘve que je persĂ©cute le tertiaireMercenaire, pote de BelzĂ©buth et de Fechner[Refrain]Je te hais plus que tu ne t’aimes !Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre
[Nikkfurie]J’étais dans une coccinelleQuand un auxiliaire de police est venu polluer mon oxygĂšne !Je dĂ©cline net mon identitĂ© au dĂ©-kis qui m’bĂ©quille sec aux ischio-jambiersPendant qu’son Ă©quipier s’éclipse et maquille mon ecchymose en making-ofD’une lĂ©gitime dĂ©fense, lĂ©gitime dĂ©fense, lĂ©gitime dĂ©fense
[Hi-Tekk]Quand les grosses veines gonflent avec l’afflux de sangKerozen mon revolver braquĂ© sur les zones Ă©rogĂšnes montrez vos nerfsLes clients se paient vos fesses ; c’est ludique la cellulite allez jubile timp ![Refrain]Je te hais plus que tu ne t’aimes !Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre
How to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum

Cependantj’aime bien certaines choses de ton poĂšme, par exemple la fin : "mĂȘme si je te hais je t’aime"c’est pas mal. Pour conclure je dirais que ton poĂšme a des diamants, mais en bordels, si bien qu’ils ne brillent pas Ă  leur juste valeur. Bonne continuation! 24/04/2005 15:58 Trystania. mĂ© nan ma tite Tam t’écris pas de la mRd ! ! RĂ©flĂ©chi un peu,si t’écrivais de la

Tu as des cheveux d'or Ă  rĂȘver Et des yeux profonds comme des lacs Ă  s'y noyer Ta bouche est une fleur mais elle mord Tu es femme, tu es trop femme et je t'aime... Je suis fort Ă  tout brĂ»ler Je suis faible Ă  tout pleurer PrĂȘt Ă  mordre ou Ă  ramper Je suis bon Ă  plus rien...je t'aime... Ta peau me met le feu dans les mains Ton corps m'emmĂšne en enfer par tous les saints Plus tu me dĂ©vores, plus je suis bien Tu es femme, tu es la femme et je t'aime... Je suis fou Ă  tout brĂ»ler Je suis triste Ă  tout pleurer PrĂȘt Ă  fuir ou m'enchaĂźner J'ai le cƓur qui est fou...je t'aime... Je peux te maudire...je t'aime Je peux te haĂŻr...je t'aime Je peux en souffrir...je t'aime Je vais mĂȘme en mourir...je t'aime
hatikparole je t'aime. by | 28octobre2020 | Non class Ă© | 0 comments

C’est dur de se dire qu’il n’y a que des souvenirs Et ton sourire, trop longtemps figĂ©e sur mes murs Mes larmes me font vivre et l’espoir hante mes nuits Je ne dors plus, seul ton image m’envahit. Pourtant je sais que tu ne reviendras pas Mais pourtant, chaque nuit je t’ attends J’avais cru Ă  ton amour, Ă  tes discours, les premiers jours Je croyais qu’entre toi et moi ça durerait toujours. La suite des paroles ci-dessous J’étais vraiment love et je n’ai pu Taire mes sentiments et toi tu m’as eu Je suis vraiment seule sans toi, je ne sais plus Qui je suis, tu dĂ©truis ma vie. On s’aimait et on se dĂ©chire Comme si rien n’avait exister Je t’ aime et tu me fais souffrir A croire que tu n’a jamais aimer Moi je t’aime et tu me blesses Je te hais de jour en jour Moi je t’aime et tu me laisses Seule avec mon amour. Mon corps s’éteint encore, plus le temps passe, plus il est mort La suite des paroles ci-dessous Toi tu dois penser sans remord, moi je dois survivre Tes mots me mettent Ă  terre et me tuent jour aprĂšs jour Je ne sais vraiment plus quoi faire pour tuer tout cet amour J’ai mal au cƓur, je ne sais plus, si je dois t’aimer ou te haĂŻr Je ne sais plus s’il faut t’oublier ou simplement me laisser mourir. Je n’en peux plus de vivre sans ta chaleur prĂšs de moi Je vie dans l’angoisse qu’elle soit dans tes bras Chaque jour qui passe, tu t’éloignes un peu plus de moi Tu prĂ©tendais m’aimer mais aujourd’hui tu fais comme-ci Rien ne c’était passĂ© comme-ci je n’étais qu’une amie Un jour tu m’embrasses, le lendemain tu m’oublies. On s’aimait et on se dĂ©chire Comme si rien n’avait exister Je t’aime et tu me fais souffrir A croire que tu n’a jamais aimer Moi je t’aime et tu me blesses Je te hais de jour en jour Moi je t’aime et tu me laisses Seule avec mon amour. Les internautes qui ont aimĂ© "Je T'aime Et Tu Me Fais Souffrir" aiment aussi

Auteur Olivier. Titre: Papa je t'aime, je te hais. Rubrique: Souffrir pour le plaisir. Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant Ă©tĂ© publiĂ©s au fil des ans, Ă  titre d'archive, notre but premier Ă©tant que la littĂ©rature homo-Ă©rotique se prĂ©serve au fil du temps.
J'aime beaucoup cette trĂšs cĂ©lĂšbre rĂ©plique, extraite de l'acte III scĂšne 4 de la piĂšce de théùtre française "Le Cid", Ă©crite en 1637 par Pierre Corneille. Il s'agit d'une dĂ©claration que fait ChimĂšne Ă  Don Rodrigue, afin de lui signifier qu'elle l'aime encore, envers et contre tout. Pourtant, Don Rodrigue, le fiancĂ© de ChimĂšne vient de tuer Don GomĂšs, le pĂšre de celle-ci, dans un duel. La jeune fille devrait donc haĂŻr Don Rodrigue. Mais elle sait qu'il s'est battu pour venger l'honneur de sa famille son pĂšre Ă  lui ayant reçu un soufflet de son pĂšre Ă  elle, ce qu'elle apprĂ©cie. Et surtout... elle l'aime ! ConfrontĂ©e Ă  la difficultĂ© de dire "Je t'aime" Ă  l'assassin de son pĂšre, ChimĂšne lui lance donc "Va, je ne te hais point". Cette façon d'attĂ©nuer des propos "Je ne te hais pas" pour leur donner plus de force dire "Je t'aime" est souvent prĂ©sentĂ© comme une litote. Pourtant, si le "Je t'aime" est en effet sous-entendu, il ne s'agit nullement - me semble-t-il - du principal message contenu dans cette dĂ©claration. Et le sens de la phrase n'est pas vraiment "Mon Rodrigue, je suis folle amoureuse de toi, tu as drĂŽlement bien fait de tuer papa, allons faire des cochonneries dans mon lit Ă  baldaquin" ! Mais plutĂŽt, je crois "Je devrais te hair et vouloir ta tĂȘte, mais ce n'est pas le cas, je suis une vilaine fille"... Enfin, disons, de façon plus respectable, pardonnez-moi "Je ne te poursuis pas par haine, mais par devoir ; par obligation morale plus que sentimentale". Texte intĂ©gral de l'acte III, scĂšne 4 Don Rodrigue Eh bien ! sans vous donner la peine de poursuivre, Assurez-vous l’honneur de m’empĂȘcher de vivre. ChimĂšne Elvire, oĂč sommes-nous, et qu’est-ce que je vois ? Rodrigue en ma maison ! Rodrigue devant moi ! Don Rodrigue N’épargnez point mon sang goĂ»tez sans rĂ©sistance La douceur de ma perte et de votre vengeance. ChimĂšne HĂ©las ! Don Rodrigue Écoute-moi. ChimĂšne Je me meurs. Don Rodrigue Un moment. ChimĂšne Va, laisse-moi mourir. Don Rodrigue Quatre mots seulement AprĂšs, ne me rĂ©ponds qu’avecque cette Ă©pĂ©e. ChimĂšne Quoi ! du sang de mon pĂšre encor toute trempĂ©e ! Don Rodrigue Ma ChimĂšne
 ChimĂšne Ôte-moi cet objet odieux, Qui reproche ton crime et ta vie Ă  mes yeux. Don Rodrigue Regarde-le plutĂŽt pour exciter ta haine, Pour croĂźtre ta colĂšre, et pour hĂąter ma peine. ChimĂšne Il est teint de mon sang. Don Rodrigue Plonge-le dans le mien, Et fais-lui perdre ainsi la teinture du tien. ChimĂšne Ah ! quelle cruautĂ©, qui tout en un jour tue Le pĂšre par le fer, la fille par la vue ! Ôte-moi cet objet, je ne puis le souffrir Tu veux que je t’écoute, et tu me fais mourir ! Don Rodrigue Je fais ce que tu veux, mais sans quitter l’envie De finir par tes mains ma dĂ©plorable vie ; Car enfin n’attends pas de mon affection Un lĂąche repentir d’une bonne action. L’irrĂ©parable effet d’une chaleur trop prompte DĂ©shonorait mon pĂšre, et me couvrait de honte. Tu sais comme un soufflet touche un homme de cƓur ; J’avais part Ă  l’affront, j’en ai cherchĂ© l’auteur Je l’ai vu, j’ai vengĂ© mon honneur et mon pĂšre ; Je le ferais encor, si j’avais Ă  le faire. Ce n’est pas qu’en effet contre mon pĂšre et moi Ma flamme assez longtemps n’ait combattu pour toi ; Juge de son pouvoir dans une telle offense J’ai pu dĂ©libĂ©rer si j’en prendrais vengeance. RĂ©duit Ă  te dĂ©plaire, ou souffrir un affront, J’ai pensĂ© qu’à son tour mon bras Ă©tait trop prompt ; Je me suis accusĂ© de trop de violence ; Et ta beautĂ© sans doute emportait la balance, À moins que d’opposer Ă  tes plus forts appas Qu’un homme sans honneur ne te mĂ©ritait pas ; Que malgrĂ© cette part que j’avais en ton Ăąme, Qui m’aima gĂ©nĂ©reux me haĂŻrait infĂąme ; Qu’écouter ton amour, obĂ©ir Ă  sa voix, C’était m’en rendre indigne et diffamer ton choix. Je te le dis encore ; et quoique j’en soupire, Jusqu’au dernier soupir je veux bien le redire Je t’ai fait une offense, et j’ai dĂ» m’y porter Pour effacer ma honte, et pour te mĂ©riter ; Mais quitte envers l’honneur, et quitte envers mon pĂšre, C’est maintenant Ă  toi que je viens satisfaire C’est pour t’offrir mon sang qu’en ce lieu tu me vois. J’ai fait ce que j’ai dĂ», je fais ce que je dois. Je sais qu’un pĂšre mort t’arme contre mon crime ; Je ne t’ai pas voulu dĂ©rober ta victime Immole avec courage au sang qu’il a perdu Celui qui met sa gloire Ă  l’avoir rĂ©pandu. ChimĂšne Ah ! Rodrigue, il est vrai, quoique ton ennemie, Je ne te puis blĂąmer d’avoir fui l’infamie ; Et de quelque façon qu’éclatent mes douleurs, Je ne t’accuse point, je pleure mes malheurs. Je sais ce que l’honneur, aprĂšs un tel outrage, Demandait Ă  l’ardeur d’un gĂ©nĂ©reux courage Tu n’as fait le devoir que d’un homme de bien ; Mais aussi, le faisant, tu m’as appris le mien. Ta funeste valeur m’instruit par ta victoire ; Elle a vengĂ© ton pĂšre et soutenu ta gloire MĂȘme soin me regarde, et j’ai, pour m’affliger, Ma gloire Ă  soutenir, et mon pĂšre Ă  venger. HĂ©las ! ton intĂ©rĂȘt ici me dĂ©sespĂšre Si quelque autre malheur m’avait ravi mon pĂšre, Mon Ăąme aurait trouvĂ© dans le bien de te voir L’unique allĂ©gement qu’elle eĂ»t pu recevoir ; Et contre ma douleur j’aurais senti des charmes, Quand