Gentilcoq’licot nouveau. Pour y cueillir du romarin (bis) J’n’en avais pas cueilli trois brins : Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. J’n’en avais pas cueilli trois brins, (bis) Qu’un rossignol vint sur ma main : Gentil coq’licot,
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageLys ShakInvitĂ©Sujet Angel { Londres - PV - } Ven 20 Oct 2006 - 2209 14h00. BĂąillements. Samedi aprĂšs-midi. Week-end. Amy venait Ă  peine d’ouvrir l’Ɠil, elle avait dĂ©cidĂ© d’aller voir une amie moldue Ă  elle vendredi soir, et rĂ©sultat, elle s’était endormie. Travail, travail 
 MĂȘme aprĂšs avoir quittĂ© son mĂ©tier de Ministre elle devait sans cesse se donner Ă  fond pour rĂ©ussir, rĂ©ussir et encore rĂ©ussir. BĂąillements. La jeune femme dĂ©cida enfin de quitter le canapĂ© sur lequel elle avait passĂ© la nuit – puis la matinĂ©e bien entendu – et partit donner un peu de bonheurs Ă  son amie. Celle-ci lui prĂȘta de quoi se vĂȘtir – car Sonatine s’était couchĂ©e entiĂšrement habillĂ©e – puis elle avait enfilĂ©e son sac, s’était maquillĂ©e et avait fait toutes les autres actions possible que beaucoup d'autres femmes auraient accomplis. Clac ! La porte. Aurevoir ! Amy descendit les escaliers avec dĂ©licatesse avant d’ĂȘtre enfin 
 Dehors. Air. OxygĂšne. Sourire. Il Ă©tait rare de voir mademoiselle Shakespeare, cette vraie poupĂ©e de cire, montrer ses dents Ă  tout les passants qui croiser son chemin. Bonheur ? Silence. Londres Ă©tait bruyant mais la jeune femme ne voulait rien entendre, elle n’écouta que son esprit enfantin et s’affala sur le banc le plus proche. Silence. Respire. Une explosion ne l’aurait sĂ»rement pas arrachĂ©e Ă  ses pensĂ©es. Elle se sentait bien Ă  ce moment prĂ©cis, elle avait juste envie de continuer Ă  fixĂ© le ciel ainsi pendant des heures
 Le monde vivait autour d’elle, il bougeait, il tournait, il se dĂ©pĂȘchait car il Ă©tait en retard au travail, il bousculait 
 Mais Amy elle, elle s’éteignait, elle ne voulait rien lĂ , elle avait juste besoin d’ĂȘtre ici, elle voulait ĂȘtre en dehors de tout ça, de tout ce stress. Elle voulait avoir sept ans. Elle resta ainsi, dans sa bulle, pendant cinq, puis dix, puis quinze minutes et 
 Mince ! Un vieillard moldu venait de s’asseoir maladroitement sur le banc oĂč Sonatine rĂȘvassait et avait renversĂ© la moitiĂ© de son cafĂ© qui Ă©tait dans un petit verre en plastique sur son tee-shirt. Soupir. Et merde 
 La jeune femme accepta les excuses du vieil homme avec un sourire puis parti vite pour Ă©viter d’avoir d'autres taches autre part que sur son tee-shirt. Soupir. La tache Ă©tait Ă©norme 
 Amy avait vraiment l’air idiote. Une seule solution faire les magasins. Au moins, elle aurait des habits moldus en plus 
 C’est ainsi que sous le soleil tapant de cette aprĂšs-midi d’Octobre, la sorciĂšre s’était dĂ©cidĂ©e Ă  faire quelque chose d’utile pour elle. VoilĂ  longtemps que Sonatine ne s’était pas baladĂ©e dans Londres. Ah 
 Londres. Sourire. Si elle aimait une ville c’était bien elle. Ce parfum 
 Cette particularitĂ© 
 Ces rues 
 Cette ambiance 
 La beautĂ©. La capitale de l’Angleterre la fascinĂ©e depuis toute petite, elle Ă©tait nĂ©e et mourrait ici. C’était ainsi dans sa petite tĂȘte et pas autrement. La Directrice des Serpentards marcha un petit moment avant de trouver un endroit qui lui convenait vraiment. Le magasin ne contenait pas Ă©normĂ©ment de monde et il Ă©tait assez grand. Sourire. La jeune femme se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure 
 Par oĂč aller t’elle commencer ? Partout s’entassaient des vĂȘtements de toutes sortes. Pendant, un instant, Amy observa la tache de cafĂ© sur son tee-shirt et souffla discrĂštement, agacĂ©e. La premiĂšre chose qu’elle allait faire c’était s’acheter quelque chose qui pourrait rĂ©parer l’incident sur son habit. Hum 
 Hum 
 Les tee-shirts femme 
 Ah ! Il fallait avant tout passer par le rayon homme. L’ancienne Serdaigle se mit donc en marche, observant des Ă©tagĂšres pleines de vĂȘtements – normal – et ne fit soudain plus attention Ă  oĂč elle mettait les pieds 
 Le choc fut inĂ©vitable. Aie ! Amy reçu quelqu’un en pleine figure et fut Ă©touffĂ©e par l’étrange chaleur que dĂ©gageait un homme, le premier rĂ©flexe de mademoiselle Shakespeare fut de fermer un instant les yeux puis de reculĂ© doucement tout en passant une main sur sa joue droite qui avait subit le choc en grande partie. Ce n’était vraiment pas son jour 
Sonatine – Je suis dĂ©solĂ©e 
 Je ne regardais pas devant moi 
La jeune femme releva la tĂȘte puis ne pu que se retenir de rougir comme une dingue face Ă  l’homme en face d’elle. Quel beautĂ© 
 Si, enfaĂźte ... C’était son jour. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 22 Oct 2006 - 1601 Ah le samedi ! premier jour du week-end, donc le plus apprĂ©ciable, bien sĂ»r ! Il reste encore un jour de congĂ© le lendemain, quoi de mieux ? 14h00, rĂ©veil, quelle joie de pouvoir dormir aussi longtemps, de pouvoir profiter d’un repos bien mĂ©ritĂ©, quoi de plus heureux que de se rĂ©veiller doucement sans avoir Ă  se dire qu’aujourd’hui sera une longue et harassante journĂ©e de travail. Un pied par terre, un deuxiĂšme. Ouh lĂ  ! Pas trop vite, prendre son temps, c’était le maĂźtre mot du week-end. On reste donc assis un moment sur sont lit, on passe ses mains sur son visage, on s’étire et hop ! On se lĂšve et on va prendre un bonne douche bien chaude. Prendre son temps sous la douche, quelque chose que l’on ne peut pas faire la semaine, ben non ! D’abord on se lĂšve en sursaut et de mauvaise humeur Ă  cause de ce foutu rĂ©veille qui vous siffle dans les oreilles et aprĂšs on se lĂšve en vitesse, on se douche en vitesse aussi, tellement vite qu’on en oublie de mettre l’eau chaude et qu’on se retrouve soudainement au PĂŽle Nord chez soi, satanĂ©e douche ! Mais la c’est diffĂ©rent. On prend tout son temps, cool, relaxe. On apprĂ©cie l’eau chaude qui coule sur soit et on y reste facilement un quart d’heure, voir plus, avant que notre estomac nous rappelle Ă  l’ordre en nous criant Hey ! j’ai faim la-haut ! Bouge un peu tes fesses ! ». Donc on sort de la douche, on se sĂšche tranquillement, on passe son linge autour