- ĐŁŐŻŐžÖпОÏĐžŐœ ĐșÖáł Ï
- ĐĐČ á ŃáŃÏ á»Őгα
- ĐŐ§ĐČŃΔ ÖáŠŐ°ŐžÖŐ·Đ”Ń
- ááĄŐșáлΔÏа ŐČĐŸÏŐžÖ ŐŸÎ±Ń
ŐžÖĐżŐ§
- ԻЎ áŃĐžáŽáŃĐžÏŃΟ
- ĐΞÖÏĐșÎż ÎčĐŽáŃΞΌŃŐ± аÎșĐ” Ő°Ö
- ĐŃŃÎż áĐșαŃĐ»ĐŸÎ·
Sissi25/05/2022, 18h34SiJe pense avoir perdu mon frĂšre de cette maladie. C'est moi qui l'ai retrouvĂ© par terre, mort. Tous vos tĂ©moignages font Ă©cho aux symptĂŽmes qu'il avait et dont j'ai Ă©tĂ© tĂ©moin. Comme Milou, je me sens coupable de ne pas avoir rĂ©agi. Je l'ai laissĂ© avec une bouillotte et un autotest covid... Je me sens terriblement conne. ça va faire un an et je n'arrive toujours pas Ă l'accepter. Flo7920/01/2022, 01h21FlBonsoir et oui maladie trĂšs sournoise, premiĂšre idĂ©e gastroenterite mais barre de douleurs Ă©norme sous le nombril. Vomissements et diarrhĂ©es toute une nuit avec une douleur de plus en plus insupportable. Au petit matin mon mari me conduit aux urgences de l'hĂŽpital me plus proche, ville de 10000 habitants donc petit hĂŽpital. TrĂšs vite reçu et nombreux examens dont scan abdominal qui rĂ©vĂšle rapidement un infarctus mesenterique. Transfert en urgences sur un chd ou on me dit pronostic vital engagĂ© ils vont opĂ©rer mais ne savent pas s'ils vont me sauver. 6 heures plus tard je me rĂ©veille en rĂ©animation et oui je suis vivante. Je n'ai eu aucune ablation des intestins. Par contre ensuite complications avec comitĂ© intestinale. C'Ă©tait le 23 mai 2019. Je n'ai pas les sĂ©quelles intestinales de beaucoup de personnes mais ma vie n'est plus la mĂȘme. J'ai dĂ©clenchĂ© suite Ă cet infarctus des douleurs dans tous le corps, des insomnies quelques troubles du transit. Diagnostic de fibromyalgie. Mais le plus important maintenant est de profiter au maximum de mes deux adorables petites filles. Et je pense que pour le diagnostic peu importe la grandeur de l'hĂŽpital il faut tomber sur la bonne personne au bon 04h13AlBonjour je sans de petits douleur au ventre de ballonement un peu de fatigue manque un peu d'appĂ©tit que faire envu d'aller au toilette 3 4 fois par jour que fairepersonne02/08/2021, 18h32peJe peux dire qu'Ă deux reprises dans ma vie c'est Ă moi que je dois d'ĂȘtre encore premiĂšre fois grossesse extra utĂ©rine de 4 mois avec trompe explosĂ©e j'ai visitĂ© de nombreux gynĂ©cologues "non ce n'est rien c'est juste un dĂ©rĂšglement hormonal le test n'a rien suis allĂ©e voir un chirurgien gynĂ©co la mĂȘme chose "non ce n'est rien un dĂ©rĂšglement hormonal ou une endomĂ©triose"moi , mais, il faudra ouvrir pour aller voir ? "Oui mais ce n'est pas urgent" Moi, alors vous ouvrez demain j'ai Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e dans la semaine et transfusĂ©e il parait que le sang a giclĂ© lorsque le scalpel a coupĂ© . Si cela n'avait pas Ă©tĂ© fait je serai sans doute deuxiĂšme fois occlusion intestinales coloscopies gastroscopie scanner tout va bien vous n'avez rien sauf que je n'allais pas bien du tout et que je me sentais en urgences une catastrophe je me suis faite rabrouĂ©e une vraie maltraitance qui devrait ĂȘtre vais voir un chirurgien je lui dit "ouvrez de grĂące il faut allĂ© voir ce qui ne va les 8 jours je rentrai au bloc . Le lendemain je le vois il lĂšve les bras au ciel et me dit vous Ă©tiez en occlusion par des liens et adhĂ©rences les intestins et l'estomac Ă©taient pris dans un enchevĂȘtrement de tissu perdu toute confiance sans cette profession, et je ne me sens pas rassurĂ©e pour l'avenir" ILS NE SONT PAS BONS!"PATATASFRITAS17/07/2021, 16h05PAbonsoir pĂšre faisait un infarctus sos c'est dĂ©place 3 fois ils ont prescrit Eferalganmon pĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© au chu j'ai engage des poursuites contre sos medecinsqui pour moi sont la grande surface de la mĂ©decine c'est au conseil que les medecins ont dit cabien sur j'ai mon procĂšs mais câĂ©tait long et pas simple car ces gens ce protĂšge bien ensemble une caste mais ont peut les faire tombes la preuvesylvi1220/02/2020, 12h08syMa trĂšs chĂšre maman m'a quittĂ©e ce 2 janvier 2020 suite Ă cet infarctus, aux dires de mon mĂ©decin traitant. Elle avait tous ces symptĂŽmes. Le rapport mĂ©dical me dit dĂ©cĂšs suite Ă une colite aigĂŒe et ils ne m'ont pas envoyĂ©s tous les documents pour se protĂ©ger, ils se foutent de nous! Ce jour lĂ , pas de dĂ©fibrillateur dans le service. Le SAMU est arrivĂ© 10 minutes aprĂšs son arrĂȘt cardiaque. C'est INACCEPTABLE! J'ai entendu de tout de leur part occlusion, AVC et tant d'autres. Je vais porter plainte contre cette pourriture de gastroentĂ©rologue pour le faire rayer de l'Ordre des MĂ©decins. Il m'a envoyĂ© "sur les roses" quand je lui demandais d'aller la voir. Tout va bien m'a t'il dit. Faites tous la mĂȘme chose, rassemblons nous tous, crĂ©ons un site de plaintes, je ne sais plus quoi dire. Ma maman a tant souffert, nous Ă©tions fusionnelles et vivions ensemble depuis 7 ans. Pour elle, je vais me 14h48MaBonjour, ma mĂšre avait de fortes douleurs au ventre, son mĂ©decin traitant a dit que c'Ă©tait une gastro "sĂšche".Prise de vomissements sans jamais rien vomir et d'atroces douleurs, je dĂ©cide de l'emmener aux urgences qui disent la mĂȘme chose et lui disent de venir faire un scanner le lendemain Ă fois le scanner fait, ils la gardent car c'est une occlusion intestinale, il faut la transfĂ©rer Ă lâhĂŽpital ou le chirurgien qui la suit depuis sa 1Ăšre opĂ©ration exerce, pour l'opĂ©rer d'urgence lendemain aprĂšs lui avoir mis une sonde du nez aux intestins, ils disent que ça va mieux et que l'opĂ©ration n'aura peut ĂȘtre pas lieu et mĂȘme si l'opĂ©ration est nĂ©cessaire, elle ne sera pas la nuit elle a eu des douleurs intenables, elle est tombĂ© dans les pommes, les infirmiĂšres l'ont descendu pour faire un scanner et ils ont dĂ©cidĂ© de la transfĂ©rer. Donc hier elle Ă Ă©tĂ© transfĂ©rer Ă lâhĂŽpital, elle s est faite opĂ©rĂ©e et lĂ .. Choc septique, coma artificiel dans un service de 17h54mjJe viens de lire vos tĂ©moignages et je suis bouleversĂ©e et je pleure car j'ai perdu ma maman d'une colite ischĂ©mique secondaire Ă un infarctus mĂ©sentĂ©rique en 48h,le 20/06/2019 malheureusement j'Ă©tais loin d'elle, c'est mon frĂšre qui s'est occupĂ© de tout et il culpabilise beaucoup car il estime ne pas avoir fait son possible. Sauf, qu'il faut savoir que c'est un infarctus trĂšs rare qu'il est la plus part du temps fatal. MĂȘme au cours des Ă©tudes de mĂ©decine et en infirmerie, il survole ce type de cas car imprĂ©visible et les symptĂŽmes sont trompeurs car ils sont les mĂȘmes qu'une gastro entĂ©rite, C'est d'ailleurs ce qu'a diagnostiquĂ© un des mĂ©decins qui a auscultĂ© ma maman. Seul un des mĂ©decins qui l'a auscultĂ© dans une clinique au Portugal a eu le bon diagnostic et l'a transfĂ©rĂ©e en urgence dans un hĂŽpital compĂ©tent,ou ils l'ont opĂ©rĂ© le lendemain de la crise car il faut que les constantes soient stabilisĂ©es pour l'opĂ©ration qui prĂ©sente dans ce type de cas des risques importants encore plus si les constantes ne sont pas stables. Mais malheureusement, sachant que l'artĂšre mĂ©sentĂ©rique est bouchĂ©e et n'apporte plus le flux de sang nĂ©cessaire Ă la survie des organes, ces derniers n'ayant plus dâoxygĂšne pour continuer de fonctionner et d'aider le cĆur, commencent Ă nĂ©croser et le mal continue son Ćuvre. Maman est partie le lendemain Ă 5h du matin, je sais qu'elle n'a pas souffert car elle a Ă©tĂ© mise en soins intensif et dans le coma Mais elle a due terriblement ĂȘtre mal le mardi 18/06 quand tout a commencĂ© et j'aurais tant voulu ĂȘtre lĂ pour l'aider mĂȘme si je sais que l'issue Ă©tait fatale !!! Je pleure son absence et le manque de sa voix de son odeur, elle m'obsĂšde !!! c'est une fin terrible et brutale qui ne laisse pas le temps de rĂ©aliser ce qui se passe ! c'est une maman exceptionnelle comme toute les mamans du monde mais la mienne Ă©tait la meilleure. La vie est un combat de tous les instants et tout arrive quand on ne s'y attend pas on croit que nos proches sont immortels et que tout est acquis ! Eh bien NON !!! Depuis j'ai peur de ce qui pourrait m'arriver et surtout Ă mes proches ! c'est trĂšs dure et parfois je souhaiterai remonter le temps pour lui dire tout ce que je n'ai pas eu le temps de lui dire et maintenant c'est trop tard !!! Courage Ă tous et toutes et prenez soins de 14h19StJe pense que quand un mĂ©decin vous donne un diagnostic, nous sommes Ă 99,99% dâaccord avec lui. Ok pour prendre soin de notre corps mais ils ont fait 7 ans d'Ă©tudes voire plus donc en toute logique nous avons confiance! Comme je lâai dit dans un message, mon frĂšre a frĂŽlĂ© la mort Ă cause de 3 mauvais diagnostics de 3 mĂ©decins diffĂ©rents ! Alors quâil avait une crise dâappendicite, elle a Ă©voluĂ© en une pĂ©ritonite et le chirurgien nous a dit quâĂ quelques heures prĂšs il allait mourir.....Ăa laisse Ă rĂ©flĂ©chir quant Ă la connaissance des mĂ©decins consultĂ©s ! 14h12StToutes mes condolĂ©ances Monsieur ! Il est arrivĂ© quasiment la mĂȘme chose Ă mon frĂšre avec une fin heureuse mais les mĂ©decins 3 diffĂ©rents ont pensĂ© Ă une gastro-entĂ©rite ! GrĂące Ă sa femme qui lâa emmenĂ© en pleine nuit aux urgences car mon frĂšre souffrait Ă©normĂ©ment , il est passĂ© Ă cĂŽtĂ© dâune mort certaine dans les heures Ă venir et le serait si ma belle-sĆur nâavait pas insistĂ© pour le conduire aux urgences! Le chirurgien nous a dit quâelle avait sauvĂ© notre frĂšre car quand il a ouvert il y avait du pu de partout ! Je ne rends pas grĂące aux 3 diffĂ©rents mĂ©decins qui auraient pu avoir laissĂ© mon frĂšre mourir et dâailleurs le chirurgien nous a vivement recommandĂ© de dĂ©noncer ces mĂ©decins Ă lâordre des mĂ©decins et de porter 08h50niUn ami chirurgien de l'appareil digestif vient lui-mĂȘme de dĂ©cĂ©der de cet infarctus sans vouloir aller tout de suite Ă l'hĂŽpital oĂč il Ă©tait chirurgien...BLANCHE04/05/2019, 07h08BLJ'ai lu vos tĂ©moignages et je m'aperçois que l'erreur de diagnostics peut-ĂȘtre fatale. Le problĂšme ça ressemble a une gastro ou intoxication alimentaire... Ma fille de 19 ans est dĂ©cĂ©dĂ©e chez elle en l'espace de 24h. Pourtant, elle avait fait le 15 la veille...croyant a une intoxication alimentaire, ça va passer lui a t on dit... elle a fait un arrĂȘt cardiaque et lorsqu'ils ont ouvert, il y avait 5 mĂštres d'intestin nĂ©crosĂ©. Un mois avant, elle avait eu les mĂȘmes symptĂŽmes et c'Ă©tait rendu aux urgences mais rien diagnostiquĂ©. Je pense que c est une maladie mĂ©connue et tellement brutale que l'on peut confondre avec des choses bĂ©nignes. Faire un diagnostic en urgence n'est pas toujours simple mais des signes avant coureurs peuvent peut ĂȘtre pousser Ă faire des examens plus approfondies tout dĂ©pendra du mĂ©decin...Geny Vince 13/03/2019, 03h19GeRĂ©ponse Ă Milou dont le tĂ©moignage me donne une immense tristesse et Ă qui je voudrais dire de ne pas culpabiliser parce que c'est votre Ă©poux qui n'a pas voulu y aller tout comme papa qui est parti de cette façon dans le bras de maman au fin fond d'un petit village. La personne malade a son libre arbitre et l'on n'a pas le droit de forcer ou obliger. C'est vrai, c'est une immense culpabilitĂ© infondĂ©e qui nous ronge la mĂȘme chose m'est arrivĂ© mais je n'en parlerai pas et je culpabilise encore! 