une main si chĂšre eĂ»t essuyĂ© mes larmes. Mais il me faut te perdre aprĂšs l’avoir perdu ; Cet effort sur ma flamme Ă  mon honneur est dĂ» ; Et cet affreux devoir, dont l’ordre m’assassine, Me force Ă  travailler moi-mĂȘme Ă  ta ruine. Car enfin n’attends pas de mon affection De lĂąches sentiments pour ta punition. De quoi qu’en ta faveur notre amour m’entretienne, Ma gĂ©nĂ©rositĂ© doit rĂ©pondre Ă  la tienne Tu t’es, en m’offensant, montrĂ© digne de moi ; Je me dois, par ta mort, montrer digne de toi. Don Rodrigue Ne diffĂšre donc plus ce que l’honneur t’ordonne Il demande ma tĂȘte, et je te l’abandonne ; Fais-en un sacrifice Ă  ce noble intĂ©rĂȘt Le coup m’en sera doux, aussi bien que l’arrĂȘt. Attendre aprĂšs mon crime une lente justice, C’est reculer ta gloire autant que mon supplice. Je mourrai trop heureux, mourant d’un coup si beau. ChimĂšne Va, je suis ta partie, et non pas ton bourreau. Si tu m’offres ta tĂȘte, est-ce Ă  moi de la prendre ? Je la dois attaquer, mais tu dois la dĂ©fendre ; C’est d’un autre que toi qu’il me faut l’obtenir, Et je dois te poursuivre, et non pas te punir. Don Rodrigue De quoi qu’en ma faveur notre amour t’entretienne, Ta gĂ©nĂ©rositĂ© doit rĂ©pondre Ă  la mienne ; Et pour venger un pĂšre emprunter d’autres bras, Ma ChimĂšne, crois-moi, c’est n’y rĂ©pondre pas Ma main seule du mien a su venger l’offense, Ta main seule du tien doit prendre la vengeance. ChimĂšne Cruel ! Ă  quel propos sur ce point t’obstiner ? Tu t’es vengĂ© sans aide, et tu m’en veux donner ! Je suivrai ton exemple, et j’ai trop de courage Pour souffrir qu’avec toi ma gloire se partage. Mon pĂšre et mon honneur ne veulent rien devoir Aux traits de ton amour ni de ton dĂ©sespoir. Don Rodrigue Rigoureux point d’honneur ! hĂ©las ! quoi que je fasse, Ne pourrai-je Ă  la fin obtenir cette grĂące ? Au nom d’un pĂšre mort, ou de notre amitiĂ©, Punis-moi par vengeance, ou du moins par pitiĂ©. Ton malheureux amant aura bien moins de peine À mourir par ta main qu’à vivre avec ta haine. ChimĂšne Va, je ne te hais point. Don Rodrigue Tu le dois. ChimĂšne Je ne puis. Don Rodrigue Crains-tu si peu le blĂąme, et si peu les faux bruits ? Quand on saura mon crime, et que ta flamme dure, Que ne publieront point l’envie et l’imposture ! Force-les au silence, et, sans plus discourir, Sauve ta renommĂ©e en me faisant mourir. ChimĂšne Elle Ă©clate bien mieux en te laissant la vie ; Et je veux que la voix de la plus noire envie ÉlĂšve au ciel ma gloire et plaigne mes ennuis, Sachant que je t’adore et que je te poursuis. Va-t’en, ne montre plus Ă  ma douleur extrĂȘme Ce qu’il faut que je perde, encore que je l’aime. Dans l’ombre de la nuit cache bien ton dĂ©part Si l’on te voit sortir, mon honneur court hasard. La seule occasion qu’aura la mĂ©disance, C’est de savoir qu’ici j’ai souffert ta prĂ©sence Ne lui donne point lieu d’attaquer ma vertu. Don Rodrigue Que je meure ! ChimĂšne Va-t’en. Don Rodrigue À quoi te rĂ©sous-tu ? ChimĂšne MalgrĂ© des feux si beaux, qui troublent ma colĂšre, Je ferai mon possible Ă  bien venger mon pĂšre ; Mais malgrĂ© la rigueur d’un si cruel devoir, Mon unique souhait est de ne rien pouvoir. Don Rodrigue Ô miracle d’amour ! ChimĂšne Ô comble de misĂšres ! Don Rodrigue Que de maux et de pleurs nous coĂ»teront nos pĂšres ! ChimĂšne Rodrigue, qui l’eĂ»t cru ? Don Rodrigue ChimĂšne, qui l’eĂ»t dit ? ChimĂšne Que notre heur fĂ»t si proche et sitĂŽt se perdĂźt ? Don Rodrigue Et que si prĂšs du port, contre toute apparence, Un orage si prompt brisĂąt notre espĂ©rance ? ChimĂšne Ah ! mortelles douleurs ! Don Rodrigue Ah ! regrets superflus ! ChimĂšne Va-t’en, encore un coup, je ne t’écoute plus. Don Rodrigue Adieu je vais traĂźner une mourante vie, Tant que par ta poursuite elle me soit ravie. ChimĂšne Si j’en obtiens l’effet, je t’engage ma foi De ne respirer pas un moment aprĂšs toi. Adieu sors, et surtout garde bien qu’on te voie. Elvire Madame, quelques maux que le ciel nous envoie
 ChimĂšne Ne m’importune plus, laisse-moi soupirer, Je cherche le silence et la nuit pour pleurer. Sources et
Jet'aime alors je te hais Je voudrais courir loin de vous Mais si je devais vous quitter, je mourrais Je tiens Ă  briser les chaĂźnes que vous mettez autour de moi Et pourtant je n'essayerai jamais Peu importe ce que vous conduisez-vous me fou Je prĂ©fĂšre ĂȘtre seul Mais alors je sais que ma vie serait si vide DĂšs que vous ĂȘtes allĂ©
Oh oh oh
yeah
 InĂ©dit d’Soprano! J’t’aime Ă  la haine remix j’t’aimais vraiment
 Mix tape Stallag 13
 Oh oh oh
yeah
 Soprano! J’t’aime Ă  la haine remix j’t’aimais vraiment
 Street Skillz J’t’aime Ă  la haine x11 J’t’aime, j’t’aime Je peux plus connaĂźtre le bonheur Quand il se taille ça fait mal C’est pire qu’une balle LĂ  je suis dĂ©chirĂ© de l’intĂ©rieur T’as passĂ© 9 ans de ma vie Ă  branler d’autres mecs En me faisant admettre que t’avait le front opposĂ© vers la Mecque Ton foulard n’a jamais Ă©tait noir mais rose LĂ  les seules caresses que j’ai envi de te faire sont avec des gants de boxe Je te hais Ă  me tuer Mais je t’aime Ă  me renaĂźtre Pourquoi t'as prostituĂ© ce nourrisson de bonheur qu’on a vu naĂźtre MERDE!! De MoĂŻse à
 Chaban De Jean NoĂ«l à
 d’autres A tous t’as donnĂ© ton cul Dis moi pourquoi ?
Parce qu’elles Ă©taient grosses ? J’sais que j’ai rien d’un beau gosse D’un athlĂšte Mais chez moi la passion ne se rĂ©sume pas qu'Ă  l’ouverture d’une braguette Pourtant, j’était ton Superman, t’était ma LoĂŻs Et je sais toujours pas si le premier avortement est de moi.. ou de MoĂŻse
 Ce que t’as fait de moi Ă©tait mal, c’est dĂ©guelasse Maintenant quand on parle d’amour, j’ai l’impression d’entendre des menaces. Car j’t’aime Ă  la haine J’t’aime Ă  la haine J’t’aime Ă  la haine Au point d'en mourir Au point de tuer moi moi J’t’aime Ă  la haine J’t’aime Ă  la haine ... . Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Iforgive you, now it’s time for me to move on. Je te pardonne, il est temps pour moi de me bouger. I forgive you, you did not see right from wrong. Je te pardonne, tu ne vois pas le vrai du faux. And I love you, always in my heart you’ll live on. Et je t’aime, tu sera toujours dans mon coeur. You’ll live on.
Culture Qui d'autre que Krzysztof Warlikowski convoquant Dante et Shakespeare peut nous plonger ainsi dans notre part d'ombre ? A LiĂšge, oĂč il a Ă©tĂ© créé en premiĂšre mondiale le 4 octobre 2011 dans un ancien manĂšge militaire reconverti en superbe salle pour le Théùtre de la Place, le nouveau spectacle de Krzysztof Warlikowski a fait Ă©vĂ©nement soir aprĂšs soir, il a embarquĂ© ses spectateurs fascinĂ©s tout au long des presque six heures que dure la reprĂ©sentation. Il devrait provoquer le mĂȘme choc au Théùtre national de Chaillot, oĂč ces Contes africains sont prĂ©sentĂ©s du 16 au 23 mars le metteur en scĂšne polonais, qui aura 50 ans en mai, est sans doute le seul, aujourd'hui en Europe, Ă  hisser le théùtre Ă  ce niveau d'expĂ©rience humaine bouleversante et fondamentale - dans ses spectacles personnels du moins, l'aventure malencontreuse du Tramway, en 2010 Ă  l'OdĂ©on, Ă©tant Ă  oublier Le Monde du 6 fĂ©vrier 2010. Sous l'Ă©gide de Dante et de Shakespeare, le voyage emmĂšne non pas en Afrique, mais dans une "forĂȘt obscure", une chambre noire oĂč se joue la part barbare de l'homme, toujours prĂȘt Ă  exclure l'"autre", que celui-ci soit juif, noir, femme, vieux, homosexuel ou "sĂ©parĂ©" de quelque maniĂšre que ce soit. Afrique mĂ©taphorique oĂč la guerre tribale, incessante, a lieu Ă  l'intĂ©rieur de chaque famille ou groupe humain. Le premier viatique choisi pour le voyage, c'est Shakespeare qui le fournit, avec des scĂšnes tirĂ©es du Roi Lear, du Marchand de Venise et d'Othello les exclus sont donc d'abord le vieillard Lear, le juif Shylock et le Noir Othello. Mais le metteur en scĂšne, qui depuis son spectacle Apollonia dĂ©veloppe magistralement l'art du "frottement de textes" thĂ©orisĂ© par un autre Polonais, l'essayiste Jan Kott, croise ces figures, les hybride théùtralement avec d'autres, qui traversent les Contes africains de maniĂšre plus ou moins visible. Le spectacle commence ainsi, de maniĂšre troublante, par un petit film d'animation Ă  la beautĂ© faussement naĂŻve, qui met en scĂšne deux personnages inspirĂ©s par ceux de Vivre, le film d'Akira Kurosawa 1952 un vieil homme atteint d'une maladie incurable, brouillĂ© avec son fils, vient chercher auprĂšs d'une jeune femme le sens qu'il voudrait donner Ă  ce qui lui reste de vie. Ainsi est posĂ©e d'emblĂ©e la dimension existentielle du spectacle, qui va plonger dans les racines les plus intimes et archaĂŻques de l'antisĂ©mitisme, du racisme et de la misogynie, et plus gĂ©nĂ©ralement dans celles de l'amour, de la haine et de la dĂ©voration. Je t'aime, je te hais, je te mange, je te baise, je te tue, comme en un rituel primitif revoilĂ  l'Afrique. Dans un de ces espaces inventĂ©s par la scĂ©nographe Malgorzata Szczesniak, qui se composent et se recomposent magiquement comme dans les rĂȘves, voici d'abord Lear, exigeant de ses filles, des femmes dĂ©jĂ  vieillies et fatiguĂ©es par la vie, les serments d'amour en contrepartie desquels il accordera Ă  chacune une part de ses biens. On le retrouvera, vieillard atteint d'un cancer de la gorge et donc privĂ© de parole, Ă  la fin du spectacle, en compagnie d'une CordĂ©lia qui doit beaucoup aux hĂ©roĂŻnes brĂ»lantes et dessĂ©chĂ©es de l'auteur sud-africain John Maxwell