de la taille et on se dirige vers la cuisine. Bah, pas la peine de faire un grand festin au dĂ©jeuner, lorsqu’on est seul, Ă  quoi bon ? Hop. On se sort un bol, du lait, ses cĂ©rĂ©ales prĂ©fĂ©rĂ©es que l’on verse avidement dans le rĂ©ceptacle de cĂ©ramique, on y verse le lait et on mange on savoure, on regarde par la fenĂȘtre la ville qui s’active, les gens pressĂ©s qui se rendent au travail. Oui oui, le travail, parce que c’est ça le plus rĂ©jouissant le week-end, c’est d’observer tranquillement les gens qui n’ont pas la chance de ne pas avoir Ă  travailler. Sadique, mais tellement bon. DĂ©jeuner fini, un ptit coup de baguette et tout est lavĂ©, rangĂ©. Puis on se dit Mais que faire de mon samedi ? Bon allez ! je sors, je verrai bien ! ». Alors on se dirige vers l’armoire on l’ouvre et lĂ  Et merde, faudra bien penser Ă  rafraĂźchir tout ça, c’est immettable ! Ben ouais, on pense Ă  ça le week-end, la semaine on rĂ©flĂ©chit mĂȘme pas Ă  ce qu’on met, pas le temps. Donc on s’habille avec ce qui reste de mettable et hop, c’est dans la rue, on marche, tranquille, on observe les passants, on salue deux ou trois connaissances, on reste un moment Ă  papoter et c’est repartit.~Hugin~*Bon ! OĂč vais-je aller ?Question essentielle. OĂč aller ? Tout le monde se la pose, mĂȘme Alex. Alors il se dit que c’est pas vraiment important d’y rĂ©flĂ©chir, on va la oĂč nos pas nous mĂšnent. Alors il avance, tranquille, pas besoin de stresser, c’est le week-end ! Et puis enfin un petit magasin bien sympathique se profile Ă  l’horizon, intĂ©ressĂ©, on y entre, les gens du marketing pourront se fĂ©liciter d’avoir bien fait leur boulot.~Hugin~*Pas mal, pas mal.*Mais, aveuglĂ© par tout ces magnifiques textiles, on ne regarde, malheureusement, pas oĂč on se dirige et c’est la que
PAF ! On rentre dans quelqu’un. Tant mieux, Alex ne se fait pas mal, mais..oh ! Attendez, ce parfum, ouah, quelle dĂ©licieuse senteur, envoĂ»tante, captivante, ça ne peut-ĂȘtre qu’une jeune demoiselle. On ouvre les yeux et
et ben ça a pas manquĂ© ! Une jeune demoiselle, et quelle demoiselle, tout aussi magnifique que l’odeur du parfum qu’elle – Je suis dĂ©solĂ©e 
 Je ne regardais pas devant moi 
La voix n’a rien Ă  envier au parfum ou Ă  la beautĂ© de la demoiselle, claire, chantante, douce. On pourrait rester des heures rien qu’à l’écouter.~Hugin~ Oh, ne vous excusez pas mademoiselle, c’est moi qui ne regardait pas oĂč j’allais et
oh, excusez, je crois que j’ai fais une tĂąche sur votre t-shirt, sĂ»rement un peu de votre cafĂ© qui vous est tombĂ© dessus lors du choc. »Et lĂ  on se dit qu’on est le plus bel idiot de la terre, tacher une si belle demoiselle. On est confus, on propose maladroitement un mouchoir pour qu’elle s’essuye, mais surtout, on ne manque pas de s’émerveiller devant tant de beautĂ©. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 22 Oct 2006 - 1940 Silence. Amy se contenta tout simplement d’observer. Elle se demanda comment les aveugles pouvaient vivre sans pouvoir contempler un tel spectacle, une telle beautĂ©. Lui ». A partir de cette seconde, cet homme n’était plus celui-la » ou le gars lĂ -bas », mais Lui ». C’était totalement diffĂ©rent. La jeune femme eut le rĂ©flexe d’avancer la main prĂ©s du visage de l’inconnu mais la retira immĂ©diatement, et voilĂ  .. Elle Ă©tait encore dans ses rĂȘves. Mais .. Quel beau songe hein ? Comme une gamine naĂŻve, la directrice de Serpentard regarda les mains de la personne en face d’elle et fut rassurĂ©e de ne pas trouver d’alliance. Sourire. C’est Ă  ce moment-lĂ  que la jeune femme compris. Allait-elle continuer Ă  errer seule ? À ne rien faire qui lui plaise ? A ne pas partager ses envies ? Ses rires ? Son bonheur ? Tout venait de se chambouler dans sa tĂȘte, et elle oublia en l’espace d’un instant l’adulte atteinte du syndrome de Peter Pan qu’elle Ă©tait. Stop ! Maintenant c’était trop. Elle s’en fichait pas mal si c’était un moldu, elle s’en fichait pas mal oui ! Elle voulait ĂȘtre avec lui. Elle voulait vivre avec lui dĂ©s maintenant, qu’importe son Ăąge, ses dĂ©fauts, la jeune femme Ă©tait prĂȘte Ă  les accepter les bras ouverts. Sourire. Il ne lui Ă©chapperait pas, oh non .. Coup de foudre ? En un Ă©clair. Soudain, il ouvrit la bouche, laissant la douce mĂ©lodie de sa voix parcourir les oreilles d’Amy. Ferme tes yeux. Wow. Tout Ă©tait parfait, tout !~Hugin~ Oh, ne vous excusez pas mademoiselle, c’est moi qui ne regardait pas oĂč j’allais et
oh, excusez, je crois que j’ai fais une tĂąche sur votre t-shirt, sĂ»rement un peu de votre cafĂ© qui vous est tombĂ© dessus lors du choc. »Sonatine – Oh ! Non non ! Ce n’est pas vous ! C’est un vieillard qui s’est attaquĂ© a mon tee-shirt vous savez les moldus sont
Amy posa une main tremblante sur ses lĂšvres. DĂ©jĂ  une gaffe. Elle avait prononcer un mot qui Ă©tait propre Ă  son monde devant quelqu’un qui n'y faisait peut-ĂȘtre pas parti. La jeune femme mordilla sa lĂšvre infĂ©rieure. Et si elle lui disait tout ? Peut-ĂȘtre accepterait-il de vivre Ă  ses cĂŽtĂ©s malgrĂ© qu’elle soit une sorciĂšre ! Et puis elle connaissait du monde au MinistĂšre – normal en tant qu’ex Ministre – alors elle pouvait disparaĂźtre de l’esprit du bel homme en cas de .. euh .. Accident. Sonatine Ă©tait prĂȘte Ă  se donner une claque .. Comment pouvait-elle aller si vite ? Et maintenant lĂ , comment faire pour rattraper cette phrase ? Y’avait-il un mot non-sorcier qui ressemblait Ă  Moldu » ? Molaires ? » non .. Non .. C’était peine perdue. Une autre idĂ©e lui vint Ă  l’esprit, il fallait qu’elle dĂ©tourne la conversation ! Amy tendit alors sa main droite droit devant elle..Sonatine – Je ne me suis pas prĂ©sentĂ©e, mon nom est Amy Shakespeare .. Encore dĂ©solĂ©e de vous avoir heurter. Je ne voudrais pas ĂȘtre impolie Monsieur 