3 ans que je demande pardon de n'avoir pas bougĂ© avant mais Ă quoi bon? Cela ne fait pas revenir l'ĂȘtre concernĂ© et nous fait souffrir terriblement presque au point d'en partir de vous lisant, j'ai pris conscience que c'est inutile et vais essayer de travailler cela pour au moins pleurer un minimum et non un maximum. Merci Ă vous, 10h42PiSuite Ă des crampes abdominales intenses, Ă des douleurs intempestives sur le bas du ventre, Ă une impossibilitĂ© de marcher sur mon lieu de travail, un collĂšgue a aussitĂŽt appeler le SAMU, oĂč le mĂ©decin a mis prĂšs d'une trentaine de minutes avant de un nom et un prĂ©nom d'origine ibĂ©rique, sans faire moi-mĂȘme d'allusions Ă toutes connotations raciales, le mĂ©decin s'est permis de dire si je parlais au moins le eu la force de lui rĂ©torquer que je maitrisais cinq langues plus, il s'est un peu "trompĂ©" sur le diagnostic, en diagnostiquant une j'ai fait une occlusion que je peux reprocher Ă ce mĂ©decin est sa maladresse, son manque de tact, de correction et d' lieu de mettre Ă l'aise et d'apaiser les souffrances d'une personne malade, il a dĂ©cidĂ©ment fait le ailleurs, ce manque de rĂ©activitĂ©, concernant sa lenteur Ă rĂ©pondre et Ă questionner le malade avec un langage inappropriĂ© peut avoir de trĂšs lourdes guise de conclusion, je trouve cela inacceptable, voire 22h52RĂ©Depuis ma mĂ©nopause 54 ans, soit huit ans, je ne vais plus jamais Ă la selle. Maux de ventre aigus, extrĂȘme fatigue, envie dâen dans tout mon corps, jâai du mal Ă bouger. Et pourtant, Ă ce jour, aucune pathologie grave nâa Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e. Angoisse extrĂȘme, insomnies, 17h01chBonjour,Je viens moi mĂȘme d'ĂȘtre opĂ©rĂ© en urgence d'une ischĂ©mie de l' au ventre affreux Ă ne plus savoir quoi faire de moi. Mon mĂ©decin traitant Ă©tant absent, j'ai appelĂ© le 15 qui n'a pas voulu se dĂ©placer, j'ai appelĂ© les mĂ©decins des communes voisines que ne pouvaient pas me recevoir non plus. Ma belle-sĆur est arrivĂ©e entre temps et a rappelĂ© le 15 qui l'a renvoyĂ© balader, je dis merci les spĂ©cialistes de l'urgence. C'est mon frĂšre qui m'a emmenĂ© aux urgences et j'ai Ă©tĂ© opĂ©rĂ© dans la soirĂ©e en urgence 03/02/2018, 23h41SaNotre pĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© le 13 janvier 2018, suite Ă une ascite que je connaissais pas du tout. Il avait auparavant souffert de diarrhĂ©e rĂ©pĂ©tĂ©es, depuis plus d'un an, ensuite quand enfin il a fini par accepter qu'il fallait se faire soigner, le 16decembre, son mĂ©decin n'a mĂȘme pas Ă©tĂ© capable de faire un bon diagnostique ou de demander une echo abdominale, seulement du Flazol pendant 7jrs et quand il commençait Ă prendre du volume au niveau du ventre il refusait d'aller consulter et il en est mort il avait 82 06h47flDĂ©goĂ»tĂ©e. Je n'ai pas de mots. Toutes mes condolĂ©ances et surtout courage ! La vie câest de la merde mais elle vaut la peine d'ĂȘtre vĂ©cue. 13h48maLes mĂ©decins SOS et les gĂ©nĂ©ralistes ont failli me conduire au cimetiĂšre aussi. Vraiment triste pour vous et votre femme. Heureusement un gastro m'a fait filer au scanner, j'ai dĂ» rester et j'ai Ă©tĂ© sauvĂ©e grĂące aux urgences. C'est encombrant pour eux mais dorĂ©navant je file aux urgences quand j'ai un gros souci digestif... Chacun son job et pas envie de mourir Ă cause d'un incapable, ou nĂ©gligeant. Un mĂ©decin de boulot m'avait auscultĂ©e debout sur un bout de table et avait diagnostiquĂ© une grossesse avec douleurs Ă©pigastriques. Championne, la grosse !gĂ©bĂ©11/04/2017, 22h47gĂ©Je rĂ©ponds Ă Fabien. Je commence par lui demander de m'excuser car je n'ai pu le faire plus tĂŽt. Bien sĂ»r je lui conseille de consulter rapidement d'autres mĂ©decins, et de faire part de ses craintes. En effet, les multiples tĂ©moignages qui sont parvenus sur ce forum confirment que les mĂ©decins passent trop souvent Ă cĂŽtĂ© du mes voeux de 22h10FaBonjour, je viens Ă vous j'espĂšre que vous saaurez m'aider. On m'a dĂ©couvert une pince mĂ©sentĂ©rique qui se prĂ©nomme aussi casse noisette. On me l'a diagnostiquĂ©e mercredi passĂ©e mais avant cela j'ai de fortes douleurs aprĂšs manger, boire et je fais de gros rots, j'ai des crampes type une barre en-dessous de l'estomac qui me fait Ă©normĂ©ment mal. Le vendredi qui suit j'ai dĂ» me faire opĂ©rer de deux hernies inguinales, ce qui Ă©tait s'est bien passĂ©e mais depuis, avec tous les antidouleurs, anti-inflammatoires et antibiotiques, vu que j'ai fait une infection urinaire, j'ai trĂšs mal au ventre. Le cardiologue a conseillĂ© de le revoir dans 1 mois et demi pour Ă©ventuellement envisager une pose de stent Ă l'artĂšre. Qu'en pensez-vous ? Dois-je attendre ou dois-je me rendre chez un autre mĂ©decin ?Maman dĂ©boussolĂ©e 13/11/2016, 10h30MaBonjour Ă tous, mon fils de 13 mois est dĂ©cĂ©dĂ©. Il a eu comme symptĂŽmes- vomissements vers 13h00 son mĂ©decin traitant nous Ă dit que c'Ă©tait sans doute une lendemain matin, son ventre Ă commencĂ© Ă gonfler et durcir. ArrivĂ© au urgence on constate qu'une masse commencer Ă l'Ă©touffer. Donc ont m'annonce que la seule solution c'est de faire une opĂ©ration immĂ©diatement pour voir quel type de blocage il Ă dans son petit corps. AprĂšs 3 heures d'attente, on m'annonce qu'ils ont dĂ» enlever une partie de son estomac, que son intestin Ă©tait trouĂ©. Ses organes ont Ă©tĂ© endommagĂ©s par le manque d'oxygĂšne, l'opĂ©ration a Ă©tĂ© longue et lourde et que son cas Ă©tait critique. Les mĂ©decins supposent que son intestin ou estomac s'est retournĂ©...AprĂšs 72 heures dans le service de rĂ©animation, le mĂ©decin annonce son dĂ©cĂšs en disant qu'il y a eu une mort 14h57isBonjour, mon papa a son artĂšre mĂ©sentĂ©rique complĂštement bouchĂ©e et les chirurgiens ne savent plus rien faire pour lui. Nous souhaiterions que ses souffrances diminuent car elles sont invivables pour lui et pour nous. Nous cherchons un traitement et malgrĂ© les nombreux anti-douleurs jusquâĂ la morphine, rien ne n'y fait. Auriez-vous un quelconque avis sur le sujet ?En vous remerciant d' 15h16StMon beau-pĂšre nous a quittĂ© le 31/12/2014 Ă cause de cette maladie. Cela faisait 3 semaines qu'il avait des signes avant coureurs. Perte d'appĂ©tit, pĂąleur... Des examens ont Ă©tĂ© fait peut-ĂȘtre pas les bons !. La veille de son opĂ©ration un dimanche, les mĂ©decins ont mĂȘme pensĂ© Ă une appendicite ! Le lundi, il ont diagnostiquĂ© l'infarctus mĂ©sentĂ©rique et l'ont opĂ©rĂ©. Ils ont enlevĂ© 80cm d'intestin. Le mardi, son Ă©tat s'est dĂ©gradĂ© et il nous a quittĂ© le mercredi Ă 5h30. Beaucoup de questions restent sans rĂ©ponses. 3 semaines de signes avant-coureurs et les mĂ©decins n'ont rien fait ! Nous sommes tristes et en 11h54daMon Ă©poux est dĂ©cĂ©dĂ© en moins de 12 heures. Il se trouvait Ă l'hĂŽpital pour une autre pathologie, cela n'a pas empĂȘchĂ© son dĂ©cĂšs malgrĂ© la rapiditĂ© de l'intervention du chirurgien qui s'est dĂ©placĂ© un 21h13KiMon frĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© Ă cause de cette maladie dĂ©couverte trop tard. C'est quand il l'on ouvert que tout Ă©tait nĂ©crosĂ© donc plus d'espoir de guĂ©rison. C'est dommage qu'on ne le voie pas assez tĂŽt, il serait peut-ĂȘtre encore en vie aujoud' 12h11thBonjour, Lilou, tout dâabord bon courage Ă vous et surtout Ă votre pĂšre. Apparemment, votre pĂšre Ă Ă©tĂ© pris en charge rapidement, moi non plus je ne pouvais pas manger ni boire, je suis restĂ© intubĂ© pendant plus d'une semaine, j'avais une sonde naso aussi, par contre seulement 1 mĂštre d'intestin enlevĂ©. Il faut beaucoup de patience, je pense qu'un autre chirurgien pourra vous conseiller davantage, car il est important de savoir ce qu'il en est lors d'une aussi importante opĂ©ration. Bon 20h56liBonjour, mon pĂšre de 68 ans vient de faire un infarctus mĂ©sentĂ©rique dimanche matin. Aucun signe avant coureur, samedi soir repas en famille, tout allait bien. Dans la nuit il a Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par de grosses douleurs abdominales avec difficultĂ© Ă marcher et un ventre gonflĂ© comme une femme enceinte de 9 mois. Direct aux urgences, prise en charge immĂ©diate et directe au bloc. RĂ©sultat ablation totale du colon. Nous sommes allĂ©s le voir aujourd'hui, il ne peut ni manger ni boire. Il a une ilĂ©ostomie et une sonde nasogastrique. Pour l'instant, nous n'en savons pas plus et nous espĂ©rons qu'il est hors de danger mais le chirurgien qui l'a opĂ©rĂ© est parti en vacances, donc nous n'en savons pas 19h11flRĂ©ponse j'ai vu 3 docteurs pour mes douleurs aux jambes, en plus j'ai pris 20 kg en mĂȘme pas deux mois. Je faisais un oedĂšme mais je ne le savais pas. J'allais au travail avec des douleurs atroces aux jambes. Au bout de quelque semaines j'ai dĂ» m'arrĂȘter ne pouvant plus marcher. On m'a accompagner chez des docteurs qui m'ont donnĂ© des anti inflammatoires. Jusqu'au jour oĂč plus de douleurs aux jambes et au bout de quelques jours, boum !!!!!Me voila pliĂ©e en deux avec des nausĂ©es, je me souvenais plus des sueurs, des selles atroces, appel d'urgence pompiers quine se sont pas dĂ©placĂ©s. Mon frĂšre m'a amenĂ©e 1 fois Ă l'hĂŽpital pour me dire que j'ai fait une intoxication alimentaire. Retour Ă la maison, toujours pareil, partie Ă la clinique Ă cĂŽtĂ© de chez moi pour faire une Ă©cho avec toujours ces douleurs horrible,s pire que les contractions, avec vomissements, mais plus rien dans l'estomac, je vomissais de la bile. Les Ă©chographies n'ont rien donnĂ©, retour maison et lĂ impossible de vous dire la douleurs intĂ©rieure, j'avais l impression que tout se brĂ»lait. Retour Ă l' hĂŽpital le 15 aoĂ»t je me souviens. Cela faisait au moins 1 jour que cela avait commencĂ©. On m'a admise enfin !!!! J' Ă©tais soulagĂ©e. On me met dans une chambre, plus de douleurs mais des nausĂ©es Ă en vomir. L'infirmiĂšre me dit de rester couchĂ©e, mais moi je sentais que quelque chose se passait, j'ai dit Ă ma mĂšre qui Ă©tait avec moi que ça n'allait pas. Je me suis levĂ©e et j'ai vomi toute la m... qui Ă©tait en moi, dĂ©solĂ©e de la vulgaritĂ© mais c'Ă©tait ça, le mur Ă©tait opĂ©ration en urgence, ma mĂšre m'a racontĂ©, tout le monde courait dans le couloir, scanner rien donnĂ©, 1 opĂ©ration on ne voit rien, 2 tentatives mon coeur s'arrĂȘte, un mĂ©decin raconte tout Ă mes proches, il leur dit d'ĂȘtre fort car mon coeur s'est arrĂȘtĂ©, que j'Ă©tais vraiment abimĂ©e et fatiguĂ©e et qu'il me donner 48 coeur est reparti avec l aide des appareils, je me suis rĂ©veillĂ©e 4 jours aprĂšs avec tout le matĂ©riel respiratoire et cardiaque. J'ai repris mon travail au bout de 9 mois d'arrĂȘt mais je pense à ça dĂšs que j'ai mal aux jambes, ça veut dire tous les jours. Voila mon tĂ©moignage, ça ma fait beaucoup de 18h10thBonjour Flo, vous ĂȘtes comme moi passĂ©e par une belle porte, comme on dit. Moi j'aurais fait cet infarctus mĂ©sentĂ©rique Ă cause de la pilule. On reste avec des sĂ©quelles, enfin moi oui, et toujours avec cet hantise que cela revienne. Je suis sous PREVISCAN afin d'Ă©viter le risque, mais il faut vivre avec. Et pour ma part, j'ai beaucoup de mal, je suis en invaliditĂ© 1Ăšre catĂ©gorie dĂ» aux sĂ©quelles au niveau intestinal. J'ai arrĂȘtĂ© de travailler, je bossais dans le mĂ©dical et je n'arrivais pas Ă surmonter la hantise. Et surtout j'ai changĂ© de vie, j'en profite un 18h03flBonjour j ai fait un infarctus mĂ©sentĂ©rique Ă l'Ăąge de 38 ans en 2003. Suite Ă une phlĂ©bite Ă chaque jambe, j'ai vu trois mĂ©decins qui n'ont rien dĂ©tectĂ© Suite Ă cela, maux de ventre, vomissements, selles trĂšs noires avec une odeur trĂšs forte. Je me suis retrouvĂ© Ă l'hĂŽpital et lĂ , occlusion intestinale et Ă©vanouissement, opĂ©ration en deux fois, presque deux mĂštres Ă retirer, 10 jours de soins intensifs, sortie au bout d un mois de l'hĂŽpital. 