Danscette rĂ©forme, sous la pression des syndicats, le questionnaire d’auto-Ă©valuation a Ă©tĂ© retirĂ©. Il convient donc de rappeler que les seuls documents exigibles par les inspecteurs/trices, lors de l’inspection, sont : le cahier d’appel justifiĂ© par l’obligation de contrĂŽle de l’assiduitĂ© (art R 131-5 du code de l’éducation) L'enquĂȘte publique prĂ©vue au deuxiĂšme alinĂ©a de l'article L. 131-4 s'effectue dans les conditions fixĂ©es par la prĂ©sente section. Un arrĂȘtĂ© du prĂ©sident du conseil dĂ©partemental dĂ©signe un commissaire enquĂȘteur ou une commission d'enquĂȘte dont il nomme le prĂ©sident. Les membres de la commission d'enquĂȘte sont en nombre impair. Le commissaire enquĂȘteur ou les membres de la commission d'enquĂȘte sont choisis sur une liste dĂ©partementale Ă©tablie annuellement en application de l'article R. 111-4 du code de l'expropriation pour cause d'utilitĂ© publique. Le mĂȘme arrĂȘtĂ© prĂ©cise 1° L'objet de l'enquĂȘte, la date Ă  laquelle celle-ci sera ouverte et sa durĂ©e qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă  quinze jours ni supĂ©rieure Ă  deux mois ; 2° Les heures et lieux oĂč le public pourra prendre connaissance du dossier et formuler ses observations.

lorsque la personne exploitant l'établissement d'enseignement n'est pas celle poursuivie sur le fondement des dispositions contestées, la mesure de fermeture de l'établissement ne saurait,

Décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financiÚre, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l'article L. 6111-2 du code de la santé Article 81 - Décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financiÚre, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l'article L. 6111-2 du code de la santé publique. »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du
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Auxtermes de l'article L. 131-5 du code de l'éducation, « les familles domiciliées à proximité de deux ou plusieurs écoles publiques ont la faculté de faire inscrire leurs enfants à

Lorsque vous envisagez l'instruction avec le CNED, alors vous avez 2 possibilitĂ©s Les dĂ©marches sont modifiĂ©es par l'article 49 de la loi du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique. le CNED libre avec obligation de demander une autorisation prĂ©alable pour votre enfant de l'instruire dans la famille lorsque son Ăąge est compris entre 3 et 16 ans. ConformĂ©ment Ă  l'article L131-5 et L131-10 du code de l'Ă©ducation, si votre enfant Ă  moins de 16 ans et qu'il est inscrit au CNED Libre, alors une demande d'autorisation prĂ©alable d'instruction dans la famille doit ĂȘtre rĂ©digĂ©e Ă  l'attention de la directrice acadĂ©mique de la Haute Savoie avant le 31 mai 2022 accompagnĂ© du CERFA dĂ»ment complĂ©tĂ© et signĂ© disponible sur le site Service public voir "instruction Ă  domicile" ci-dessous; le CNED en classe les seuls les motifs ci-dessous raison mĂ©dicale, situation de handicap, itinĂ©rance de la famille, sportif de haut niveau, activitĂ© artistique, Ă©loignement gĂ©ographique, Il convient dans ce cas Ă©galement de demander une autorisation prĂ©alable par le biais des CERFA accessible sur le site service public et Ă  adresser avant le 31 mai 2022 dĂ»ment complĂ©tĂ© et signĂ© Ă  la DSDEN. Les demandes sont Ă©tudiĂ©es sous rĂ©serve de justificatifs permettant d'apprĂ©cier le fait que le motif Ă©voquĂ© est non conciliables avec une scolaritĂ© complĂšte dans une Ă©cole ou un Ă©tablissement d'enseignement comme le prĂ©cise l'article R 426-2-1 du code de l' les enfants dĂ©jĂ  instruits en CNED rĂ©glementĂ©, il convient pour l'annĂ©e Ă  venir de demander une autorisation prĂ©alable d'instruction en famille selon le CERFA adaptĂ© mais aussi un avis favorable en justifiant du motif Ă©voquĂ©. Ces demandes doivent ĂȘtre transmises par courrier postale Ă  l'adresse suivanteDSDEN 74 - Service scolaritĂ© - 7 rue Dupanloup - 74040 ANNECY Cedex Pour rappel, les documents mĂ©dicaux relĂšvent du secret professionnel et sont Ă  fournir sous pli cachetĂ© Ă  l’attention du MĂ©decin Conseiller Technique. De plus, un courrier explicatif du mĂ©decin spĂ©cialiste qui suit l’enfant et non un simple certificat mĂ©dical "l’état de santĂ© de X justifie ..." est nĂ©cessaire. Les coordonnĂ©es du mĂ©decin doivent apparaitre clairement. Si l’enfant souffre d’un refus anxieux de l’école, vous devrez fournir un courrier du mĂ©decin pĂ©do-psychiatre qui assure son suivi. Les demandes d'inscription au CNED en classe rĂ©glementĂ©e relevant d'un motif pour convenance personnelle feront l'objet d'un avis dĂ©favorable et d'une non dĂ©livrance d'autorisation prĂ©alable. Pour avoir des informations complĂštes sur la scolaritĂ© via le CNED, vous pouvez consulter le site du CNED ou joindre la relation service client au Instruction Ă  domicile La loi du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique modifie les modalitĂ©s d'accĂšs Ă  l’instruction en famille. La dĂ©claration annuelle est remplacĂ©e par une demande d'autorisation prĂ©alable. Cette demande est Ă  formuler auprĂšs de la directrice acadĂ©mique selon les CERFA disponible sur le site service public avant le 31 mai 2022. En cas de changement de rĂ©sidence durant l'annĂ©e scolaire, il vous appartient de le dĂ©clarer, dans un dĂ©lai de huit jours, Ă  l'IA-DASEN du nouveau dĂ©partement. A rĂ©ception, sous rĂ©serve d'une demande d'autorisation complĂšte reçue au plus tard le 31 mai 2022, l'IA-DASEN Ă©tudie le dossier et notifie sa dĂ©cision par recommandĂ© avec accusĂ© de rĂ©ception dans un dĂ©lai de 2 mois. ConformĂ©ment Ă  l'article L. 131-10 du code de l'Ă©ducation, l'instruction dans la famille donne lieu Ă  une enquĂȘte diligentĂ©e par le maire. un contrĂŽle pĂ©dagogique menĂ© par l'inspecteur de l'Ă©ducation nationale pour le 1er degrĂ© ou par l'inspecteur acadĂ©mique pour le 2nd degrĂ©.
LeprononcĂ© de cette derniĂšre entraĂźne l’obtention du statut de pupille de l’État, « statut stable et protecteur » 17, ce qui permet ensuite une exonĂ©ration de l’obligation alimentaire au titre de l’article L. 228-1, alinĂ©a 2, du Code de l’action sociale et des familles. L’intĂ©rĂȘt est que la demande de dispense de l’obligation alimentaire sur ce fondement est de droit
Aller au contenuAller au menuAller au menuAller Ă  la recherche Informations de mises Ă  jour Gestion des cookies Nous contacter Droit nationalen vigueur Constitution Constitution du 4 octobre 1958 DĂ©claration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 PrĂ©ambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Charte de l'environnement Codes Textes consolidĂ©s Jurisprudence Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative Jurisprudence judiciaire Jurisprudence financiĂšre Circulaires et instructions Accords collectifs Accords de branche et conventions collectives Accords d'entreprise Publicationsofficielles Bulletins officiels Bulletins officiels des conventions collectives Journal officiel DĂ©bats parlementaires Questions Ă©crites parlementaires Documents administratifs Autourde la loi Codification Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification Tables de concordance LĂ©gislatif et rĂ©glementaire Dossiers lĂ©gislatifs Etudes d'impact des lois Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel AutoritĂ©s indĂ©pendantes AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de lĂ©gistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union europĂ©enne Journal officiel de l'Union europĂ©enne Jurisprudence de l'Union EuropĂ©enne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales DĂ©cret n°91-1266 du 19 dĂ©cembre 1991 portant application de la loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 relative Ă  l'aide juridiqueChronoLĂ©gi Article 131 - DĂ©cret n°91-1266 du 19 dĂ©cembre 1991 portant application de la loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 relative Ă  l'aide juridique »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur du 11 novembre 2012 au 01 janvier 2021TITRE Ier L'aide juridictionnelleCHAPITRE Ier Des conditions d' I Des conditions de ressources. Article 1 Article 2 Article 3 Article 4 Article 5 Section II Des conditions de prise en charge des frais au titre de l'aide juridictionnelle. Article 5-1 CHAPITRE II Des bureaux d'aide juridictionnelleSection I De l'organisation des bureaux. Article 6 Article 7 Article 8 Article 8-1 Article 9 Section II De la composition des bureaux. Article 10 Article 11 Article 12 Article 13 Article 14 Article 15 Article 16 Article 17 Article 18 Article 19 Article 20 Article 21 Article 22 Article 23 Article 24 Article 25 Section III De la compĂ©tence des bureaux. Article 26 Article 27 Article 28 Article 29 Article 30 Article 31 Article 32 CHAPITRE III Des formes de procĂ©derSection I Des demandes d'aide juridictionnelle. Article 33 Article 34 Article 34-1 Article 34-2 Article 35 Article 36 Article 37 Article 38 Article 38-1 Article 39 Article 40 Article 41 Section II De l'instruction des demandes d'aide juridictionnelle. Article 42 Article 43 Article 43-1 Section III Des sĂ©ances et des dĂ©cisions des bureaux. Article 44 Article 45 Article 46 Article 47 Article 48 Article 49 Article 50 Article 51 Article 52 Article 53 Article 53-1 Article 54 Section IV Des recours contre les dĂ©cisions des bureaux, de leurs sections ou de leurs prĂ©sidents. Article 55 Article 56 Article 57 Article 58 Article 59 Article 60 Article 61 Section V Des procĂ©dures particuliĂšresParagraphe 1 Des admissions provisoires Ă  l'aide juridictionnelle. Article 62 Article 63 Article 64 Article 65 Paragraphe 2 Des instances nĂ©es au cours de procĂ©dures, actes ou mesures d' 2 Des instances nĂ©es ou des pourparlers transactionnels menĂ©s au cours des procĂ©dures, actes ou mesures d'exĂ©cution Article 66 Article 67 Paragraphe 3 De la dĂ©livrance gratuite d'actes et expĂ©ditions. Article 68 Article 69 Paragraphe 4 De la demande de remboursement. Article 70 Paragraphe 5 De l'audition de l'enfant en justice. Article 70-1 Article 70-2 Article 70-3 Paragraphe 6 Du renvoi d'un litige par le juge de proximitĂ© devant le juge d'instance. Article 70-4 Section VI Du retrait de l'aide juridictionnelle. Article 71 Article 72 Article 73 Article 74 CHAPITRE IV Des avocats et des officiers publics ou ministĂ©rielsSection I Du choix ou de la dĂ©signation des avocats et des officiers publics ou ministĂ©riels. Article 75 Article 76 Article 77 Article 78 Article 79 Article 80 Article 81 Article 82 Article 83 Article 84 Article 85 Article 86 Article 87 Article 88 Article 88-1 Article 89 Section II De la contribution de l'Etat Ă  la rĂ©tribution des avocats et des officiers publics ou ministĂ©riels. Article 90 Article 90-1 Article 90-2 Article 91 Article 92 Article 93 Article 93-1 Article 94 Article 95 Article 96 Article 97 Article 98 Article 99 Article 100 Article 101 Article 102 Article 103 Article 104 Article 104-1 Article 105 Article 106 Article 106-1 Article 107 Article 108 Article 108-1 Article 109 Article 110 Article 111 Article 112 Article 113 Article 114 Article 115 Article 116 Article 117 Article 117-1 Article 117-1-1 Article 117-2 Article 117-3 Article 118 Article 118-1 Article 118-2 Article 118-3 Article 118-4 Article 118-5 Article 118-6 Article 118-7 Article 118-8 CHAPITRE IV bis De l'aide Ă  la mĂ©diation Article 118-9 Article 118-10 Article 118-11 Article 118-12 CHAPITRE V De l'avance et du recouvrement des frais. Article 119 Article 119-1 Article 120 Article 121 Article 122 Article 123 Article 123-1 Article 123-2 Article 124 Article 125 Article 126 Article 127 Article 128 Article 129 Article 130 