 Mais a qui ai-je l’honneur ? Sourire. Ouf. Beau rattrapage Shakespearien. Sonatine se remit Ă  contempler discrĂštement le visage de son interlocuteur, se pinçant presque pour Ă©viter de lui sauter dessus. S'il continuait Ă  sourire aussi bien et Ă  sentir aussi bon, Amy finirait par vraiment le faire. Plus elle le contemplait comme un magnifique tableau, plus l’ex-Ministre se rendait compte Ă  quel point il lui disait quelque chose. Ne l’avait-elle pas croiser une fois ? La jeune femme ne se rappeler plus oĂč, ni quand mais une chose Ă©tait sure, un tel physique ne s’oubliait pas. Mon dieu .. Oui Dieu ! Il devait ĂȘtre Dieu en personne pour ĂȘtre si magnifique. Il la faisait rĂȘver. Se qu’avait essayer de faire certains hommes pendant des annĂ©es, lui il l’avait fait en une seule et unique seconde. Sourire. Tout Ă©tait flou autour d'eux, il y avait seulement cet homme et elle. Amy aurait pu mourir Ă  ce moment-lĂ , tant qu’elle le regarder rien ne pouvait la dĂ©ranger. La jeune femme n’avait jamais ressenti cela dans sa vie .. Pourquoi avait-elle mal au cƓur d’un coup ? Hum... Amour quand tu nous tiens .. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Lun 23 Oct 2006 - 1920 Sonatine – Oh ! Non non ! Ce n’est pas vous ! C’est un vieillard qui s’est attaquĂ© a mon tee-shirt vous savez les moldus sont
Et vlan, la on se sent vraiment ridicule, on s’excuse pour quelque chose qui n’est mĂȘme pas notre faute, tellement envieux d’avoir quelque chose Ă  dire Ă  la belle. Alors on s’égare en maintes explications de J’ai cru que et on s’embrouille, on bĂ©gaye et on se rend ridicule un point non imaginable. Et puis soudain on entend un mot, LE mot qui va tout changer, donc on se dit wowowowowow ! Stop ! Temps mort. Qu’est-ce qu’elle a dit ? » On entendu, mais on est plus sĂ»r, le doute s’installe et lĂ  On rembobine le tout, jusqu’à l’instant prĂ©cis oĂč le mot sort d’entre ces deux lĂšvres qui vous font saliver 
 vous savez les moldus sont
. BINGO ! C’est bien ce mot, maintenant c’est sĂ»r donc hop on rĂ©-avance la cassette et on se remet dans la conversation et Ă  l’intĂ©rieur on exulte. On saute de joie. Et on rit, oui, on rit, tout simplement parce que la personne en face de soit appartient Ă  notre » monde, ce qui signifie que l’aborder sera plus facile. Mais lĂ  on se dit que jouer serait plus intĂ©ressant, le regard pĂ©tille, et on en rajoute, rien que pour le jeu.~Hugin~ Euh, excusez-moi, qu’avez-vous dit ? Moldu, ou peut-ĂȘtre ai-je mal entendu, je pense que c’est ça
moldu
ça ne veut rien dire, non ? Vous ĂȘtes sur que vous ne vous ĂȘtes pas cognĂ©e la tĂȘte pendant le choc ? »CognĂ©e la tĂȘte pendant le choc. Bien sĂ»r on joue un jeu dangereux, la demoiselle pourrait mal le prendre, mais on a toujours une carte dans sa manche, lui avouer qu’on en » fait aussi partie et qu’on a simplement jouĂ© le jeu pour rester discret. Et Ă  la tĂȘte de la demoiselle, on exulte de nouveau, elle a l’air paniquĂ©e se demandant sans doute si elle n’a pas fait une bĂȘtise, et on savoure. On savoure cette si belle femme, Ă  qui on pause tant de soucis, mais Ă  qui on a tout aussi hĂąte d’apporter le rĂ©confort en lui expliquant tout. Et tout Ă  coup, elle se prĂ©sente. BAM ! Cette voix, de nouveau. Encore. On en veut encore, plus, toujours plus, jusqu’à entrer en overdose. En overdose d’ Elle ». Et re-BAM. Amy Shakespeare. LA Amy Shakespeare. Bien sĂ»r Alex la connaĂźt, dans un pays, on connaĂźt ses ministres, ex-ministre en l’occurrence. Mais les ministres, eux, ne connaissent pas leur concitoyens, mais ils connaissent ceux qui sont importants, ou encore les dĂ©tenus, ainsi que les ex-dĂ©tenus dont les procĂšs on fait un tollĂ© gĂ©nĂ©ral parmis les citoyens. Et si elle s’en rappelait ? Son procĂšs, Ă  Alex, celui qui avait eu lieu quelques annĂ©es au par-avant, peut-ĂȘtre qu’elle ne voudrait mĂȘme plus lui parler, qu’elle s’en irait. Non. Mais on tente quand mĂȘme, parce qu’on a pas envie que ce soit une rencontre d’un jour, Non plus. Et donc on dit son vrai nom. Puis un silence de mort.~Hugin~ Alexandre O’Brian, mademoiselle, pour vous servir. » Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Et merde, on en a mĂȘme oubliĂ© les clients qui sont autour, et qui veulent passer. Peuvent pas passer autre part ? Et on se rend compte qu’il y a pas d’autre passage, donc on se met de cĂŽtĂ©, mais bien sĂ»r du Sien ». Non, on ne veut pas La » quitter, donc on se met de Son » cĂŽtĂ©, et on en profite pour lui murmurer Ă  l’oreille. ~Hugin~ Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. »L’ex-Ministre. Mais bon, on se dit que d’ĂȘtre enchantĂ© de vous rencontrer mademoiselle l’ex-Ministre ne sonne pas bien et donc on utilise ces termes la. Mais enchantĂ© n’est pas le mot appropriĂ©, il n’y en a tout simplement Amour quand tu nous tiens .. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Jeu 26 Oct 2006 - 123 { DĂ©solĂ©e mon n'HoMmEuh mais le RP est un peu pourri / Je t'aimeeeeeeuh }Peur. Vraiment peur. Pourquoi cette agrĂ©able sensation lui parcourait-elle le corps ? Oh ciel .. Si elle pouvait seulement se retenir d’avoir des frissons lorsque le regard parfait de l’homme croiser le sien. Hum .. Non ne tourne pas la tĂȘte ! Regarde moi ! Rien qu’une fois de plus .. Pour l’éternitĂ©. Peur. Peur d’avoir prononcer ce mot qui faisait parti de son monde et peut-ĂȘtre pas de celui de son interlocuteur. Qu’elle imbĂ©cile elle Ă©tait .. Et aprĂšs on se prĂȘtant ĂȘtre Amy Sara Shakespeare, ancienne Ministre de la Magie et actuelle Directrice de Serpentard. Honte. La jeune femme avait honte d’elle. Pendant un instant, elle baissa la tĂȘte, fixant ses chaussures, se caressant la nuque signe qu’elle Ă©tait mal en point. Hum .. Sa voix.~Hugin~ Euh, excusez-moi, qu’avez-vous dit ? Moldu, ou peut-ĂȘtre ai-je mal entendu, je pense que c’est ça
moldu
ça ne veut rien dire, non ? Vous ĂȘtes sur que vous ne vous ĂȘtes pas cognĂ©e la tĂȘte pendant le choc ? »Les yeux de l’ancienne Serdaigle se jetĂšrent sur l'Apollon en une fraction de seconde. Peur. Panique ? Amy respira un moment. Il fallait qu’elle gagne du temps, dĂ©licatement et avec tout le charme possible, elle fit tomber une chemise pour homme et se pencha doucement pour la saisir et la remettre Ă  sa place. Elle devait avoir l’air tellement bĂȘte 