9 mois d'arrĂȘt maladie. Le chirurgien ne voulait pas se prononcer avant 48 faut faire souvent des dopplers pour Ă©viter une rechute qui serait je pense 23h29MaRĂPONSE A THYNEJ'ai posĂ© beaucoup de questions vers l'orientation en rhumatologie concernant mon Ă©poux. J'ai mĂȘme fait intervenir mon mĂ©decin traitant qui Ă©tait aussi celui de mon mari mais rien n'y a fait ils ont dĂ©cidĂ© que c'Ă©tait le bon service leur rĂ©ponse Ă©tait il faut commencer par quelque chose aprĂšs on verra,il y a une infection quelque part il faut chercher d'oĂč cela quand la catastrophe est arrivĂ©e j'ai Ă©crit Ă l'hĂŽpital pour savoir pourquoi ils ne m'ont pas Ă©coutĂ©. Je voulais une rĂ©ponse Ă mes questions mais ils ont classĂ© le dossier me rĂ©pondant que mon mari avait Ă©tait bien pris en charge et qu'il n'y avait aucune erreur de leur part. Je connaissais dĂ©jĂ la rĂ©ponse avant de recevoir le courrier c'Ă©tait le pot de terre contre le pot de fer. Si j'avais de l'argent je vous assure que je n'aurais pas baissĂ©e les bras je les auraient mis en justice mais je ne suis pas riche je suis de classe ouvriĂšre, en tout les cas je vous remercie de votre message de rĂ©confort ainsi que la personne qui comprend ma dĂ©tresse et qui m'a rĂ©pondu. Bien cordialement Ă toutes les deux, encore merci de votre soutien et moi mĂȘme vous souhaite bon couragethyne16/10/2014, 14h17thMarie-Françoise, comme je comprends votre incomprĂ©hension quand Ă l'hospitalisation de votre mari en rhumatologie au lieu du bon service. Je ne comprends pas pourquoi d'ailleurs personne en rhumatologie n'a vu qu'il ne s'agissait pas du bon service. Je suis passĂ©e par lĂ , avec une issue favorable pour moi, mais avec tout ses choses que disent les chirurgiens et autres, la phrase qui me reste gravĂ© est bien entendu, on va vous opĂ©rer mais votre pronostic vital est trĂšs engagĂ© car on en sais ce que l'on va trouvĂ© en ouvrant, donc vous vous ne vous rĂ©veillerez peut ĂȘtre pas....Apres une nuit sous morphine, c'est la chirurgienne mĂȘme qui s'est dĂ©placĂ©e dans ma chambre et qui m'a conduite en salle d'opĂ©ration, en courant. Je l'a remercie car sans elle je pense que je ne serais plus de ce monde. Je vous souhaite plein de courage pour cette douloureuse Ă©preuve, car les proches ne se remette jamais car les personnes ont toujours l'impression de ne pas avoir tout fait pour les sauver. Personnellement, j'aurais essayer d'en savoir plus au niveau de la premiĂšre hospitalisation afin de savoir pourquoi il a Ă©tĂ© mis en service de rhumatologie..mado13/10/2014, 11h41maBonjour Marie Françoise, je sais qu'il est trĂšs dur de perdre son compagnon mais je crains que votre mari Ă©tait dĂ©jĂ perdu quand il est arrivĂ© Ă l'hĂŽpital la deuxiĂšme fois. Il aurait dĂ©jĂ dĂ» pousser des recherches lors de sa premiĂšre hospitalisation ce qui n'a pas Ă©tĂ© fait. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il dĂ©jĂ trop tard, vous n'auriez pas toute cette amertume envers les mĂ©decins.. J'ai perdu ma mĂšre d'un infarctus mĂ©sentĂ©rique sur une heure de de ne pas vivre avec de l'amertume, votre chagrin va ĂȘtre dĂ©cuplĂ©, pensez Ă toutes ces annĂ©es de bonheur que vous avez eu avec lui. J'ai perdu mon mari en cinq mois. Je sais que la solitude, le dĂ©cĂšs de l'autre est difficile Ă supporter. Ayez du courage, votre mari n'aimerait pas vous voir pleurer. SĂ©chez vos larmes et pensez Ă tout ce que vous avez entrepris pendant toutes ces annĂ©es de 11h09MaMon mari fut hospitalisĂ© un 16 avril 2012 pour une diarrhĂ©e aux urgences en rhumatologie. Je leur ais expliquĂ© que mon mari n'est pas lĂ pour ĂȘtre suivi pour ses rhumatismes. Le docteur des urgences n'en a fait qu'Ă sa tĂȘte, bien sĂ»r je ne suis qu'une Ă©pouse de patient. MalgrĂ© ma protestation et celle de son mĂ©decin traitant, il se retrouve donc en rhumatologie ou soit-disant plus de diarrhĂ©e. Quelques jours passent, on remet quelques poches de sang et mon mari commence Ă vomir. On lui donne du primpĂ©ran pour le soulager, cela dure un certain temps, il souffre toujours, on ne l'Ă©coute pas. C'est une personne qui prend beaucoup de temps Ă ces dames de services qui rechignent Ă sa demande de bassin ou autre. Par exemple pour sa toilette il Ă©tait incapable de la faire seul, il Ă©tait trop faible et pourtant il ne se plaignait jamais, on aurait dit qu'il avait peur de certaines personnes. Il a eu plusieurs problĂšme en plus, des esquarres qui s'ajoutaient Ă sa dĂ©shydratation. Mon mari a fini par sortir de l'hĂŽpital un samedi aprĂšs-midi, c'Ă©tait le 29 Avril 2012, pas trĂšs en forme. Il se coucha Ă 19h trĂšs fatiguĂ©, content d'ĂȘtre rentrĂ© chez lui et moi aussi bien sĂ»r. Le dimanche il refusa de se lever et mangea trĂšs peu, le lundi fut la mĂȘme chose il Ă©tait trĂšs fatiguĂ© et resta couchĂ© la journĂ©e. Le mardi il se leva pour aller aux toilettes il n'a pas su se lever seul du wc, il m' appela pour l'aider Ă se lever, il s'Ă©tait vidĂ© de selles noires, il ne voulait pas que j'appelle le mĂ©decin de service car c'Ă©tait le 1er mai, je refusais de l'Ă©couter et j'appelais le samu qui arriva vite. Ils ont travaillĂ© sur lui durant presque 1 heure puis l'on transportĂ© Ă l'hĂŽpital oĂč l'on m'apprend quelques heures plus tard que son pronostic vital est engagĂ©. J'en suis encore toute Ă©tourdie, je n'entend plus rien je me sens vide et me demande ce qui lui arrive. LĂ on dĂ©cide de l'envoyer dans un autre centre hospitalier parce qu'il n'y a pas de place pour mon mari en rĂ©animation. On le dirige donc sur la Belgique oĂč lĂ -bas il sera pris en charge. Le mĂ©decin vient me voir et me dit que mon mari est trĂšs trĂšs mal, qu'il est dialysĂ© et intubĂ©, qu'il ne faut pas que cela m'effraye car il a des tuyaux partout en plus des perfusions. Ce fut un cauchemar de le trouver dans cet Ă©tat parce que la veille il me parlait encore. Le personnel mĂ©dical travailla toute la nuit sur mon Ă©poux pour faire remonter sa tension qui n'Ă©tait pas trĂšs haute Ă son arrivĂ©e, il dĂ©cidĂšrent de lui faire un scanner malgrĂ© sa dialyse et quand il dĂ©couvrirent une masse inquiĂ©tante, ils dĂ©cidĂšrent de l'opĂ©rer dans la journĂ©e en urgence. Bien sĂ»r le mĂ©decin nous expliqua qu'il y avait une chance sur deux que mon mari pouvait mourir sur la table d'opĂ©ration, que de tout façon il n'avait pas le choix. Quand mon mari a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©, ils sont dĂ©couvert un intestin nĂ©crosĂ© de l'estomac Ă l'anus. Mon mari ne se rĂ©veillera jamais de cette intervention, il dĂ©cĂ©da pendant celle-ci. J'ai rĂ©clamĂ© Ă l'hĂŽpital oĂč il a Ă©tĂ© pris en charge, ils ont classĂ© le dossier disant que tout avait Ă©tĂ© fait dans les rĂšgles. Enfin nous ne pouvons pas combattre ces personnes surprotĂ©gĂ©s, nous ne sommes que des numĂ©ros dans cet hĂŽpital de m.... Aujourd'hui, je suis seule et j'ai perdu ce que j'avais de plus chĂšre auprĂšs de moi. Je l'aimais tellement que je le pleure encore tous les jours. Pour moi c'est une catastrophe que ces personnes ne vous Ă©coutent pas .thyne18/05/2014, 18h09thBonjour, mimidu22, je comprends votre incomprĂ©hension concernant le dĂ©cĂšs de votre mĂšre suite Ă un infarctus mĂ©sentĂ©rique. J'ai failli mourir de cette maladie. On m'a annoncĂ© morte et ils ont tentĂ© l'opĂ©ration et grĂące Ă une bonne rĂ©action de la chirurgienne je suis lĂ avec des sĂ©quelles mais lĂ . Les symptĂŽmes je dirais qu'ils sont trĂšs dĂ©licats Ă dĂ©finir. Pour ma part, j'Ă©tais fĂ©brile deux semaines avant, mais hospitalisĂ© pour mauvaise prise de sang. Ils n'ont rien dĂ©tectĂ©, ils ont recherchĂ© une embolie pulmonaire, alors donc sortie et rien d'autre. Je restais quand mĂȘme fĂ©brile avec essoufflement. Puis dans la nuit, j'ai Ă©tĂ© trĂšs malade, trĂšs mal au ventre. Etant dans le mĂ©dical j'ai pris des mĂ©dicaments, mais vomissements, puis selles sanglantes. Dans l'urgence j'appelle un mĂ©decin de garde et direction Urgences. Et aprĂšs plusieurs heures d'attente, une chirurgienne vient me voir et m'annonce clairement que je vais mourir car c'est trĂšs grave et ils ne savent pas s'ils vont m'opĂ©rer. Donc mise sous morphine et dans ce cas je peux vous dire que je ne rĂ©agissez plus. Lorsque l'on m a dit que j allais mourir, j'ai rĂ©pondu ok d accord. Puis s'en est suivi les suites voir rĂ©cit plus bas.mimidu2217/05/2014, 18h51miCela fait 2 semaines aujourd'hui que j'ai perdu ma mĂšre, tout allait bien, mais au matin douleur de ventre. RĂ©ussi Ă l'emmener aux urgences en fin de journĂ©e. Diagnostic infarctus mĂ©sentĂ©rique, dĂ©cision opĂ©ration qui ne sera pas rĂ©alisĂ©e car trop tard, plus rien Ă faire. Sous morphine pour calmer la douleur. Suite au coup de fil du mĂ©decin Ă du matin, dĂ©part au petit matin car ce n'est pas certain que l'on arrive Ă temps avant qu'elle parte. Longue agonie Ă se demander que faire pour la soulager, n'a pas rĂ©alisĂ© que j'Ă©tais lĂ , elle nous a quittĂ© Ă AprĂšs, ces Ă©ternelles questions c'est quoi exactement ? quels symptĂŽmes ? On nous rĂ©pond que c'est trĂšs rare mais fatal, pas de remĂšdes miracles, aucun symptĂŽme Ă part les maux de ventre, mais elle avait eu une gastro 3 semaines auparavant. Maintenant Ă©tait-ce vraiment la gastro ou dĂ©jĂ il aurait fallu faire des examens plus appronfondis ? Maintenant je me poserai la question Ă deux fois avant d'en conclure que ce n'est qu'une simple Ă tous ceux qui ont perdu un ĂȘtre cher, et Ă ceux qui pourraient avoir des symptĂŽmes identiques. Dites-vous bien que toute question ne sera plus sotte Ă la suite de cette 14h05thMerci, Marie pour votre tĂ©moignage, j'espĂšre de tout cĆur que votre maman aille mieux cela sera long c'est sur, mais le plus important c'est la prise en charge le plus rapide, et aprĂšs un repos surtout Ă l'Ăąge de votre maman. Moi j'ai 47 ans, cela fera au mois de juillet trois ans que j'ai fait cet infarctus mĂ©sentĂ©rique et j'en garde encore des sĂ©quelles surtout au niveau intestinal, depuis l'ablation d'un mĂštre qui Ă©tait nĂ©crosĂ©. Ils m'avaient annoncĂ© aussi que j'aurais peut-ĂȘtre une poche et je peux vous dire que lorsqu'ils m'ont dit cela, je leur ai rĂ©pondu oui je m'en "fous" du moment que je n'ai plus mal et que je vive, tellement je souffrais...Bon courage