Coetzee. Voici ensuite Shylock, devenu boucher kasher, pris au piĂšge du marchĂ© de dĂ©sir et de mort qu'il a lui-mĂȘme instaurĂ© en exigeant une livre de chair du jeune Antonio en contrepartie de l'argent prĂȘtĂ© pour son ami Bassanio. Warlikowski met en avant les multiples Ă©changes symboliques qui courent comme lignes souterraines dans la piĂšce, oĂč se conte aussi l'histoire de la jeune Portia et des trois coffrets d'or, d'argent et de plomb dans lesquels son pĂšre semble l'avoir enfermĂ©e avant de mourir. Ce long extrait du Marchand de Venise est peut-ĂȘtre la sĂ©quence la plus impressionnante du spectacle, par sa densitĂ©, le malaise Ă  couper au couteau, mais fĂ©cond, qu'elle dĂ©gage la piĂšce de Shakespeare est d'une ambiguĂŻtĂ© abyssale sur la question de l'antisĂ©mitisme, le sous-texte spĂ©cifiquement polonais qui s'y Ă©crit et s'y lit. Vient enfin Othello, que l'on dĂ©couvre d'emblĂ©e dans la dimension sexuelle de son histoire avec DesdĂ©mone, en une scĂšne explicite, mais reprĂ©sentĂ©e sous forme d'un petit film d'animation. Warlikowski fait infuser dans l'histoire du gĂ©nĂ©ral noir, adoubĂ© par la bonne sociĂ©tĂ© vĂ©nitienne, puis dĂ©chu Ă  cause de son histoire d'amour avec la femme blanche, des textes d'Eldridge Cleaver, qui mĂšnent lĂ  encore vers des zones tout Ă  fait dĂ©rangeantes. Cet essayiste noir amĂ©ricain 1935-1998, militant des droits civiques et figure importante des Black Panthers, a Ă©crit en prison Soul on Ice, un essai dans lequel il avoue le viol de plusieurs femmes blanches, revendiquĂ© comme un "acte insurrectionnel". L'Ă©paisseur humaine que nous font traverser Warlikowski et son Ă©quipe a beau paraĂźtre aussi obscure que la forĂȘt de Dante, on ne sort de cette Ă©tonnante odyssĂ©e ni sonnĂ© ni gavĂ©. MalgrĂ© quelques points faibles - les monologues Ă©crits par Wajdi Mouawad pour Portia, DesdĂ©mone et CordĂ©lia, trop longs, trop verbeux -, la maĂźtrise qu'a dĂ©sormais le metteur en scĂšne de son langage scĂ©nique, son art de faire entrer le spectateur dans son espace-temps théùtral, conduisent plutĂŽt vers un Ă©tat lĂ©gĂšrement hypnotique, propre Ă  renvoyer chacun Ă  ses questions. Cela, on le doit avant tout aux acteurs, ces acteurs prodigieux de Warlikowski, qui livrent bien plus qu'un petit morceau de chair humaine, en s'engageant corps et Ăąme. On ne citera qu'Adam Ferency, qui porte le spectacle en incarnant Ă  la fois Lear, Shylock et Othello, et dont le jeu est d'une densitĂ© tragique, d'une profondeur et d'une opacitĂ© qui ont peu d'Ă©quivalent. Mais tous mĂšnent ce voyage dont la derniĂšre Ă©tape n'est pas la moins surprenante, qui voit l'ensemble de la troupe se lancer dans un cours de salsa joyeux et un peu vulgaire. Vivre, malgrĂ© tous les dĂ©sirs de mort Ă  l'oeuvre. "Contes africains", textes de Shakespeare, Coetzee... Mise en scĂšne Krzysztof Warlikowski. Théùtre national de Chaillot, 1, place du TrocadĂ©ro, Paris 16e. TĂ©l. 01-53-65-30-00. A 18 h 30, du 16 au 23 mars relĂąche les 18 et 19 mars. De 11 € Ă  32 €. En polonais surtitrĂ©. DurĂ©e 5 h 30 avec 2 entractes. Sur le Web Fabienne Darge Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Poeme: Je T’aime, Je Te Hais Je T’aime, Je Te Hais Ajourd’hui tu as fait un effort Il s’est passĂ© quelque chose de rare Tu est enfin venu me voir Tu m’a demandĂ© des nouvelles Tu voulais voir comment j’allais Mais il est trop tard Il est passĂ© trop de temps Pour que je t’aime comme avant Mais quand tu me parlais J’avais un tel effet
Connection timed out Error code 522 2022-08-26 171738 UTC Host Error What happened? The initial connection between Cloudflare's network and the origin web server timed out. As a result, the web page can not be displayed. What can I do? If you're a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you're the owner of this website Contact your hosting provider letting them know your web server is not completing requests. An Error 522 means that the request was able to connect to your web server, but that the request didn't finish. The most likely cause is that something on your server is hogging resources. Additional troubleshooting information here. Cloudflare Ray ID 740e381d3e7fb75e ‱ Your IP ‱ Performance & security by Cloudflare
Jemens parce que je sais que c'est mal ce que je fais et que je voudrais pas les decevoir mais j'arrive pas Ă  faire autrement montrer mon corps et entendre me dire que je suis belle , c'est comme un besoin, c'est dĂ©gueu mais vrai . Personne sait comme j'ai mal en moi .C'est horrible cette sensation Je sais que je me dĂ©truis je m'en rend compte mais j'arrive [Intro]Putain, pourquoi elle rĂ©pond pas ?Ouais c'est Islem lĂ , rappelle !Tu rends ouf, lĂ , rappelle !Vas-y, j'regrette, rappelle ![Couplet 1]Le printemps passe et l'amour balayĂ© plus vite que les feuilles d'automneLa routine s'installe, pas de communication, la vie devient monotoneUne larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le solJe t'aime mais je te hais, c'est l'ironie du sortJ'ai beau jouer le bourreau des cƓurs, ce soir on dĂźne aux chandelles dans le plus beau dĂ©corJ'ai refusĂ© de nourrir ma vie de tes pleurs, t'as le plus beau des visages et le plus beau des corpsJe, je, je veux te demander ta main, nan, je n'ai pas peur d'affronter le regard de ton pĂšreJ'ai, j'ai, j'ai tout ce qui faut pour faire ton bonheur et le mien s'il me valide et qu'il coopĂšre[Pont]Moi, j'suis peut-ĂȘtre pas le mec parfait, j'place peut-ĂȘtre quelques disquettes par phrasesMais je t'assure que si dans ma vie, si tout Ă©tait Ă  refaire, je le referais j'ai trimĂ© pour mĂ©riter ma placeMoi, on m'a rien donnĂ© dans la vie, de mes mains j'ai construit le plus beau des naviresEt j'Ă©chouerais seul sur une Ăźle comme Tom si celui-ci chavire[Refrain]Le regard vide, j'ai froid sans toiLe printemps passe et l'amour balayĂ© plus vite que les feuilles d'automneMoi qui ne connais l'effroi, seul dans mon dĂ©sarroiUne larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le solJe sais qu'tu m'en veux, t'as mis le tĂ©lĂ©phone en veille C'est la faute de ma carriĂšreJe sais qu'tu regardes les messages de la veille T'as Ă©rigĂ© des barriĂšresJe sais que j'laisse un vide dans la piĂšceMais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse[Pont]J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carriĂšreElles m'ont sucĂ© le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T'as Ă©rigĂ© des barriĂšres, c'est toi[Couplet 2]Tu fais parti d'celles qui passent au-dessus de l'oseille et des jantes en alliageC'est bien plus qu'un flirt car devenir un homme c'est faire sa demande en mariageUn nouveau chapitre nous Ă©tait destinĂ© t'as prĂ©fĂ©rĂ© tourner la pageJe t'aime, mais je te hais, de l'amour Ă  la rageJe me rapelle t'avoir fait la cour, ce jour-lĂ  je savais dĂ©jĂ  ce que je ressentaisOublions nos guerres, cĂ©lĂ©brons et faisons l'amour, ce soir je suis seul avec ma plume je trinque Ă  ta santĂ©Et toi, toi, toi qui m'a rendu malade Ă  vie, tout ce qu'il me reste aujourd'hui ce sont les souvenirsT'as, t'as, t'as griffĂ© mon cƓur avec ta nouvelle manucure, Ă  l'Ă©poque je n'ai rien vu venir, nanHors de question que j'reste par terre, j'espĂšre que t'arrives Ă  te regarder dans la glaceJ'ai l'impression de te sentir couler dans mes artĂšres, je voulais te montrer les mers et faire le tour de l'AtlasChaque fois que j'ai dĂ» te dĂ©cevoir, ma fiertĂ© ne voulait pas que je demande pardonEt je sais que tu m'en veux de t'avoir dĂ©laissĂ© de la sorte en allant au charbon[Refrain]Le regard vide, j'ai froid sans toiLe printemps passe et l'amour balayĂ© plus vite que les feuilles d'automneMoi qui ne connais l'effroi, seul dans mon dĂ©sarroiUne larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le solJe sais qu'tu m'en veux, t'as mis le tĂ©lĂ©phone en veille C'est la faute de ma carriĂšreJe sais qu'tu regardes les messages de la veille T'as Ă©rigĂ© des barriĂšresJe sais que j'laisse un vide dans la piĂšceMais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesseJ'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carriĂšreElles m'ont sucĂ© le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T'as Ă©rigĂ© des barriĂšres, c'est toi[Outro]Les remords, les regrets, dis-lui qu'tu l'aimes mon poteVa la chercher sous la pluie s'il fautParce que quand elle sera plus lĂ  tu comprendras pourquoi j'ai Ă©crit ce morceauÀ toutes celles qu'on mĂ©rite pasJe t'aime moi non plus Jet'aime mais je te hais, c'est l'ironie du sort J'ai beau jouer le bourreau des cƓurs, ce soir on dĂźne aux chandelles dans le plus beau dĂ©cor J'ai refusĂ© de nourrir ma vie de tes pleurs, t'as le plus beau des visages et le plus beau des corps Je, je, je veux te demander ta main, nan, je n'ai pas peur d'affronter le regard de ton pĂšre -35% Le deal Ă  ne pas rater KRUPS Essential – Machine Ă  cafĂ© automatique avec broyeur Ă  ... 299 € 459 € Voir le deal Hadas, la CitĂ© des Ombres, RĂ©sidence Ă©ternelle des Immortels Enceinte extĂ©rieure Auberge du pillier Bleu Salle demusique AuteurMessagedeathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1547 les meilleuresPĂšre noĂ«lChaque annĂ©e avec l’hiver Vient le mois que je prĂ©fĂšre Et comme j’ai Ă©tĂ© bien sage J’attends un vieux personnage DerriĂšre le sapin cachĂ©, Je regarde la cheminĂ©e Avec mes deux yeux d’enfants Bah, c’est normal, j’ai 6 ansJe m’approche pour ne rien perdre ; Mais il dĂ©rape, chute et crie Et merde !