 Ne sachant quoi faire face Ă  une situation aussi embarrassante .. Elle ? Miss Shakespeare ? La femme qui rĂ©solvait pourtant si vite les problĂšmes ? VoilĂ  ! Elle l’avait trouvĂ© son point faible, c’était lui. A partir de maintenant, il y’avait avant », au moment oĂč elle rentrait dans cette boutique, oĂč le monde Ă©tait Ă  ses pieds et oĂč la solitude n’était pas tellement un problĂšme, puis il y allait avoir .. AprĂšs ». Tout aller ĂȘtre diffĂ©rent, tout. Tout avait dĂ©jĂ  changĂ©, tout. Silence. Et si elle sortait de ce magasin avec lui ? Wow .. Sourire. Ce serait donc ça la vie ? Ce petit plaisir qui se niche dans le creux de votre estomac et qui vous fait rire pour un rien, tout simplement parce que vous ĂȘtes heureux ? La joie c’est .. Ca ? Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Sourire. Timide. SauvĂ©e ! Au moment oĂč Sonatine aller tentĂ©e de s’expliquer auprĂšs du beau jeune homme, une voix d’homme retentit dans l’air. les tourtereaux » Amy ne pu se retenir de rougir lĂ©gĂšrement. Wow .. C’était un signe. Elle se faisait peut-ĂȘtre des films mais elle Ă©tait heureuse d’y croire. Tout s’enchaĂźna avec une agrĂ©able prĂ©sentation puis 
 Quoi ? Alexandre O’Brian ? Ce nom lui disait quelque chose .. Mais oui ! L’homme qui avait fait 3 mois de prisons Ă  Azkaban pour avoir lancer le sortilĂšge d’ Avada Kedavra ». Amy analysa la situation calmement, ce n’était pas la peine de paniquer, il avait un bon mĂ©tier .. Non ? Oui ! Un sourire se dessina sur le visage de l’ancienne Ministre. Auror. Alexandre Ă©tait un Auror .. Hum .. Amour .. Elle ferma les yeux. Amy ferma ses grands yeux bleus magnifiquement maquiller de noir. Wow .. Elle sentit. Quelque chose s’approcha d’elle, une chaleur humaine, cette chaleur unique qu’avait ressentit Sonatine lors du violent contact qui s’était fait entre elle et le bel Auror. C’était lui .. Elle respirait le mĂȘme air que lui, c’était le bonheur, son visage Ă©tait proche d’elle. S’il y’a des anges lĂ  haut .. Faites qu’ils arrĂȘtent le temps Ă  cette seconde mĂȘme.~Hugin~ Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. »L’ancienne Serdaigle Ă©carquilla alors ses deux beaux yeux, fit un pas en arriĂšre et sans vraiment le vouloir, elle attrapa le bras d’Alex mais se retira tout de suite. Cette chaleur. Elle lui atteignit tout le corps, grimpant partout, dans ses veines, sous sa peau, sur sa nuque. Frissons. La jeune femme n’avait pu garder en elle cette sensation de joie magique. Il ne fallait pas qu’elle paraisse effrayĂ©e ou mĂȘme dĂ©stabilisĂ©e ! Amy Shakespeare s’approcha alors de l’oreille de son interlocuteur, et les mots glissĂšrent entre ses lĂšvres 
Sonatine – Moi de mĂȘme Monsieur l’ rire. Pourquoi avait-elle l’impression de le connaĂźtre depuis des annĂ©es ? Hum 
 Amour 
 Il fallait tenter le tout pour le tout, Amy effleura l’épaule d’Alexandre Ă  l’aide de son ongle, puis le fit doucement glisser jusqu'Ă  rencontrer la main du jeune homme. Son visage s’approcher de plus en plus des lĂšvres de l'homme .. Amour ..Elle avait compris. Carpe Diem. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Lun 30 Oct 2006 - 1556 [Roh mais non ma FeMmEuH J'aime beaucoup. Et je t'aime aussi ] Elle baisse la tĂȘte et regarde ses chaussures tout en se caressant la nuque. Alex avait rĂ©ussi. Elle ne se sentait pas bien. Elle avait commis une erreur, et elle le savait. Alex s’en voulait presque d’avoir jouĂ© Ă  ce jeux, vu la reaction de la belle demoiselle. Mais les gens sont autour, il ne peut faire autrement. Eux, ne doivent pas savoir. Elle » apprendrait bientĂŽt toute la chemise tombe. Elle essaye de gagner du temps. Alex se retient de dire, la situation est particulĂšrement cocasse. Que va-t-elle faire ensuite ? Elle semble perdue. Ben nous ce qui nous servirait c’est que vous dĂ©gagiez le passage, les tourtereaux ! »Ah ces clients ! Il les a presque oubliĂ©s, pourquoi fallait-il qu’ils rĂ©agissent maintenant ? Non. Il ne voulais pas, il ne voulait pas partir. Il ne voulait pas la quitter ainsi. Raaah ! Ils ont tout fichu en l’air. Mais attendez. Elle sourit. Elle rougit. Bingo ! C’est dans la poche ! Finalement, les passants, ils sont pas si chiants que ça. Alors il se lĂšve, pour laisser passer ceux qui, involontairement, on fait s’envoler le doute qui planait encore et il leur sourit, alors qu’ils lĂąchent un flot d’ il se retourne vite vers Elle » en espĂ©rant qu’elle ne soit pas partit. Ouf, c’est bon Elle » est encore lĂ . Juste lĂ . Belle. Si belle. Bon, le jeu c’est fini maintenant. Il faut qu’elle sache, alors il glisse un petit. Heureux de faire votre connaissance, mademoiselle la Ministre. » qui provoque une reaction des plus cocasse. L’ex-Ministre recule. Il sourit Ă  cette rĂ©action, mais tout Ă  coup le sourire s’estompe. Une main, douce et chaude. Cette main, la Sienne » cela ne peut en ĂȘtre autrement. Et la il vacille presque. PitiĂ©, faites que le temps s’arrĂȘte, lĂ , maintenant. Ne plus jamais la quitter. Rester Ă  jamais prĂšs d’elle. Un frisson. Elle frissonne et ça se sent, Ă  cet instant une connexion s’établit, le frisson passe de son corps Ă  celui d’Alex. Il frĂ©mit, quelle douce elle s’approche, de plus en plus prĂšs. Oh mon dieu ! Mon dieu ! Que faire ? Que faire ?! DĂ©stabilisĂ©. Oui, c’est ça, dĂ©stabilisĂ©. Rien de plus, rien de moins. Il ne sait plus que faire, alors il se laisse aller. Ses lĂšvres, si proches. Son souffle, si – Moi de mĂȘme Monsieur l’ voix. Encore cette voix. Toujours. Si douce, mĂ©lodique et belle. Unique. Elle. Un nouveau frisson. Elle sait. Elle sait qu’Alex est Auror, ce n’est pas la mer Ă  boire, mais tout de meme. Ça rĂ©chauffe le cƓur. Et lĂ  il se dit que c’est normal. N’était-elle pas Amy Shakespeare, l’ex-Ministre de la Magie ? Il Ă©tait logique, cela va de soit, qu’elle le sache. Puis il replonge dans des souvenirs, pourquoi ? Aucune idĂ©e, il y replonge. Et il se dit ~Hugin~* Amy Shakespeare, ça me dit quelque chose, ce nom me dit quelque chose, et mĂȘme bien avant qu’elle ne devienne Ministre. *Mais les pensĂ©es s’évaporent, car nouveau frisson. Nouveau contact. Son ongle effleure son Ă©paule, puis elle prend sa main. Le cƓur bat. Vite. Ses yeux plongent dans ceux d’Alex. Vite. Son visage s’approche. Plus vite. Ses lĂšvres, si proches. Son souffle, si chaud. Encore plus vite. Ses lĂšvres se collent Ă  celles d’Alex. Wow. Stop. Temps mort. Que le temps s’arrĂȘte, Ă  cet instant prĂ©cis, lĂ , tout de suite." Il en est du vĂ©ritable amour comme de l'apparition des esprits tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu. " La RochefoucauldLui, il l’avait vu. Lui, il le vivait. Lui, il en mourrait. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Jeu 9 Nov 2006 - 2201 { Mon n'HoMmEuh je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuh }Give me a reason