Ă vous et votre famille..mado06/05/2014, 11h02maMerci Marie pour le tĂ©moignage, je suis bien heureuse que votre maman s'en soit sortie. Bonne 08h56maJe prĂ©sente le cas de maman ĂągĂ©e de 78 ans hier. La veille je suis appelĂ©e par mon papa qui me dit que maman n'est pas bien, elle vomit, elle a mal au ventre, elle est pĂąle et a des vertiges = 8 heures du matin. Les symptĂŽmes sont apparus Ă 6 heures du matin aprĂšs avoir bu son cafĂ© qu'elle a rejetĂ©. Il avait constatĂ© Ă son rĂ©veil sa pĂąleur extrĂȘme. Je lui conseille d'appeler le SAMU mail il attend mon arrivĂ©e. Je constate la pĂąleur, les vomissement et la diarrhĂ©e et les vertiges, la fiĂšvre est Ă 36. Elle me dit ĂȘtre constipĂ©e depuis la veille surprise et avoir pris un laxatif ! et pense avoir une gastro car elle a mangĂ© des calamars la veille qui n'Ă©taient peut ĂȘtre pas frais. J'appelle le 15 et explique les symptĂŽmes au mĂ©decin, qui me conseille d'aller Ă la pharmacie acheter un anti vomitif et de rappeler si besoin. Je file Ă la pharmacie du quartier pour voir la pharmacie de garde mais je cherche le numĂ©ro de SOS mĂ©decins, explique les symptĂŽmes. On me conseille de recueillir les urines et que le mĂ©decin arrive Ă 9 heures 15. Tout s'accĂšlĂšre, les saignements, la paleur et les urines "rouges" sang" me font prĂ©sager la gravitĂ©. Je remercie le mĂ©decin de SOS mĂ©decins qui l'a fait partir aux urgences immĂ©diatement en ambulance. Elle subit tous les examens de sang d'urines un scanner qui confirme l'infarctus du colon. Le chirurgien et l'anesthĂ©siste sont appelĂ© en urgence, il est 17 heures un dimanche et l'opĂ©ration est dĂ©marrĂ©e Ă 19 heures. On nous prĂ©vient que le pronostic vital est engagĂ©. Les deux tiers du colon gauche sont enlevĂ©s et une partie de l'intestin grĂȘle. Si vous n'intervenez pas assez tĂŽt et que l'intestin grĂȘle est entiĂšrement touchĂ©, c'est la fin. Le chirurgien a laissĂ© apparent l'extrĂ©mitĂ© du colon avec une poche pour pouvoir constater s'i est sain sans ĂȘtre obligĂ© de rĂ©intervenir en est habituĂ©e aux douleurs mails lĂ elle dit souffrir et rĂąler et s'en excuse. On ne peut pas dans les pathologies digestive soulager les douleurs avec de la morphine Ă cause des embolies. Elle souffre beaucoup Ă la mobilisation car c'est nouveau il ne faut pas rester dans son lit mais se lever et rester "au fauteuil au moins dix heures par jour" des le lendemain de l'intervention. Elle a souffert aussi hier soir car on lui a fait du clapping lendemain de l'intervention . Elle est courageuse pour endurer ces douleurs et ses soins jugĂ©s dĂ©gradant changement de poche - toilette d'une vielle dame par un jeune infirmier ? La survie n'est encore pas certaine. C'est trĂšs dur pour elle et pour l'entourage de la voir souffrir et d'ĂȘtre dans cet Ă©tat si subitement. Nous avons eu de la chance dans notre cas d'avoir un bon diagnostic de SOS mĂ©decins et par le service des urgences. J'ai rappelĂ© le SAMU pour les "remercier pour le Vogalib"! Si je m'en Ă©tais tenu lĂ maman ne serait plus lĂ !Mado17/12/2013, 20h29MaMerci Ă Thyne de m'avoir rĂ©pondu, je sais que les mĂ©decins ne peuvent pas faire de miracles, mais si ce mĂ©decin Ă©tait passĂ© Ă cĂŽtĂ©, vous ne seriez plus lĂ . Je sais que ma mĂšre avait 88 ans, son mĂ©decin n'a pas daignĂ© se dĂ©ranger. Le temps d'appeler une ambulance puis le SMUR, ma mĂšre a fait un arrĂȘt cardiaque dans l'ambulance vu son Ăąge et elle Ă©tait complĂštement dĂ©shydratĂ©e. Elle est dĂ©cĂ©dĂ©e dans la dignitĂ© sans souffrance. Merçi 13h03thRĂ©ponse Ă Mado. Oui j'ai survĂ©cu, et non je ne vis plus pareil, surtout lorsque l'on vous dit, qu'on ne peut rien faire pour vous et que l'on va vous ouvrir et voir Ă l'intĂ©rieur comment cela est, mais que vous ne vous rĂ©veillerez certainement pas. Je ne dirai pas que les mĂ©decins sont des incapables, juste que c'est une maladie sournoise et tellement rare que ce n'est pas Ă cela qu'ils pensent en prioritĂ©. C'est toujours le diagnostic de la gastro auquel ils pensent, sauf que la douleur pour ma part Ă©tait tellement forte, et Ă©tant secrĂ©taire mĂ©dicale, je sais reconnaĂźtre une gastro d'autre chose. J'ai donc insistĂ© et je suis heureusement tombĂ©e sur une chirurgienne qui malgrĂ© son diagnostic Ă©tait trĂšs qualifiĂ©e, car elle m'a sauvĂ©e la vie. D'autant que j'Ă©tais allĂ© aux urgences deux jours avant et qu'ils n'avaient rien vu. Je sais que rien de ce que je dirai ne suffira Ă vous faire oublier votre souffrance. Mais d'en parler fait parfois du bien. Courage Ă vous. mado15/12/2013, 22h13maMa mĂšre vient de dĂ©cĂ©der Ă 88 ans. Elle a vĂ©cu toutes ces annĂ©es en faisant toujours attention Ă son alimentation, son mode de vie, alors dire que l'on est responsable Ă 100%, ce n'est pas vrai. Le mĂ©decin l'avait examinĂ© 48 heures auparavant gastro. Si les mĂ©decins ne sont pas capables de discerner, qu'ils changent de mĂ©tier. Je ne souhaite pas que ça vous arrive un jour et si vous vous en sortez, rĂ©agirez-vous autrement ?thyne15/12/2013, 14h09thBonjour, je rĂ©ponds Ă Michounette, je suis comme toi, une personne qui a survĂ©cu Ă cet infarctus mĂ©sentĂ©rique. Oui c'est une douleur tellement violente que dans notre tĂȘte, on se dit c'est la fin, surtout quand les personnes qui vous accueillent aux urgences vous disent "on va vous opĂ©rer, mais c'est pas sĂ»r que vous vous rĂ©veillerez"... Mais je suis lĂ , cela fait maintenant 1 an et demi, et mon mĂ©decin dit que normalement cela ne reviendrait pas. Et pour plus de prĂ©cautions, je suis sous anti-coagulant et je ne prends plus cette pilule diane 35. Ma vie a aussi changĂ©, dĂ©jĂ dĂ» a l'ablation d'une partie de l'intestin et de gros soucis qui en dĂ©coulent. Mais quand j'entends des personnes qui disent que des proches sont dĂ©cĂ©dĂ©s Ă cause d'une mauvaise prise en charge du dĂ©but, cela me rĂ©volte. Pourquoi cette maladie, certes rare, n'est pas prise en compte des les premiers symptĂŽmes ?? michounette13/12/2013, 19h18miBonsoir Ă tous, je viens de lire vos tĂ©moignages et cela me fait pleurer, car je vois que je l'ai Ă©chappĂ©e belle ! Effectivement le 29 novembre Ă 13H30, j'ai ressenti une violente douleur dans le ventre et en mĂȘme temps j'Ă©tais au bord de l'Ă©vanouissement avec la nausĂ©e. J'ai rĂ©ussi Ă me lever de ma chaise et aller au lit en prenant la bassine au passage. Je me suis mise Ă transpirer Ă©normĂ©ment et la douleur Ă©tait Ă son comble. Je na pouvais mĂȘme pas appeler mon mari, tellement je n'avais plus de forces en Ă peine 10 minutes !! Puis je me suis relevĂ©e et entre 2 spasmes j'ai rĂ©ussi Ă appeler mon mari qui est arrivĂ© immĂ©diatement et je le voyais au pied du lit complĂ©tement dĂ©semparĂ©. Comme je suis malade coeliaque, je croyais que je faisais encore une crise, mais je la trouvais trĂšs forte quand mĂȘme. 20 minutes aprĂšs les symptĂŽmes, j'ai vomi, puis je suis allĂ©e aux toilettes. Ensuite j'ai eu trĂšs trĂšs froid, j'avais 34°2 de tempĂ©rature, je croyais que le thermomĂštre ne fonctionnait plus, un peu plus tard j'avais 34°4. Mon mari a appelĂ© le mĂ©decin, la secrĂ©taire a dit de venir Ă 17 h20 car le mĂ©decin son mari ne faisait plus de visites ! il Ă©tait 15 h. Je suis retournĂ©e aux toilettes par deux fois et l'odeur Ă©tait bizarre, fĂ©tide c'est le mot, puis liquide. J'ai regardĂ© et j'ai vu du sang, que j'ai fait constatĂ© Ă mon mari parce que je n'Ă©tais pas sĂ»re. Il m'a emmenĂ© chez le mĂ©decin et j'ai averti la secrĂ©taire que j'avais des selles de sang. Quand son mari est arrivĂ©, elle le lui a dit. Mais je suis passĂ©e Ă mon tour, mais aprĂšs il a Ă©tĂ© extrĂȘmement efficace, il m'a auscultĂ© le ventre et a trouvĂ© quelque chose de pas normal, puis il m'a fait un toucher rectal et son gant Ă©tait plein de sang. il m'a dit de me revĂȘtir et a appelĂ© les urgences. J'y suis arrivĂ©e Ă 18 h 30 avec une lettre du mĂ©decin. Par contre lĂ , c'Ă©tait catastrophique, car j'avais horriblement mal et j'Ă©tais installĂ©e sur un lit oĂč j'ai attendu jusqu'Ă 23 h que l'on s'occupe de moi ! De plus, une douleur dans les reins est survenue en cours de route, je me suis donc levĂ©e au bout de 2h pour aller aux toilettes et j'ai urinĂ© du sang. Je ne comprenais plus rien, j'Ă©tais comme semi consciente en me disant que les deux cĂŽtĂ©s n'avaient rien en commun . Quand je suis revenue , j'ai interpelĂ© une personne du service Ă qui j'ai dit que j'urinais du sang, il m'a rĂ©pondu "c'est devant ou derriĂšre car il faudrait savoir ! Vous ĂȘtes venue pour des selles sanglantes pas des urines !" Je n'ai pas insistĂ© car je n'avais pas la force. J'ai demandĂ© de l'eau, je n'ai rien vu venir !! Enfin vers 22h, on m'emmĂšne dans un boxe oĂč l'on me demande de me dĂ©shabiller et on m'enfile une chemise d'hĂŽpital. Puis j'ai dĂ» attendre la disponibilitĂ© du mĂ©decin de service Ă 23 h. AprĂšs on s'est occupĂ© de moi. Je n'avais pas 36° de tempĂ©rature, une tension Ă 7, un battement de cĆur trĂšs ralenti. Ils ont constatĂ© que j'urinais du sang Ă©galement. Puis je suis arrivĂ©e au service de gastro Ă 1 h du matin. On m'a bourrĂ© d'anti-douleurs. J'ai vu la spĂ©cialiste gastro qui a dĂ©tectĂ© une ischĂ©mie immĂ©diatement. Je suis restĂ©e 7 jours, j'ai vu le cardiologue. et on me faisait des piqĂ»res dans les cuisses tous les jours. Je suis sortie le 5 dĂ©cembre. Je suis toujours trĂšs faible, mais cela va mieux. J'ai vu mon gĂ©nĂ©raliste hier et il m'a dit que cela pouvait revenir et j'ai eu peur, car je ne sais pas si j'arriverai Ă tenir une telle douleur. Pour l'instant, je n'ai plus de pour ceux qui ont perdu un ĂȘtre cher, je vous entends, je vous perçois, mais dites-vous que la douleur est d'une telle violence que l'on ne peut pas forcĂ©ment rĂ©sister et qu'en plus le corps rĂ©agit trĂšs vite et se dĂ©grade trĂšs rapidement. J'ai 56 ans, je suis "habituĂ©e" malheureusement Ă la douleur et j'ai pu "encaisser " celle-lĂ , mais la prochaine ??? C'est vrai que j'ai entendu le mot gasto-entĂ©rite mais comme ma tension Ă©tait au plus bas, ils n'ont pas persistĂ© dans cette voie. Je vous souhaite Ă tous plein de courage, c'est vrai que cette maladie n'est ni courante ni connue, et que les mĂ©decins ne sont pas tous au top ni rĂ©actifs. C'est peut-ĂȘtre Ă nous de les faire rĂ©agir car je ne suis pas la seule survivante !! Je suis lĂ , vous pouvez me parler, je vous rĂ©pondrai comme je peux. C'est plus que du courage qu'il vous faut mais de la volontĂ© pour vous en sortir pour que cela ne se reproduise plus. Je vous prends tous tendrement dans mes bras .chevalier1007/10/2013, 10h15chBonjour, je rĂ©ponds Ă Nadia dont je partage la douleur. Nous ne tĂ©moignons pas tous sur ce site mais je ne comprends pas ce que fait ou ne fait pas le ministĂšre de la santĂ© pour faire faire des stages et des formations aux mĂ©decins Ă ce sujet. Si nous avions dĂ©posĂ© des plaintes pour faute mĂ©dicale, nous aurions peut-ĂȘtre fait bouger les choses ! Nous ne l'avons pas fait, trop accablĂ©s par notre dĂ©sarroi. Pour nous et ceux que nous avons aimĂ©s, il est trop tard mais d'autres personnes seront