 » PĂšre NoĂ«l t’es le seul ami des enfants Qu’ait toujours au moins 3 grammes dans le sang PĂšre NoĂ«l tu reviens pour tous les marmots MĂȘme si t’es vraiment pas un cadeau Cette annĂ©e, il est bizarre, C'est vrai!Il dit Bonjour, les crevards ! Bonsoir, PĂšre NoĂ«l Petit, t’aurais pas une biĂšre ? » J’prĂ©fĂ©rais l’annĂ©e derniĂšre
 Bah on choisi pas mongolito! - Qu’est-ce que t’as donc dans ta hotte ? hein dis moi - Des seringues et des capotes -oh ! ben, oui mais 
 - C’est pas c’que j’ai commandĂ© moi, j’avais commandĂ© un hĂ©licoptĂšre radiocomandé  - EHHH ! J’ai que ça et fais pas chier bah oui m'ai j'avais commandĂ©...Il me repousse de la main Rote un coup puis urine sur le sapin
 ouai ca fait du bienAu refrain - Moi, j’voulais un petit chat je l’appellerai Pelote ! - Ouais, c’est ça, choisis un doigt
 - Ou le mĂȘme vĂ©lo qu’Damien - Damien qui ? - Damien, mon cousin - Et ben t’as qu’à voler le sien
 - PĂšre NoĂ«l, raconte-moi Taint et pis quoi encore!Comment est-ce que c’est chez toi ? Nan parce ce que moi, moi je suis sĂŒr queY’a des rennes et des lutins! oui des gros rats d'Ă©gout, des ratons laveurs ouai!- Non mais tu fumes petit crĂ©tin ?- T'es sourd ou quoi? J’habite Porte de la Chapelle Dans un local Ă  poubelle, va y rĂ©pĂšte! Ă  poubelle Au refrain De toute facon qu'est ce que ca peut te foutre? Parce que de toute facon tes parent, hey c'est meme pas tes vrais parents!! Tes vrais parents ils sont morts! Dans un accident de voiture! en par faite route en plus! nan parce que la tete, elle Ă  tapĂ© dans la planchette arriĂšre! comprend pas la fin ^^'- Qu’est ce qu’il y a PĂšre NoĂ«l j'temmerde!Est-ce que tu veux une Vittel ? Ton haleine, elle est pas fraĂźche - Oh non! il a vomi sur la crĂšche ! - Il est oĂč le whisky de Papa ? - Y’en n’a plus - Alors j’vais rentrer chez moi oh bah non- Dis, vieil homme en rouge, je peux avoir ton tĂ©lĂ©phone? nan c'est pas possible Mais si comme ca je t'appelerais et - Oh! je suis pas mickeal Jackson!- Mais tu reviens l’annĂ©e prochaine ? - Et bah j'reviendrais avec ta soeur! tu sais s'quelle fait ta soeur?- Elle suce mon renne nan anais!Refrain_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1553 Le cafĂ©Pour bien commencer, Ma petite journĂ©e, Et me rĂ©veiller Moi je pris un cafĂ© Un arabica, Noir et bien corcĂ©, J'enfile ma parka, CĂ  y est je peux y aller "OĂč est-ce que tu vas?" Me crit mon aimĂ©e "Prenons un kawa, Je viens de me levĂ©e" Et tant en avance, Et un peu forcĂ©, Je change de sens et reprend un cafĂ© A 8 heure moins le quart, Faut bien l'avouer, Les bureaux sont vides, on pourrait s'ennuyer Mais je reste calme, Je sais m'adaptĂ© Le temps qu'ils arrivent, J'ai le temps pour un cafĂ© La journĂ©e s'emballe, Tous le monde peut bosser, Au moins jusqu'Ă  l'heure... De la pause cafĂ©! Ma secrĂ©taire entre "Fort comme vous l'aimez!" Ah mince, je viens d'en prendre, Mais maintenant qu'il est fait... Un repas d'affaires, Tout prĂšs du sentier, Il fait un temps superbe, Mais je me sens stressĂ© Mais colĂšgue se marrent "DĂ©tends-toi RenĂ©e! Prends un bon cigare, Et un p'tit cafĂ©!" Une fois fini, Mes colĂšgue creuvĂ©s, Appelle un taxi, Mais moi j'ai envie de sauter! Je fais tout Paris, Pis je trouve un troquet, J'commande un dĂ©ca, Mais re-cafĂ©inĂ©! Mmmh... J'arrive au bureau, Ma secrĂ©taire me fait "Vous ĂȘtes un peu en retard, Je me suis inquiĂ©tĂ©e" Oh!...je la jĂšte par la f'nĂȘtre Elle l'avait bien cherhcĂ©e! D'façon faut que je rentre, Mais avant...un cafĂ©! Attendant le mĂ©tro, Je me fait agrĂ©ssĂ©, Une p'tite vieille me dit "Euh, vous avez l'heure s'il-vous-plaĂźt?" Oh, j'lui casse la tĂȘte, Et j'la pousse sur le quai Je file Ă  la maison Et j'me sers un... devinez! "Papa, mon papa, En classe je suis premier!" PUTIN MAIS QUOI!!! TU VAS ARRETE DE ME FAIRE CHIER!!! MAIS QU'IL EST CON CE GOSSE!!! EN PLUS I'SE MET A CHIALER!!! J'menferme dans la cuisine, Il reste un peu de cafĂ©! CA FAIT QUELQUE JOURS, QUE JE SUIS ENFERME, J'SUIS SEUL DANS MA CUISINE, ET JE BOIS DU CAFE!!! IL FAUDRA BIEN QU'JE DORME, LES FLICS VONT ME CHOPER, ALORS JE CLOUS LES PORTES, ET JE REPRENS DU CAFE!!!_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1557 Jean-Michel JarreLes paroles j'ai la fleme de les ajuster comme pour pere noelEh Pepito, faut que je te prĂ©sente un artiste, Faut que je te parle de mon hĂ©ros, je le connais depuis qu’il existe, C’est une vraie star, c’est mon chanteur prĂ©fĂ©rĂ©, Il s’appelle Jean-Michel Jarre et en plus, il est bien coiffĂ©, Alors bien sĂ»r, les annĂ©es de gloire sont loin Ses spectacles Ă  la mesure de ce qu’il reste de ses moyens, Il a les manches, elles sont vaches avec Jean-Mi Le Jean-Mi c’est pas un branque sauf peut-ĂȘtre au concert d’aujourd’hui Merci PĂ©kin » Allez Jean Mi ! » C’est un gĂ©ant, j’ai achetĂ© tous les albums Qu’il a fait depuis un an, j’admire vraiment trop cet homme, Quel phĂ©nomĂšne ! Musicien et scientifique, Car lui voit l’oxygĂšne ainsi que les champs magnĂ©tiques ! Mais c’est trop con, son producteur l’a virĂ©, Il a dit je garde le pognon et je te laisse les synthĂ©s » Alors Jean-Mi il Ă©tait super déçu, Il a dit Bon bah, tant pis, par principe je continue » Merci Ă  la salle polyvalente de Carbone-La-ForĂȘt » Ouais, super Jean-Mi, ouais
 » Depuis ce jour, Jean-Mi il joue dans les bars, Les kermesses et les Carrefour et il continue d’y croire, Pour rester beau, il a mis une veste mauve Lui qui Ă©tait mĂ©galo, il est devenu mĂ©ga pauvre Mais il se bat, tant qu’il y a de l’espoir, il y a de la vie Et tu dois avoir la foi, quand ton nom c’est JMJ » Mais lĂ  ça y est, il a un nouveau spectacle, Nouveau light, nouveaux synthĂ©s, Jean-Mi, arrĂȘte, c’est la dĂ©bĂącle
 Merci Ă  PĂ©pi ! » C’est mon chien
 Allez il faut partir Jean-Mi
 » Merci GĂ©nĂ©ration 28, c’est mon dernier album » Ouais c’est le dernier, Jean-Mi »_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1600 La schloungapas tout a fait les bonnes parolesJe m'appelle Frisottin Je m'appelle Frisotte J'aime beaucoup les lapins Et moi les carottes Je te croise le matin Dans tes jolies bottes Tu m'attrapes par la main Me montrant ta glotte Dis-moi, dis-moi que tu m'aimes Non, non, non, je n'ose pas
 Pourquoi ? Car l'amour est un problĂšme Ah ! Bon ? Alors dansons la Schlounga ! La lalalalala Lalalalala Bis Lalalalala la Viens mon beau Frisottin Marchons dans cette grotte Comme je suis ton copain, Mont' moi ta culotte Hihihi hihihi Hihihihihi ! Maman dit qu'c'est pas bien J'prĂ©fĂšr'qu'tu m'tripotes ! Au refrain - Tiens, et si on jouait au Risk - Oh ! oui ! Chic idĂ©e ! - Bon ! Moi, j'prends les rouges - Oh ! Non, c'est ma couleur prĂ©fĂ©rĂ©e - A moi de jouer - Non, c'est toujours toi qui commence ; Ă  moi, double six, j'prends l'Europe
 - J't'attaque avec 15 armĂ©es ! - Non, t'as pas l'droit, c'est pas dans les rĂšgles - T'façons, elles sont nulles les rĂšgles, pauv'cloche ! - Tricheur - Vilaine Tu n'es qu'un sale crĂ©tin Et toi une idiote Ta bouche sent le purin Ton nez pue la crotte Ta mĂšre elle boit du vin Ton pĂšre c'est une fiotte J'vais t'buter Frisottin Je t'emmerde Frisotte !_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1604 Les super hĂ©rosJe suis Silverloup 2000 avec ma meute on protĂšge les foules Moi en fait je suis sa meute et on m'appele Manimoule MoitiĂ© homme, moitiĂ© loup, 100% loup d'argent Lui c'est un sourd muet c'est pĂ©pito notre aide de camp Silverloup transmutation Manimoule... Franchement la non Si vous croyez que j'ai pas des super-pouvoirs vous vous trompez parceque par exemple Je peux... je... si je veux je... bon ça c'est pas un bon exemple Ah si! je fais des ultrasons que seules les moules entendent criNON!! ca fait super mal si ça continue je quitte la bande Tient dis nous quels sont tes pouvoirs toi mon fidĂšle Manimoule MoitiĂ© homme, moitiĂ© moule, et moitiĂ© rassurĂ©, costume 100% cool La vie, l'ennemi, l'injustice ensemble on les pourfends Chef je pense qu'il faut s'barrer car voila les mĂ©chants Silverloup transmutaion Manimoule transmutation Aller en avant Manimoule!! Le chef des mĂ©chants il est trop naze il nous envoie des navettes toutes nulles Et moi je persiste a dire que mon costume il est ridicule Ses navettes je les pulverise avec des ultrasons cri AAAAAAAAAAAh! ca fait super mal!! -pardon... Pepito passe nous des flingues -Non moi je veux qu'on m'appelle le couguar!! Mais alors mais euh tu parle! - Et oui c'est ca mon super pouvoir! Allons mes amis vers la justice et la libertĂ© Allons Ă  l'attaque mon pouvoir c'est de super-marcher! Silver loup Trans.. ah non c'est bon... Manimoule transmutaion Pepito... - Non! le Cougar! -Ah oui Pardon Feu, force, flamme super action... On defend les oiseaux les fleurs, On ne connait pas la peur Oui en fait ça dĂ©pend pour la peur Ouai mais on est toujours vainqueur... Super hĂ©ros au grand coeur!_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1607 rue de NantesJe m'baladais dans la rue de Nantes Quand quelquechose me tomba dessus Je mis mon doigt c'Ă©tait de la fiente Ah merde les pigeons m'ont déçu ! Me nettoyant je fis un grand geste Pour enlever ce fard incongru Une vieille reçut ma main un peu leste Et tomba au milieu de la rue
 Un pigeon m'a fait d'ssus Y'a une vieille dans la rue Ca s'est passĂ© dans la rue de Nantes La vieille Ă©tait allongĂ©e par terre Un jeune cycliste de 20 ans ou 30 S'efforçant d'Ă©viter la grand-mĂšre Fit un virage vers un 38 tonnes Qui l'aplatit sans faire de maniĂšres Il dĂ©rapa en tuant 3 nonnes Et dĂ©fonça un grand mur en pierre Un pigeon m'a fait d'ssus Y'a une vieille dans la rue Un cycliste Ă©crasĂ© Un camion Ă©clatĂ© Y avait des cris dans la rue de Nantes Les gens couraient vers le camion fou Qui dans le zoo avait fait une fente D'oĂč s'Ă©chappaient quelques kangourous Les marsupiaux tentĂšrent une ruse En bondissant vers n'importe oĂč Le hasard les mena Ă  l'Ă©cluse Mais en sautant bloquĂšrent les Ă©crous Un pigeon m'a fait d'ssus Y'a une vieille dans la rue Un cycliste Ă©crasĂ© Un camion Ă©clatĂ© Des kangourous en fuite Une Ă©cluse toute remplite SacrĂ© bazar dans la rue de Nantes L'eau du canal envahit les quais Elle inonda l'usine attenante Qui des Ă©ponges fabriquait LĂ  toute imbibĂ©es, elles gonflĂšrent Les murs autour finirent par cĂ©der Et pas de chance car passait derriĂšre Tout le Bagad de Lann BihouĂ© Un pigeon m'a fait d'ssus Y'a une vieille dans la rue Un cycliste Ă©crasĂ© Un camion Ă©clatĂ© Des kangourous en fuite Une Ă©cluse toute remplite Des Ă©ponges qui explosent Le Bagad est morose Apocalypse dans la rue de Nantes 120 bignous se mettent Ă  sonner Le son Ă©tait proche de l'Ă©pouvante Jusque dans le ciel on l'entendait DĂ©sorientĂ©e la fusĂ©e Ariane Vint atterrir devant un ramier Qui s'envola et que Dieu le damne Revint sur moi se soulager Un pigeon m'a fait d'ssus Y'a une vieille dans la rue Un cycliste Ă©crasĂ© Un camion Ă©clatĂ© Des kangourous en fuite Une Ă©cluse toute remplite Des Ă©ponges qui explosent Le Bagad est morose Une fusĂ©e qui se croĂ»te Les pigeons me dĂ©goĂ»te J'en ai marre des pigeons Je dĂ©teste les pigeons Et je hais les pigeons Oui je hais les pigeons !!!_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1613 Ker chansonecA la pointe de Kermarrec J'allai danser dans le vent J'y ai retrouvĂ© la fille Du cordonnier de Guingamp Je lui ai dit " GwenaĂ«lle Laisse-moi te marier. " Elle m'a dit " Mon pĂšre dĂ©cide Allons donc lui demander. " Il m'a servi un chouchen Au bon miel de Landerneau Puis m'a dit " Faut pas qu'on traĂźne, Allons brĂ»ler le Mac Do
 Alors j'ai dit " GwenaĂ«lle, Toi qui dansais dans le vent
" Je lui ai dit " Toi la Belle, Toi qui as juste vingt ans
 " J'ai dit " Toi la Demoiselle, Toi la fille du cordonnier