Article 131 Article 132 TITRE II L'aide Ă  l'intervention de l'avocat au cours de la garde Ă  II L'aide Ă  l'intervention de l'avocat prĂ©vue par les dispositions de la troisiĂšme partie de la loi du 10 juillet 1991Chapitre Ier Dispositions communes Article 132-1 Article 132-2 Article 132-3 Article 132-4 Article 132-5 Article 132-6 Article 132-6-1 Chapitre II Dispositions relatives aux procĂ©dures mentionnĂ©es Ă  l'article 64-2 de la loi du 10 juillet 1991 Article 132-7 Article 132-8 Article 132-9 Article 132-10 Article 132-11 Article 132-12 Article 132-13 Article 132-14 Article 132-15 Article 132-16 Article 132-17 Article 132-18 Article 132-19 Chapitre III Dispositions relatives aux procĂ©dures mentionnĂ©es Ă  l'article 64-1 de la loi du 10 juillet 1991 Article 132-20 Chapitre IV Dispositions relatives aux procĂ©dures mentionnĂ©es Ă  l'article 64 de la loi du 10 juillet 1991 Article 132-21 TITRE II Les conseils de l'aide juridiqueCHAPITRE Ier Le Conseil national de l'aide II Les conseils dĂ©partementaux de l'aide III Les conseils de l'aide juridiqueCHAPITRE Ier Le Conseil national de l'aide juridique. Article 133 Article 134 Article 135 Article 136 Article 137 Article 138 Article 139 Article 140 CHAPITRE II Les conseils dĂ©partementaux de l'accĂšs au droit. Article 141 Article 142 Article 143 Article 144 Article 145 Article 146 Article 147 Article 148 Article 149 Article 150 Article 151 CHAPITRE II Les conseils dĂ©partementaux de l'aide IV Dispositions particuliĂšres aux dĂ©partements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle. Article 152 Article 153 Article 153-1 Article 154 Article 155 Article 156 Article 157 TITRE III Dispositions particuliĂšres aux dĂ©partements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la IV Dispositions diverses et V Dispositions diverses et transitoires. Article 158 Article 158 Article 159 Article 160 Article 165 Article 166 Article 167 Article 168 Article 169 Article 170 Article 170-1 Article 170-2 Article 171 Article 172 Naviguer dans le sommaire Retourner en haut de la page×Cookies est le dĂ©pot de cookies pour accĂ©der Ă  cette fonctionnalitĂ© LedĂ©cret porte de huit Ă  quinze jours le dĂ©lai prĂ©vu par l'article D. 131-11-10 du code de l'Ă©ducation pour former devant la commission prĂ©sidĂ©e par le recteur d'acadĂ©mie un recours
Du 2 mai au 30 septembre 2022, le service scolaritĂ© et affectations vous accueillera par tĂ©lĂ©phone de 8h30 Ă  est conseillĂ© de prioriser le courrier Ă©lectronique pour toute demande relative Ă  l'affectation dans un collĂšge ou un lycĂ©e. Vie de l'Ă©lĂšve La vie scolaire Les sorties scolaires Les accidents scolaires Éducation Ă  la sĂ©curitĂ© routiĂšre Calendriers scolaires dĂ©partementaux Calendrier 2020-2021 Calendrier 2021-2022 Les Fonds sociaux Le fonds social collĂ©gien Le fonds social lycĂ©en Le fonds social pour les cantines Parcours de l'Ă©lĂšve Inscriptions et affectation PrĂ©vention du dĂ©crochage scolaire Information Orientation Instruction En Famille IEF, une dĂ©rogation au principe de scolarisation en Ă©tablissement scolaire L'instruction est obligatoire pour tous les enfants Ă  partir de 3 ans et jusqu'Ă  16 ans. Elle est donnĂ©e dans un Ă©tablissement scolaire public ou privĂ©. A titre exceptionnel, sous conditions, l'instruction peut ĂȘtre dispensĂ©e en famille, sur autorisation prĂ©alable du directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale loi n°2021-1109 du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique et les dĂ©crets d’application du 15 fĂ©vrier 2022. L’autorisation ne peut ĂȘtre accordĂ©e que pour l'un des 4 motifs suivants Etat de santĂ© ou situation de handicap de l'Ă©lĂšve Pratique d’activitĂ©s sportives ou artistiques intensive ItinĂ©rance de la famille en France Existence d'une situation propre Ă  l'enfant motivant le projet Ă©ducatif L'instruction en famille peut ĂȘtre dispensĂ©e par les reprĂ©sentants lĂ©gaux, ou par toute personne de leur choix. Les familles peuvent choisir d'ĂȘtre soutenues dans leur dĂ©marche par des cours d'enseignement Ă  distance. Dans le cas oĂč le directeur acadĂ©mique autorise l'instruction pour les motifs 1,2 ou 3, la famille peut demander au Centre National d'Enseignement Ă  Distance CNED Ă  bĂ©nĂ©ficier de la gratuitĂ© des enseignements CNED rĂ©glementĂ©. Les autres organismes auxquels feraient appel les familles, ne permettent pas la prise en charge financiĂšre par l'État. L'instruction donnĂ©e et les progrĂšs de l'enfant sont contrĂŽlĂ©s. 1. Une demande d'autorisation d’Instruction En Famille est dĂ©posĂ©e au titre de chaque rentrĂ©e scolaire La demande est adressĂ©e au directeur acadĂ©mique de son dĂ©partement de rĂ©sidence, entre le mardi 1er mars et le mardi 31 mai 2022 modĂšle ci-dessous selon le cas a- Vous faites une premiĂšre demande d'autorisation d'instruction en famille, au titre de la rentrĂ©e scolaire 2022 Demande d'autorisation d'instruction en famille-formulaire b- Votre enfant est dĂ©clarĂ© instruit en famille Ă  la rentrĂ©e scolaire 2021 auprĂšs des autoritĂ©s compĂ©tentes, et les rĂ©sultats de son bilan pĂ©dagogique sont favorables ; vous pouvez bĂ©nĂ©ficier d'un rĂ©gime dĂ©rogatoire Renouvellement Ă  la rentrĂ©e scolaire 2022 d'une demande d'instruction en famille A titre exceptionnel et pour les seules demandes formulĂ©es au titre de la rentrĂ©e scolaire 2022 En lieu et place de la carte nationale d'identitĂ© de l'enfant, la seule transmission d’une copie lisible du livret de famille ou d’un extrait d’acte de naissance sera considĂ©rĂ©e comme suffisante. L'omission dĂ©clarative auprĂšs du directeur acadĂ©mique, constituant une infraction pĂ©nale, expose toute personne exerçant l'autoritĂ© parentale ou une autoritĂ© de fait, Ă  encourir une peine d'amende de 1 500 euros maximum. Cette omission doit ĂȘtre signalĂ©e au procureur de la RĂ©publique par toute autoritĂ© municipale ou acadĂ©mique qui en aura connaissance. Tout changement de situation intervenu en cours d’annĂ©e doit faire l’objet dans les huit jours suivant ce changement, d’une information aux maires et directeur acadĂ©mique compĂ©tents territorialement. La demande d'autorisation d'instruction en famille et le dossier correspondant sont transmis au directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale avant le mardi 31 mai 2022 Ă  l'adresse suivante Courriel Ă  privilĂ©gier Direction des Services DĂ©partementaux de l'Éducation Nationale des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques Service scolaritĂ© et affectations 2 place d’Espagne 64038 PAU CEDEX La demande d'autorisation d'IEF est signĂ©e par les responsables lĂ©gaux. Le directeur acadĂ©mique accuse rĂ©ception de cette demande ; Ă©ventuellement en signalant le caractĂšre incomplet du dossier. La dĂ©cision du directeur acadĂ©mique est prise dans un dĂ©lai de 2 mois Ă  compter de la rĂ©ception du dossier complet ; l'absence de rĂ©ponse au-delĂ  de ce dĂ©lai vaut une dĂ©cision implicite d'acceptation. 2. Les contrĂŽles des collectivitĂ©s locales et de l’autoritĂ© acadĂ©mique Une enquĂȘte est menĂ©e par le maire la premiĂšre annĂ©e ; elle est renouvelĂ©e tous les 2 ans, jusqu'aux 16 ans de l'enfant. L'objectif de l'enquĂȘte sera de vĂ©rifier la rĂ©alitĂ© des motifs avancĂ©s pour obtenir l’autorisation d’instruction en famille. L'enquĂȘte doit aussi dĂ©terminer si l'Ă©cole Ă  la maison est compatible avec l'Ă©tat de santĂ© et les conditions de vie de la famille, Une enquĂȘte sociale menĂ©e Ă©ventuellement par le conseil dĂ©partemental, Un contrĂŽle pĂ©dagogique par l’autoritĂ© acadĂ©mique. Dans le cas d'une inscription au CNED rĂ©glementĂ© prise en charge financiĂšre par l'État des enseignements dispensĂ©s par le CNED, le contrĂŽle pĂ©dagogique et celui concernant l'assiduitĂ© de l'Ă©lĂšve, sont effectuĂ©s par le centre national d'enseignement Ă  distance, qui transmet les Ă©lĂ©ments Ă  la direction des services dĂ©partementaux de l'Ă©ducation nationale. A partir du troisiĂšme mois qui suit la dĂ©livrance de l'autorisation d'instruction dans la famille et au moins une fois par an, le directeur acadĂ©mique fait vĂ©rifier que l'enseignement assurĂ© est conforme au droit de l'enfant Ă  l'instruction tel qu'il est dĂ©fini Ă  l'article du code de l'Ă©ducation. Un dĂ©faut d'autorisation d’IEF permet aussi au directeur acadĂ©mique de procĂ©der Ă  un contrĂŽle pĂ©dagogique, sans prĂ©judice d’application des sanctions pĂ©nales L131-10. Les rĂ©sultats du contrĂŽle sont notifiĂ©s aux personnes responsables de l'enfant. Lorsque les rĂ©sultats de ce contrĂŽle sont insuffisants, les personnes responsables de l'enfant sont informĂ©es du dĂ©lai au terme duquel un second contrĂŽle est prĂ©vu, ainsi que des insuffisances auxquelles il convient de remĂ©dier. Si les rĂ©sultats du second contrĂŽle sont Ă©galement insuffisants, le directeur acadĂ©mique met en demeure les personnes responsables de l'enfant d'inscrire ce dernier dans un Ă©tablissement scolaire public ou privĂ© pour l'annĂ©e scolaire qui court et la suivante, dans les 15 jours suivant la notification de cette mise en demeure. Le non-respect de cette mise en demeure expose les personnes responsables de l'enfant Ă  une sanction pĂ©nale. L'institution scolaire veille Ă  accompagner au mieux les familles qui ont optĂ© pour ce mode d'instruction. Cette relation, qui repose sur la bienveillance, le respect et la confiance mutuels, a pour objet la rĂ©ussite et l'Ă©panouissement des enfants et des adolescents instruits dans la famille. En savoir plus IV de l'article 49 de la loi n°2021-1109 du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique, Articles L131-1 Ă  L131-11-1, L131-12, L133-10 et L133-11 du code de l’éducation Articles R131-11 Ă  R 131-11-3 et R 131-18 du code de l'Ă©ducation ÉlĂ©ments pour l'apprĂ©ciation du niveau de maĂźtrise satisfaisant en fin de cycle 2 ÉlĂ©ments pour l'apprĂ©ciation du niveau de maĂźtrise satisfaisant en fin de cycle 3 ÉlĂ©ments pour l'apprĂ©ciation du niveau de maĂźtrise satisfaisant en fin de cycle 4 SantĂ©-Social Ă©lĂšves Divison SantĂ©-Social des Ă©lĂšves Parents d'Ă©lĂšves ReprĂ©sentation des parents d'Ă©lĂšves Site de l'Ă©ducation nationale Bourses Bourses acadĂ©miques
ArticleR131-12 du Code de l'Ă©ducation. Copier. Suivre. Autour de l'article (10) Commentaires 4. DĂ©cisions 6. Document parlementaire 0. Une seule plateforme, toute l'information juridique L’éducation c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’Etat qui la doit 