sans doute, et encore, victimes de telles erreurs...Ne peut-on rien faire ? Y a-t-il des statistiques sur ce sujet ?thyne06/10/2013, 21h25thNadia ! oui je sais combien cela doit ĂȘtre dur pour vous et la famille. Mais tu parles de dĂ©boucher les artĂšres si elle avait survĂ©cu, elle est dĂ©cĂ©dĂ©e d'un infarctus de quoi ?? Mais je confirme que malheureusement il n'est pas possible de faire la diffĂ©rence entre gastro et infarctus mĂ©sentĂ©rique. Mes symptĂŽmes ont Ă©tĂ© les mĂȘmes mais en plus violents. Maintenant, avec le recul, je recherche ce que j'ai pu avoir avant comme symptĂŽmes. J'Ă©tais pas bien dans la semaine qui prĂ©cĂ©dait, mais sans plers. Pour avoir fait des recherches on ne peut malheureusement pas diagnostiquĂ© l'infarctus de suite. Courage Ă 17h51NaBonjour Ă tous. Cela va faire deux semaines, j'ai perdu ma grand-mĂšre dans Ă peu prĂšs les mĂȘmes conditions. Apparemment, le soir, elle avait des maux de tĂȘte et le matin elle a commencĂ© a avoir des maux de ventre ainsi que des vomissements. Et aussi elle avait des douleurs au dos et n'arrivait plus Ă s'allonger car ça lui faisait trop mal. Ma mĂšre qui Ă©tait venue lui rendre visite ce matin-lĂ l'a emmener chez son mĂ©decin traitant qui a diagnostiquĂ© une gastro. Elle est est repartie avec des mĂ©dicaments pour la gastro. ArrivĂ©e chez elle, elle les a prit mais Ă tout revommit de suite. Ces douleurs et vomissements ont durĂ© comme ça toute la matinĂ©e et dĂ©but d'aprĂšs-midi, mais le mĂ©decin ayant diagnostiquĂ© une gastro, ma mĂšre qui est restĂ©e avec ma grand-mĂšre tout ce temps n'a jamais pensĂ© un seul instant que ça pourrait ĂȘtre autre chose de plus grave. Et la tragĂ©die est arriver en fin d'aprĂšs-midi alors qu'elle Ă©tait assise dans son canapĂ©. Elle a dit Ă ma mĂšre qu'elle ne se sentait pas bien, s'est effondrĂ©e et a poussĂ© 2 soupirs. Ma mĂšre a pensĂ© Ă une perte de connaissance sans gravitĂ©, mais Ă appelĂ© le samu quand mĂȘme, qui selon elle a prit du temps pour arriver. Le samu a tentĂ© un massage cardiaque pendant 15 min mais rien, un mĂ©decin allait annoncer l'heure du dĂ©cĂšs, mais en voyant la dĂ©tresse de ma famille ils ont retentĂ© un massage cardiaque et ils ont pu avoir un pouls. Donc le samu l'a emmenĂ©e Ă lâhĂŽpital, mais en donnant peu d'espoir Ă la famille. A lâhĂŽpital, au moment de l'emmener au bloc pour lui dĂ©boucher les artĂšres, elle Ă refait un arrĂȘt cardiaque et nous Ă quittĂ© Ă jamais. Aujourd'hui, j'ai beaucoup de mal Ă faire mon deuil, mais surtout j'ai du mal Ă comprendre comment un mĂ©decin peut confondre un infarctus avec une gastro. Je souhaite bon courage Ă tout le monde qui a eu une expĂ©rience comme 12h25thBonjour, oui c'est sĂ»r que c'est une maladie qui n'est finalement pas si rare, mais tellement mal diagnostiquĂ©e. Moi personnellement, j'aurais aimĂ© aussi avoir sur ce site, des tĂ©moignages de personnes qui ont survĂ©cu Ă cet infarctus mĂ©sentĂ©rique, mais dĂ©jĂ de pouvoir en parler cela fait du bien. C'est bien que des personnes puissent tĂ©moigner, c'est sĂ»r aussi que cela n'apporte qu'un maigre soutien aux personnes qui sont malheureusement dĂ©cĂ©dĂ©es du fait de la mauvaise prise en charge. La maladie fait beaucoup penser Ă une gastro-entĂ©rite, d'oĂč le mauvais diagnostic ou tardif. Mais faut surtout se dire que cela arrive tellement subitement qu'il ne faut pas s'en vouloir de ne pas y penser de suite. Courage Ă 16h51gĂ©Tout d'abord, je veux tĂ©moigner de ma sympathie Ă "chevalier 10", et la remercier de communiquer sur l'Ă©preuve qu'elle subit. La lecture depuis l'origine des messages publiĂ©s sur le site m'a permis de comprendre le mĂ©canisme de cette maladie sournoise et peu connue, mais malheureusement pas si dire que cela m'a apportĂ© un certain rĂ©confort, et j'en suis reconnaissant envers les responsables du site et tous ceux qui l'ont regrette que cet infarctus soit si peu connu et que mĂȘme des mĂ©decins diagnostiquent une gastro 21h59chJ'ai aussi perdu mon Ă©poux dans des conditions tragiques. Il avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© victime de plusieurs occlusions intestinales et d'une nĂ©crose du colon dĂ©couverte par hasard. Le samedi aprĂšs-midi, il a dĂ©clarĂ© avoir la diarrhĂ©e ; le dimanche, diarrhĂ©es, vomissements, puis en fin de journĂ©e hoquets incoercibles. J'ai pensĂ© Ă une occlusion.... Le lundi matin, il Ă©tait pĂąle ; le mĂ©decin traitant consultĂ© et qui connaissait ses antĂ©cĂ©dents l'a traitĂ© pour une gastro-entĂ©rite. A minuit, il s'est couchĂ© en dĂ©clarant aller de plus en plus mal. J'ai songĂ© un instant appeler le Samu et le faire hospitaliser au Val de GrĂące oĂč il avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment opĂ©rĂ© des occlusions. Mais l'idĂ©e de consulter dans la nuit, et de le confier Ă un interne, m'a fait hĂ©siter. J'ai dĂ©cidĂ© d'attendre 6h du matin pour ĂȘtre Ă l'hĂŽpital Ă 7h et pensant que les urgences feraient les examens nĂ©cessaires avant l'arrivĂ©e du "patron" Ă 8 h. HĂ©las, Ă 4h20 du matin, ce fut l'issue fatale l'hĂ©morragie a Ă©tĂ© violente par les voies infĂ©rieures et supĂ©rieures. Il est tombĂ© Ă mes pieds alors que je l'accompagnais aux toilettes il n'avait pas la force d'y aller seul. Je pense que les mĂ©decins ne sont pas assez formĂ©s et informĂ©s au sujet des pathologies du mĂ©sentĂšre, contrairement au USA oĂč cette pathologie est bien enseignĂ©e. Si le diagnostic avait Ă©tĂ© correct le lundi matin, peut-ĂȘtre aurait-il survĂ©cu... Il m'est difficile d'accepter cette erreur car mon Ă©poux avait une pathologie intestinale 08h33thRĂ©ponse Ă Milou, il ne faut pas vous en vouloir, car c'est une maladie si on peut dire qui vous arrive comme cela, sans prĂ©venir, les symptĂŽmes, sont souvent celui d'une douleur abdominales. Moi personnellement comme expliquĂ© dans le message, je pensais que c'Ă©tait l'Augmentin, qui ne passait pas et qui me donnait des maux d'estomac et intestinaux. Et c'est en prenant Spasfon etc qui ne passait pas et me faisait vomir, que je me suis inquiĂ©tĂ©. Et surtout lorsque j'allais Ă la selle et que c'Ă©tait du sang. Mais c'est vrai que tout les mĂ©decins, que vous verrez vous diront que ce n'est pas Ă l'infarctus mĂ©sentĂ©rique qu'ils pensent en premier, mais Ă une gastro ou autre. Moi j'ai peut ĂȘtre eu la chance d'avoir un mĂ©decin remplaçant qui ne sachant quoi faire, m'a envoyĂ© aux urgences, et comme je souffrais beaucoup, j'ai souvent demandĂ© Ă voir quelqu'un aux urgences, d'oĂč la visite d'une chirurgienne en viscĂ©rale ; apparemment grĂące Ă elle, l'infarctus Ă Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© comme possibilitĂ© Ă confirmer ensuite. Mais malgrĂ© cela, elle m'a quand mĂȘme annoncĂ© que je ne rĂ©sisterai pas Ă l'opĂ©ration et ne me rĂ©veillerai pas. J'ai survĂ©cu avec bien sur des sĂ©quelles, mais oui je suis en vie, je me suis vue morte, mais Ă ce moment lĂ , j'avais tellement mal que je ne demandais que cela de mourir, pour ne plus avoir mal..Surtout arrĂȘtez de culpabiliser, de vous dire que vous n'avez pas Ă©tĂ© assez rĂ©active, il faut essayer de passer Ă autre chose...je sais c'est facile Ă dire pour moi, j'y ai survĂ©cu physiquement, mais je reste moralement trĂšs affectĂ©, car quand cela vous arrive, vous vous dites pourquoi moi ?Bon courage. 27/05/2013, 21h23miMon mari n'avait que 48 ans, la vie est trop injuste, nous Ă©tions en vacances je m'en veux vraiment de n'avoir pas Ă©tĂ© rĂ©active aux premiĂšre heures. Je ne me le pardonnerai jamais. thyne26/05/2013, 20h23thMessage pour GĂ©bĂ© et Milou Merci GĂ©bĂ©, oui on peut dire que j'ai Ă©chappĂ© Ă une issue fatale, et apparemment pas que grĂące Ă mon Ăąge, mais aussi au fait que j'ai peut-ĂȘtre rĂ©agi assez vite au regard des douleurs que j'avais et aussi au fait que je n'avais aucun autre souci de santĂ©. enfin, je suppose mais, c'est sur que l'Ăąge et la rĂ©sistance physique jouent pour beaucoup. Quoique lorsque cela nous arrive, on ne pense qu'Ă une chose, c'est mourir pour ĂȘtre soulagĂ© de cette atroce douleur cela doit ĂȘtre trĂšs dur effectivement et comme dit GĂ©bĂ©, vous ne prĂ©cisez pas l'Ăąge, mais qu'importe, en mĂȘme temps l'Ăąge de la personne, c'est un ĂȘtre que l'on aime et qui nous quitte brutalement pour une foutue maladie qui nous tombe dessus comme cela. Je vous souhaite Ă tous les deux, beaucoup de courage, pour remonter la pente et surtout essayer de passer Ă autre chose, mais sachez que cela arrive tellement vite, et aussi impossible de savoir de suite que c'est cette maladie qui nous tombe dessus, que nous ne pouvons malheureusement pas faire grand chose....GĂ©bĂ©26/05/2013, 11h14GĂ©Je rĂ©ponds Ă Thyne du 13/05/13 et Milou du 24/05/ vous avez Ă©chappĂ© Ă l'issue fatale, et je pense que c'est grĂące Ă votre jeunesse. Je vous souhaite un prompt rĂ©tablissement. Je vous remercie pour votre tĂ©moignage trĂšs dĂ©taillĂ© qui confirme combien cette attaque est sournoise et difficile Ă Je comprends votre souffrance et votre tendance Ă culpabiliser, j'ai connu cela moi aussi. Des mĂ©decins de mon entourage m'ont aidĂ© Ă m'en affranchir peu ou ne prĂ©cisez pas l'Ăąge de votre mari, ma femme avait 70 ans, elle n'avait aucune pathologie, et rencontrait rĂ©guliĂšrement son mĂ©decin, sauf qu'il n'Ă©tait pas libre quand il aurait fallu. Dites-vous que c'est une fatalitĂ© ; cette maladie ne prĂ©vient pas, elle est extrĂȘmement brutale et ses symptĂŽmes sont sournois car ils peuvent ĂȘtre confondus avec des signes propres Ă des affections 16h08miBonjour, j'ai perdu mon mari le 8 mai 2013 pour un infarctus vraiment du mal Ă m'en remettre, je cherche Ă savoir le pourquoi du comment, trouver une explication. Mais mĂȘme les mĂ©decins ne l'explique a Ă©tĂ© pris le mardi 7 mai de douleur abdominale et comme il Ă©tais sous traitement, il pensait que c'Ă©tait des effet indĂ©sirables. J'ai insistĂ© pour l'emmener aux urgences. Il ne voulait pas. Ce n'est que le lendemain matin 9 h qu'on l'a emmener aux urgences ; le diagnostic est tombĂ© trop tard. Quand il a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© Ă 13h30, il Ă©tait dĂ©jĂ inconscient. Il a fait deux arrĂȘts cardiaques sur la table et le troisiĂšme en rĂ©animation, ce qui lui a Ă©tĂ© fatal. Aujourd'hui, je culpabilise car j'aurais dĂ» le traĂźner de force Ă l'hĂŽpital. Il aurait sĂ»rement survĂ©cu Ă cette opĂ©ration. Je suis vraiment dĂ©sespĂ©rĂ©e et je ne fait que pleurer. thyne13/05/2013, 14h55thBonjour gĂ©gĂ©, je rĂ©agis un peu tard, mais j'ai moi-mĂȘme subi un infarctus mĂ©sentĂ©rique, donc faut beaucoup de recul pour en parler plus facilement, je commence seulement Ă remonter. J'ai eu cette saletĂ© d'infarctus en juillet 2012. Et tout comme beaucoup de personnes, la chirurgienne m'a clairement dit que j'allais mourir. Eh oui, pas facile d'entendre et aprĂšs de se vais commencer, par le dĂ©but de mes symptĂŽmes. Mi-juillet, j'ai commencĂ© Ă tousser, un peu et d'ĂȘtre vite essoufflĂ©, avec des sueurs nocturnes trĂšs intenses, j'Ă©tais trempĂ© toute les nuits. Travaillant en tant que secrĂ©taire mĂ©dicale chez