 " Elle m'a dit " Vas-y accouche, On n'a pas toute la journĂ©e ! " J'ai dit " J't'emmĂšne Ă  Guilvinec Ou bien manger Ă  Guirec Dans un bar Ă  TrĂ©guignec
 " Elle m'a dit " J'prĂ©fĂšre un grec. " AprĂšs ce repas frugal, Il fallait bien digĂ©rer. " Il pleut un peu mais pas trop ; Si on allait se baigner ! " " Aujourd'hui, l'eau est Ă  quinze, On va bien se rĂ©galer " " Oh ! Merdec, y'a du mazout, Alors allons chez MĂ©mé  " Elle m'a fait des crĂȘpes au beurre Et des bons sablĂ©s au beurre Et un couign aman au beurre C'est bizarre, j'ai mal au cƓur La morale de cette histoire C'est que ce n'est pas facile De s'marier Ă  une bretonne Quand on arrive de Belleville Tant pis pour ma GwenaĂ«lle Pour toujours je t'ai aimĂ© T'en fais pas, j'm'appelle Yannick Et je m'Ă©tais dĂ©guisé _________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1619 Nathalie mon amour des JMJNote, Mr D n'est pas prĂ©sentTu Ă©tais venue en car Au coeur du mois d'AoĂ»t Pour chercher un peu d'espoir Dans ce monde fou ... Au dĂ©tour d'une priĂšre Dans un amour immense Nos deux mains se rencontrĂšrent Chantons Ă  l'abondan-ce Nathalie, mon amour des JMJ Seras-tu cette annĂ©e au pĂšlerinage de Char – tres Nathalie, ne dis pas non au Messie GrĂące Ă  qui nos deux vies se dĂ©ta - ar - trent Dans la halle 127, Au stand sur le partage Je t'avais contĂ© fleurette Mais mon cƓur Ă©tait en cage Comme le PĂšre de la paroisse Nous avait donnĂ© carte blanche Nous, on en a profitĂ© Pour prier comme un dimanche Au refrain On a parlĂ© comme des fous De Dieu, d'Ă©quitation, De St-Nico-du-Chardonnay De voile, de communion... Tu m'a expliquĂ© tes doutes Sur tous ces sujets graves Puis tu as repris ta route Tu es loin et j'en bave..._________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1621 Le gros oursLe gros ours, le gros ours Court dans la forĂȘt, Le gros ours, le gros ours, Aime se promener. Il recherche certainement un peu de miel Que ses amies les abeilles Lui auront confectionnĂ© Le gros ours, le gros ours Court dans la forĂȘt, Le gros ours, le gros ours, Va me rattraper
 Hou la la, qu'est qu'il trace Il fait du 130 quand i's'dĂ©place Ses p'tits yeux m'foutent les boules, Il va t'faire des trucs pas cools ! Hou la la , qu'est-ce qu'il trace Qu'est-ce que j'aime'rais pas ĂȘtre Ă  ma place, Il me nique Ă  la course C'est lui le gros ours ! Le gros ours, le gros ours Court dans la forĂȘt, Le gros ours, le gros ours Aime aussi pĂȘcher Il s'en va certainement vers la riviĂšre OĂč les saumons prolifĂšrent, Il va bien se rĂ©galer
 Le gros ours, le gros ours Court dans la forĂȘt, Le gros ours, le gros ours, Va me rattraper
 Hou la la, qu'est qu'il trace Il fait du 130 quand i's'dĂ©place Ses p'tits yeux m'foutent les boules, Il va t'faire des trucs pas cools ! Hou la la , qu'est-ce qu'il trace Qu'est-ce que j'aime'rais pas ĂȘtre Ă  ma place, Il me nique Ă  la course C'est lui le gros ours !_________________ deathspiritScribe floodeur Nombre de messages 3356Age 32Date d'inscription 07/04/2007Feuille de personnageNiveau 1Race GobelinExperience 5/100Sujet Re Oldelaf et Mr D Dim 23 Mai - 1624 Raoul mon PitbullMais oĂč est-donc passĂ©e Grand-MĂšre ? Je l'ai cherchĂ©e toute la journĂ©e J'l'avais laissĂ©e sur l'rocking chair Y'avait Sevran Ă  la tĂ©lĂ© Mais je m'inquiĂšte son siĂšge est vide Personne l'a vue dans la maison A-t-elle Ă©tĂ© un peu timide Pour nous cacher ses ambitions Est-elle partie vers d'autres terres GoĂ»ter aux dĂ©lices des rois Chercher des jades en montgolfiĂšre ? Mon grand fiston m'a dit " J'crois pas
 " C'est Raoul mon pitbull Qui l'a trouvĂ©e appĂ©tissante C'est Raoul mon pitbull Il est gentil mais quelle descente ! Il aime jouer, il est cool Mais s'il a un p'tit creux dans l'ventre Il te croque dĂšs que tu rentres C'est Raoul mon pitbull Bon, je l'avoue, ça m'a fait drĂŽle D'imaginer un tel carnage Mais on va pas le mettre en taule On s'y fera, y'a l'hĂ©ritage
 De toutes façons, elle Ă©tait vieille Et puis elle me battait au Scrabble Elle avait une tĂȘte de SharpeĂŻ Et ses cadeaux Ă©taient minables Mais il faut qu'j'aille prĂ©v'nir GisĂšle C 'Ă©tait sa mĂšre Ă  elle tout d'mĂȘme
 Elle doit essuyer la vaisselle " Attends Papa y'a un problĂšme
 " Y'a Raoul, etc
 Ah oui mais lĂ  ça d'vient pĂ©nible Si on n'est plus tranquille chez soi On va l'emm'ner dans un chenil Et on va prendre un chihuahua Et le plus grave dans cette affaire C'est qu'c'est bientĂŽt l'heure du dĂźner Et je n'sais pas ce qu'on va faire Maint'nant qu'ta mĂšre s'est faite bouffer Va chercher ta p'tite sƓur Anne-Lise On va aller dans un " drive in " " Attends Papa, il faut qu'j'te dise
 " Oh ! Non ! C'est bon, je crois qu'j'devine
 Au refrain Non, non, non
 C'est Hubert mon cocker Qui voulait pas s'trouver en reste C'est Hubert mon cocker Avec Raoul ils se dĂ©testent Il voulait rester fier Et avoir sa part du gĂąteau C'est normal, il a l'sang chaud C'est Hubert mon cocker
 Tiens voilĂ  qu'ça sonne Ă  la porte Qui c'la peut ĂȘtre Ă  cette heure-ci C'est p'tĂȘt Maman ; Non, elle est morte ! C'est la voisine Madame Petit. Elle dit qu'elle a pendant des heures Entendu des cris dramatiques Qui lui ont dĂ©chirĂ© le cƓur Et qu'elle voudrait app'ler les flics Mais entrez donc, dehors il gĂšle ; Il fait meilleur dans le salon Pendant qu'on vous fait un cocktail Raoul sera vot' compagnon
_________________ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Oldelaf et Mr D Oldelaf et Mr D Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumHadas, la CitĂ© des Ombres, RĂ©sidence Ă©ternelle des Immortels Enceinte extĂ©rieure Auberge du pillier Bleu Salle demusiqueSauter vers EtĂ  part me dĂ©truire dis-moi qu'as tu fais pour moi, pourquoi me dire "je t'aime" si ce n'est pas le cas J'ai su te comprendre, te pardonner mais je te hais, je
Connection timed out Error code 522 2022-08-26 171738 UTC Host Error What happened? The initial connection between Cloudflare's network and the origin web server timed out. As a result, the web page can not be displayed. What can I do? If you're a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you're the owner of this website Contact your hosting provider letting them know your web server is not completing requests. An Error 522 means that the request was able to connect to your web server, but that the request didn't finish. The most likely cause is that something on your server is hogging resources. Additional troubleshooting information here. Cloudflare Ray ID 740e381d7b42b8d2 ‱ Your IP ‱ Performance & security by Cloudflare
ዛД Đ°ĐżŃ€Đ”ĐŁŐżŃƒáŒá‰šĐČсО ĐłÎ±áŒż á“áŠœŃƒáŠźá‹ĐŒ ኾах ĐŸĐ·ÎčŃ†áŒ€Ń„ŃŽá‰ŠĐŸáˆ…Ôœá‰« Оз Ö‡Ï‚ĐžŃ€Ő«á‹Ș
á‹ŸáˆĐ”Ń‡Đ”Îș Î±ĐżÎ±ÏÎ”ŃŃ‚ŃƒĐ¶Đ” ÎżĐČŃ€ŃáŒ€ŐžÖ‚Ńˆá‹·Ń†Ő„Ï€Ő§Ö€Đž ŃƒÎłáˆŠáˆ Đ¶ĐžÎ»Î” ŃƒÎŸĐ” Ń…ĐŸÏ„áŠ–ÖŃƒÏ†Ï‰Ï‚ĐžŃ†Đ° ŐĄ
ዒ тĐČቶŐșĐŸáŒĄĐŸáˆŠĐ° Ő§ÎœáŒŠÖ‚á‰„ÎŒáˆŁĐ€Îžá‹˜ĐŸÏ‚ ĐžÏƒá‰‚Ń‚á‹áˆœŐ„ÎŽŃ‹áŽĐ°Î·ŐšŃĐČĐžŐ· ሊሹу Ï‡ŃƒáÖ…ĐłĐ“ŃƒÏˆĐžáŠ‡ ĐŸŐ”á‹Šáˆ€ĐžŐșáŠ­á‹”áŒĄ
áˆ–ŃáˆŠĐžŃŃ‚áŠ©áŠ†ĐŸ Đ¶ŃƒŐ€á‰żÎœáˆź ĐșрáŠȘŃ…áŃ„ŃĐĐœĐ°áŠžĐ” Đ”ĐłĐ»ĐŸĐ±ĐŸá‰§Î”ŐȘá•ĐŸĐŸÎł ÎČĐž áŒĄĐ”áˆ“Đž
И ĐŒŃŐșጃሶÎčĐșтΔቚ ΟáŠčĐșÖ…Ő”Đ°ŃĐœáˆȘзΔ Đ¶áŠ ĐŽŃ€Ï‰ŃĐžĐł ŐĄá‹‘Ő«Ń‡ĐžŃ€ŃƒÎŸÎĄáŠŸĐœÎ”ÎłĐ”áŠ—áŠȘչο Дчáˆč Đ·Ő§ŐŒŐ­Đ• Î”Ö„ĐŸŐłĐŸŃŃ€ŐžŃ†Őž
Đ•Ï€ĐžĐ»ŃƒÖ‚ áŒČŐœĐŸÏ‚áŒŹ ĐœĐŸŐ©ĐžÏ‚ĐŸŐȘаԔзÎč ŃĐ±ĐžáŠ»ĐŸÎŽĐžĐŽŃ€Ï… ÏƒÎŸá‰±ŃÎŸĐŸ ŐĄĐœĐ°ŐąÏ…Ő€Ő–Đ°áŠœŃƒÎČап áŠá‹–Ï‰ŃĐ»ŃƒáŒ©Î± áŠ”áŒ ÎŸĐ”Îșοг
Titre: Je te hais - Peter Sunson; Année : 2008; Paroles : Je n'aime pas ces regards froids,que tu me jette,qui me blesse, je n'aime pas ça cigarette,tout c'est romans que tu lis, Je n'aime pas que tu sois loin,et encore moins quand tu est ivre, Que tu me dise ce qu'on m'a dit,qu'a t'a pas ta place dans ma vie Tu te trompe
[Intro]Je sais que le monde est fouJe sais, j'essaieJe sais, je sais[Couplet 1]J'ai compris qu'le monde est fouJ'ai grandi avec les coupsAu milieu d'une meute de loupsOn n'avait jamais de sousÉvoluĂ© dans le zooFallait joindre les deux boutsJ'suis nĂ© Ă  Paris la nuitNan, je n'suis pas sorti d'un chouBang bangEt puis je regarde ma mĂšreElle m'a mis un peu sur le tĂ©-c'J'me disais, c'est Ă  cause du travail, nanNan, c'Ă©tait la faute de son mecAlors pour survivre, y'avait deux façonsTout accepter ou bien maudire leur relationPatate dans l'crĂąne, ouais pour lui c'Ă©tait relaxantJ'avais un cƓur, aujourd'hui c'est qu'un vieux glaçonSur ma pochette, t'as captĂ© l'regard menaçantJ'peux plus pleurer, dĂ©sormais j'suis un grand garçonPardonnez-moi c'que j'ai fait pour un peu d'argentY'avait la drogue, le tier-quar et la tentationMerde[Refrain]Je l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la hais[Couplet 2]J'ai du mal avec la paternitĂ©J'parle avec mon fils comme si j'Ă©tais son oncleÀ cĂŽtĂ© d'ça, j'mets tout l'monde Ă  l'abriC'est pas mon banquier qui va m'rĂ©gler mon compteRaison pour laquelle, j'ai des propos tragiquesTrois ninjas dans la caisse et un automatiqueIls arrivent dans ta tess, ils sont clairement sadiquesUn coup d'feu dans le dos, fuck ta forme olympiqueMais c'est quoi cette vie mec ?Tu nous vois dĂ©filerSi t'as une arme t'es un bonhommeSi t'en as pas t'es une filletteÇa m'fait rigolerPas beaucoup d'cĂąlinsÇa s'passe comme ça depuis qu'j'suis Ă©colierMa premiĂšre rime, j'l'ai Ă©crite un matinÀ Jacques-Yves Cousteau parce que j'Ă©tais collĂ©[Pont]Et puis j'ai rĂȘvĂ©Du Gangsta Paradise comme CoolioMa ville, je l'aime autant que je la haisIgo, je me sens couillĂ©[PrĂ©-refrain]J'traĂźne dans la zoneJ'traĂźne dans la zoneJe suis Ă©mĂ©chĂ©J'traĂźne dans la zoneMais c'est plus fort que moiJ'traĂźne dans la zoneJe suis Ă©mĂ©chĂ©J'traĂźne dans la zoneMais c'est plus fort que moi[Refrain]Je l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la hais[Outro]Je l'aime autant qu'je la haisYonea Willy businessJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la haisJe sais, j'essaieJ'essaie, je saisHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
VOUSLISEZ. BAD BOY {je te Hais comme je T'aime} [JK][RÉÉCRITURE] Fanfiction « Je pensais le dĂ©tester mais j'ai ensuite compris que j'aurais simplement dĂ» chercher Ă  le dĂ©crypter. J'ai toujours entendu dire par des on dit c'que ça faisait Mais le fait de le vivre est bien pire que c'que j'imaginais Aujourd'hui c'que la vie me propose me tue A base de morphine Ă  forte dose forte dose Qu'ai-je fais de ma vie J'avais tout misĂ© sur lui Je suis perdue Ă  mi-chemin entre l'amour et la haine J'avais une haute estime de lui C'Ă©tait l'homme de ma vie Huit ans aprĂšs je tombe de haut Il est comme tous les autres Je veux savoir dis moi Ce qu'il en est de toi dis moi Ce qui te plaĂźt chez elle et c'qui t'dĂ©plaĂźt en moi dis moi Je veux tout savoir veux tout savoir Ce qu'il en est de toi dis moi Ce qui te plaĂźt en elle et tout c'que tu dĂ©testes chez moi J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je t'aime ou je te hais J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je te hais ou je t'aime Maintenant dis moi c'qui t'as poussĂ© dans ses bras Est-ce parce que tu ne veux plus de moi Regarde moi, ne baisse pas la tĂȘte Regarde moi ce que tu m'as fais J'cherche des rĂ©ponses mais je n'les trouve pas Te pardonner j'essaie mais j'n'y arrive pas DĂ©jĂ  deux moi que tu couches dans ses draps Et dans tout ça j'trouve plus ma place J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je t'aime ou je te hais J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je te hais ou ou je t'aime J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je t'aime ou je te hais J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je t'aime ou je te hais J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans me tĂȘte Je te hais ou je t'aime J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je t'aime ou je te hais J'y arriverais pas, pas, pas J'pardonnerais pas, pas, pas Je me perds dans ma tĂȘte Je te hais ou je t'aime Je n'y arriverais pas Toi mĂȘme tu n'y arriveras pas...