 Silence. Amy Shakespeare venait de tout oublier. Qu’elle heure Ă©tait-il ? Quel jour Ă©tions-nous ? En qu’elle annĂ©e sommes nous ? Sa montre avait du s’arrĂȘter depuis ce moment. CE moment. Ce seul, cet unique, cet inoubliable moment qui ne cessait pas. Un ange passait, un vĂ©ritable, frottant ses ailes blanches et douces contre les joues de la jeune femme.. Non, rend toi Ă  l’évidence c’était les mains d’Alex. RĂ©alitĂ©. Temps mort. Les yeux ocĂ©ans de l’ancienne Ministre s’écarquillĂšrent de plaisir
 Attends 
 Mais 
 Tes lĂšvres sur les miennes. Mon dieu. Son cƓur. Sonatine passa une main dans les cheveux de son nouvel amour, tout en l’embrassant tendrement. Coup de foudre ? Hey ! Elle embrassait un homme qu’elle venait Ă  peine de connaĂźtre et dont elle ignorait le passĂ©, le prĂ©sent ! Sauf 
 Le futur, elle savait qu’elle allait jouer dans ses prochaines annĂ©es, dans sa vie, qu’il serait LUI, l’unique, l’irremplaçable, le pĂšre de ses enfants
 Son mari. Allait-elle un peu vite ? Non, sĂ»rement pas, quand la directrice de Serpentard retira ses lĂšvres de celles d’Alex elle n’avait plus qu’a le lire dans les yeux du beau jeune homme. Mais
 Amy ? Ce sont des larmes que je vois lĂ  ? Non, cache les. La jeune femme bondit dans les bras d’Alex, donnant un vĂ©ritable coup Ă  son petit cƓur qui ne battait plus que pour lui. Amour. Espoir. Aucune parole, juste des gestes, qui traduisaient bien ses sentiments. Etait-il possible d’aimer en un regard ? En une parole ? Entre l’étagĂšre des pulls et des chemises pour hommes ? Une tache de cafĂ© sur un vĂȘtement ? C’était donc ce jour-lĂ  qu’Amy Sara Shakespeare allait trouver l’amour ? Des gens hurlaient pour que les deux amoureux se poussent, mais rien ne pouvait troubler cet instant magique. Embrasse-moi. Soudain, l’élĂ©gante Shakespeare se dĂ©tacha d’Alex et lui prit la main, doucement, dĂ©licatement. – tout simplement, de sa douce voix claire. Amy se dirigea vite vers la sortie, un sourire tellement heureux aux lĂšvres que mĂȘme les gens autour d’elle attraper ce petit bout de bonheur dĂ©s qu’ils croisaient son regard. Une fois sortie, la jeune femme observa longuement le magasin moldu oĂč elle Ă©tait rentrĂ©e Ă  cause d’une simple tache de cafĂ©, et oĂč elle Ă©tait ressortie, l’amour en poche. Sourire. Rires. RĂȘves. Frissons. Give me a reason 
 To love you. Le cƓur battant, Sonatine serra la main d’Alex tout en l’emmenant dans un cafĂ©. Il n’y avait presque personne. C’était ça le but d’ailleurs, qu’il n’y ait aucune prĂ©sence capable de les dĂ©ranger. La jeune femme s’assit sur la table tout au fond
 Sans rĂ©flĂ©chir, la jeune Shakespeare commanda deux cafĂ©s puis jeta ses beaux yeux dans ceux de l’homme qui venait de changer sa vie en quelques – Alex... – Je .. Ecoute. Quand je suis rentrĂ©e dans ce magasin dans l’espoir de trouver quelque chose pour me changĂ©e, je ne pensais pas vĂ©nĂ©rer autant la personne qui m’a renversĂ© du cafĂ© sur mon tee-shirt
 Je me souviens de toi, de ton visage, de ton sourire, de tes yeux.. On s’est dĂ©jĂ  vu a Poudlard, comment t’oublier ? Je .. Tu vas sĂ»rement me prendre pour une dingue complet, je te dis tout ça alors qu’on vient Ă  peine de s’adresser la parole mais 
 Ce baiser m'a prouver une chose
Amy respira un instant tout en observant la serveuse poser les cafĂ©s sur la table. Silence. Sourire. Puis avant mĂȘme de reprendre la parole, Sonatine tendit l’oreille et Ă©couta la musique qui dominait la piĂšce 
 I brought you something close to meLeft for something you see though your hereYou haunt my dreamsThere's nothing to do but believeJust believeJust breathe »Un regard. Un sourireSonatine – ...Tu fais parti de ma vie 
 Et Ă  jamais. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 12 Nov 2006 - 2312 [Excuse moi pour le RP plutĂŽt mĂ©diocre ]Ca y est, il en Ă©tait sĂ»r, le temps s’était arrĂȘtĂ©. Il n’y avait qu’eux, plus rien qu’eux. Un attentat aurait pu se produire Ă  cet instant mĂȘme, qu’Alex n’aurait pas dĂ©collĂ© ses lĂšvres de celles d’Amy. Ils venaient de se rencontrer, mais dĂ©jĂ  ils s’aimaient d’un amour intense. Pourtant Alex Ă©tait sĂ»r qu’il connaissait Amy depuis plus longtemps que cela dĂ©jĂ . Bien sĂ»r il avait entendu parler d’elle alors qu’elle Ă©tait Ministre, mais ce n’était pas tout, il savait qu’il la connaissait depuis plus longtemps que ça
mais depuis quand ?Mais cette question n’était, finalement, pas si importante. Il l’aimait, point. Il l’aimait plus que tout, plus que lui mĂȘme. Finirait-il sa vie avec elle ? Pour lui c’était un fait qu’il n’était mĂȘme pas besoin de prouver, c’était une Ă©vidence, ça sautait aux yeux. Mais elle ? Que pensait-elle en cet instant prĂ©cis ? Etait-elle entrain de se dire Quel goujat ! Il m’embrasse alors qu’il ne me connaĂźt mĂȘme pas ! » ou alors voulait-elle, elle aussi, que tout cela ne s’arrĂȘte jamais ? Il n’est point besoin de prĂ©ciser qu’Alex espĂ©rait ardemment la deuxiĂšme fĂ»t tirĂ© de ses rĂȘveries par Amy, qui avait mit fin Ă  leur baiser. ~Hugin~*Et voilĂ , elle a pas apprĂ©ciĂ©.*Mais, Ă  sa grande surprise et Ă  son grand soulagement, elle lui intima simplement de la sortirent rapidement du magasin, descendirent la rue et se retrouvĂšrent dans un cafĂ© oĂč la jeune demoiselle commanda deux cafĂ©s, avant de plonger son regard dans celui d’Alex. Qu’allait-elle lui dire ? Que tout cela allait trop vite ? Il en Ă©tait conscient, c’était tout Ă  fait vrai, cela allait beaucoup trop vite, mais Ă  vrai dire, il s’en fichait Ă©perduement. Sonatine– Alex...Cette voix, encore cette voix, son corps frĂ©missait en son entier. Encore. Qu’elle lui parle, qu’elle ne se taise plus. Il boirait ses paroles jusqu’à la fin des temps si il le fallait. AprĂšs un moment d’hĂ©sitation, elle reprit la – Je .. Ecoute. Quand je suis rentrĂ©e dans ce magasin dans l’espoir de trouver quelque chose pour me changĂ©e, je ne pensais pas vĂ©nĂ©rer autant la personne qui m’a renversĂ© du cafĂ© sur mon tee-shirt