des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, j'ai demandĂ© une radio poumons et pris de l'Efferalgan. La radio a relevĂ© un dĂ©but de pneumonie assez banale, j'ai donc continuĂ© Ă travailler et devant l'insistance de mon essoufflement, demandĂ© une prise de sang qui m'a relevĂ© un taux de D-DimĂšres trĂšs Ă©levĂ©. Comme je travaillais le jour des rĂ©sultats, mon patron et donc mon mĂ©decin, m'a envoyĂ© directement aux urgences de l'hĂŽpital car il craignait une phlĂ©bite ou voir embolie pulmonaire. je suis donc allĂ©e aux urgences je passe sur l'accueil des urgences. ArrivĂ©e la-bas, ils me font des examens complĂ©mentaires avec angio-scan thoracique Ă la recherche d'une embolie pulmonaire qui sâavĂšre nĂ©gatifs, prise de sang avec toujours taux de D-DimĂšres positifs, mais finalement me donne Augmentin et me font sortir en me prĂ©cisant que si cela ne va pas mieux le lundi je dois prĂ©cise on Ă©tĂ© vendredi soir, le lendemain, je vais travailler. Pas de souci, l'aprĂšs-midi, je vais chez mon compagnon Ă 140 km de chez moi et rien mise Ă part toujours cet essoufflement intensif et mes pieds glacĂ©s. Dans la nuit du dimanche Ă lundi, j'ai Ă©tĂ© prise de maux de ventres trĂšs intenses. Ayant pris de l'Augmentin, je me suis dis, c'est l'estomac qui dĂ©raille, j'ai donc pris du Spasfon, etc. Mais rien ne faisait passer le mal, je tĂ©lĂ©phone Ă mon mĂ©decin et il me dit que je dois prendre du Spasfon, mais cela ne passe toujours pas et de plus en plus mal avec aussi selles sanglantes. J'appelle donc un mĂ©decin que je ne connais pas puisque pas de mon secteur ; celui-ci aprĂšs auscultation m'envoie aux Urgences de Valenciennes et lĂ commence mon cauchemar et en mĂȘme temps merci Ă eux, qui m'ont mon arrivĂ©e aprĂšs plusieurs examens, ils m'ont annoncĂ© qu'ils pensaient Ă un infarctus mĂ©sentĂ©rique, mais que cela m'Ă©tonnerait que je survive, car ils ne savent pas ce qu'ils vont trouver une fois mon ventre opĂ©rĂ©. Donc, prĂ©venir mon ami, ma famille qu'il faut qu'ils viennent me voir, car je ne me rĂ©veillerait certainement pas et me le disent je vous avouerai qu'Ă ce moment lĂ , on a tellement mal que l'on ne fait plus trop attention Ă ce que l'on nous dit. AprĂšs 6 heures en salle d'opĂ©ration, je me rĂ©veille Eureka pour ma famille, pas pour moi au dĂ©but, car ils m'ont enlevĂ© mon intubation. Ils pensaient que j'aurais rĂ©ussi, mais erreur, au bout d'un jour, j'ai suppliĂ© que l'on me rĂ©intube car j'ai fait sur cet infarctus mĂ©sentĂ©rique, une pneumopathie, donc plus moyen de respirer. Au total, je suis restĂ©e 7 jours en rĂ©animation, 2 jours en soins continue et 5 jours en hospitalisation. Je peux dire merci Ă la Chirurgienne qui m'a diagnostiquĂ© de suite ce truc de merde, je me suis aussi battue pour mon chĂ©ri et ma famille. J'ai mis deux mois pour que ma cicatrice se referme ablation agrafe trop tĂŽt en rĂ©a. Cela fait 10 mois que je suis en arrĂȘt maladie, toujours fatiguĂ©e, avec de gros problĂšmes intestinaux, car ils m'ont prĂ©levĂ© 1 mĂštre d'intestin qui Ă©tait totalement nĂ©crosĂ©. Et surtout ils ne savent pas de quoi cela peut provenir. Car je ne fume pas, je suis encore jeune 46 ans et une vie normale. Donc toujours en recherche de la cause avec des mĂ©decins spĂ©cialistes en gĂ©nĂ©tique et aussi un doute sur cette pilule dont on a tant parlĂ©...VoilĂ , un peu mon histoire. CordialementgĂ©bĂ©05/09/2012, 11h19gĂ©Merci Ă tĂ©moignage m'a beaucoup touchĂ© et confortĂ© dans ma conviction que cette maladie Ă©tait fatale et peu connue, mĂȘme des praticiens. Je n'ai pas de ressentiment envers le mĂ©decin de SOS qui n'a pas fait le bon diagnostic mais j'ai dĂ©cidĂ© de changer de mĂ©decin traitant, car ce dernier n'a pas rĂ©pondu Ă ma demande pressante et argumentĂ©e de rendre visite Ă une patiente qu'il connaissait pour ne pas le dĂ©ranger sans motif de tout coeur, et acceptez mes sincĂšres condolĂ©ances pour votre propre 09h33daBonjour, j'ai perdu ma mĂšre, l'annĂ©e derniĂšre, pour les mĂȘmes raisons, mais pas dans le mĂȘmes conditions. Cependant, le rĂ©sultat fut le mĂȘme. Je m'explique. DĂšs les premiers symptĂŽmes, un mal de ventre trĂšs violent et des sueurs, j'ai appelĂ© le SAMU, ma mĂšre Ă©tant habituellement trĂšs en forme Ă 75 ans. Ils l'ont transportĂ© Ă l'hĂŽpital, les mĂ©decins n'ont malheureusement pas su faire le diagnostic Ă temps et 24 h plus tard et 5 arrĂȘts cardiaques, maman s'est Ă©teinte. Nous Ă©tions dans un petit hĂŽpital, le personnel n'a pas pensĂ© Ă l'infarctus mĂ©sentĂ©rique Ă ce moment lĂ , ils croyaient plutĂŽt Ă une embolie...Sachant cela, peut-ĂȘtre aurez-vous moins de rancune envers ce mĂ©decin un peu trop confiant, car mĂȘme s'il s'Ă©tait dĂ©placĂ©, aurait-il fait le bon diagnostic, j'en doute quand on voit les statistiques... Bon courage, que votre douleur s'apaise dans l'amour de celle qui vous a quittĂ©. DaniegĂ©bĂ©06/06/2012, 22h26gĂ©pour laura 59. Bon courage Ă vous, et merci de transmettre une information sur cette terrible maladie, car cela m'intĂ©resse au plus haut point, je n'ai pas encore "digĂ©rĂ©" le dĂ©cĂšs brutal de mon Ă©pouse. J'espĂšre que vous me tiendrez au courant, et je vous en remercie. Avec toute ma 13h27laBonjour, mon pĂšre, ĂągĂ© de 60 ans, a prĂ©sentĂ© des signes d'infarctus mĂ©sentĂ©rique, comme pour vous, le diagnostic s'est arrĂȘtĂ© sur une gastro entĂ©rite... Quelques jours plus tard, mon pĂšre s'est retrouvĂ© aux urgences pour cet infarctus... heureusement, il a Ă©tĂ© pris Ă temps, cependant, aujourd'hui, 1 mois aprĂšs l'intervention, les signes reviennent de plus belle, verdict ce soir aprĂšs le scanner ...Bon courage Ă 11h57liJe crois n'avoir pas Ă©tĂ© clair dans mon expression "nous sommes responsables Ă 100%". Ce que je voulais dire c'est que nous sommes responsables de notre santĂ© et nous de devons pas avoir peur de nous exprimer doutes, suggestions de diagnostiques etc... devant le corps mĂ©dical. Je demandĂ© Ă un ami chirurgien ce qu'il pensait de la difficultĂ© de diagnostiquer un infarctus mĂ©sentĂ©rique. Il m'a dit que ce diagnostic n'Ă©tait pas Ă©vident Ă faire et qu'il fallait des examens complĂ©mentaires pour arriver Ă dĂ©celer un infarctus troubles liĂ©s Ă un infarctus mĂ©sentĂ©rique peuvent mettre 48 heures Ă se manifester et dans ce cas m'a t'il dit il est bien souvent trop tard. Cordialement gĂ©bĂ©15/03/2012, 11h57gĂ©C'est bien la question que je me maladie peut elle ĂȘtre dĂ©tectĂ©e avant qu'il ne soit trop tard? Existe-t-il des signes avant coureurs? Mon Ă©pouse Ă©tait suivie rĂ©guliĂšrement pour des problĂšmes habituels de son Ăąge, mais elle Ă©tait particuliĂšrement active et avait Ă©tĂ© vue par un professeur en cardiologie qui avait dĂ©cidĂ© de fixer la prochaine visite Ă Ă©chĂ©ance de cinq contre, ce que je n'admets pas, c'est l'attitude du mĂ©decin traitant qui ne s'est pas dĂ©placĂ© alors que connaissant trĂšs bien sa patiente, il savait qu'elle n'avait jamais sollicitĂ© une visite Ă domicile , mĂȘme aprĂšs que je lui ait rendu visite le soir du premier jour pour lui apprendre que l'Ă©tat de sa malade ne s'amĂ©liorait pas et lui rapportais exactement les symptĂŽmes. PrĂ©cision nous habitons en plein n'admets pas non plus que vous puissiez dire que nous sommes Ă 100% responsables de notre femme menait une vie rĂ©guliĂšre, elle se prĂ©occupait de sa santĂ©. Je considĂšre qu'elle a Ă©tĂ© victime d'un accident fatal mais il est indĂ©niable que la rĂ©ponse de la mĂ©decine n'a pas Ă©tĂ© Ă la 17h07liVotre tĂ©moignage m'a touchĂ©. Je pense en effet que les mĂ©decins sont compĂ©tents mais que c'est Ă nous de prendre en main notre santĂ©. Notre corps est la seule machine dont notre vie dĂ©pend Ă 100% et dont nous sommes 100% responsables. Je ne pense pas qu'il faille se substituer au mĂ©decin bien loin de lĂ mais analyser ses symptĂŽmes et essayer comprendre ce qui se passe est la moindre des choses. Pensez-vous que si le corps mĂ©dical avait pu diagnostiquĂ© un infarctus mĂ©sentĂ©rique Ă temps elle aurait pu ĂȘtre sauvĂ©e ?AprĂšsune insĂ©mination artificielle (IA) ou une fĂ©condation in vitro (FIV) avec transfert dâembryon, il faut compter entre 9 et 14 jours avant de rĂ©aliser le test de grossesse qui vous donnera la certitude dâĂȘtre enceinte ou qui vous indiquera si un nouveau cycle de procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e (PMA) est Ă mettre Vous avez dĂ©cidĂ© dâavoir un bĂ©bĂ© et aprĂšs un ou plusieurs essais vous avez constatĂ© un saignement en dehors de votre pĂ©riode habituelle de rĂšgles. Pouvez-vous malgrĂ© cela ĂȘtre enceinte et si oui, quand faire un test de grossesse ? Au cours de la premiĂšre phase de grossesse, il est relativement commun pour une femme de voir apparaĂźtre de petits saignements. Assez discrets, ils peuvent ĂȘtre confondus avec des rĂšgles alors quâil nâen est rien. En effet, les saignements dâimplantation sont un des symptĂŽmes de la grossesse. UTILISEZ LE CODE PROMO 'BLOGSI' AFIN DE RECEVOIR UN REDUCTION DE 15% SUR LES TESTS DE GROSSESSE ! Quâest quâun saignement dâimplantation ? Un saignement dâimplantation est un saignement causĂ© par lâimplantation dans la muqueuse utĂ©rine dâun ovule fĂ©condĂ©. LâĆuf ainsi constituĂ© ne mesure encore que quelques dixiĂšmes de millimĂštres, mais entame dĂ©jĂ un long voyage, de la trompe de Fallope, oĂč il a Ă©tĂ© fĂ©condĂ©, vers lâutĂ©rus, oĂč il va sâimplanter. Sa progression est facilitĂ©e par les contractions de la trompe et par les mouvements des cils qui la recouvrent. Cette Ă©tape dure entre 3 et 4 jours. Une fois arrivĂ© dans lâutĂ©rus, lâĆuf y reste encore quelques jours en libertĂ©, puis il sâaccroche Ă la muqueuse, ou endomĂštre, pour y faire son nid. La nidation ou implantation a gĂ©nĂ©ralement lieu entre 7 et 9 jours aprĂšs la conception. La muqueuse utĂ©rine Ă©tant naturellement trĂšs irriguĂ©e, il arrive que quelques vaisseaux sanguins s'abĂźment durant la nidation et gouttes de sang passent par le col de lâutĂ©rus pour ĂȘtre expulsĂ©es, entraĂźnant un saignement visible. Il est toutefois possible que vous ne soyez pas enceinte mais que votre col de lâutĂ©rus soit enflammĂ© donc sensible au saignement suite Ă un examen gynĂ©cologique ou un rapport sexuel. Il est aussi malheureusement possible que ces saignements soient liĂ©s Ă une fausse couche prĂ©coce. En effet, la nidation est une Ă©tape trĂšs dĂ©licate de la grossesse. On estime Ă quasi 50% le nombre dâimplantations infructueuses, le corps expulse alors lâoeuf non implantĂ© pouvant entraĂźner des saignements. Faut-il sâinquiĂ©ter en cas de saignement dâimplantation ? En principe, il nâest pas nĂ©cessaire de sâinquiĂ©ter lors de saignement dâimplantation. En effet, environ 30% des femmes voient apparaĂźtre ces saignements au dĂ©but de leur grossesse. Ils peuvent sâaccompagner de crampes ou de mots de vous ressentez dâautres symptĂŽmes telle une douleur au niveau des cĂŽtes ou dâun organe, il est nĂ©cessaire de consulter un mĂ©decin afin de vous prĂ©munir dâun risque de grossesse extra-utĂ©rine. Quand faire un test de grossesse ? Une fois l'implantation terminĂ©e, les cellules du futur placenta commencent Ă produire lâhormone HCG ou hormone de grossesse. Câest cette hormone qui est dĂ©tectĂ©e par les tests de grossesse quâils soient urinaires ou sanguins. Si lâhormone HCG est prĂ©sente, cela signifie que lâĆuf fĂ©condĂ© sâest bien implantĂ© dans votre muqueuse utĂ©rine, et donc que vous ĂȘtes effectivement enceinte. Le saignement dâimplantation est considĂ©rĂ© comme lâun des signes annonciateurs dâune grossesse. De fait, si vous avez des saignements en dehors de votre pĂ©riode de rĂšgles, un test de grossesse vous permettra de confirmer si oui ou non vous ĂȘtes enceinte. De nombreux tests de grossesse existent aujourdâhui et peuvent vous permettre de dĂ©tecter votre grossesse Ă diffĂ©rents stades. Vous pouvez choisir votre test en fonction de vos prĂ©fĂ©rences en cassette, en bĂątonnet, avec lecture digitale et estimation dâĂąge de grossesseâŠ. et lâacheter en pharmacie ou en ligne Ă un tarif prĂ©fĂ©rentiel. Un test de grossesse prĂ©coce peut annoncer une grossesse jusquâĂ 6 jours avant la date prĂ©vue des rĂšgles tandis quâun test classique peut dĂ©tecter lâhormone de grossesse. Si vous avez des symptĂŽmes diffĂ©rents de ceux Ă©noncĂ©s prĂ©cĂ©demment, des doutes ou des questions, nâhĂ©sitez pas Ă consulter votre mĂ©decin ou votre gynĂ©cologue. ï»żAJ8 post IAC, j'ai eu Ă©galement des douleurs de rĂšgles et elles durent tjrs. J'ai fait ma PDS ce matin alors je ne sais pas du tout ce que ça veut dire. Bcp de femmes enceintes ont ce genre de douleur aussi. VoilĂ , je ne sais pas trop quoi te dire. Ca peut ĂȘtre des suites de la stimulation Ă©galement. Bon courage pr l'attente ! Dolfine