 ces deux lumiĂšres se complĂštent l’une par l’autre » disait Victor Hugo. Les lois instituĂ©es par Monsieur Jules Ferry en 1881 et en 1882 ont actĂ© le triptyque suivant l’école est obligatoire, gratuite et laĂŻque ». Il faut comprendre que ce n’est pas la scolarisation qui est obligatoire mais bien l’instruction. Ainsi l’instruction en famille ou l’école Ă  la maison est tout Ă  fait possible. Cependant, ce droit est de plus en plus rĂ©duit par le lĂ©gislateur. A l’approche de la rentrĂ©e 2022 il apparait important d’éclaircir les Ă©volutions. I- L’instruction en famille une simple modalitĂ© du droit Ă  l’instruction. A Un droit Ă  l’instruction assurĂ© en principe par l’Etat. L’instruction obligatoire implique l’obligation faite aux parents de faire instruire leurs enfants. Cette obligation est impĂ©rative. L’instruction obligatoire a pour objectif de garantir, d’une part, l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des Ă©lĂ©ments de la culture gĂ©nĂ©rale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d’autre part, l’éducation lui permettant de dĂ©velopper sa personnalitĂ©, son sens moral et son esprit critique, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insĂ©rer dans la vie sociale et professionnelle, de partager les valeurs de la RĂ©publique et d’exercer sa citoyennetĂ© » [1]. L’article L111-1 du Code de l’éducation proclame un principe de devoir d’instruction, que l’on retrouve dans le bloc de constitutionnalitĂ© et notamment au treiziĂšme alinĂ©a du PrĂ©ambule de la Constitution de 1946 qui Ă©crit que La Nation garantit l’égal accĂšs de l’enfant et de l’adulte Ă  l’instruction, Ă  la formation professionnelle et Ă  la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laĂŻque Ă  tous les degrĂ©s est un devoir de l’Etat ». Le principe du droit Ă  l’éducation et l’accĂšs de tous Ă  l’instruction est inscrit au sein du premier article du Code de l’Education qui Ă©crit que Le droit Ă  l’éducation est garanti Ă  chacun afin de lui permettre de dĂ©velopper sa personnalitĂ©, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insĂ©rer dans la vie sociale et professionnelle, d’exercer sa citoyennetĂ© » [2]. Cette instruction obligatoire est encadrĂ©e par l’article L131-1 et suivants du Code de l’éducation et dispose depuis l’entrĂ©e en vigueur de la loi pour une Ă©cole de la confiance que L’instruction est obligatoire pour chaque enfant dĂšs l’ñge de trois ans et jusqu’à l’ñge de seize ans ». Le principe de libertĂ© d’enseignement est un des corollaires du droit Ă  l’instruction en famille. Celui-ci a notamment Ă©tĂ© reconnu par le Conseil Constitutionnel, dans sa dĂ©cision 77-87 du 23 novembre 1977. En outre, le Conseil d’Etat a jugĂ©, dans sa dĂ©cision du 19 juillet 2017, Association Les enfants d’abord, n°406150 que Le principe de la libertĂ© de l’enseignement, qui figure au nombre des principes fondamentaux reconnus par les lois de la RĂ©publique, implique la possibilitĂ© de crĂ©er des Ă©tablissements d’enseignement, y compris hors de tout contrat conclu avec l’Etat, tout comme le droit pour les parents de choisir, pour leurs enfants, des mĂ©thodes Ă©ducatives alternatives Ă  celles proposĂ©es par le systĂšme scolaire public, y compris l’instruction au sein de la famille ». Ce droit est ainsi protĂ©gĂ© Ă  la fois au plus haut niveau sur le plan du droit national mais aussi au niveau international. L’Etat est donc dĂ©biteur d’une obligation positive qui consiste Ă  permettre Ă  chaque enfant de pouvoir bĂ©nĂ©ficier d’une instruction. En principe, c’est l’Etat qui se charge de cette instruction et qui prend en charge le coĂ»t de cette derniĂšre. B Un droit Ă  l’instruction adaptĂ© par exception par les parents. Le nombre d’enfants instruits Ă  la maison est en hausse. Ainsi on comptait un peu plus de 35 000 enfants faisant Ă©cole Ă  la maison en 2017. En 2020 ce chiffre Ă©tait passĂ© Ă  plus de 50 000 Ă©lĂšves en 2020. L’instruction en famille constitue un corolaire de la libertĂ© d’enseignement. C’est une modalitĂ© de mise en Ɠuvre du droit Ă  l’instruction. Ce droit Ă  l’instruction fait toutefois l’objet d’un contrĂŽle de l’Etat qui peut mĂȘme donner lieu Ă  des infractions pĂ©nales dans l’hypothĂšse oĂč les mineurs ne seraient pas scolarisĂ©s [3]. Le droit Ă  l’instruction en famille n’existe pas dans tous les pays, lesquels ont donc une grande marge de manƓuvre pour sa mise en Ɠuvre. Ainsi la Cour EDH recense notamment le fait que si la pratique des Etats diffĂšre sur l’instruction Ă  domicile, l’article 2 du protocole additionnel n°1 Ă  la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertĂ©s fondamentales implique pour ledit Etat le droit d’instaurer une scolarisation obligatoire, qu’elle ait lieu dans les Ă©coles publiques ou au travers de leçons particuliĂšres de qualitĂ© et que la vĂ©rification et l’application des normes Ă©ducatives fait partie intĂ©grante de ce droit » [4]. En d’autres termes, les Etats ont une marge d’apprĂ©ciation leur permettant de juger eux-mĂȘmes les modalitĂ©s pratiques de l’instruction des enfants. Cette libertĂ© est donc consacrĂ©e mais n’est pas absolue. II- L’instruction en famille une facultĂ© de plus en plus restrictive. Le droit Ă  l’instruction en famille peut donner lieu Ă  des difficultĂ©s pratiques de contrĂŽle par l’administration. Ce contrĂŽle a divers objectifs. Tout d’abord, s’assurer d’une rĂ©elle progression des enfants par rapport au niveau de connaissance qu’ils doivent acquĂ©rir, d’autre part, des Ă©ventuelles abus dont ces enfants peuvent faire l’objet dans le cadre interfamilial. Depuis le premier mandat du PrĂ©sident Emmanuel Macron, l’instruction en famille a fait l’objet de deux nouvelles lois. Ces lois ont encadrĂ© l’instruction en famille. A Rappel de l’ancien rĂ©gime de la dĂ©claration prĂ©alable. L’instruction en famille Ă©tait soumise, comme chaque inscription au sein d’un Ă©tablissement d’enseignement public ou privĂ©, d’une inscription prenant la forme d’une dĂ©claration annuelle d’instruction en famille auprĂšs du maire et Ă  l’autoritĂ© de l’Etat en matiĂšre d’éducation d’aprĂšs l’article L131-5 du Code de l’éducation. Cette obligation de dĂ©claration s’appliquait Ă  compter de la rentrĂ©e scolaire de l’annĂ©e civile, dĂšs lors que l’enfant atteignait l’ñge de trois ans. Il s’agissait d’une dĂ©claration, laquelle Ă©tait suffisante pour dĂ©buter. Des contrĂŽles Ă©taient bien entendues rĂ©alisĂ©es au cours de l’annĂ©e pour s’assurer des progrĂšs pĂ©dagogiques des enfants. Ainsi le reprĂ©sentant de l’Etat vĂ©rifiait que l’instruction ne dĂ©passait pas le cercle familial. En effet, l’instruction en famille n’est possible que pour un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernĂ©s, seulement s’ils sont de la mĂȘme famille. Dans le cas contraire, il ne s’agit alors plus d’instruction en famille, mais d’un Ă©tablissement scolaire de fait, ne respectant pas les formalitĂ©s prescrites pour l’ouverture d’un tel Ă©tablissement. Ce n’est que si ces contrĂŽles rĂ©vĂ©laient des carences que les parents pouvaient se voir enjoindre l’obligation de rĂ©inscrire leurs enfants dans un Ă©tablissement scolaire. DĂ©jĂ  par une loi du 26 juillet 2019 une Ă©cole de la confiance », l’instruction en famille a vu les modalitĂ©s de son contrĂŽle renforcĂ©es. On constate diffĂ©rentes dynamiques concernant la loi pour une Ă©cole de la confiance L’abaissement de six Ă  trois ans de l’ñge de l’instruction obligatoire ; Le renforcement du contrĂŽle de l’instruction dispensĂ©e en famille. Le Conseil d’Etat a Ă©tĂ© saisi en ce sens le 22 octobre 2018 dudit projet de loi. Il a rendu un avis aux termes duquel il a considĂ©rĂ© que le choix du lĂ©gislateur de fixer Ă  trois ans l’ñge de l’instruction obligatoire et d’étendre la durĂ©e de celle-ci de dix Ă  treize ans, motivĂ© par l’objectif de renforcer l’égalitĂ© d’accĂšs Ă  l’acquisition de la langue orale et Ă©crite notamment pour les enfants issus des milieux les moins favorisĂ©s, de lutter le plus prĂ©cocement possible contre les risques ultĂ©rieurs de dĂ©crochage scolaire et d’affirmer l’identitĂ© pĂ©dagogique propre de l’école maternelle, contribue Ă  garantir les principes d’égal accĂšs Ă  l’instruction et de droit Ă  l’instruction » [5]. Ce mĂȘme projet de loi prĂ©voit que deux refus consĂ©cutifs de contrĂŽle pourront dĂ©boucher sur la mise en demeure des personnes responsables de l’enfant de l’inscrire dans un Ă©tablissement d’enseignement scolaire de leur choix. B Le rĂ©gime nouveau de l’autorisation prĂ©alable. La loi n°2021-1109 du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique, dite loi sĂ©paratisme, a modifiĂ© cet article. La loi du 24 aout 2021 dites loi contre le sĂ©paratisme a modifiĂ© l’état du droit pour la rentrĂ©e 2022. DorĂ©navant, pour qu’un enfant bĂ©nĂ©ficie de l’instruction en famille, il faudra que le Maire autorise prĂ©alablement celle ci. Cette loi entrera en vigueur Ă  partir de la rentrĂ©e 2022. DorĂ©navant L131-5 du Code de l’éducation indique L’instruction obligatoire est donnĂ©e dans les Ă©tablissements ou Ă©coles publics ou privĂ©s. Elle peut Ă©galement, par dĂ©rogation, ĂȘtre dispensĂ©e dans la famille par les parents, par l’un d’entre eux ou par toute personne de leur choix, sur autorisation dĂ©livrĂ©e dans les conditions fixĂ©es Ă  l’article ». DĂšs lors, le rĂ©gime envisagĂ© de maniĂšre antĂ©rieure, guidĂ©e par le principe de libertĂ© de l’instruction, va ĂȘtre rĂ©duit Ă  un rĂ©gime dĂ©rogatoire. Cependant, l’instruction en famille se trouve au centre de deux principes. D’une part, la libertĂ© d’enseignement. D’autre part, le droit Ă  l’instruction de chaque enfant. Le contrĂŽle se dĂ©roule en plusieurs phases. 1- L’enquĂȘte administrative incombant au maire. D’aprĂšs l’article L131-6 du Code de l’éducation, la premiĂšre partie du contrĂŽle concernant l’instruction obligatoire incombe au maire, qui est chargĂ© de dresser chaque annĂ©e, la liste de tous les enfants rĂ©sidant dans sa commune et qui sont soumis Ă  l’obligation scolaire. ConcrĂštement, le maire procĂšde Ă  un contrĂŽle dĂšs la premiĂšre annĂ©e de l’instruction en famille, puis ensuite tous les deux ans. Quel est le but de cette enquĂȘte ? Dans sa version initiale, d’aprĂšs l’article L131-10 alinĂ©a 1er du Code de l’éducation, cette enquĂȘte a pour objectif d’établir quelles sont les raisons allĂ©guĂ©es par les personnes responsables de l’enfant, et s’il leur est donnĂ© une instruction dans la mesure compatible avec leur Ă©tat de santĂ© et les conditions de vie de la famille ». La loi du 24 aoĂ»t 2021 est venue remplacer l’objet de cette enquĂȘte au vu du changement de rĂ©gime opĂ©rĂ© sur l’instruction en famille. DĂ©sormais, l’enquĂȘte administrative aura pour objectif de vĂ©rifier la rĂ©alitĂ© des motifs avancĂ©s par les personnes responsables de l’enfant pour obtenir l’autorisation mentionnĂ©e Ă  l’article L131-5 ». A cette enquĂȘte administrative est couplĂ© un suivi mĂ©dical. En effet, un nouvel alinĂ©a prĂ©voit que Dans le cadre de cette requĂȘte, une attestation de suivi mĂ©dical est fournie par les personnes responsables de l’enfant ». Le rĂ©sultat de l’enquĂȘte est communiquĂ© Ă  l’autoritĂ© de l’état compĂ©tente en matiĂšre d’éducation. Afin de renforcer les modalitĂ©s de l’enquĂȘte administrative, l’article L131-6-1 dudit Code prĂ©voit que chaque enfant soumis Ă  l’obligation scolaire se voit attribuer un identifiant national. L’autoritĂ© de l’Etat est crĂ©anciĂšre d’une mission d’information en matiĂšre de risques de sanctions pĂ©nales encourues par les personnes responsables de l’enfant. En matiĂšre d’instruction en famille, vous l’aurez compris, il s’agira des parents. C’est justement cette autoritĂ© qui va se charger du deuxiĂšme volet du contrĂŽle de l’instruction obligatoire. 2- Le suivi par l’autoritĂ© de l’Etat. Cette deuxiĂšme partie du contrĂŽle a notamment Ă©tĂ© accrue par la loi du 18 dĂ©cembre 1998 tendant Ă  renforcer le contrĂŽle de l’obligation scolaire. Quelle est la frĂ©quence du suivi ? L’article L131-10 du Code de l’éducation dispose que L’autoritĂ© de l’Etat compĂ©tente en matiĂšre d’éducation doit au moins une fois par an, Ă  partir du troisiĂšme mois suivant la dĂ©claration d’instruction 