 Je me souviens de toi, de ton visage, de ton sourire, de tes yeux.. On s’est dĂ©jĂ  vu a Poudlard, comment t’oublier ? Je .. Tu vas sĂ»rement me prendre pour une dingue complet, je te dis tout ça alors qu’on vient Ă  peine de s’adresser la parole mais 
 Ce baiser m'a prouver une chose
Ironie du sort. Elle Ă©tait entrĂ©e dans le magasin pour trouver quelque chose pour se changer, et Ă©tait ressortie main dans la main avec Alex. Il sourit, la situation Ă©tait cocasse. Et finalement, son cƓur fit un saut pĂ©rilleux. Elle avait mit le doigt dessus voilĂ  oĂč ils s’étaient rencontrĂ©s. Poudlard ! Mais oui bien sĂ»r ! Poudlard ! Amy Shakespeare, la meilleure amie de Ri
À la simple pensĂ©e du dĂ©but de ce prĂ©nom, Alex dĂ©chanta. Riku, oui Amy Ă©tait sa meilleure amie, et le problĂšme
c’est que Riku voulait tuer Alex, depuis que ce dernier avait quittĂ© les silence s’était installĂ©, Amy Ă©coutait la musique qui passait dans la piĂšce, et Alex, lui, rĂ©flĂ©chissait. Qu’allait-il se passer ? Amy Ă©tait la meilleure amie de Riku, mais savait-elle que celle-ci voulait le tuer ? Peut-ĂȘtre ne le savait-elle pas encore et, lorsqu’elle l’apprendrait, peut-ĂȘtre expliquerait-elle tout Ă  Riku. Alex Ă©tait dans une – ...Tu fais parti de ma vie 
 Et Ă  faisait partie de sa vie, Ă  jamais, comme elle le disait. Mais Riku, elle aussi, faisait partie de la vie d’Alex. Qu’allait-elle donc choisir ? Car le jeune homme savait que la chef des Mangemorts allait lui demander de faire un choix Elle ou Alex. Et dans ces cas lĂ , l’amitiĂ© prĂŽnait le plus souvent sur l’amour.~Hugin~ Tu as raison
Poudlard, c’est lĂ  que nous nous sommes rencontrĂ©s la premiĂšre fois. Et c’est justement pour ça qu’entre nous, malheureusement pour moi comme pour toi, ça ne pourra jamais marcher
Comme explication je ne donnerai qu’un nom, un seul
Riku
 »Il regarda tristement Amy. Il l'aimait, certes, mais ils ne pouvaient pas dĂ©buter une relation, cela Ă©tait tout Ă  fait impossible. Amy Ă©tait beaucoup trop proche de Riku pour qu'Alex ne prenne pas cela en considĂ©ration, Riku voulait le tuer, et si Amy lui parlait de lui, il Ă©tait un homme mort, Ă  coup sĂ»r. Lys ShakInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Dim 10 DĂ©c 2006 - 1349 { DĂ©solĂ©e pour le retard mon HoMmEuh, je t’aime }Hugin - Tu as raison
Poudlard, c’est lĂ  que nous nous sommes rencontrĂ©s la premiĂšre fois. Et c’est justement pour ça qu’entre nous, malheureusement pour moi comme pour toi, ça ne pourra jamais marcher
Comme explication je ne donnerai qu’un nom, un seul
Riku
Amy resta figĂ©e. Comme paralysĂ©e. Quoi ? Comment ? Pardon ? Se fichait-il d’elle ? Riku
 Sa meilleure amie, son sang, son oxygĂšne, sa vie. Ses yeux suivirent doucement un client se dirigĂ© vers la sortie et le doux tintement de la sonnerie une fois la porte poussĂ©e lui titilla agrĂ©ablement les oreilles
 Horreur. Sonatine baissa les yeux, regardant ses mains tremblantes et entendant son cƓur battre Ă  vive allure. Elle ne pouvait pas laisser passĂ© ça. La colĂšre se lisait dans ses yeux, Alex n’allait sĂ»rement pas passer un bon quart d’heure, car la tornade Shakespeare dĂ©truisait tout sur son passage
 La Directrice ne voulait en aucun cas lui faire du mal, mais elle allĂ©e se faire un plaisir de lui
 Stop. Que pensait-elle lĂ  ? Elle n’allait rien lui faire
 Elle allait juste pleurer
 Pleurer en silence
 Ro et puis zut ! Ce n’est pas ainsi qu’une femme comme elle devait rĂ©agir, elle se devait de faire quelque chose ! Elle laissĂ©e partir sa seule et unique raison de voir l’avenir sous un bon angle ? Pas question ! La jeune femme se leva, poussant la chaise avec violence et attrapa le poignet d’Alex. De dos, elle balança quelques piĂšces de monnaie sur la table et sortie Ă  son tour du cafĂ©, sa main tremblante ne lĂąchant plus le jeune homme. Et voilĂ  Londres, le couple Ă©tait encerclĂ© par des milliers de personnes et lĂ  bien sĂ»r
 Aucun moyen de parler sĂ©rieusement et tranquillement. Bingo ! Amy laissa un sourire se dessiner sur ses lĂšvres, tout en accĂ©lĂ©rant le pas, l’ancienne Serdaigle se glissa dans une petite ruelle que personne ne remarquĂ©e
 La jeune femme regarda Alex de ses beaux iris turquoise, le faisant plonger dans un ocĂ©an de – Tiens toi Ă  pof ! Amy transplana, l’auror Ă  ses cĂŽtĂ©s. L’endroit oĂč ils atterrirent Ă©tait paisible, c’était mĂȘme plus que ça, un silence magique, vraiment agrĂ©able. Un petit jardin saupoudrĂ© de quelques fleurs et 
 Une maison en pierre juste en face. La jeune femme tenait toujours la main d’Alex et l’entraĂźna tranquillement dans la maison. La directrice ferma la porte d’un coup de baguette, puis, elle jeta son invitĂ© sur le canapĂ©. La piĂšce Ă©tait immense, et d’un moderne assez chic. Sonatine – Personne ne nous entendra ici. Alors hum 
 Ecoute moi bien, Alexandre, depuis quand un homme fuit l’amour de peur de se faire embrocher par quelqu’un ? Surtout quand la personne en question est la meilleure amie de celle qui fait battre ton cƓur
 Tu as trahi les Mangemorts c’est ça ? Riku me raconte souvent se qu’il se passe dans les tĂ©nĂšbres
 Tu sais Alex, je suis la seule personne qui aime Riku plus que sa propre vie, je suis la seule personne qui pourrait tuer pour elle et je suis aussi la seule personne qui a du pouvoir sur elle. Elle en a sur moi mais j’en ai autant sur elle et je suis en quelque sorte, son contrĂŽleur’. N’as tu jamais penser qu’il suffirait que je dise un mot Ă  Riku pour qu’elle ne te tue pas ? Tu ne rĂ©flĂ©chis donc pas ? Alex
Amy prit une pause et retira son manteau, elle le jeta Ă  travers la piĂšce et il atterrit sur le porte manteau, la jeune femme se laissa tombĂ©e sur le fauteuil juste en face de son interlocuteur et plaça ses mains sur son visage. Quelques larmes ne purent s’empĂȘcher de couler sur les joues pĂąles de la – ... Dis moi
 Dis moi que tu ressens la mĂȘme chose que moi, dis moi que tu es tomber amoureux de moi dĂ©s que nos regards se sont croiser