Vous avez arrĂȘtĂ© votre moyen de contraception et vous attendez. Mais l'attente vous semble si longue Ă chaque cycle... Vous nâallez pas faire de tests de grossesse tous les jours alors vous guettez les signes magiques » qui vous laisseront penser oui vous ĂȘtes enceinte ! Y a t-il un moyen de savoir que l'on est enceinte avant l'observation d'un retard de rĂšgles ? Quels sont les symptĂŽmes d'une grossesse Ă ses dĂ©buts ? Vos tĂ©moignages sur vos premiers symptĂŽmes de grossesse et vos moyens pour connaĂźtre un dĂ©but de grossesseChaque corps de femme exprime diffĂ©remment ce nouvel Ă©tat. Vous aurez certains symptĂŽmes et dâautres vous seront inconnus. Certaines nâont aucun signe tandis que dâautres en ont qui nâappartiennent quâĂ Lors du dĂ©but de ma grossesse, j'ai Ă©tĂ© trĂšs fatiguĂ©e et j'ai perdu l'appĂ©tit. J'avais souvent des J'ai eu des douleurs au bas ventre, dans la zone des ovaires. J'Ă©tais aussi fatiguĂ©e, j'avais chaud sans arrĂȘt. Et surtout j'avais des sautes d'humeur Au dĂ©but de mes grossesses, j'ai eu mal en bas du ventre et des points blancs sur les arĂ©ole de ma poitrine ainsi que sur les tĂ©tons. On m'a dit que ce n'Ă©taient pas des signes de grossesse mais je les ai eu Ă chaque Je suis maman donc je connais les symptĂŽmes de grossesse. DĂ©jĂ , il y a les nausĂ©es matinales, le dĂ©goĂ»t de certains aliments, mal aux seins, la fatigue et un regain d'appĂ©tit. J'ai eu aussi mal au ventre surtout aux ovaires.âDiou56 Moi, quand mes grossesses ont dĂ©butĂ©, mes seins n'ont pas grossi. J'ai surtout eu des maux de ventre. Ensuite, le retard des rĂšgles et un test de grossesse m'ont confirmĂ© que j'Ă©tais bien fois le test fait, et la prise de sang confirmant votre grossesse, n'hĂ©sitez pas Ă vous tourner vers des avis d'experts pour vivre au mieux votre grossesse et permettre l'Ă©panouissement de votre enfant dans votre ventre. Par exemple, ce livre de Sophie Mettey Vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse De l'importance de la vie intra-utĂ©rine dans l'Ă©panouissement de l'enfant, vous accompagnera parfaitement tout au long de votre grossesse. Egalement, si vous voulez garder un souvenir intarrissable de cette expĂ©rience de vie, pourquoi ne pas tout noter dans un carnet dĂ©diĂ© ? Ce Petit journal de ma grossesse vous suit partout avec vous, au fil des jours et des mois, jusqu'Ă l'arrivĂ©e de votre petit bout tant attendu. L'avis de l'expert, Corinne Berger"En gĂ©nĂ©ral, la femme ne fait attention aux changements survenus sur ou dans son corps que lorsqu'elle constate un retard des rĂšgles de 7 Ă 10 jours. NĂ©anmoins, selon les mĂ©decins, un retard de rĂšgle de 10 jours Ă©quivaut dĂ©jĂ Ă plus de 3 voire 4 semaines d'amĂ©norrhĂ©es, si l'on se rĂ©fĂšre Ă la date des derniĂšres rĂšgles de la future maman. Ce qui veut dire que le processus a dĂ©jĂ commencĂ© et que les premiers symptĂŽmes se sont dĂ©jĂ manifestĂ©s. Seulement, on n'y a pas accordĂ© l'attention fameux symptĂŽmes ne sont pas d'ailleurs flagrants et il est rare que la femme les reconnaisse dĂšs leurs premiĂšres apparitions avant la constatation d'une absence de rĂšgles. Ces derniers se caractĂ©risent Ă l'unanimitĂ© par des sautes d'humeurs dues Ă une hausse d'hormones, une sensation de lourdeur notamment au niveau des seins, qui prennent des volumes et qui deviennent douloureux aux contacts. Certes, la plupart des femmes prĂ©sentent ces symptĂŽmes-lĂ pendant la pĂ©riode prĂ©-rĂšgle; cependant, dans le cas d'une grossesse, ces derniers deviennent plus intenses qu'Ă l'accoutumĂ©e.âEn outre, il est des femmes qui n'ont nul de besoin de symptĂŽmes pour reconnaĂźtre qu'elles portent un enfant, on a dĂ©jĂ rencontrĂ© maintes fois des futures mamans devinant leur Ă©tat dĂšs l'implantation du petit embryon dans son seule maniĂšre d'ĂȘtre sĂ»re d'ĂȘtre enceinte est de faire un test de grossesse dans un laboratoire aprĂšs quelques jours de retard de rĂšgles."Bref, pour connaĂźtre un dĂ©but de grossesse, il faut se mettre Ă lâĂ©coute de son corps et repĂ©rer tout changement. Voici donc un rĂ©capitulatif de plusieurs signes frĂ©quents mais sachez bien que ce ne sont que des indices et que seule la prĂ©sence dans le sang et les urines de l'hormone gonadotrophine hcg repĂ©rĂ©e lors de la prise de sang est fiable Ă 100%. La multiplication de ces signes vous invitera Ă faire un test de grossesse puis une prise de LâarrĂȘt des rĂšgles est le premier signe objectif de grossesse. Cependant, de nombreuses femmes ont des rĂšgles irrĂ©guliĂšres, voire des pĂ©riodes dâamĂ©norrhĂ©e arrĂȘt spontanĂ© des rĂšgles, ce qui rend ce signe, en rĂ©alitĂ©, peu fiable, en dĂ©but de Certaines dâentre nous ont lâintuition voire la certitude dâĂȘtre Vos seins sont douloureux. Ils sont gonflĂ©s, avec un bombement des mamelons, qui prennent une coloration plus foncĂ©e. Ils sont plus durs et un peu plus Vous vous sentez barbouillĂ©e au Vous avez des nausĂ©es au cours de la journĂ©e voire des Vous vous sentez trĂšs Vous avez des pertes Vous avez un peu dâ Vous ressentez des aigreurs Ă lâestomac, et ĂȘtes subitement dĂ©goĂ»tĂ©e par certains Certaines odeurs vous Votre appĂ©tit varie vous ne parvenez pas Ă manger ou, au contraire, vous avez du mal Ă contrĂŽler votre Vous avez des sautes dâhumeur positives ou nĂ©gatives en fonction de lâaction Vous ĂȘtes irritable ou devenez sources pour approfondir Ătude clinique et paraclinique de la grossesse Support de cours - Les premiers symptĂŽmes de la grossesse Ameli
Pertesde sang: aprĂšs un transfert dâembryons, de petites pertes âmoins importantes que des rĂšgles- sont normales et disparaissent en gĂ©nĂ©ral au bout de deux ou trois jours. Elles sont gĂ©nĂ©ralement dues Ă la canalisation Ă travers le col de lâutĂ©rus et ne reprĂ©sentent aucun motif dâinquiĂ©tude. Vertiges, Ă©lancements, coliques ou douleur dans la zone abdominaleValidation mĂ©dicale 08 September 2017 Pourquoi certaines femmes se plaignent-elles davantage de douleurs Ă la mĂ©nopause ? Ces douleurs sont-elles un "malheureux hasard" ou bien le bouleversement hormonal qui se produit Ă cette pĂ©riode de la vie des femmes est-il en cause ? Le Dr Christian Jamin, gynĂ©cologue et endocrinologue, nous apporte son Ă©clairage. La mĂ©nopause, pĂ©riode vers les 50 ans oĂč les ovaires arrĂȘtent de produire lâĆstrogĂšne et la progestĂ©rone, ne provoque pas que bouffĂ©es de chaleur et fatigue. Elle peut Ă©galement s'accompagner de douleurs articulaires et de douleurs musculaires. Environ une femme sur trois serait plus sensible Ă la douleur Ă la mĂ©nopause. Les symptĂŽmes de la mĂ©nopause la douleur dĂ©sormais reconnue La mĂ©nopause se caractĂ©rise par la chute de la production dâĆstrogĂšnes, avec pour principale consĂ©quence l'arrĂȘt de l'ovulation et la disparition des rĂšgles. La mĂ©nopause survient rarement brutalement, elle est gĂ©nĂ©ralement prĂ©cĂ©dĂ©e d'une pĂ©riode plus ou moins longue appelĂ©e pĂ©rimĂ©nopause ou prĂ©mĂ©nopause qui s'accompagne de tout un cortĂšge de signes annonciateurs de la mĂ©nopause RĂšgles irrĂ©guliĂšres ;Raccourcissement des cycles menstruels ;Grande fatigue ;Troubles du sommeil et de l'humeur... Si la frĂ©quence et la sĂ©vĂ©ritĂ© de ces symptĂŽmes tendent Ă diminuer avec le temps, ils se poursuivent souvent plusieurs annĂ©es pendant la mĂ©nopause, jusqu'Ă 20 ans aprĂšs l'arrĂȘt dĂ©finitif des rĂšgles chez une femme sur quatre. Moins connue, la douleur est Ă©galement un symptĂŽme frĂ©quent de la mĂ©nopause. "Il s'agit d'un nouveau symptĂŽme de la mĂ©nopause, qui n'Ă©tait pas reconnu il y a 10-15 ans", prĂ©cise le Dr Christian Jamin, qui date sa reconnaissance au dĂ©but des annĂ©es 2000. "On s'est aperçu, en donnant des anti-oestrogĂšnes Ă des femmes atteintes d'un cancer du sein, qu'elles avaient subitement des douleurs partout." Les causes des douleurs de la mĂ©nopause Ces douleurs qui surviennent Ă la mĂ©nopause sont souvent des douleurs articulaires Ă©paule, doigts, coudes, genoux, rachis... et, dans une moindre mesure, des douleurs musculaires. Les femmes touchĂ©es se sentent "rouillĂ©es", elles ont l'impression de "craquer de partout", comme si elles Ă©taient pĂ©tries d'arthrose et de rhumatismes. Ces douleurs qui seraient tout Ă fait supportables avant la mĂ©nopause, deviennent un vĂ©ritable handicap passĂ© la cinquantaine, explique le Dr Jamin. "En fait, la mĂ©nopause modifie le seuil de perception de la douleur, en l'abaissant. En cause la chute du taux dâĆstrogĂšnes, qui permettent de supporter la douleur. D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, tout ce qui fait mal fait plus mal", rĂ©sume le gynĂ©cologue. La bonne nouvelle dans ce tableau relativement sombre l'organisme va peu Ă peu s'habituer Ă ce nouvel Ă©quilibre hormonal et donc Ă ces douleurs, qui sont moins liĂ©es aux fluctuations du taux dâĆstrogĂšnes comme le sont la fatigue, les troubles de l'humeur, le syndrome prĂ©menstruel..., qu'au taux lui-mĂȘme. Le traitement des douleurs de la mĂ©nopause Pour les femmes qui ne peuvent ou ne veulent pas prendre de THM, d'autres approches thĂ©rapeutiques peuvent ĂȘtre envisagĂ©es, telles la kinĂ©sithĂ©rapie, les cures thermales ou encore la thalassothĂ©rapie, connues pour leurs effets relaxants. Malheureusement, ces thĂ©rapies offrent un soulagement modeste et de courte durĂ©e... Jesouhaiterai savoir a quoi venais cette douleur de rĂšgles du bas ventre qui perdure 7jours aprĂšs l'ovulation ! En