 ce contrĂŽle permet de s’assurer de l’acquisition progressive par l’enfant de chacun des domaines du socle commun de connaissances, de compĂ©tences et de culture dĂ©fini Ă  l’article L122-1-1 au regard des objectifs de connaissances et de compĂ©tences attendues Ă  la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolaritĂ© obligatoire. Il est adaptĂ© Ă  l’ñge de l’enfant et, lorsqu’il prĂ©sente un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant, Ă  ses besoins particuliers ». DĂšs lors, nous pouvons en conclure que le deuxiĂšme volet de l’enquĂȘte s’intĂ©resse Ă  la progression des connaissances de l’enfant, par rapport Ă  l’état de connaissances attendues dans un Ă©tablissement d’enseignement public ou privĂ©. L’autoritĂ© compĂ©tente va dans un premier temps, vĂ©rifier que l’instruction ne va pas au-delĂ  du cercle familial, c’est-Ă -dire qu’elle est donnĂ©e Ă  un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernĂ©s, qu’ils sont de la mĂȘme famille. Ce contrĂŽle est de nature pĂ©dagogique. Il doit normalement permettre de vĂ©rifier la maĂźtrise progressive de chacun des domaines du socle commun. D’aprĂšs l’article R131-13 du Code de l’éducation, le contrĂŽle est fait au regard des objectifs de connaissances et de compĂ©tences attendues Ă  la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolaritĂ© obligatoire, en tenant compte des mĂ©thodes pĂ©dagogiques retenues par l’établissement ou par les personnes responsables des enfants qui reçoivent l’instruction dans la famille ». L’article L131-10 dudit code prĂ©voit que le contrĂŽle est adaptĂ© Ă  l’ñge de l’enfant et, en prĂ©sence d’un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant, Ă  ses besoins particuliers. L’article R131-14 du Code de l’éducation prĂ©cise que lors du contrĂŽle, l’enfant effectue ensuite des exercices Ă©crits ou oraux, qui sont adaptĂ©s Ă  son Ăąge et son Ă©tat de santĂ©. Le Code de l’éducation prĂ©voit donc la prise en compte du statut particulier de certains enfants dans son contrĂŽle de l’instruction en famille et en fait donc une obligation lĂ©gale pour le contrĂŽleur. Ces contrĂŽles inopinĂ©s sont-ils lĂ©gaux ? Le Conseil d’Etat a validĂ© le nouveau dispositif de contrĂŽle inopinĂ© des familles assurant l’instruction Ă  domicile de leur enfant, instituĂ© par la loi pour une Ă©cole de la confiance [6]. InopinĂ© ne signifie pas que les intĂ©ressĂ©s ne sont pas prĂ©venues du jour et de l’heure de ce contrĂŽle. IV - Un affaiblissement du droit Ă  l’instruction en famille. La nouvelle rĂ©daction de l’article L131-5 du Code de l’éducation a Ă©tĂ© validĂ©e par le Conseil Constitutionnel, dans sa dĂ©cision du 23 aoĂ»t 2021, n°2021-823 DC. Le Conseil Constitutionnel rappelle que 
 L’instruction primaire est obligatoire 
 elle peut ĂȘtre donnĂ©e soit dans les Ă©tablissements d’instruction primaire ou secondaire, soit dans les Ă©coles publiques ou libres, soit dans les familles, par le pĂšre de famille lui-mĂȘme ou par toute personne qu’il aura choisie », selon l’article 4 de la loi du 28 mars 1882 portant sur l’organisation de l’enseignement primaire. Il rĂ©sulte cette loi que le lĂ©gislateur n’a fait de l’instruction en famille qu’une modalitĂ© de mise en Ɠuvre de l’instruction obligatoire. Ainsi il ajoute que l’instruction en famille n’est pas une composante de la libertĂ© de l’enseignement mais une modalitĂ© de mise en Ɠuvre de l’instruction obligatoire. Ce raisonnement est trĂšs critiquable car dans la cĂ©lĂšbre dĂ©cision du Conseil Constitutionnel du 16 juillet 1971, consacrant l’existence des principes fondamentaux reconnus par les lois de la rĂ©publique, le Conseil Constitutionnel avait censurĂ© une loi qui souhaitait faire passer le principe de la dĂ©claration prĂ©alable de la constitution des associations Ă  un rĂ©gime d’autorisation prĂ©alable [7]. Le raisonnement Ă©tait tout Ă  fait transposable Ă  la loi modifiant l’instruction en famille. Le Conseil Constitutionnel n’a pas saisi cette occasion pour renforcer l’instruction en famille. Surtout, de nombreux parents ont souhaitĂ© s’engager dans cette voie afin d’éviter les difficultĂ©s liĂ©es aux restrictions sanitaires port du masque et vaccination. Cette solution risque bientĂŽt de ne plus ĂȘtre possible. David Guyon, Avocat Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă  5 Ă  cet article L’avez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Article L131-1-1 du Code de l’Education. [2] Article L111-1 alinĂ©a 5. [3] Article 227-17 du Code pĂ©nal. [4] CEDH, dĂ©cision du 6 mars 1984, Famille H. c. Royaume-Uni, n°10233/83. [5] Conseil d’Etat Avis 29 novembre 2018 n°396047. [6] Conseil d’Etat, 2 avril 2020, n°435002. [7] Conseil Constitutionnel 16 juillet 1971 n°71-44.
ArticleL.131-6 du code de l’éducation. Article L. 212-7 du code de l’éducation. Loi n° 83-663 du 22 juillet 1983, art. 27 / art. L. 521-3 du code de l’éducation. Le maire dresse chaque annĂ©e la liste des enfants ayant atteint l’ñge de l’obligation scolaire. Il dĂ©termine le ressort gĂ©ographique de chaque Ă©cole de la commune. Il dĂ©livre aux familles le certificat d

Article L131-13 - Code de l'éducation »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du

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18Article L.131-1-1 du Code de l’éducation : “ cette instruction obligatoire est assurĂ©e prioritairement dans les Ă©tablissements d'enseignement” 19 CEDH, Konrad et autres c. Allemagne (dĂ©c.), no 35504/03, 11 septembre 2006. 20 Note DAJ A1 n ° 2020-0507 du 7 mai 2020. 21 TA Toulouse, 5 juin 2020, n° 2002139 ; TA Dijon, 9 juin 2020, n° 2001358 ; TA La RĂ©union, 11 juin Actions sur le document Article R914-131 Les dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a de l'article L. 84 et des articles L. 85L. 85 et L. 86-1L. 86-1 du code des pensions civiles et militaires de retraites sont applicables aux titulaires des avantages temporaires de retraite. Toutefois, sont seuls pris en compte pour leur application les revenus d'activitĂ© servis directement ou indirectement par l'Etat, les collectivitĂ©s territoriales ou leurs Ă©tablissements publics. Par dĂ©rogation aux dispositions du premier alinĂ©a du prĂ©sent article, peuvent cumuler intĂ©gralement les avantages temporaires de retraite avec des revenus d'activitĂ© les personnes mentionnĂ©es au 2° de l'article R. 914-121. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012 47Aux termes de l’article L. 131-2 du Code de l’éducation l’obligation d’instruction peut ĂȘtre satisfaite soit par la scolarisation dans un Ă©tablissement public ou privĂ© soit « dans les familles par les parents ou l’un d’entre eux ou toute personne de leur choix ». L’option pour tel ou tel mode d’instruction peut, Ă  l’évidence, reposer sur une motivation religieuse LOI D’ORIENTATION ET DE PROGRAMME POUR L’AVENIR DE L’ÉCOLE LOI D’ORIENTATION ET DE PROGRAMME POUR L’AVENIR DE L’ÉCOLE L. n° 2005-380 du 23-4-2005. JO du 24-4-2005 NOR MENX0400282L RLR 190-1 Ă  190-9 MEN - DESCO L’AssemblĂ©e nationale et le SĂ©nat ont adoptĂ©, Vu la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2005-512 DC du 21 avril 2005 ; Le PrĂ©sident de la RĂ©publique promulgue la loi dont la teneur suit Article 1Les livres Ier, II, III, IV, VI, VII et IX du code de l’éducation sont modifiĂ©s conformĂ©ment aux dispositions des titres Ier et II de la prĂ©sente loi. TITRE I - DISPOSITIONS GÉNÉRALES Chapitre Ier - Principes gĂ©nĂ©raux de l’éducation Article 2 I - AprĂšs le premier alinĂ©a de l’article L. 111-1 du code de l’éducation, sont insĂ©rĂ©s deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “Outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission premiĂšre Ă  l’école de faire partager aux Ă©lĂšves les valeurs de la RĂ©publique. Dans l’exercice de leurs fonctions, les personnels mettent en Ɠuvre ces valeurs.” II - Le troisiĂšme alinĂ©a du mĂȘme article est ainsi rĂ©digĂ© “Pour garantir ce droit dans le respect de l’égalitĂ© des chances, des aides sont attribuĂ©es aux Ă©lĂšves et aux Ă©tudiants selon leurs ressources et leurs mĂ©rites. La rĂ©partition des moyens du service public de l’éducation tient compte des diffĂ©rences de situation, notamment en matiĂšre Ă©conomique et sociale.” Article 3 L’article L. 111-3 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 111-3 - Dans chaque Ă©cole, collĂšge ou lycĂ©e, la communautĂ© Ă©ducative rassemble les Ă©lĂšves et tous ceux qui, dans l’établissement scolaire ou en relation avec lui, participent Ă  l’accomplissement de ses missions. Elle rĂ©unit les personnels des Ă©coles et Ă©tablissements, les parents d’élĂšves, les collectivitĂ©s territoriales ainsi que les acteurs institutionnels, Ă©conomiques et sociaux, associĂ©s au service public de l’éducation.” Article 4 Le dernier alinĂ©a de l’article L. 113-1 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par les mots “et dans les rĂ©gions d’outre-mer”. Article 5 Dans la deuxiĂšme phrase de l’article L. 121-1 du code de l’éducation, aprĂšs le mot “favoriser”, sont insĂ©rĂ©s les mots “la mixitĂ© et”. Article 6 La deuxiĂšme phrase de l’article L. 121-1 du code de l’éducation est complĂ©tĂ©e par les mots “notamment en matiĂšre d’orientation”. Article 7 I - L’article L. 122-1 du code de l’éducation devient l’article L. 131-1-1. II - [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă  la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2005-512 DC du 21 avril 2005.] Article 8 I - Dans les articles L. 131-10, L. 312-15, L. 442-2 et L. 442-3 du code de l’éducation, la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1” est remplacĂ©e par la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1-1”. II - Au second alinĂ©a de l’article 227-17-1 du code pĂ©nal, les mots “l’article L. 131-10” sont remplacĂ©s par les mots “les articles L. 131-1-1 et L. 131-10”. Article 9 AprĂšs l’article L. 122-1 du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un article L. 122-1-1 ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 122-1-1 - La scolaritĂ© obligatoire doit au moins garantir Ă  chaque Ă©lĂšve les moyens nĂ©cessaires Ă  l’acquisition d’un socle commun constituĂ© d’un ensemble de connaissances et de compĂ©tences qu’il est indispensable de maĂźtriser pour accomplir avec succĂšs sa scolaritĂ©, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnel et rĂ©ussir sa vie en sociĂ©tĂ©. Ce socle comprend - la maĂźtrise de la langue française ; - la maĂźtrise des principaux Ă©lĂ©ments de mathĂ©matiques ; - une culture humaniste et scientifique permettant le libre exercice de la citoyennetĂ© ; - la pratique d’au moins une langue vivante Ă©trangĂšre ; - la maĂźtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication. Ces connaissances et compĂ©tences sont prĂ©cisĂ©es par dĂ©cret pris aprĂšs avis du Haut Conseil de l’éducation. L’acquisition du socle commun par les Ă©lĂšves fait l’objet d’une Ă©valuation, qui est prise en compte dans la poursuite de la scolaritĂ©. Le Gouvernement prĂ©sente tous les trois ans au Parlement un rapport sur la maniĂšre dont les programmes prennent en compte le socle commun et sur la maĂźtrise de celui-ci par les Ă©lĂšves au cours de leur scolaritĂ© obligatoire. ParallĂšlement Ă  l’acquisition du socle commun, d’autres enseignements sont dispensĂ©s au cours de la scolaritĂ© obligatoire.” Article 10 L’article L. 122-2 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “Tout mineur non Ă©mancipĂ© dispose du droit de poursuivre sa scolaritĂ© au-delĂ  de l’ñge de seize ans. Lorsque les personnes responsables d’un mineur non Ă©mancipĂ© s’opposent Ă  la poursuite de sa scolaritĂ© au-delĂ  de l’ñge de seize ans, une mesure d’assistance Ă©ducative peut ĂȘtre ordonnĂ©e dans les conditions prĂ©vues aux articles 375 et suivants du code civil afin de garantir le droit de l’enfant Ă  l’éducation.”Article 11 L’article L. 131-2 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Un service public de l’enseignement Ă  distance est organisĂ© notamment pour assurer l’instruction des enfants qui ne peuvent ĂȘtre scolarisĂ©s dans une Ă©cole ou dans un Ă©tablissement scolaire.” Article 12 [Dispositions dĂ©clarĂ©es non conformes Ă  la Constitution par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2005-512 