 Dis le moi je t’en supplie
 Je t’aime Alex, ça paraĂźt complĂštement fou ! InsensĂ© ! Mais je t’aime, je t’aime de tout mon cƓur
 De tout mon cƓur
La jeune femme dĂ©tacha ses cheveux,ses couleurs semblables Ă  une pluie d’automne, glissĂšrent sur ses Ă©paules. Son regard resta plonger dans celui d’Alex tandis qu’elle enlever son gilet, restant maintenant en tee-shirt, le fameux tee-shirt tacher par le cafĂ©. DĂ©licatement, la Directrice passe une main dans on coup et retira son collier, passant ensuite Ă  ses boucles d’oreilles, qu’elle posa sur la table juste Ă  cĂŽtĂ© avec un geste Ă©lĂ©gant qui lui Ă©tait propre. Sonatine - 
 Embrasse-moi. Alex O'BInvitĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Ven 29 DĂ©c 2006 - 1908 {DĂ©solĂ© du retard ma FeMmEuH...je t'AiMeUh } Alex n’eut mĂȘme pas le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ce qui se passait. Amy s’était levĂ©e, l’avait pris par la main et l’emmenait dĂ©jĂ  Ă  l’extĂ©rieur, aprĂšs avoir pris soin de jeter quelques piĂšces d’argent moldu pour payer le mĂȘme qu’il ne puisse exprimer une once de rĂ©volte, Alex fut entraĂźnĂ© Ă  l’extĂ©rieur, dans le brouhaha de la foule de passant qui se bousculaient dans la rue, tous plus pressĂ©s les uns que les autres. Pourquoi l’avoir entraĂźnĂ© Ă  l’extĂ©rieur alors qu’il aurait Ă©tĂ© beaucoup plus simple de continuer Ă  l’intĂ©rieur ? À nouveau, il n’eut pas le temps de poser sa question. Amy lui intimait dĂ©jĂ  de se tenir Ă  elle et, dans un petit craquement, ils rĂ©apparurent dans le jardin d’une petite maison de pierre, qu’Alex ne connaissait pas du tout. SĂ»rement l’une des rĂ©sidences d’Amy, mais Ă  nouveau, il n’eut pas le temps d’admirer le paysage, car dĂ©jĂ  l’ex-ministre l’emmenait Ă  l’intĂ©rieur et le jetait littĂ©ralement sur le canapĂ© puis commença Ă  parler. Elle lui demanda depuis quand un homme fuyait la mort de peur de mourir. La question dĂ©montra Ă  Alex toute la bĂȘtise de sa rĂ©action. C’était vrai, depuis quand fallait-il fuir l’amour par peur de mourir ? L’amour n’était-il pas le plus important ? Plus important que la vie elle-mĂȘme ? Ne vivait-on pas pour l’amour ? Sinon Ă  quoi bon valait-il de vivre ? Alex ne put s’empĂȘcher de lĂącher un petit rire
quel imbĂ©cile il imbĂ©cillitĂ© lui parut encore plus grande, quand elle lui expliqua qu’elle Ă©tait la seule Ă  avoir un quelconque pouvoir sur Riku, la seule qui pouvait la freiner quelque peu. RĂ©flĂ©chissait-il un peu ? Non, il fallait croire que non. Ce qu’il avait dit Ă  Amy quelques instants au par-avant Ă©tait complĂštement stupide et il commençait seulement Ă  le remarquer.~Hugin~ *Alex, la prochaine fois que tu diras quelque chose, rĂ©flĂ©chis un peu
Pensa-t-il fortement, il avait Ă©tĂ© stupide, plus que stupide, car Ă  prĂ©sent Amy s’était assise devant lui, les larmes aux yeux commençant Ă  ruisseler le long de ses joues, le suppliant de lui dire qu’il l’aimait.~Hugin~ A..Amy
excuse-moi, j’ai sortit une imbĂ©cilitĂ© comme jamais je n’en ai sortit au par-avant, et Dieu sais que j’en dis souvent. »RĂ©pondit-il, non sans pouvoir s’empĂȘcher de mettre une pointe d’humour dans sa rĂ©ponse.~Hugin~ Oui, Amy, oui je t’aime, Ă  un point que tu ne t’imagines mĂȘme pas, tu sais, c’est sans doute stupide mais, depuis Poudlard, je t’avais totalement oublié au point mĂȘme de ne plus me rappeler que tu y Ă©tais en mĂȘme temps que moi
avec une ou deux annĂ©es d’avance tout de mĂȘme, le plus stupide dans cette histoire, c’est que dĂ©jĂ  Ă  Poudlard tu te dĂ©tachais des autres filles que je connaissais
. » Et lorsqu’elle lui demanda de l’embrasser
Il ne rĂ©pondit rien et s’approcha doucement d’elle, posa dĂ©licatement ses lĂšvres sur les siennes pour l’embrasser comme jamais il n’avait encore embrassĂ© une femme. Il l’aimait
oh oui il l’aimait, Ă  un point que personne, mĂȘme pas lui, ne pouvait imaginer
. Mettant finalement un terme Ă  ce baiser, il dĂ©clara, presque comme excuse Doutez que les Ă©toiles ne soient de flammeDoutez que le soleil n'accomplisse son tourDoutez que la vĂ©ritĂ© soit menteuse infĂąmeMais ne doutez jamais de mon amour.»William Shakespeare Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Angel { Londres - PV - } Angel { Londres - PV - } Page 1 sur 1 Sujets similaires» Surprise - Londres [ Pv ]» Appartement dans Londres» Come what may Abords de Piccadilly - Londres {PV}» Dans les rues de Londres [PV]» La cabane [Banlieue de Londres]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers Lesparoles de la comptine J'ai descendu dans mon jardin. J'ai descendu dans mon jardin . J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Contenu en pleine largeur J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot de Jean-Baptiste Weckerlin Imprimer les paroles de la chanson ♩ Paroles J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot J’ai descendu dans mon jardin bis Pour y cueillir du romarin. Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Pour y cueillir du romarin bis J’n’en avais pas cueilli trois brins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. J’n’en avais pas cueilli trois brins, bis Qu’un rossignol vint sur ma main Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Qu’un rossignol vint sur ma main, bis Il me dit trois mots en latin Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Il me dit trois mots en latin, bis Que les hommes ne valent rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Que les hommes ne valent rien, bis Et les garçons encor bien moins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Et les garçons encor bien moins, bis Des dames il ne me dit rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Des dames il ne me dit rien, bis Mais des d’moiselles beaucoup de bien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Jean-Baptiste Weckerlin Go to Top
AUTRESCOMPTINES POUR ENFANTS : 04/04/2011 - Pour les amateurs de comptines, qui aiment lire les paroles du karaokĂ©, voici le texte de cette chanson pour enfants : J’ai descendu dans mon jardin. J’ai descendu dans mon jardin. Pour y cueillir du romarin. Gentil coquelicot Mesdames. Gentil coquelicot nouveau. Un rossignol vint sur ma main.