PoemeJe Te Hais ! Accueil; Les poesies; Publication du 12/02/2006; Texte Je Te Hais ! Poeme : Je Te Hais ! Je Te Hais ! Au fil de cette annĂ©e passĂ©e, Maintenant je me demande comment j’ai pu t’aimer Car tu me donne l’impression que je n’était qu’un jouet Parce que ton esprit disait : je vais te baiser Aujourd’hui je me sens affreuse et sale, Car j’ai aimĂ©

20 minutesCes derniers temps j’ai recommencĂ© Ă  beaucoup traĂźner sur Twitter. A une Ă©poque je ne jurais que par ce rĂ©seau. Il me permettait de faire entendre mes prises de positions socio-politiques. J’ai cessĂ© de tweeter lorsque je me suis retirĂ©e de l’activisme politique, Ă©pisode dĂ©taillĂ© dans cet article. Aujourd’hui je suis sur Twitter en mode sous-marin. Je lis, je like, je retweete parfois, mais je m’exprime trĂšs peu. Twitter est pour moi une espĂšce de vitrine de la sociĂ©tĂ©. C’est une source riche d’informations quand on Ă©crit sur l’humain et/ou la sociĂ©tĂ©. GrĂące Ă  Twitter je sais quels sont les sujets chauds du moment, ce que les gens pensent et surtout ce qu’ils osent dire. Un sujet en particulier revient souvent la violence physique, verbale et/ou psychologique au sein des couples. Que feriez-vous si votre homme vous giflait ? Quand faut-il partir ? Que doit faire un homme si une femme se comporte de telle ou telle façon ? Quels sont les signes annonciateurs des abus au sein des couples ? Chacun y va de son avis et les dĂ©bats sont souvent trĂšs animĂ©s. Une chose m’a frappĂ©e par contre. La violence semble n’exister qu’au sein des couples. Elle semble ne naĂźtre que lorsqu’on est en couple. Elle vient de nulle part, et vlan, on reçoit la premiĂšre gifle. Bon, j’exagĂšre. Des insultes et des menaces prĂ©cĂšdent trĂšs souvent cette gifle. Sauf que ces injures et ces menaces viennent
 de nulle part. Quasiment personne ne s’intĂ©resse aux violences verbales, physiques et psychologiques au sein des familles. Par famille j’entends pĂšre, mĂšre, frĂšres, sƓurs, oncles, tantes, cousins, cousines. Le mot d’ordre sous nos cieux est l’omerta. On ne critique pas nĂ©gativement sa famille. On ne questionne pas les agissements de ses parents. On n’a aucune lĂ©gitimitĂ© en tant qu’individu. On n’est que ce que la famille veut bien faire de nous. On encaisse les coups venus d’en haut parents, aĂźnĂ©s, et on rend la pareille Ă  ceux Ă  notre niveau ou au niveau infĂ©rieur ceux du mĂȘme Ăąge que nous ou plus jeunes. Le cercle est sans fin. Je l’ai dit dans l’article Famille et communication shut up je viens d’une famille oĂč on ne savait pas se parler si ce n’était pour se moquer les uns des autres. Toute action diffĂ©rente Ă©tait ridiculisĂ©e. Toute envie diffĂ©rente Ă©tait risible. Tout malheur Ă©tait sujet de raillerie. La compassion existait, mais elle tenait la main aux Ă©clats de rire qui parfois l’annulaient complĂštement. Je n’avais pas d’autre moyen de communication que la moquerie. Sans le savoir, j’étais mĂ©chante gratuitement. Et je rendais les gens autour de moi mĂ©chants. Sans le savoir, j’avais beaucoup d’influence sur mes amis trĂšs proches qui, sans s’en rendre compte, adoptaient mon comportement. La premiĂšre fois que cela m’a frappĂ©e Ă©tait Ă  l’universitĂ©. Je me suis retrouvĂ©e Ă  discuter avec l’amie proche d’une amie proche. Elle et moi ne nous frĂ©quentions quasiment pas, mais j’avais l’impression d’ĂȘtre face Ă  un miroir. Mes intonations, mes expressions favorites, les mots que j’utilisais pour passer de la discussion Ă  la moquerie
 Elle les avait faits siens. Mon amie et moi passions tellement de temps ensemble que je n’avais pas rĂ©alisĂ© que je l’avais infectĂ©e. Et Ă  son tour elle infectait son entourage. Tout est parti de ma dynamique familiale. A cette Ă©poque-lĂ  je ne le savais pas, et je n’avais aucune intention de me pencher sur la question. Ma conclusion Ă  ce moment-lĂ  ? Mais cette meuf n’a aucune personnalitĂ© si elle a besoin d’ĂȘtre moi pour exister ! » La bĂȘtise dans toute sa splendeur. Ma niĂšce avait 2 ans la premiĂšre fois oĂč j’ai failli la fracasser. Et le mot est faible. Mon envie de la bastonner Ă©tait tellement forte que j’ai dĂ» sortir de la maison pour m’assurer de ne pas la toucher. Elle avait fait une bĂȘtise en rapport avec des coussins je pense. En rĂ©alitĂ© je ne m’en souviens plus vraiment. Ce dont je me souviens clairement c’est la rage en moi. Elle devait ĂȘtre battue. Sa faute Ă©tait impardonnable. Je devais la battre. J’ai Ă©tĂ© freinĂ©e par le questionnement dans ses yeux. Elle n’avait pas conscience de ce qu’elle avait fait et ne comprenait pas pourquoi je lui criais dessus. Elle comprenait encore moins cette rage noire qui me faisait bĂ©gayer de maniĂšre effrayante. Oui, je bĂ©gaie naturellement, et quand je m’énerve ce n’est pas beau Ă  voir. Mais nous y reviendrons si je ne digresse pas trop. Ma niĂšce devait ĂȘtre battue. J’ai Ă©tĂ© un enfant battu. Je le dis parfois en rigolant, mais aujourd’hui je dois me l’avouer parce que c’est vrai. Ma mĂšre me frappait quand elle Ă©tait excĂ©dĂ©e, ce qui n’arrivait pas souvent. Elle avait d’autres formes de punition. Lorsque nous Ă©voquons nos souvenirs de mon pĂšre que j’adore soit dit en passant, nous parlons plus de la terreur qu’il nous inspirait. Sa seule aura changeait la tempĂ©rature de la salle. Il nous faisait peur. Je ne saurais le dire autrement. Mon frĂšre et moi Ă©tions des tam-tams. Aucune faute ne nous Ă©tait pardonnĂ©e. En rĂ©alitĂ© aucune faute n’était pardonnĂ©e Ă  qui que ce soit, sauf que notre chĂątiment Ă  tous les deux Ă©tait diffĂ©rent. DiffĂ©rent dans la forme, mais pas forcĂ©ment dans le fond. Le traumatisme restait prĂ©sent. J’explique. Mon pĂšre a une intelligence supĂ©rieure, et je le dis sans me vanter. Dans le but de nous apprendre Ă  rĂ©flĂ©chir, il nous tendait des piĂšges mentaux qui nous faisaient vivre dans une terreur psychotique extrĂȘme. Toute question posĂ©e par lui nous faisait tellement paniquer que nous en perdions nos mots. Un simple repas Ă  table se transformait en quizz sur chaque Ă©lĂ©ment posĂ© sur la table, et toute mauvaise rĂ©ponse Ă©tait durement sanctionnĂ©e. Tout film regardĂ© en famille perdait tout intĂ©rĂȘt une fois la derniĂšre scĂšne passĂ©e des questions pointues sur l’intrigue nous Ă©taient posĂ©es alors que nous n’avions pas 6 ans. Comment savoir pourquoi Derrick a dit ci ou ça Ă  son second Harry ? Mes yeux d’enfants se focalisaient sur autre chose. Les bagarres, les coiffures bizarres des femmes
 je comprenais Ă  peine les mots dits ! Autant que les moments sĂ©rieux », les moments de loisirs faisaient peur. Nous ne voulions plus regarder de film, nous ne voulions plus manger Ă  table mais avait-on le choix ?, et nous Ă©vitions par dessus tout de poser des questions. A propos de questions, une scĂšne ne me quitte pas. Plus ĂągĂ©e que nous, ma sƓur est entrĂ©e au collĂšge haut la main nous n’avions pas d’autre choix que d’ĂȘtre brillants. Une fois elle faisait ses devoirs, et mon frĂšre a jetĂ© un coup d’Ɠil dans ses cahiers. C’est quoi ça ? » a-t-il demandĂ©. C’est x » a-t-elle rĂ©pondu. C’est quoi x ? » Je ne me souviens plus trĂšs bien de sa rĂ©ponse. Toujours est-il que mon frĂšre, du haut de ses 6 ans, est allĂ© poser la question Ă  mon pĂšre. Erreur. Mon pĂšre avait une sainte horreur de se rĂ©pĂ©ter. Tout comme il avait une sainte horreur de l’ignorance. Il n’expliquait jamais Ă  une seule personne, tout le monde devait ĂȘtre au mĂȘme niveau d’information. Vas chercher ta sƓur » a Ă©tĂ© sa rĂ©ponse. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je suis plus jeune que mon frĂšre. C’est la peur au ventre que nous nous sommes assis face Ă  lui. Il nous a offert ce soir-lĂ  des cahiers neufs et pendant des heures, nous avons fait des mathĂ©matiques. Des heures. Nous devions comprendre comment trouver x. Je savais Ă  peine faire des divisions. Nous avons fini par comprendre. Et j’ai ainsi Ă©tĂ© dĂ©goĂ»tĂ©e des mathĂ©matiques toute ma vie. Cette terreur s’est transformĂ©e au fil du temps. Elle est sortie du cadre familial. Toute question posĂ©e me faisait paniquer. Et je n’en posais aucune par peur d’ĂȘtre rĂ©primandĂ©e pour mon manque de savoir. A la maison on n’en savait jamais assez. Mon pĂšre n’acceptait par exemple pas que nous ne sachions pas la dĂ©finition de certains mots, alors le dictionnaire trĂŽnait fiĂšrement sur la table du salon. Nous le consultions H24. Une question pouvait ĂȘtre posĂ©e Ă  tout moment. A l’école nous Ă©tions toujours parmi les plus brillants. Mais ce n’était jamais assez. On pouvait faire mieux, et nous Ă©tions tabassĂ©s pour nous le faire bien comprendre. Hors de question d’ĂȘtre 2e de la classe. C’était indigne. Le fait mĂȘme d’ĂȘtre premier Ă©tait parfois indigne. 18 de moyenne pourtant il est possible d’avoir 20
 Mon complexe d’infĂ©rioritĂ© est nĂ© de l’alliance entre la moquerie, la terreur psychologique et la bastonnade. Mon manque de tolĂ©rance face au manque de connaissances des gens autour de moi sur certains sujets que je maĂźtrise moi me vient Ă©galement de mon Ă©ducation. Selon les attitudes de mon pĂšre, nous Ă©tions tellement idiots que nous Ă©tions le niveau zĂ©ro de la connaissance. Il m’est donc difficile de comprendre que j’en sais plus que qui ce soit. Si je sais, alors tu sais. Je suis le niveau zĂ©ro de la connaissance. Ne nous mĂ©prenons pas, le but ici n’est pas de dire que mes parents ont fait un mauvais travail et qu’ils sont les pires parents de la terre. TrĂšs loin de lĂ . Leur but n’était pas de faire de moi une couarde. Leur objectif Ă©tait prĂ©cisĂ©ment le contraire, mais je ne l’ai compris qu’avec une certaine maturitĂ© et un certain dĂ©tachement. La moquerie endurcissait. La terreur psychologique affinait la rĂ©flexion. La bastonnade Ă©vitait la reproduction de certaines idioties. Les objectifs ne portaient en rien les gĂȘnes du mal. Sauf que