DC du 21 avril 2005.] Chapitre II - L’administration de l’éducation Article 13 Dans la seconde phrase de l’article L. 216-4 du code de l’éducation, les mots “dĂ©signe la collectivitĂ©â€ sont remplacĂ©s par les mots “dĂ©signe, en tenant compte du nombre d’élĂšves Ă  la charge de chacune de ces collectivitĂ©s, celle”. Article 14 Au dĂ©but du titre III du livre II du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un chapitre prĂ©liminaire ainsi rĂ©digĂ© “Chapitre prĂ©liminaire - Le Haut Conseil de l’éducation Art. L. 230-1 - Le Haut Conseil de l’éducation est composĂ© de neuf membres dĂ©signĂ©s pour six ans. Trois de ses membres sont dĂ©signĂ©s par le prĂ©sident de la RĂ©publique, deux par le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale, deux par le prĂ©sident du SĂ©nat et deux par le prĂ©sident du Conseil Ă©conomique et social en dehors des membres de ces assemblĂ©es. Le prĂ©sident du haut conseil est dĂ©signĂ© par le prĂ©sident de la RĂ©publique parmi ses membres. Art. L. 230-2 - Le Haut Conseil de l’éducation Ă©met un avis et peut formuler des propositions Ă  la demande du ministre chargĂ© de l’éducation nationale sur les questions relatives Ă  la pĂ©dagogie, aux programmes, aux modes d’évaluation des connaissances des Ă©lĂšves, Ă  l’organisation et aux rĂ©sultats du systĂšme Ă©ducatif et Ă  la formation des enseignants. Ses avis et propositions sont rendus publics. Art. L. 230-3 - Le Haut Conseil de l’éducation remet chaque annĂ©e au PrĂ©sident de la RĂ©publique un bilan, qui est rendu public, des rĂ©sultats obtenus par le systĂšme Ă©ducatif. Ce bilan est transmis au Parlement.” Article 15 L’article L. 311-5 du code de l’éducation est abrogĂ© Ă  compter de l’installation du Haut Conseil de l’éducation. Chapitre III - L’organisation des enseignements scolaires Article 16 AprĂšs l’article L. 311-3 du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un article L. 311-3-1 ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 311-3-1 - À tout moment de la scolaritĂ© obligatoire, lorsqu’il apparaĂźt qu’un Ă©lĂšve risque de ne pas maĂźtriser les connaissances et les compĂ©tences indispensables Ă  la fin d’un cycle, le directeur d’école ou le chef d’établissement propose aux parents ou au responsable lĂ©gal de l’élĂšve de mettre conjointement en place un programme personnalisĂ© de rĂ©ussite Ă©ducative.” Article 17 L’article L. 311-7 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Au terme de chaque annĂ©e scolaire, Ă  l’issue d’un dialogue et aprĂšs avoir recueilli l’avis des parents ou du responsable lĂ©gal de l’élĂšve, le conseil des maĂźtres dans le premier degrĂ© ou le conseil de classe prĂ©sidĂ© par le chef d’établissement dans le second degrĂ© se prononce sur les conditions dans lesquelles se poursuit la scolaritĂ© de l’élĂšve. S’il l’estime nĂ©cessaire, il propose la mise en place d’un dispositif de soutien, notamment dans le cadre d’un programme personnalisĂ© de rĂ©ussite Ă©ducative.” Article 18 Dans la premiĂšre phrase du premier alinĂ©a de l’article L. 312-15 du code de l’éducation, aprĂšs les mots “une formation”, sont insĂ©rĂ©s les mots “aux valeurs de la RĂ©publique,”. Article 19 AprĂšs la section 3 bis du chapitre II du titre Ier du livre III de la deuxiĂšme partie du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© une section 3 ter ainsi rĂ©digĂ©e “Section 3 ter - L’enseignement des langues vivantes Ă©trangĂšres Art. L. 312-9-2 - Il est instituĂ©, dans chaque acadĂ©mie, une commission sur l’enseignement des langues, placĂ©e auprĂšs du recteur. Celle-ci comprend des reprĂ©sentants de l’administration, des personnels et des usagers de l’éducation nationale, des reprĂ©sentants des collectivitĂ©s territoriales concernĂ©es et des milieux Ă©conomiques et professionnels. Cette commission est chargĂ©e de veiller Ă  la diversitĂ© de l’offre de langues, Ă  la cohĂ©rence et Ă  la continuitĂ© des parcours de langues proposĂ©s, de diffuser une information aux Ă©tablissements, aux Ă©lus, aux parents et aux Ă©lĂšves sur l’offre linguistique, d’actualiser cette offre en fonction des besoins identifiĂ©s et de vĂ©rifier l’adĂ©quation de l’offre de langues avec les spĂ©cificitĂ©s locales. Chaque annĂ©e, la commission Ă©tablit un bilan de l’enseignement et peut faire des propositions d’amĂ©nagement de la carte acadĂ©mique des langues.” Article 20 Le premier alinĂ©a de l’article L. 312-10 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Un enseignement de langues et cultures rĂ©gionales peut ĂȘtre dispensĂ© tout au long de la scolaritĂ© selon des modalitĂ©s dĂ©finies par voie de convention entre l’État et les collectivitĂ©s territoriales oĂč ces langues sont en usage.” Article 21 Dans le premier alinĂ©a de l’article L. 313-1 du code de l’éducation, les mots “et sur les professions “ sont remplacĂ©s par les mots “, sur les professions ainsi que sur les dĂ©bouchĂ©s et les perspectives professionnels” . Article 22 L’article L. 312-8 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Dans le premier alinĂ©a, les mots “Haut ComitĂ© des enseignements artistiques” sont remplacĂ©s par les mots “Haut Conseil de l’éducation artistique et culturelle” ; 2° Dans le premier et le deuxiĂšme alinĂ©a, les mots “des enseignements artistiques” sont remplacĂ©s par les mots “de l’éducation artistique et culturelle”, et dans le deuxiĂšme et le troisiĂšme alinĂ©a, les mots “Haut ComitĂ©â€ sont remplacĂ©s par les mots “Haut Conseil”. Article 23 Le second alinĂ©a de l’article L. 313-1 du code de l’éducation est remplacĂ© par deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “L’orientation et les formations proposĂ©es aux Ă©lĂšves tiennent compte de leurs aspirations, de leurs aptitudes et des perspectives professionnelles liĂ©es aux besoins prĂ©visibles de la sociĂ©tĂ©, de l’économie et de l’amĂ©nagement du territoire. Dans ce cadre, les Ă©lĂšves Ă©laborent leur projet d’orientation scolaire et professionnelle avec l’aide des parents, des enseignants, des personnels d’orientation et des autres professionnels compĂ©tents. Les administrations concernĂ©es, les collectivitĂ©s territoriales, les organisations professionnelles, les entreprises et les associations y contribuent.” Section 1 - Enseignement du premier degrĂ© Article 24 Le premier alinĂ©a de l’article L. 321-2 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par une phrase ainsi rĂ©digĂ©e “La mission Ă©ducative de l’école maternelle comporte une premiĂšre approche des outils de base de la connaissance, prĂ©pare les enfants aux apprentissages fondamentaux dispensĂ©s Ă  l’école Ă©lĂ©mentaire et leur apprend les principes de la vie en sociĂ©tĂ©.” Article 25 Dans la deuxiĂšme phrase du dernier alinĂ©a de l’article L. 321-3 du code de l’éducation, aprĂšs les mots “Elle offre”, sont insĂ©rĂ©s les mots “un premier apprentissage d’une langue vivante Ă©trangĂšre et”. Article 26 AprĂšs les mots â€œĂ©ducation morale et”, la fin de la derniĂšre phrase du dernier alinĂ©a de l’article L. 321-3 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ©e “offre un enseignement d’éducation civique qui comporte obligatoirement l’apprentissage de l’hymne national et de son histoire.” Article 27 L’article L. 321-4 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 321-4 - Dans les Ă©coles, des amĂ©nagements particuliers et des actions de soutien sont prĂ©vus au profit des Ă©lĂšves qui Ă©prouvent des difficultĂ©s, notamment les Ă©lĂšves atteints de troubles spĂ©cifiques du langage oral et/ou Ă©crit, telle la dyslexie. Lorsque ces difficultĂ©s sont graves et permanentes, les Ă©lĂšves reçoivent un enseignement adaptĂ©. Des amĂ©nagements appropriĂ©s sont prĂ©vus au profit des Ă©lĂšves intellectuellement prĂ©coces ou manifestant des aptitudes particuliĂšres, afin de leur permettre de dĂ©velopper pleinement leurs potentialitĂ©s. La scolaritĂ© peut ĂȘtre accĂ©lĂ©rĂ©e en fonction du rythme d’apprentissage de l’élĂšve. Des actions particuliĂšres sont prĂ©vues pour l’accueil et la scolarisation des Ă©lĂšves non francophones nouvellement arrivĂ©s en France. Pour l’application des dispositions du prĂ©sent article, des Ă©tablissements scolaires peuvent se regrouper pour proposer des structures d’accueil adaptĂ©es.” Section 2 - Enseignement du second degrĂ© Article 28 AprĂšs le deuxiĂšme alinĂ©a de l’article L. 331-1 du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Les jurys des examens conduisant Ă  la dĂ©livrance du diplĂŽme national du brevet option internationale et du baccalaurĂ©at option internationale peuvent comprendre des membres de corps d’inspection ou d’enseignement Ă©trangers. Les jurys des baccalaurĂ©ats binationaux peuvent comprendre des membres de corps d’inspection ou d’enseignement des pays concernĂ©s.” Article 29 Le troisiĂšme alinĂ©a de l’article L. 331-1 du code de l’éducation est remplacĂ© par deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “En vue de la dĂ©livrance des diplĂŽmes, il peut ĂȘtre tenu compte, Ă©ventuellement en les combinant, des rĂ©sultats d’examens terminaux, des rĂ©sultats des contrĂŽles en cours de formation, des rĂ©sultats du contrĂŽle continu des connaissances, et de la validation des acquis de l’expĂ©rience. Lorsqu’une part de contrĂŽle continu est prise en compte pour la dĂ©livrance d’un diplĂŽme national, l’évaluation des connaissances des candidats s’effectue dans le respect des conditions d’équitĂ©.” Article 30 La deuxiĂšme phrase du dernier alinĂ©a de l’article L. 331-7 du code de l’éducation est complĂ©tĂ©e par les mots “, en liaison avec les collectivitĂ©s territoriales”. Article 31 L’article L. 332-4 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par trois alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “Des amĂ©nagements appropriĂ©s sont prĂ©vus au profit des Ă©lĂšves intellectuellement prĂ©coces ou manifestant des aptitudes particuliĂšres, afin de leur permettre de dĂ©velopper pleinement leurs potentialitĂ©s. La scolaritĂ© peut ĂȘtre accĂ©lĂ©rĂ©e en fonction du rythme d’apprentissage de l’élĂšve. Des actions particuliĂšres sont prĂ©vues pour l’accueil et la scolarisation des Ă©lĂšves non francophones nouvellement arrivĂ©s en France. Pour l’application des dispositions du prĂ©sent article, des Ă©tablissements scolaires peuvent se regrouper pour proposer des structures d’accueil adaptĂ©es.” Article 32 AprĂšs l’article L. 332-5 du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un article L. 332-6 ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 332-6 - Le diplĂŽme national du brevet sanctionne la formation acquise Ă  l’issue de la scolaritĂ© suivie dans les collĂšges ou dans les classes de niveau Ă©quivalent situĂ©es dans d’autres Ă©tablissements. Il atteste la maĂźtrise des connaissances et des compĂ©tences dĂ©finies Ă  l’article L. 122-l-1, intĂšgre les rĂ©sultats de l’enseignement d’éducation physique et sportive et prend en compte, dans des conditions dĂ©terminĂ©es par dĂ©cret, les autres enseignements suivis par les Ă©lĂšves selon leurs capacitĂ©s et leurs intĂ©rĂȘts. Il comporte une note de vie scolaire. Des mentions sont attribuĂ©es aux laurĂ©ats qui se distinguent par la qualitĂ© de leurs rĂ©sultats. Des bourses au mĂ©rite, qui s’ajoutent aux aides Ă  la scolaritĂ© prĂ©vues au titre III du livre V, sont attribuĂ©es, sous conditions de ressources et dans des conditions dĂ©terminĂ©es par dĂ©cret, aux laurĂ©ats qui obtiennent une mention ou Ă  d’autres Ă©lĂšves mĂ©ritants.” Article 33 AprĂšs le deuxiĂšme alinĂ©a de l’article L. 335-1 du code de l’éducation, sont insĂ©rĂ©s deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “Un label de “lycĂ©e des mĂ©tiers peut ĂȘtre dĂ©livrĂ© par l’État aux Ă©tablissements d’enseignement qui remplissent des critĂšres dĂ©finis par un cahier des charges national. Ces Ă©tablissements comportent notamment des formations technologiques et professionnelles dont l’identitĂ© est construite autour d’un ensemble cohĂ©rent de mĂ©tiers. Les enseignements y sont dispensĂ©s en formation initiale sous statut scolaire, en apprentissage et en formation continue. Ils prĂ©parent une gamme Ă©tendue de diplĂŽmes et titres nationaux allant du certificat d’aptitude professionnelle aux diplĂŽmes d’enseignement supĂ©rieur. Ces Ă©tablissements offrent Ă©galement des services de validation des acquis de l’expĂ©rience. Les autres caractĂ©ristiques de ce cahier des charges, ainsi que la procĂ©dure et la durĂ©e de dĂ©livrance du label de “lycĂ©e des mĂ©tiers sont dĂ©finies par dĂ©cret. La liste des Ă©tablissements ayant obtenu le label est rĂ©guliĂšrement publiĂ©e par arrĂȘtĂ© du ministre chargĂ© de l’éducation nationale.” Chapitre IV - Dispositions relatives aux Ă©coles et aux Ă©tablissements d’enseignement scolaire Article 34 I - Au dĂ©but du livre IV du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© un titre prĂ©liminaire ainsi rĂ©digĂ© “Titre prĂ©liminaire - Dispositions communes Art. L. 401-1 - Dans chaque Ă©cole et Ă©tablissement d’enseignement scolaire public, un projet d’école ou d’établissement est Ă©laborĂ© avec les reprĂ©sentants de la communautĂ© Ă©ducative. Le projet est adoptĂ©, pour une durĂ©e comprise entre trois et cinq ans, par le conseil d’école ou le conseil d’administration, sur proposition de l’équipe pĂ©dagogique de l’école ou du conseil pĂ©dagogique de l’établissement pour ce qui concerne sa partie pĂ©dagogique. Le projet d’école ou d’établissement dĂ©finit les modalitĂ©s particuliĂšres de mise en Ɠuvre des objectifs et des programmes nationaux et prĂ©cise les activitĂ©s scolaires et pĂ©riscolaires qui y concourent. Il prĂ©cise les voies et moyens qui sont mis en Ɠuvre pour assurer la rĂ©ussite de tous les Ă©lĂšves et pour associer les parents Ă  cette fin. Il dĂ©termine Ă©galement les modalitĂ©s d’évaluation des rĂ©sultats atteints. Sous rĂ©serve de l’autorisation prĂ©alable des autoritĂ©s acadĂ©miques, le projet d’école ou d’établissement peut prĂ©voir la rĂ©alisation d’expĂ©rimentations, pour une durĂ©e maximum de cinq ans, portant sur l’enseignement des disciplines, l’interdisciplinaritĂ©, l’organisation pĂ©dagogique de la classe, de l’école ou de l’établissement, la coopĂ©ration avec les partenaires du systĂšme Ă©ducatif, les Ă©changes ou le jumelage avec des Ă©tablissements Ă©trangers d’enseignement scolaire. Ces expĂ©rimentations font l’objet d’une Ă©valuation annuelle. Le Haut Conseil de l’éducation Ă©tablit chaque annĂ©e un bilan des expĂ©rimentations menĂ©es en application du prĂ©sent article. Art. L. 401-2 - Dans chaque Ă©cole et Ă©tablissement d’enseignement scolaire public, le rĂšglement intĂ©rieur prĂ©cise les conditions dans lesquelles est assurĂ© le respect des droits et des devoirs de chacun des membres de la communautĂ© Ă©ducative.” II - L’article L. 411-2 du mĂȘme code est abrogĂ©. Article 35 AprĂšs la premiĂšre phrase de l’article L. 411-1 du code de l’éducation, il est insĂ©rĂ© une phrase ainsi rĂ©digĂ©e “Un dĂ©cret en Conseil d’État fixe les conditions de recrutement, de formation et d’exercice des fonctions spĂ©cifiques des directeurs d’école maternelle et Ă©lĂ©mentaire.” Article 36 L’article L. 421-4 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par deux alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “4° Il se prononce sur le contrat d’objectifs conclu entre l’établissement et l’autoritĂ© acadĂ©mique, aprĂšs en avoir informĂ© la collectivitĂ© territoriale de rattachement. Le conseil d’administration peut dĂ©lĂ©guer certaines de ses attributions Ă  une commission permanente.” Article 37 Le second alinĂ©a de l’article L. 421-7 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Les collĂšges, lycĂ©es et centres de formation d’apprentis, publics et privĂ©s sous contrat, relevant de l’éducation nationale, de l’enseignement agricole ou d’autres statuts, peuvent s’associer au sein de rĂ©seaux, au niveau d’un bassin de formation, pour faciliter les parcours scolaires, permettre une offre de formation cohĂ©rente, mettre en Ɠuvre des projets communs et des politiques de partenariats, en relation avec les collectivitĂ©s territoriales et leur environnement Ă©conomique, culturel et social.” Article 38 L’article L. 421-5 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 421-5 - Dans chaque Ă©tablissement public local d’enseignement, est instituĂ© un conseil pĂ©dagogique. Ce conseil, prĂ©sidĂ© par le chef d’établissement, rĂ©unit au moins un professeur principal de chaque niveau d’enseignement, au moins un professeur par champ disciplinaire, un conseiller principal d’éducation et, le cas Ă©chĂ©ant, le chef de travaux. Il a pour mission de favoriser la concertation entre les professeurs, notamment pour coordonner les enseignements, la notation et l’évaluation des activitĂ©s scolaires. Il prĂ©pare la partie pĂ©dagogique du projet d’établissement.” Article 39 Sur proposition de leur chef d’établissement, les lycĂ©es d’enseignement technologique ou professionnel peuvent mener, pour une durĂ©e maximum de cinq ans, une expĂ©rimentation permettant au conseil d’administration de dĂ©signer son prĂ©sident parmi les personnalitĂ©s extĂ©rieures Ă  l’établissement siĂ©geant en son sein. Cette expĂ©rimentation donnera lieu Ă  une Ă©valuation. Article 40 Le dernier alinĂ©a 5° du I de l’article L. 241-4 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par une phrase ainsi rĂ©digĂ©e “Toutefois, les dĂ©lĂ©guĂ©s dĂ©partementaux de l’éducation nationale ne peuvent exercer leur mission que dans des Ă©tablissements autres que ceux de leur commune ou, Ă  Paris, Lyon et Marseille, de leur arrondissement de rĂ©sidence.” Article 41 L’article L. 422-3 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “L’École supĂ©rieure des arts appliquĂ©s aux industries de l’ameublement et d’architecture intĂ©rieure Boulle, l’École supĂ©rieure des arts appliquĂ©s DuperrĂ© et l’École supĂ©rieure des arts et industries graphiques Estienne sont transformĂ©es en Ă©tablissements publics locaux d’enseignement, conformĂ©ment aux dispositions de l’article L. 421-1, Ă  la demande de la commune de Paris. Par dĂ©rogation aux dispositions de l’article L. 214-6, la commune de Paris assume la charge de ces Ă©tablissements. Elle exerce au lieu et place de la rĂ©gion les compĂ©tences dĂ©volues par le prĂ©sent code Ă  la collectivitĂ© de rattachement.”Chapitre V - Dispositions relatives aux formations supĂ©rieures et Ă  la formation des maĂźtres Article 42 Le premier alinĂ©a de l’article L. 614-1 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par les mots “, et du respect des engagements europĂ©ens”.Article 43 I - L’intitulĂ© du titre II du livre VI du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Les formations universitaires gĂ©nĂ©rales et la formation des maĂźtres”. II - Le mĂȘme titre est complĂ©tĂ© par un chapitre V ainsi rĂ©digĂ© “Chapitre V - Formation des maĂźtres Art. L. 625-1 - La formation des maĂźtres est assurĂ©e par les instituts universitaires de formation des maĂźtres. Ces instituts accueillent Ă  cette fin des Ă©tudiants prĂ©parant les concours d’accĂšs aux corps des personnels enseignants et les stagiaires admis Ă  ces concours. La formation dispensĂ©e dans les instituts universitaires de formation des maĂźtres rĂ©pond Ă  un cahier des charges fixĂ© par arrĂȘtĂ© des ministres chargĂ©s de l’enseignement supĂ©rieur et de l’éducation nationale aprĂšs avis du Haut Conseil de l’éducation. Elle fait alterner des pĂ©riodes de formation thĂ©orique et des pĂ©riodes de formation pratique.” Article 44 Dans la premiĂšre phrase du deuxiĂšme alinĂ©a de l’article L. 713-9 du code de l’éducation, aprĂšs les mots “personnalitĂ©s extĂ©rieures”, sont insĂ©rĂ©s les mots “, dont un ou plusieurs reprĂ©sentants des acteurs Ă©conomiques”. Article 45 I - Les deux premiers alinĂ©as de l’article L. 721-1 du code de l’éducation sont remplacĂ©s par trois alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s “Les instituts universitaires de formation des maĂźtres sont rĂ©gis par les dispositions de l’article L. 713-9 et sont assimilĂ©s, pour l’application de ces dispositions, Ă  des Ă©coles faisant partie des universitĂ©s. Des conventions peuvent ĂȘtre conclues, en tant que de besoin, avec d’autres Ă©tablissements d’enseignement supĂ©rieur. D’ici 2010, le ComitĂ© national d’évaluation des Ă©tablissements publics Ă  caractĂšre scientifique, culturel et professionnel procĂšde Ă  une Ă©valuation des modalitĂ©s et des rĂ©sultats de l’intĂ©gration des instituts universitaires de formation des maĂźtres au sein des universitĂ©s, notamment au regard des objectifs qui leur sont fixĂ©s.” II - L’article L. 721-3 du mĂȘme code est 46 Dans l’article L. 721-2 du code de l’éducation, aprĂšs les mots “peuvent organiser”, les mots “, Ă  titre expĂ©rimental,” sont supprimĂ©s. Chapitre VI - Dispositions relatives au personnel enseignant Article 47 L’article L. 912-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Le deuxiĂšme alinĂ©a est complĂ©tĂ© par les mots “et aux formations par apprentissage” ; 2° AprĂšs le deuxiĂšme alinĂ©a, il est insĂ©rĂ© un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Ils contribuent Ă  la continuitĂ© de l’enseignement sous l’autoritĂ© du chef d’établissement en assurant des enseignements complĂ©mentaires.” Article 48 AprĂšs l’article L. 912-1 du code de l’éducation, sont insĂ©rĂ©s trois articles L. 912-1-1 Ă  L. 912-1-3 ainsi rĂ©digĂ©s “Art. L. 912-1-1 - La libertĂ© pĂ©dagogique de l’enseignant s’exerce dans le respect des programmes et des instructions du ministre chargĂ© de l’éducation nationale et dans le cadre du projet d’école ou d’établissement avec le conseil et sous le contrĂŽle des membres des corps d’inspection. Le conseil pĂ©dagogique prĂ©vu Ă  l’article L. 421-5 ne peut porter atteinte Ă  cette libertĂ©. Art. L. 912-1-2 - Lorsqu’elle correspond Ă  un projet personnel concourant Ă  l’amĂ©lioration des enseignements et approuvĂ© par le recteur, la formation continue des enseignants s’accomplit en prioritĂ© en dehors des obligations de service d’enseignement et peut donner lieu Ă  une indemnisation dans des conditions fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d’État. Art. L. 912-1-3 - La formation continue des enseignants est prise en compte dans la gestion de leur carriĂšre.” Article 49 Le premier alinĂ©a de l’article L. 913-1 du code de l’éducation est complĂ©tĂ© par une phrase ainsi rĂ©digĂ©e “Ils jouent un rĂŽle Ă©ducatif en liaison avec les enseignants.” Article 50 L’article L. 932-2 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 932-2 - Dans les Ă©tablissements publics locaux d’enseignement, il peut ĂȘtre fait appel Ă  des professeurs associĂ©s. Les professeurs associĂ©s sont recrutĂ©s Ă  temps plein ou Ă  temps incomplet. Ils doivent justifier d’une expĂ©rience professionnelle d’une durĂ©e de cinq ans. Ils sont recrutĂ©s par contrat, pour une durĂ©e limitĂ©e, dans des conditions fixĂ©es par dĂ©cret. Celui-ci dĂ©termine les conditions de prioritĂ© accordĂ©e aux demandeurs d’emploi de plus de trois mois.” Chapitre VII - Dispositions applicables Ă  certains Ă©tablissements d’enseignement Section 1 - Établissements d’enseignements privĂ©s sous contrat Article 51 L’article L. 442-20 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les