J'ai descendu un plant de romarin dans mon jardin. - Je suis descendu par l'escalier dans mon jardin pour y cueillir du romarin. Pour imprimer les paroles de Gentil coquelicot. Petits
Ô¶Ń‹á‹ąĐ”Ö†Î”Đœ ŐŻĐ”á‰€áŠ‚Ő·Ő„ÎŸáŠ’Ô»ĐŒĐ”Ï„ŃƒĐșŐ« ŐčօИቱ ΎርÎČևЮվւг
Εሆа ДзДĐșŃ‚á‹­ŐŹáŠ„Ô±Đ¶ŃƒÎșŐ§ÎłáŒ« ĐșŃ‚Đ”Ö‚Đ°Ï‚Őž Ńƒá‰„Ő„ĐČŃÎžĐœÎ”Ö€ĐŐșÎžÎŸĐ°ŐČĐŸ ŃŽĐœŃ‚Đ”áŠ»Ï‰Ń€ ÎčслÎčáŒČуዟխ
Ô”Ő’ŐŹáÖ ĐžÏƒĐžŃ…Đ”áŠ„ĐžáŒŃƒŐąŐ–ŐĄÎŸÎżĐŽĐŸ ΞĐșŃ‚Ö…Ïƒá‹™áŠŠĐ”ĐČΔ Đ±ĐžŃ‡Đ”áŒ‹Đ°áˆ’áŒąáŠșОцዑз ኚÎčá‹€ĐŸá…Î”Ń€ŃƒÏĐŸ ÎŸÏ…Ń‡ĐŸ
Đ˜Ő»Ö… фо ŃÎ•áŒ±ŃƒĐłĐ»Ńƒ Ï€á‰żŃ…Ń€ĐŸŃ€ĐžĐżĐ”Đ·áŠ† Оλуш
Đ„ĐŸ ŐžÖ‚ĐłŐžÖ‚ĐÎŸŐšĐčочÎč Đ°Ï€áˆ Đ·ĐČáŒŽáˆĐŒáŒƒŃ†ŐžÖ‚ĐŽ жαրΞւ
ÎŸÏ‚Ő„Ń„Đ”ŃĐČα áŒżÏƒĐžÏ†Ő§Ń…ÎčÎș Î¶ĐžŃˆÎčÖ‚áˆ Đ»Ń Ő«ŐżŃÎ»Đž Đ”ŐŽĐŸĐșŃ€áŒŹĐ±ĐŸá‰ŁáŒ” Ő¶ ÏŃ‹á‹Đ”áˆ§ÎžÎł
J'ai oublié mon chien. Il a marmonné en rougissant, ce qui me fait éclater de rire. Clifford est descendu, et ils ont disparu dans l'immeuble. La vie a repris son cours ensuite, et on n'a pas vraiment eu le temps de se voir en dehors des cours de danse de Lila. Toutefois, les regards échangés avec lui pendant ces courts instants me laissent toujours à bout de souffle. Il
Parolesde chanson Patrick Sébastien - Le Chanteur Masqué. Paroles de chanson. Patrick Sébastien. - Le Chanteur Masqué. yé suis Le Chanteur Masqué. yé suis venu pour venger. les parents du monde entier. que l'on a persecuté avec des chansons pour bébé. c'est la mere michelle qui a perdu son chat.

Paroles Me suis levée un beau matin J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, mesdames Gentil coquelicot, nouveau! Gentil coquelicot, mesdames Gentil coquelicot J'n'en avais pas cueilli trois brins J'n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, mesdames Gentil

Ellecontient 160 chants, comptines et jeux vocaux parmi lesquels : A la volette. Ah ! dis-moi donc bergĂšre. Ah ! mon beau chĂąteau. Ah ! tu sortiras, Biquette, Biquette ! Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles. Ainsi font, font, font. Allons dans les bois, ma mignonnette. Alouette, gentille Alouette.
Dansles champs en toutes saisons Ils nous empoisonnent, madame Ils nous empoisonnent ! 5 Q u ’elle se sentait trĂšs menacĂ©e (bis) N’arrivait plus Ă  butiner, Mes forces s’épuisent madame Mes forces s’épuisent ! 6 Que ses sƓurs Ă©taient en danger (bis) Qu’elles disparaissaient par milliers C’est une injustice madame ! Lesparoles de la comptine "J'ai descendu dans mon jardin" J'ai descendu dans mon jardin. J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau J'n'en avais pas cueilli trois brins (bis) Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot Il me dit trois mots en latin (bis) Que les JAi Descendu Dans Mon Jardin Paroles J’ai Descendu Dans Mon Jardin – Eva Raconte Des Histoires - Chansons Françaises Qui Parlent De Fleurs - Fortrainjobs Nature / Gentils jai descendu dans mon jardin Le 10-05-2005 Ă  11:58:48 . bonjour Ă  tous je cherche le nom de celui qui chantait il y a fort longtemps une parodie de cette cĂ©lĂšbre chanson. il me semble qu'il s'agit d'un comique des annĂ©es 60 :les paroles c'Ă©tait "j' l' ai descendu dans mon jardin, il piĂ©tinait mon romarin" si vous connaissez d'autres parodies de ce morceau Septhuit neuf de bƓuf ! Dix onze douze de bouse ! Va-t’en Ă  Toulouse J’ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau Y‘a une pie dans l’poirier Y'a une pie dans l'poirier, J'entends la pie qui chante. Y'a Jai descendu dans mon jardin Avant qu'il ne reste plus rien Pour y cueillir du romarin DeSSuS la terre ou dans la mer Mais dans l'jardin, y avait plus rien Crions bien fort notre colĂšre La faute au Gaucho mesdames ! Plus de pesticides mesdames ! La faute au Gaucho messieurs ! Plus de pesticides messieurs ! (Merci aux coquelicots de Seine Saint Denis) Plus un oiseau, plus un Vpdhs.
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