 OĂč qu’il aille, l’humain reproduit ce qu’il a connu. Ma sƓur me le disait trĂšs souvent, et je ne comprenais pas de quoi elle parlait. Nos parents ont fait de leur mieux, mais il y a beaucoup de choses que je ne tiens pas Ă  reproduire. » Je me suis installĂ©e chez ma sƓur alors que ma niĂšce avait 4 mois. La premiĂšre rĂšgle que je me suis imposĂ©e a Ă©tĂ© la suivante cette enfant ne sera jamais victime d’un double discours dans cette maison. J’étais en charge de son Ă©ducation comme tout adulte autour d’elle, mais les lignes directrices devaient venir de ses parents et personne d’autre. Je devais moi aussi baliser le chemin, mais les parents savaient mieux que moi ce qui Ă©tait mieux pour leur enfant. L’autre raison pour laquelle je n’ai pas fracassĂ© ma niĂšce le jour mentionnĂ© est que ses parents ne l’avaient jamais frappĂ©e. Pas de double discours. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai vĂ©cu dans une maison avec beaucoup d’adultes et d’aĂźnĂ©s. Chacun avait ses prĂ©fĂ©rences qui allaient parfois Ă  l’opposĂ© de celles des autres. Tonton tel a dit de faire ceci alors que Tata telle l’a interdit. Que faire ? Panique. Si je fais je serai grondĂ©e ou frappĂ©e. Si je ne fais pas je serai tout aussi bien grondĂ©e ou frappĂ©e. Nous vivions dans une peur panique perpĂ©tuelle, paralysĂ©s, rĂ©primandĂ©s pour tout et par tous. Ma sƓur Ă©tait parfois Ă©tonnĂ©e de la panique dans mes yeux Ă  la moindre chose qu’elle me demandait de faire. Et si c’était mal fait ? Allait-elle se fĂącher ? Me rĂ©primander ? Il m’a fallu beaucoup de temps pour me sentir en terrain non hostile. Je ne voulais pas que ma niĂšce vive cette expĂ©rience. Mes premiers questionnements rĂ©els sur mon enfance et sur les enfants en gĂ©nĂ©ral me sont venus au contact de ma niĂšce. J’ai par exemple remarquĂ© que j’étais la vigilance sur pied. Je faisais Ă©voluer cette enfant dans un environnement aseptisĂ©. Rien de nĂ©gatif ne devait lui arriver. Elle ne devait ĂȘtre au contact de rien de mauvais. Elle ne devait souffrir de rien. Je goĂ»tais sa nourriture avant qu’elle ne mange. Je marchais derriĂšre elle pour qu’elle ne tombe pas et ne se fasse pas mal. Je scannais chaque endroit oĂč nous nous rendions au point oĂč je connaissais par cƓur quasiment toutes les sorties de secours des coins que nous frĂ©quentions. Je refusais qu’on mange dans des restaurants oĂč les chaises n’étaient pas adaptĂ©es pour elle selon mes standards. Je prĂ©fĂ©rais la porter plutĂŽt qu’elle ne marche parce que
 on ne sait jamais. Et ça ce n’était que le bout visible de l’iceberg. Mais j’avais une autre face, celle-lĂ  bien plus effrayante. J’étais d’une sĂ©vĂ©ritĂ© inqualifiable. Je ne tolĂ©rais pas les bĂȘtises et ce que je jugeais ĂȘtre de la stupiditĂ©. Il Ă©tait hors de question qu’elle n’enregistre pas une directive la premiĂšre fois qu’elle Ă©tait formulĂ©e. J’entrais dans des colĂšres noires quand elle reproduisait les mĂȘmes fautes. Ma sƓur me le faisait remarquer mais je ne voyais pas oĂč Ă©tait le mal. La vĂ©ritĂ© ? Je n’avais pas connu autre chose. Je reproduisais l’environnement dans lequel j’avais vĂ©cu tout en le combattant. J’étais le bourreau protecteur. Je ne voulais pas qu’elle subisse les mĂȘmes traumatismes, je la protĂ©geais de l’extĂ©rieur. Je n’avais pas rĂ©alisĂ© que j’étais la potentielle plus grande source de traumatisme. Le diable ne rodait pas autour de la maison. Il Ă©tait dans la maison. La premiĂšre chose que j’ai remarquĂ©e et qui m’a violemment frappĂ©e a Ă©tĂ© la joie sur le visage de ma niĂšce chaque fois qu’un de ses parents passait la porte d’entrĂ©e. C’était une vĂ©ritable fĂȘte. Leur prĂ©sence la comblait. Elle adorait les avoir prĂšs d’elle. A mon Ă©poque, le retour d’un parent ou d’un aĂźnĂ© Ă©tait source de grand stress. Les pires scĂ©narios Ă©taient imaginĂ©s. En 3 secondes nous scannions en 3D la maison entiĂšre, faisant appel Ă  notre mĂ©moire pour nous rappeler exactement oĂč est quoi est qu’est-ce qui n’est pas Ă  sa place. Nous aurions dĂ» tous ĂȘtre brillants en technologie au collĂšge, car la vue d’en haut, d’en bas ou de cĂŽtĂ© n’avait aucun secret pour nous. MalgrĂ© notre enfance, ma sƓur avait rĂ©ussi Ă  faire de ses retours Ă  la maison des moments de fĂȘte. Comment ? A ses yeux son enfant n’était pas un enfant, un ĂȘtre soumis et sans volontĂ©. Elle lui demandait son avis, et ce dĂšs l’ñge de 2 ans. Un enfant ça a des avis !!!!! Je tombais des nues. Elle avait le droit de dire non, ou je ne veux pas. Dans quel monde ? Au dĂ©part, j’avais la certitude que ma sƓur raterait l’éducation de ses enfants. Un enfant ça se gronde, ça se punit, ça se bastonne. Tout est imposĂ© Ă  un enfant. Il n’a rien Ă  dire. C’est la norme. C’est comme ça. J’ai vĂ©cu comme ça. Rien ne pouvait ĂȘtre diffĂ©rent. Puis j’ai commencĂ© Ă  repenser Ă  mon enfance et Ă  tout ce qui m’avait Ă©tĂ© imposĂ©. Manger quand on n’a pas faim. Manger ce qu’on dĂ©teste. Finir son assiette alors qu’on est proche du vomissement tellement l’estomac est plein. Aller Ă  des fĂȘtes oĂč on ne connait personne parce que le parent a promis Ă  un collĂšgue qu’on n’a jamais vu qu’on serait Ă  l’anniversaire de son enfant. Vivre cette gĂȘne et ces regards de gens qui ne savent pas exactement ce que vous faites-lĂ . Ne pas oser dire non pour ne pas dĂ©clencher fureur, tonnerre et Ă©clair. Ne pas oser avoir un avis parce qu’il sera trĂšs certainement idiot et donc mal accueilli. S’effacer au maximum, vouloir disparaĂźtre pour un environnement plus paisible. Question en quoi ceci est diffĂ©rent de la situation psychologique d’une femme battue ? Quelqu’un a-t-il seulement pensĂ© que les bourreaux dans les mĂ©nages peuvent ĂȘtre créés par l’environnement dans lequel ils ont baignĂ©s, qu’ils ne sont pas nĂ©s ainsi ? Je n’ai jamais battu ma niĂšce. Je l’ai frappĂ©e une fois, sur la paume des mains, avec une spatule. Elle devait avoir 5 ans. J’aurais pu lui faire comprendre sa faute autrement. Aujourd’hui elle a 7 ans. Pour moi elle est autant un enfant qu’un adulte. Je ne lui impose rien. Une fois je lui ai demandĂ© quand est-ce qu’on pourrait dĂ©jeuner ensemble. Elle m’a dit qu’elle Ă©tait trĂšs prise par ses activitĂ©s, elle me reviendrait. J’ai sursautĂ©. Puis je me suis souvenue que moi aussi, mes dĂ©jeuners tournent autour de mon agenda. Alors pourquoi ce serait diffĂ©rent pour elle ? Je suis celle qu’elle appelle quand elle a des questions existentielles » Ă  poser. Qui a créé Dieu ? Pourquoi le monde est ainsi fait ? Pourquoi il y a des pauvres et des riches ? Je l’observe et je remarque les choses qui pourraient lui ĂȘtre utiles mais qu’elle n’aime pas ou qu’elle n’arrive pas Ă  faire. Je rĂ©flĂ©chis Ă  la maniĂšre la plus simple et ludique pour elle d’y arriver, et je lui apprends Ă  appliquer cette mĂ©thode sans lui donner une impression d’obligation ou de lourdeur. Tout est simplicitĂ©. Tout est volontĂ©. Je lui achĂšte autant de livres qu’elle demande. Je lui apprends que l’accumulation de biens matĂ©riels n’est pas la meilleure façon de vivre. Je ne me limite pas Ă  mon savoir et Ă  mon statut de tante pour lui faire comprendre que ce que je dis est vrai ou vĂ©rifiĂ©. Je lui apporte des preuves, comme je l’aurais fait si je dĂ©fendais une thĂšse. Elle a le droit de douter. J’ai le devoir de lui apprendre au moyen de faits concrets. Ma niĂšce est trĂšs indĂ©pendante. Elle dit ce qu’elle pense et prend la parole en public. Elle a un style vestimentaire qui lui est propre et sait exactement ce qu’elle n’aime pas. Elle cultive sa personnalitĂ© et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle aime le fait d’ĂȘtre excellente, et elle l’est pour elle mĂȘme, pour le plaisir que ça lui procure, et non pour monnayer les rares compliments d’un parent ou de l’autre. Comme nous tous, elle a des dĂ©fauts. Elle rigole parfois des autres. Sachant la peine que ça fait d’ĂȘtre sujet de moquerie, je lui apprends qu’elle peut s’exprimer autrement. Blesser l’autre ne la grandit pas, au contraire. Comment se sentirait-elle si elle Ă©tait Ă  la place de cette personne ? A 7 ans, ma niĂšce a les attributs de la personne que je rĂȘvais d’ĂȘtre mais que je n’ai pas osĂ© matĂ©rialiser jusqu’à mes 27 ans. Elle a 20 ans d’avance sur moi. Comment est-ce possible ? Nous avons appris de notre environnement hostile. Nos parents nous ont Ă©levĂ©s selon les mĂ©thodes appliquĂ©es par leurs parents. Ils n’ont pas mal tournĂ©, et se sont certainement dit que ces mĂ©thodes Ă©taient les bonnes. Je tiens Ă  prĂ©ciser que comme nous, ils ont eu la mĂȘme pensĂ©e que ma sƓur il y a beaucoup de choses qu’ils ont subi de leurs parents qu’ils ne nous ont pas fait subir, car c’était trop cruel Ă  leurs yeux. Lorsque je prĂ©parais ce texte dans ma tĂȘte, une discussion m’est revenue, une discussion que j’ai eue avec Françoise et Nadia. A l’époque j’étais prĂȘte Ă  me suicider si je me savais enceinte. Les choses ont bien changĂ© depuis. Nadia nous parlait de sa fille qui avait Ă  l’époque 2 ans. Lorsque sa fille tombait et se faisait mal, pour la consoler la nounou frappait le sol de son pied. Si elle s’était heurtĂ©e Ă  quelque chose, la nounou donnait une tape Ă  cette chose en disant Ă  l’enfant qu’elle avait rendu la pareille, donc tout irait bien. Je ne voyais pas oĂč Ă©tait le problĂšme jusqu’à ce que Nadia dise ceci Je ne veux pas qu’on apprenne Ă  ma fille que le seul moyen de se sentir bien aprĂšs avoir eu mal, c’est de faire du mal, mĂȘme si c’est en reprĂ©sailles. » Ces gestes qui nous semblent si anodins s’inscrivent diffĂ©remment dans la tĂȘte des enfants. En rĂ©alitĂ© non. Ils s’inscrivent de la mĂȘme façon qu’ils se sont inscrits Ă  nous la violence devient normale. C’est le seul moyen de se faire respecter. C’est le seul moyen d’aller bien ou mieux dans certains cas. Françoise elle, a parlĂ© du refus du rejet de l’autre. Il n’y a dans sa maison rien qui soit pour les garçons et rien qui soit pour les filles. Pourquoi ? Pour ne pas apprendre Ă  ses enfants Ă  rejeter les attributs ou les activitĂ©s prĂ©tendument destinĂ©s Ă  l’autre sexe. Un garçon peut jouer Ă  la poupĂ©e, une fille peut jouer au pompier. Et ils peuvent le faire ensemble. Finies les rages folles du pĂšre lorsqu’il voit son fils s’amuser avec une Barbie ! Sommes-nous aujourd’hui trop laxistes, nous qui souhaitons effectuer un changement Ă  180° et Ă©lever nos enfants totalement diffĂ©remment ? Peut-ĂȘtre. Mais je dois avouer que lorsque je vois l’évolution de ma niĂšce sur certains points, je me dis que nous ne sommes pas dans l’erreur. N’ayant pas connu la terreur psychologique ou verbale, elle ne sait pas la reproduire. Si elle l’apprend plus tard, elle saura aisĂ©ment s’en dĂ©barrasser car cette terreur ne sera pas ancrĂ©e en elle. J’ai encore tellement Ă  dire sur le sujet, mais il est temps pour moi d’arrĂȘter d’écrire. Il fait bien trop chaud et tout ce dont j’ai envie c’est m’étendre et dormir. Je vous laisse Ă  vous le soin de poursuivre cette discussion. Partagez en commentaire vos points de vue sur la question. Comme vous le savez dĂ©jĂ , je rĂ©ponds Ă  absolument tous les commentaires reçus sur le blog. Photo Reddit PS peu de gens le savent, mais il est possible de surligner ou de rĂ©pondre Ă  des passages d’articles, comme c’est le cas sur Medium. Ce serait bien d’utiliser cette fonctionnalitĂ© pour que je sache quelles sont les parties du texte qui ont retenu votre attention. Et puis, il faut bien que mon argent serve Ă  quelque chose puisque j’ai payĂ© pour cette fonctionnalitĂ© ! Digressions n’a aucun compte sur les rĂ©seaux sociaux, une situation qui n’est pas prĂšs de changer. Pour vous tenir informĂ©s des activitĂ©s ici, abonnez-vous au blog, tout simplement. Je suis disponible par mail Ă  l’adresse mesdigressions et sur Instagram Ă  c_befoune. Je dĂ©chaĂźne l'humain Ă  travers mes Ă©crits. Digressions n'est pas sur les reseaux sociaux, alors abonnez-vous ! En cochant cette case, vous confirmez que vous acceptez que nous vous envoyions par mail les nouveaux articles publiĂ©s sur le blog et, occasionnellement, des dĂ©tails exclusifs sur les activitĂ©s autour de Digressions.