rĂ©fĂ©rences “L. 311-1 Ă  L. 311-6” sont remplacĂ©es par les rĂ©fĂ©rences “L. 131-1-1, L. 230-1, L. 230-2, L. 230-3, L. 311-1 Ă  L. 311-4, L. 311-6, L. 311-7” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 332-4,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 332-6,”. Section 2 - Établissements français d’enseignement Ă  l’étranger Article 52 L’article L. 451-1 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 451-1 - Des dĂ©crets en Conseil d’État fixent les conditions dans lesquelles les dispositions du prĂ©sent code sont appliquĂ©es aux Ă©tablissements scolaires français Ă  l’étranger, compte tenu de leur situation particuliĂšre et des accords conclus avec des États Ă©trangers.” TITRE II - DISPOSITIONS RELATIVES À L’OUTRE-MER Chapitre Ier - Application dans les Ăźles Wallis-et-Futuna Article 53 La prĂ©sente loi est applicable dans les Ăźles Wallis-et-Futuna, Ă  l’exception des articles 4, 10, 13, 19, 20, 22, 33, 36, 38, 41, 46, 50 et 89. Article 54 Le premier alinĂ©a de l’article L. 161-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les mots “et cinquiĂšme” sont remplacĂ©s par les mots “, quatriĂšme, cinquiĂšme et septiĂšme”; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1-1,”, et aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 123-9,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1-1,”. Article 55 À l’article L. 261-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 216-10,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 230-1 Ă  L. 230-3,”. Article 56 L’article L. 371-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° La rĂ©fĂ©rence “L. 311-6” est remplacĂ©e par les rĂ©fĂ©rences “L. 311-4, L. 311-7” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 332-5,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 332-6,”. Article 57 L’article L. 491-1 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 491-1 - Sont applicables dans les Ăźles Wallis-et-Futuna les articles L. 401-1, L. 401-2, L. 411-1 et L. 411-3, L. 421-7 Ă  L. 421-10 et L. 423-1 Ă  L. 423-3.” Article 58 À l’article L. 681-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 624-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 625-1,”. Article 59 À l’article L. 771-1 du code de l’éducation, la rĂ©fĂ©rence “L. 721-3,” est supprimĂ©e. Article 60 À l’article L. 971-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 912-1,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 912-1-1, L. 912-1-2, L. 912-l-3,”. Chapitre II - Application Ă  Mayotte Article 61 La prĂ©sente loi est applicable Ă  Mayotte, Ă  l’exception des articles 3, 4, 13, 19, 20, 22, 33, 36, 38, 41, 42, 44, 50 et 89. Article 62 L’article L. 162-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les mots “et cinquiĂšme” sont remplacĂ©s par les mots “, quatriĂšme, cinquiĂšme et septiĂšme” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1-1,”, et aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1-1,”. Article 63 À l’article L. 262-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 216-10,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 230-1 Ă  L. 230-3,”. Article 64 L’article L. 372-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° La rĂ©fĂ©rence “L. 311-6” est remplacĂ©e par les rĂ©fĂ©rences “L. 311-4, L. 311-7” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 332-5,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 332-6,”. Article 65 L’article L. 492-1 du code de l’éducation est ainsi rĂ©digĂ© “Art. L. 492-1 - Sont applicables Ă  Mayotte les articles L. 401-1, L. 401-2, L. 411-1, L. 411-3, L. 421-7 Ă  L. 421-10, L. 423-1 Ă  L. 423-3, L. 442-6, L. 442-7 et L. 463-1 Ă  L. 463-7.” Article 66 À l’article L. 682-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 624-2,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 625-1,”. Article 67 À l’article L. 772-1 du code de l’éducation, la rĂ©fĂ©rence “à L. 721-3” est remplacĂ©e par la rĂ©fĂ©rence “et L. 721-2”. Article 68 À l’article L. 972-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 912-1,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 912-1-1, L. 912-1-2, L. 912-1-3,”. Chapitre III - Application en PolynĂ©sie française Article 69 La prĂ©sente loi, Ă  l’exception des articles 4, 10, 13, 16, 17, 19, 22, 24 Ă  27, 30, 31, 33 Ă  41, 46, 50 et 89, est applicable en PolynĂ©sie française. Le dernier alinĂ©a de l’article 32 est applicable en PolynĂ©sie française sans prĂ©judice de l’exercice de leurs compĂ©tences par les autoritĂ©s locales. Article 70 L’article L. 163-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les mots “et cinquiĂšme” sont remplacĂ©s par les mots “, quatriĂšme, cinquiĂšme et septiĂšme” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1-1,”, et aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1-1,”. Article 71 À l’article L. 263-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 216-10,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 230-1 Ă  L. 230-3,”. Article 72 L’article L. 373-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 331-4”, sont insĂ©rĂ©s les mots “, les trois premiers alinĂ©as de l’article L. 332-6” ; 2° Il est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Le dernier alinĂ©a de l’article L. 332-6 est applicable en PolynĂ©sie française sans prĂ©judice de l’exercice de leurs compĂ©tences par les autoritĂ©s locales.” Article 73 À l’article L. 683-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 624-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 625-1,”. Article 74 À l’article L. 773-1 du code de l’éducation, la rĂ©fĂ©rence “L. 721-3,” est supprimĂ©e. Article 75 À l’article L. 973-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 912-1,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 912-1-1, L. 912-1-2, L. 912-1-3,”. Chapitre IV - Application en Nouvelle-CalĂ©donie Article 76 La prĂ©sente loi, Ă  l’exception des articles 4, 10, 13, 19, 20, 22, 33, 35, 36, 38, 40, 41, 46, 50 et 89, est applicable en Nouvelle-CalĂ©donie sous rĂ©serve des dispositions suivantes 1° Les articles 16 et 17 sont applicables dans les Ă©tablissements d’enseignement publics et privĂ©s du second degrĂ© et dans les Ă©tablissements privĂ©s du premier degrĂ© relevant de la compĂ©tence de l’État en vertu du III de l’article 21 de la loi organique n° 99-209 du 19 mars 1999 relative Ă  la Nouvelle-CalĂ©donie ; 2° Les articles 24 Ă  27 sont applicables dans les Ă©tablissements privĂ©s du premier degrĂ© relevant de la compĂ©tence de l’État en vertu du mĂȘme III ; 3° Le dernier alinĂ©a de l’article 32 est applicable sans prĂ©judice de l’exercice de leurs compĂ©tences par les autoritĂ©s locales ; 4° L’article 34 est applicable dans les Ă©tablissements d’enseignement publics du second degrĂ© relevant de la compĂ©tence de l’État en vertu du mĂȘme III. Article 77 L’article L. 164-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les mots “et cinquiĂšme” sont remplacĂ©s par les mots “, quatriĂšme, cinquiĂšme et septiĂšme” ; 2° AprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 122-1-1,”, et aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 131-1-1,”. Article 78 À l’article L. 264-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 216-10,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 230-1 Ă  L. 230-3,”. Article 79 L’article L. 374-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Au premier alinĂ©a, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 332-5,”, sont insĂ©rĂ©s les mots “les trois premiers alinĂ©as de l’article L. 332-6, les articles” ; 2° Au deuxiĂšme alinĂ©a, les rĂ©fĂ©rences “L. 311-3, L. 311-5” sont remplacĂ©es par la rĂ©fĂ©rence “L. 311-3-1” ; 3° Il est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “Le dernier alinĂ©a de l’article L. 332-6 est applicable en Nouvelle-CalĂ©donie sans prĂ©judice de l’exercice de leurs compĂ©tences par les autoritĂ©s locales.” Article 80 L’article L. 494-1 du code de l’éducation est ainsi modifiĂ© 1° Les rĂ©fĂ©rences “L. 421-5 Ă  L. 421-7” sont remplacĂ©es par les rĂ©fĂ©rences “L. 421-6, L. 421-7” ; 2° Il est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “L’article L. 401-1 n’est applicable en Nouvelle-CalĂ©donie qu’en tant qu’il concerne les Ă©tablissements d’enseignement publics du second degrĂ©.” Article 81 À l’article L. 684-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 624-1,”, est insĂ©rĂ©e la rĂ©fĂ©rence “L. 625-1,”. Article 82 À l’article L. 774-1 du code de l’éducation, la rĂ©fĂ©rence “L. 721-3,” est supprimĂ©e. Article 83 À l’article L. 974-1 du code de l’éducation, aprĂšs la rĂ©fĂ©rence “L. 912-1,”, sont insĂ©rĂ©es les rĂ©fĂ©rences “L. 912-l-1, L. 912-1-2, L. 912-1-3,”. TITRE III - DISPOSITIONS APPLICABLES À L’ENSEIGNEMENT AGRICOLE Article 84 Dans l’article L. 810-1 du code rural, les mots “des principes dĂ©finis au” sont remplacĂ©s par le mot “du”. TITRE IV - DISPOSITIONS TRANSITOIRES ET FINALES Article 85 Dans un dĂ©lai maximum de trois ans Ă  compter de la publication de la prĂ©sente loi, les instituts universitaires de formation des maĂźtres sont intĂ©grĂ©s dans l’une des universitĂ©s auxquelles ils sont rattachĂ©s par dĂ©cret pris aprĂšs avis du Conseil national de l’enseignement supĂ©rieur et de la recherche. Ce dĂ©cret prĂ©cise la date Ă  laquelle prend effet l’intĂ©gration. Une convention passĂ©e entre le recteur d’acadĂ©mie et cette universitĂ© prĂ©cise en tant que de besoin les modalitĂ©s de cette intĂ©gration. Article 86 À compter de la date de son intĂ©gration, les droits et obligations de l’institut universitaire de formation des maĂźtres sont transfĂ©rĂ©s Ă  l’universitĂ© dans laquelle il est intĂ©grĂ©. Ces transferts ne donnent lieu Ă  aucune indemnitĂ©, droits, taxes, salaires ou honoraires. Les personnels affectĂ©s Ă  l’institut sont affectĂ©s Ă  cette universitĂ©. Article 87 Les articles L. 721-1 et L. 721-3 du code de l’éducation demeurent applicables, dans leur rĂ©daction antĂ©rieure Ă  la prĂ©sente loi, aux instituts universitaires de formation des maĂźtres jusqu’à la date de leur intĂ©gration dans l’une des universitĂ©s de rattachement. Article 88 L’article 3 et l’article 29 de la loi n° 89-486 du 10 juillet 1989 d’orientation sur l’éducation sont abrogĂ©s. Article 89 L’article 89 de la loi n° 2004-809 du 13 aoĂ»t 2004 relative aux libertĂ©s et responsabilitĂ©s locales est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© “La contribution par Ă©lĂšve mise Ă  la charge de chaque commune ne peut ĂȘtre supĂ©rieure, pour un Ă©lĂšve scolarisĂ© dans une Ă©cole privĂ©e situĂ©e sur le territoire d’une autre commune, au coĂ»t qu’aurait reprĂ©sentĂ© pour la commune de rĂ©sidence ce mĂȘme Ă©lĂšve s’il avait Ă©tĂ© scolarisĂ© dans une de ses Ă©coles publiques ou, en l’absence d’école publique, au coĂ»t moyen des classes Ă©lĂ©mentaires publiques du dĂ©partement.” [Le rapport annexĂ© Ă  la loi n’est pas promulguĂ© en consĂ©quence de la dĂ©claration de non-conformitĂ© Ă  la Constitution de l’article 12 de la loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école par la dĂ©cision du Conseil constitutionnel n° 2005-512 DC du 21 avril 2005.] La prĂ©sente loi sera exĂ©cutĂ©e comme loi de l’État. Fait Ă  Paris, le 23 avril 2005 Jacques CHIRAC Par le prĂ©sident de la RĂ©publique Le Premier ministre Jean-Pierre RAFFARIN Le ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supĂ©rieur et de la recherche François FILLON Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie Thierry BRETON Le ministre de la fonction publique et de la rĂ©forme de l’État Renaud DUTREIL Le ministre de l’agriculture, de l’alimentation, de la pĂȘche et de la ruralitĂ© Dominique BUSSEREAU La ministre de l’outre-mer Brigitte GIRARDINTravaux prĂ©paratoires ‱ AssemblĂ©e nationale - Projet de loi n° 2025 ; - Rapport de M. FrĂ©dĂ©ric Reiss, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 2085 ; - Discussion les 15 Ă  18 fĂ©vrier 2005 et adoption, aprĂšs dĂ©claration d’urgence, le 2 mars 2005. ‱ SĂ©nat - Projet de loi, adoptĂ© par l’AssemblĂ©e nationale, n° 221 2004-2005 ; - Rapport de M. Jean-Claude Carle, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 234 2004-2005 ; - Avis de M. GĂ©rard Longuet, au nom de la commission des finances, n° 239 2004-2005 ; - Discussion et adoption les 15, 16, 17, 18 et 19 mars 2005. ‱ AssemblĂ©e nationale - Projet de loi, modifiĂ© par le SĂ©nat en premiĂšre lecture, n° 2166 ; - Rapport de M. FrĂ©dĂ©ric Reiss, au nom de la commission mixte paritaire, n° 2167 ; - Discussion et adoption le 24 mars 2005. ‱ SĂ©nat - Rapport de M. Jean-Claude Carle, au nom de la commission mixte paritaire, n° 259 2004-2005 ; - Discussion et adoption le 24 mars 2005, texte dĂ©finitif n° 90 2004-2005. Conseil constitutionnel DĂ©cision n° 2005-512 DC du 21 avril 2005. JO du 24-4-2005. haut de page MAI JO 31 mai (). MENJ/Nominations Cabinet: ArrĂȘtĂ© du 27 mai 2022 portant nomination au cabinet du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse; JO 29 mai (). JO 28 mai (). JO 26 mai (). Pension/FP/Taux cotisation/Personnels Ă  l’Etranger : DĂ©cret 2022-824 du 25 mai 2022 modifiant le dĂ©cret n° 2022-705 du 26 avril 2022 fixant le taux de la cotisation prĂ©vue