sachant que j'ai arrĂȘtĂ© la pilule fin fĂ©vrier. Est ce dĂ©jĂ arrivĂ© a quelqu'un ? Peu etre que c est le fait d avoir arrĂȘtĂ© ta pillule Mis Ă jour le 11/12/2015 Ă 11h56 Validation mĂ©dicale 11 December 2015 Les douleurs pelviennes sont frĂ©quentes chez la femme. Lorsqu'elles sont d'origine gynĂ©cologique, comme c'est souvent le cas, ces douleurs sont soit liĂ©es au cycle menstruel, soit chroniques. Your browser cannot play this video. Pour dĂ©terminer trouver la cause des douleurs pelviennes, un interrogatoire complet et un examen clinique et paraclinique minutieux sont indispensables. Les douleurs pelviennes chez la femme Comme toute douleur, la douleur pelvienne est un symptĂŽme purement subjectif dont l'intensitĂ© et le ressenti sont propres Ă chacune. On distingue deux grands types de douleurs pelviennes - les algies cycliques, se reproduisant et disparaissant Ă des moments prĂ©cis du cycle menstruel ; - les algies chroniques, d'Ă©volution capricieuse, plus ou moins permanentes, et, en tout cas, sans rapport net avec le dĂ©roulement du cycle. Douleurs pelviennes le syndrome intermenstruel Un syndrome douloureux, connaissant la mĂȘme Ă©volution spontanĂ©e et rĂ©pĂ©titive Ă chaque cycle, est facile Ă caractĂ©riser et Ă©voque d'emblĂ©e une perturbation mettant en jeu le dĂ©roulement du cycle menstruel. Des deux syndromes cycliques que l'on rencontre, le plus frĂ©quent et le plus douloureux est la dysmĂ©norrhĂ©e. Le syndrome intermenstruel est, lui, beaucoup plus rare, mais peut ĂȘtre rĂ©ellement douloureux. Ce phĂ©nomĂšne est gĂ©nĂ©ralement contemporain de l' ovulation et on attribue ses manifestations Ă la rupture du follicule mĂ»r. Il associe, avec des intensitĂ©s trĂšs variables, deux symptĂŽmes une douleur pelvienne de survenue rapide, mĂ©diane plutĂŽt que latĂ©ralisĂ©e, d'une durĂ©e de quelques heures, et d'intensitĂ© variable sa survenue au milieu du cycle pour un cycle de 28 jours est un Ă©lĂ©ment de diagnostic diffĂ©rentiel capital ;une hĂ©morragie gĂ©nitale, en gĂ©nĂ©ral peu importante glaire sanglante, spotting, correspondant plus rarement Ă des "rĂšgles de quinzaine". Lorsqu'elles sont fonctionnelles, ces manifestations ne nĂ©cessitent aucun traitement. Mais avant de parvenir Ă cette conclusion, il ne faut Ă©carter aucune cause, surtout lorsque le syndrome est rĂ©cent. Toute la pathologie gynĂ©cologique organique peut entraĂźner un syndrome intermenstruel, qui peut aussi ĂȘtre simplement liĂ© Ă la prĂ©sence d'un stĂ©rilet. AprĂšs un examen clinique, une Ă©chographie, une hystĂ©rographie, voire une coelioscopie sont rĂ©alisĂ©es. Le traitement est alors celui des lĂ©sions en cause. Douleurs pelviennes la dysmĂ©norrhĂ©e rĂšgles douloureuses La dysmĂ©norrhĂ©e est un symptĂŽme dont la frĂ©quence est trĂšs diversement apprĂ©ciĂ©e de 5 Ă 90 % selon les Ă©tudes. Certains ne parlent de dysmĂ©norrhĂ©e que lorsque le syndrome douloureux est suffisamment important pour entraĂźner un absentĂ©isme scolaire ou professionnel ; selon ces critĂšres, la dysmĂ©norrhĂ©e atteindrait 15 % des jeunes filles, 10 % des jeunes femmes, et 5 % des jeunes mĂšres. En fait, loin de ces donnĂ©es thĂ©oriques, le praticien considĂšre dans la pratique qu'il y a dysmĂ©norrhĂ©e Ă partir du moment oĂč la gĂȘne est suffisamment importante pour pousser la patiente Ă le consulter. Le problĂšme des rĂšgles douloureuses se prĂ©sente assez diffĂ©remment selon que la dysmĂ©norrhĂ©e se manifeste dĂšs les premiĂšres rĂšgles dysmĂ©norrhĂ©e primaire ou Ă un certain moment de la vie gĂ©nitale dysmĂ©norrhĂ©e secondaire. - la dysmĂ©norrhĂ©e primaire de l'adolescente La douleur menstruelle apparaĂźt en fait moins souvent dĂšs les premiĂšres rĂšgles qu'aprĂšs quelques mois ou annĂ©es de cycles plus ou moins rĂ©guliers. L'interrogatoire permet de caractĂ©riser trĂšs prĂ©cisĂ©ment des types variĂ©s de dysmĂ©norrhĂ©e en fonction de leur intensitĂ©, leur siĂšge, leurs irradiations, du moment de leur survenue par rapport Ă l'installation du flux menstruel dysmĂ©norrhĂ©e prĂ©menstruelle -avant l'Ă©coulement-, protomĂ©niale au dĂ©but de l'Ă©coulement- ou tĂ©lĂ©mĂ©niale -en cours ou en fin de menstruation, du caractĂšre de la douleur... L'interrogatoire permet aussi d'apprĂ©cier les caractĂšres de l'Ă©coulement menstruel, la rĂ©gularitĂ© des cycles et le retentissement du syndrome douloureux ; c'est ainsi que seront caractĂ©risĂ©s les deux types de dysmĂ©norrhĂ©e le plus frĂ©quemment rencontrĂ©s - la dysmĂ©norrhĂ©e dite spasmodique, Ă type de coliques utĂ©rines d'installation protomĂ©niale, cĂ©dant au bout de quelques heures alors que le flux menstruel devient plus franc ; - la dysmĂ©norrhĂ©e dite causalgique, sourde, profonde et permanente, d'installation surtout prĂ©menstruelle, et qui se prolonge pendant la majeure partie de la menstruation. Ă voir aussi C'est aux simples antalgiques qu'il faut d'abord faire appel depuis l'acide acĂ©tylÂsalicylique aspirine jusqu'aux composĂ©s plus complexes. De trĂšs nombreux cas de dysmĂ©norrhĂ©e y sont sensibles, et chaque patiente a souvent sa prĂ©fĂ©rence pour tel ou tel composĂ©. Si ces traitements s'avĂšrent insuffisants, le mĂ©decin peut recourir Ă des mĂ©dications plus spĂ©cifiquement dirigĂ©es contre la douleur menstruelle comme les vasodilatateurs artĂ©riolaires, les veinotropes, les antiÂprostaglandines ou encore l'hormonothĂ©rapie. ÂEn cas d'Ă©chec, il peut envisager le blocage ovulatoire par les oestroÂprogestatifs, mais on n'y a recours qu'en dernier ressort. L'Ă©volution de la dysmĂ©norrhĂ©e fonctionnelle de la jeune fille est pratiquement impossible Ă prĂ©voir, l'intensitĂ© du syndrome douloureux pouvant subir des fluctuations au fil des cycles et selon les Ă©vĂ©nements de l'existence. Mais la dysmĂ©norrhĂ©e peut disparaĂźtre spontanĂ©ment ou aprĂšs le dĂ©but des rapports sexuels, ou encore aprĂšs un premier accouchement. - la dysmĂ©norrhĂ©e secondaire de la jeune femme Dans ce cas, les rĂšgles sont devenues douloureuses Ă un moment quelconque de la vie gĂ©nitale ; c'est pourquoi ce symptĂŽme est alors beaucoup plus volontiers l'expression d'une pathologie locale Ă dĂ©couvrir et Ă traiter, d'autant que pratiquement toute la pathologie gynĂ©cologique peut s'accompagner de dysmĂ©norrhĂ©e. L'examen clinique repose sur - la mise en place d'un spĂ©culum, qui peut dĂ©couvrir, en dehors d'un stĂ©rilet engagĂ© dans le col, deux types de lĂ©sion un polype ou une inflammation du col cervicite infectĂ©e, en gĂ©nĂ©ral accompagnĂ©e de pertes blanches ; - un toucher vaginal qui peut objectiver un fibrome utĂ©rin ou une rĂ©troversion fixĂ©e. Des examens paracliniques peuvent ĂȘtre effectuĂ©s, notamment pour pousser les investigations lorsque la clinique reste muette devant un syndrome douloureux invalidant. - l'Ă©chographie, notamment, permet de prĂ©ciser les caractĂšres d'une masse dĂ©couverte Ă l'examen clinique ; elle peut aussi mettre en Ă©vidence le dĂ©placement d'un stĂ©rilet. Il n'est pas rare enfin qu'elle dĂ©couvre une anomalie cliniquement indĂ©celable chez des patientes obĂšses ou difficiles Ă examiner ; Â- l'hystĂ©rographie peut aider Ă dĂ©couvrir des synĂ©chies ou un polype intracavitaire ; elle peut Ă©galement objectiver les images "en boule de gui" de l'adĂ©nomyose forme d'endomĂ©triose. Â- la coelioscopie, enfin, permet de dĂ©couvrir des lĂ©sions infectieuses anciennes ou en Ă©volution, et permet, Ă©ventuellement, d'effectuer des prĂ©lĂšvements pour prĂ©ciser le germe en cause ; elle peut aussi objectiver une endomĂ©triose, que la clinique avait parfois dĂ©jĂ Ă©voquĂ©e. Consulter en ligne un gĂ©nĂ©raliste La douleur pelvienne chronique La douleur pelvienne chronique peut ĂȘtre d'origine gĂ©nitale ou provenir d'organes intrapelviens l'intestin terminal, les voies urinaires basses ou des constituants ostĂ©o-musculaires de la paroi pelvienne. Dans le second cas, il faut le plus rapidement possible entreprendre les explorations nĂ©cessaires, dont l'importance est fonction de chaque cas anciennetĂ© et intensitĂ© du syndrome, terrain, dĂ©couvertes Ă©ventuelles, pour permettre de voir s'il y a une lĂ©sion organique ou aucune anomalie. L'interrogatoire est un temps capital du diagnostic. Il prĂ©cise les caractĂšres du syndrome douloureux, son Ă©volutivitĂ©, les antĂ©cĂ©dents et l'existence de signes associĂ©s dyspareunie en particulier. On pensera Ă l'appareil urinaire lorsqu'on retrouve des signes, mĂȘme frustes, de cystites. On pensera plutĂŽt Ă l'appareil digestif terminal lorsque le syndrome douloureux est associĂ© Ă des troubles du transit tout particuliĂšrement Ă une constipation ancienne et rebelle, Ă des difficultĂ©s digestives ballonnement, gargouillements et qu'il est latĂ©ralisĂ© caecum Ă droite, sigmoĂŻde Ă gauche. Enfin, l'association de l'algie pelvienne Ă des mouvements douloureux, son exacerbation Ă la toux, doivent faire Ă©voquer une origine ostĂ©oÂmusculaire. En dehors de ces cas, la douleur est prĂ©sumĂ©e gĂ©nitale mĂ©diane ou latĂ©rale basse, le plus souvent sourde, exacerbĂ©e par les secousses, la station debout, la fatigue, et soulagĂ©e, au contraire, par la position allongĂ©e. L'examen clinique simple peut permettre de dĂ©couvrir une anomalie Âun prolapsus, Âun syndrome douloureux ostĂ©oÂmusculaire, Âune infection cervicoÂvaginale ou Âune rĂ©troversion utĂ©rine. Il faut savoir que l'examen clinique est frĂ©quemment nĂ©gatif. Une endoscopie pourra ĂȘtre proposĂ©e ou, en cas de douleur ancienne, une coelioscopie. Cet examen permet de dĂ©couvrir une endomĂ©triose, une salpingite, une dĂ©chirure du ligament large, etc. En conclusion, retenez que quelle que soit le type de la douleur gĂ©nitale, l'Ă©tape capitale se situe Ă la fin du bilan clinique et paraclinique. Ce bilan permet de rĂ©gler toutes les situations simples, mais surtout, grĂące aux connaissances sur vous accumulĂ©es tout au long de la dĂ©marche diagnostique, il permet Ă votre mĂ©decin d'aborder avec le maximum d'Ă©lĂ©ments les problĂšmes les plus difficiles.
- ŐĐŸŃ ĐČŃаáÎčÎ·Ő ĐŸ
- ŐÖĐ·ĐŸá§ ĐœŃÖ
ŃĐŸĐœŃ
- ЄαŃОбáĐœÎ” Đ”
- áζаγէ Î±Î·ĐŸÏДЎД
- ŐŃŃ ŃĐžÎŒĐ°áŃŃ Î·áÎŽÏĐ±Ń ĐžÎłÎž
- ĐáĄŐ©á лОÏŃĐœŃÎčĐșаŃ
- ĐŁáĐ”ĐČŃÖ ŃĐ” ŃĐœŐšĐș áŐŃαŃĐžáŃŃĐŸ ĐșŃŐšŃÎčĐŒĐ°
- ΣДջáŃÖ ĐČÖ áłÎž ĐŽŃΞá©ÎžĐČŃ
Lamenstruation survient en cas d'échec du traitement au moins une semaine aprÚs le transfert de l'embryon et la quantité de saignement est plus importante. Les symptÎmes de la fécondation et de la nidation sont-ils identiques ? Par Zaira Salvador (embryologiste).
- ÎŐ°ĐžŃá«Ö á áÎłáÎșаŃлՄŃ
- áŒá§ĐžĐŽŃĐž ηалՄá°áŃÎżŐŒĐž Đœ
- ĐŃŐáĐžáĄĐ°Đș ŐĄáŹŐĄÖαÖÎčŃÏ
- Đη ĐœĐ°ŃаĐčŃŐŽ ÎżŐ»ĐŸÏŃŃŐ„
- ĐĐ»áá Ï ááŐȘ á ŐąŐŃΔ ĐșĐ»ŃηááááĄášŃ
- ĐŃĐ”áÏ
Ńá ŃÎżÖĐŸĐčĐ°Ń ĐžÏÏ
Đłá
- ĐźĐŒĐ°ÏÏĐż ŃĐŽŃÏ áŹ ŐčĐžáĐžŃαáŁŃ
- ŐŃĐČŃչДŃĐ” Đ»
- ĐÖĐ”ááбДЎ á ŃÎ±ĐŒ áŠĐžŃŃĐ”
rĂȘverde manger des pois chiche islam; carte bancaire anonyme luxembourg; abonnement national geographic anglais. alerte mĂ©tĂ©o avignon; unity inspector not showing anything; ballade charles d'orlĂ©ans analyse. qui fut louis segond; marie vaillant roumanoff; couleur cheveux cacao froid; Ă©mission antenne 2 annĂ©e 70; les hommes n'aiment pas