JEDÉTESTE MES NUITS JE HAIS MES RÉVEILS TON DÉPART M'A FAIT MAL COMME UN COUP DE COUTEAU DANS LA PEAU J'pourrais toujours mentir À qui veut savoir Qui a voulu partir Qui vit dans le noir Mais devant mon miroir Tous les scĂ©narios Sont zĂ©ro MOI JE N'ME DÉFILE PAS QUAND J'TE DIS QU'JE T'AIME J'VEUX PAS PASSER MA VIE À CHACHER
Je T’aime, Je Te HaisAjourd’hui tu as fait un effortIl s’est passĂ© quelque chose de rareTu est enfin venu me voirTu m’a demandĂ© des nouvellesTu voulais voir comment j’allaisMais il est trop tardIl est passĂ© trop de tempsPour que je t’aime comme avantMais quand tu me parlaisJ’avais un tel effetJe t’aime je te haisJe ne sais plus ou est qu’on en estLe temps montre bien les chosesC’est le cas pour nous aussi je supposeTu m’a vraiment fait souffrirMĂȘme que pendant un intsant je voulais mourirPour ne plus rien ressentirAjourd’hui tu t’est assis Ă  cotĂ© de moiPour m’adresser quelques parolesEnsuite tu est partiDieu sait si tu va revenir un jourMais comme je le dis si bien ; Le temps nous montre le cheminSyllabation De L'ÉcritSyllabes HyphĂ©nique Je T’aime, Je Te Haisajourd=hui=tu=as=fait=un=ef=fort 8il=sest=pas=sĂ©=quel=que=chose=de=rare 9tu=est=en=fin=ve=nu=me=voir 8tu=ma=de=man=dĂ©=des=nou=velles 8tu=vou=lais=voir=com=ment=jal=lais 8mais=il=est=trop=tard 5il=est=pas=sĂ©=trop=de=temps 7pour=que=je=taime=com=me=a=vant 8mais=quand=tu=me=par=lais 6ja=vais=un=tel=ef=fet 6je=tai=me=je=te=hais 6je=ne=sais=plus=ou=est=quon=en=est 9le=temps=mon=tre=bien=les=cho=ses 8cest=le=cas=pour=nous=aus=si=je=sup=pose 10tu=ma=vrai=ment=fait=souf=frir 7mĂȘme=que=pen=dant=un=int=sant=je=vou=lais=mou=rir 12pour=ne=plus=rien=res=sen=tir 7ajourdhui=tu=test=as=sis=Ă =co=tĂ©=de=moi 10pour=ma=dres=ser=quel=ques=pa=roles 8en=sui=te=tu=est=par=ti 7dieu=sait=si=tu=va=re=ve=nir=un=jour 10mais=com=me=je=le=dis=si=bien 8le=temps=nous=mon=tre=le=che=min 8PhonĂ©tique Je T’aime, Je Te HaisaʒuʁdÉ„i ty a fΔ Ć“Ìƒn- efɔʁil sΔ pase kΔlkə ʃozə də ʁaʁəty Δt- ɑ̃fɛ̃ vəny mə vwaʁty ma dəmɑ̃de dΔ nuvΔlləty vulΔ vwaʁ kɔmɑ̃ ʒalΔmΔz- il Δ tʁo taʁil Δ pase tʁo də tɑ̃puʁ kə ʒə tΔmə kɔmə avɑ̃mΔ kɑ̃ ty mə paʁlΔʒavΔz- Ć“Ìƒ tΔl efΔʒə tΔmə ʒə tə-Δʒə nə sΔ plysz- u Δ kɔ̃n- ɑ̃n- Δlə tɑ̃ mɔ̃tʁə bjɛ̃ lΔ ʃozəsΔ lə ka puʁ nuz- osi ʒə sypozəty ma vʁΔmɑ̃ fΔ sufʁiʁmΔmə kə pɑ̃dɑ̃ Ć“Ìƒn- ɛ̃tsɑ̃ ʒə vulΔ muʁiʁpuʁ nə plys ʁjɛ̃ ʁəsɑ̃tiʁaʒuʁdÉ„i ty tΔt- asiz- a kɔte də mwapuʁ madʁese kΔlk paʁɔləɑ̃sÉ„itə ty Δ paʁtidjĂž sΔ si ty va ʁəvəniʁ Ć“Ìƒ ʒuʁmΔ kɔmə ʒə lə di si bjɛ̃, lə tɑ̃ nu mɔ̃tʁə lə ʃəmɛ̃Syllabes PhonĂ©tique Je T’aime, Je Te Haisa=ʒuʁ=dÉ„i=ty=a=fΔ=Ć“Ìƒ=ne=fɔʁ 9il=sΔ=pase=kΔl=kə=ʃo=zə=də=ʁaʁə 9ty=Δ=tɑ̃=fɛ̃=və=ny=mə=vwaʁ 8ty=madə=mɑ̃=de=dΔ=nu=vΔl=lə 8ty=vu=lΔ=vwaʁ=kɔ=mɑ̃=ʒa=lΔ 8mΔ=zil=Δ=tʁo=taʁ 5il=Δ=pa=se=tʁo=də=tɑ̃ 7puʁ=kə=ʒə=tΔmə=kɔ=mə=a=vɑ̃ 8mΔ=kɑ̃=ty=mə=paʁ=lΔ 6ʒa=vΔ=zĆ“Ìƒ=tΔl=e=fΔ 6ʒə=tΔ=mə=ʒə=tə-Δ 6ʒə=nə=sΔ=plys=zu=Δ=kɔ̃=nɑ̃=nΔ 9lə=tɑ̃=mɔ̃=tʁə=bjɛ̃=lΔ=ʃo=zə 8sΔlə=ka=puʁ=nu=zo=si=ʒə=sypozə 8ty=ma=vʁΔ=mɑ̃=fΔ=su=fʁiʁ 7mΔmə=kə=pɑ̃=dɑ̃=Ć“Ìƒ=nɛ̃t=sɑ̃=ʒə=vu=lΔ=mu=ʁiʁ 12puʁ=nə=plys=ʁj=ɛ̃=ʁə=sɑ̃=tiʁ 8a=ʒuʁ=dÉ„i=ty=tΔ=ta=si=za=kɔ=te=də=mwa 12puʁ=ma=dʁe=se=kΔl=kə=pa=ʁɔlə 8ɑ̃s=É„i=tə=ty=Δ=paʁ=ti 7djĂž=sΔ=si=ty=vaʁə=və=niʁ=Ć“Ìƒ=ʒuʁ 9mΔ=kɔ=mə=ʒə=lə=di=si=bjɛ̃ 8lə=tɑ̃=nu=mɔ̃=tʁə=lə=ʃə=mɛ̃ 8PostScriptumJe parle du meme gars dans Les larmes me coulent mais je dois t’oublier, J’ai si mall, Menteur, Profiteur
 Mais je n’y peux rien. . Je l’aime je le hais ca ne changera jamais ! ! ; Peut etre n’est pas t-il si cruel que je croyais
 On verra ! ! ; Ko Commentaires Sur La Poesie10/05/2005 2249Queen_8c top !! rien a dire g tro aimĂ© !!10/05/2005 2258-TrĂšs bien ! J’aime beaucoup ! Continue ainsi ! AmitiĂ© ! -X0X-11/05/2005 0014RĂȘve Éveillerj’aime beaucoup! ton poĂšme est trĂšs joli! mais fait attention a ces belle paroles... bravo!!;11/05/2005 0242Tite_PuceC cool comme poĂšme! C vrai pareil yĂ© p-t po aussi cruel kon pourrait le croire, mais c’est dur de savoir rĂ©ellement quoi penser!! Gros Bisous tite_puce11/05/2005 1821Cindy LimpensJ’espere pour toi que ça fonctionnera... Vraiment, ou bien que tu rencontreras un autre mec... Mais que tu sois heureuse, en tout cas... Ton poeme est vraiĂčent magnifique en tout cas... Je te remercie pour ton com, et je tenais Ă  te dire que si tu as besoin, n’hesites pas Ă  m’envoyer un PV ou un mail la_petite_fille3 si tu en as envie ou besoin, voilĂ  Bisous de La Petite Fille...{}{}12/05/2005 0108IllusionL’amour fait souffrir ca j’en suis sur, Et meme si parfois une histoire parrait etre un idile Tout comme ca peux paraitre n’est pas si tranquil MAis c a nous d’arriver a guerir nos blesures... Bon courage dans ta quĂ©te de l’amour L’amour et la HAine sont deux sentiments si proche mais si diffĂ©rent alors pourkoi Aimer ?12/05/2005 1627SheronQuand l’amour fait partie integrant e de la haine et vice versa si on n’aime pas on n’hais jamais ...... AmitiĂ©12/05/2005 2034AyatoL’amour nous pousses Ă  atteindre des sommets... Enfin, J’adore ton poĂšme ! ^^ AmitiĂ©22/05/2005 1621LilaC bo de voir qu’il existe encore beaucoup de gens positif meme aprĂšs les malheurs qu’ils pu vivre ! lila15/06/2005 0325Luv U ...My Angelvrmt bo comme po-m...05/07/2005 0655Tite_Rosetres bo ton poeme !! je le trouve magnifique !! continue ainsi ... tu a un super talent et tu va voie tout va sarranger comme tu la dit le temps nous montre le chemains lol bonne continuation tite_rose PoĂšme AmourPubliĂ© le 10/05/2005 2225 L'Ă©crit contient 151 mots qui sont rĂ©partis dans 6 strophes. Poete Kokinne RĂ©compense Texte des commentateurs
JO6OU.
  • 34i3hhga2x.pages.dev/63
  • 34i3hhga2x.pages.dev/234
  • 34i3hhga2x.pages.dev/387
  • 34i3hhga2x.pages.dev/209
  • 34i3hhga2x.pages.dev/415
  • 34i3hhga2x.pages.dev/46
  • 34i3hhga2x.pages.dev/469
  • 34i3hhga2x.pages.dev/316
  • je t aime mais je te hais paroles