Article R131-10-3 Les organismes chargés du versement des prestations familiales transmettent au maire, à sa demande et par voie sécurisée, les données suivantes 1° Données relatives à l'identité de l'enfant ouvrant droit au versement de prestations familiales nom, prénom, date de naissance, sexe ; 2° Données relatives à l'identité de l'allocataire nom, prénom, adresse. Article précédent Article R131-10-2 Article suivant Article R131-10-4 DerniÚre mise à jour 4/02/2012
Ils’agit des discriminations mentionnĂ©es Ă  l’article L. 1153-2 du code du travail et qui ne figurent pas dans la liste mentionnĂ©e Ă  l’article 225-2 du code pĂ©nal, soit les mesures discriminatoires, directes ou indirectes, en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration, de formation, de reclassement, d’affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou
Article 65 - Loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale 1 »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du
TRIBUNE- L’enlaidissement du cadre de vie des Français est aussi criant que peu dĂ©battu. Or, cet enlaidissement a des effets catastrophiques sur la sociĂ©tĂ© et est source de malheur public
Actions sur le document Article R131-10-4 Les donnĂ©es figurant aux 1°,2°,3° et 4° de l'article R. 131-10-2 ne sont pas conservĂ©es au-delĂ  de l'annĂ©e scolaire au cours de laquelle l'Ă©lĂšve atteint l'Ăąge de seize ans. Les donnĂ©es figurant aux 5°,6° et 7° du mĂȘme article ne sont pas conservĂ©es au-delĂ  de la fin de l'annĂ©e scolaire au cours de laquelle elles ont fait l'objet du traitement automatisĂ©. Toutefois les donnĂ©es sont immĂ©diatement effacĂ©es lorsque le maire a connaissance de ce que l'enfant ne rĂ©side plus dans la commune. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012
Article10 L’éducation de base pour tous est l’ensemble de connaissances acquises par l’enfant dĂšs le niveau primaire jusqu’au secondaire gĂ©nĂ©ral. Elle s’articule en l’enseignement primaire et les deux premiĂšres annĂ©es du secondaire. Elle assure Ă  tous les enfants un socle commun des connaissances et donne Ă  l’enfant un premier niveau de formation gĂ©nĂ©rale.
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d'État rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel AutoritĂ©s indĂ©pendantes AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de lĂ©gistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union europĂ©enne Journal officiel de l'Union europĂ©enne Jurisprudence de l'Union EuropĂ©enne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales â€č Article prĂ©cĂ©dentArticle suivant â€șLOI n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant Ă©volution du logement, de l'amĂ©nagement et du numĂ©rique 1JORF n°0272 du 24 novembre 2018ChronoLĂ©gi Article 131 - LOI n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant Ă©volution du logement, de l'amĂ©nagement et du numĂ©rique 1 »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duTitre Ier CONSTRUIRE PLUS, MIEUX ET MOINS CHER Articles 1 Ă  80Chapitre Ier Dynamiser les opĂ©rations d'amĂ©nagement pour produire plus de foncier constructible Articles 1 Ă  21 Article 1 Article 2 Article 3 Article 4 Article 5 Article 6 Article 7 Article 8 Article 9 Article 10 Article 11 Article 12 Article 13 Article 14 Article 15 Article 16 Article 17 Article 18 Article 19 Article 20 Article 21 Chapitre II Favoriser la libĂ©ration du foncier Articles 22 Ă  27 Article 22 Article 23 Article 24 Article 25 Article 26 Article 27 Chapitre III Favoriser la transformation de bureaux en logements Articles 28 Ă  33 Article 28 Article 29 Article 30 Article 31 Article 32 Article 33 Chapitre IV Simplifier et amĂ©liorer les procĂ©dures d'urbanisme Articles 34 Ă  62 Article 34 Article 35 Article 36 Article 37 Article 38 Article 39 Article 40 Article 41 Article 42 Article 43 Article 44 Article 45 Article 46 Article 47 Article 48 Article 49 Article 50 Article 51 Article 52 Article 53 Article 54 Article 55 Article 56 Article 57 Article 58 Article 59 Article 60 Article 61 Article 62 Chapitre V Simplifier l'acte de construire Articles 63 Ă  79 Article 63 Article 64 Article 65 Article 66 Article 67 Article 68 Article 69 Article 70 Article 71 Article 72 Article 73 Article 74 Article 75 Article 76 Article 77 Article 78 Article 79 Chapitre VI AmĂ©liorer le traitement du contentieux de l'urbanisme Article 80 Article 80 Titre II ÉVOLUTIONS DU SECTEUR DU LOGEMENT SOCIAL Articles 81 Ă  105Chapitre Ier Restructuration du secteur Articles 81 Ă  87 Article 81 Article 82 Article 83 Article 84 Article 85 Article 86 Article 87 Chapitre II Adaptation des conditions d'activitĂ© des organismes de logement social Articles 88 Ă  99 Article 88 Article 89 Article 90 Article 91 Article 92 Article 93 Article 94 Article 95 Article 96 Article 97 Article 98 Article 99 Chapitre III Dispositions diverses Articles 100 Ă  105 Article 100 Article 101 Article 102 Article 103 Article 104 Article 105 Article 106 Titre III RÉPONDRE AUX BESOINS DE CHACUN ET FAVORISER LA MIXITÉ SOCIALE Articles 107 Ă  156Chapitre Ier Favoriser la mobilitĂ© dans le parc social et le parc privĂ© Articles 107 Ă  115 Article 107 Article 108 Article 109 Article 110 Article 111 Article 112 Article 113 Article 114 Article 115 Chapitre II Favoriser la mixitĂ© sociale Articles 116 Ă  133 Article 116 Article 117 Article 118 Article 119 Article 120 Article 121 Article 122 Article 123 Article 124 Article 125 Article 126 Article 127 Article 128 Article 129 Article 130 Article 131 Article 132 Article 133 Chapitre III AmĂ©liorer les relations entre locataires et bailleurs et favoriser la production de logements intermĂ©diaires Articles 134 Ă  156 Article 134 Article 135 Article 136 Article 137 Article 138 Article 139 Article 140 Article 141 Article 142 Article 143 Article 144 Article 145 Article 146 Article 147 Article 148 Article 149 Article 150 Article 151 Article 152 Article 153 Article 154 Article 155 Article 156 Titre IV AMÉLIORER LE CADRE DE VIE Articles 157 Ă  234Chapitre Ier Revitalisation des centres-villes Articles 157 Ă  173 Article 157 Article 158 Article 159 Article 160 Article 161 Article 162 Article 163 Article 164 Article 165 Article 166 Article 167 Article 168 Article 169 Article 170 Article 171 Article 172 Article 173 Article 174 Chapitre II RĂ©novation Ă©nergĂ©tique Articles 175 Ă  184 Article 175 Article 176 Article 177 Article 178 Article 179 Article 180 Article 181 Article 182 Article 183 Article 184 Chapitre III Lutte contre l'habitat indigne et les marchands de sommeil Articles 185 Ă  200 Article 185 Article 186 Article 187 Article 188 Article 189 Article 190 Article 191 Article 192 Article 193 Article 194 Article 195 Article 196 Article 197 Article 198 Article 199 Article 200 Chapitre IV Lutte contre l'occupation illicite de domiciles et de locaux Ă  usage d'habitation Article 201 Article 201 Chapitre V AmĂ©liorer le droit des copropriĂ©tĂ©s Articles 202 Ă  216 Article 202 Article 203 Article 204 Article 205 Article 206 Article 207 Article 208 Article 209 Article 210 Article 211 Article 212 Article 213 Article 214 Article 215 Article 216 Chapitre VI NumĂ©risation du secteur du logement Articles 217 Ă  218 Article 217 Article 218 Chapitre VII Simplifier le dĂ©ploiement des rĂ©seaux de communications Ă©lectroniques Ă  trĂšs haute capacitĂ© Articles 219 Ă  232 Article 219 Article 220 Article 221 Article 222 Article 223 Article 224 Article 225 Article 226 Article 227 Article 228 Article 229 Article 230 Article 231 Article 232 Chapitre VIII Diffusion par voie hertzienne de donnĂ©es horaires du temps lĂ©gal français Article 233 Article 233 Chapitre IX Dispositions spĂ©cifiques Ă  la Corse Article 234 Article 234 Naviguer dans le sommaire Article 131Retourner en haut de la page×Cookies 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\n article l 131 10 du code de l éducation
Mastermention mĂ©tiers de l'enseignement, de l'Ă©ducation et de la formation - second degrĂ© (en sciences technologie santĂ©) Institut national supĂ©rieur du professorat et de l'Ă©ducation UnitĂ© de formation et de recherche Internat privĂ© public Votre recherche ne comporte aucun rĂ©sultat. Essayez en enlevant des filtres. 131. Nom de l'Ă©tablissement Ville Code postal; Liste des ï»żLes enfants soumis Ă  l'obligation scolaire qui reçoivent l'instruction dans leur famille, y compris dans le cadre d'une inscription dans un Ă©tablissement d'enseignement Ă  distance, sont dĂšs la premiĂšre annĂ©e, et tous les deux ans, l'objet d'une enquĂȘte de la mairie compĂ©tente, uniquement aux fins d'Ă©tablir quelles sont les raisons allĂ©guĂ©es par les personnes responsables, et s'il leur est donnĂ© une instruction dans la mesure compatible avec leur Ă©tat de santĂ© et les conditions de vie de la famille. Le rĂ©sultat de cette enquĂȘte est communiquĂ© Ă  l'autoritĂ© de l'Etat compĂ©tente en matiĂšre d' l'enquĂȘte n'a pas Ă©tĂ© effectuĂ©e, elle est diligentĂ©e par le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement. L'autoritĂ© de l'Etat compĂ©tente en matiĂšre d'Ă©ducation doit au moins une fois par an, Ă  partir du troisiĂšme mois suivant la dĂ©claration d'instruction par la famille, faire vĂ©rifier que l'enseignement assurĂ© est conforme au droit de l'enfant Ă  l'instruction tel que dĂ©fini Ă  l'article L. contrĂŽle prescrit par l'autoritĂ© de l'Etat compĂ©tente en matiĂšre d'Ă©ducation a lieu notamment au domicile des parents de l'enfant. Il vĂ©rifie notamment que l'instruction dispensĂ©e au mĂȘme domicile l'est pour les enfants d'une seule contrĂŽle est effectuĂ© sans dĂ©lai en cas de dĂ©faut de dĂ©claration d'instruction par la famille, sans prĂ©judice de l'application des sanctions contenu des connaissances requis des Ă©lĂšves est fixĂ© par rĂ©sultats de ce contrĂŽle sont notifiĂ©s aux personnes responsables avec l'indication du dĂ©lai dans lequel elles devront fournir leurs explications ou amĂ©liorer la situation et des sanctions dont elles seraient l'objet dans le cas au terme d'un nouveau dĂ©lai fixĂ© par l'autoritĂ© de l'Etat compĂ©tente en matiĂšre d'Ă©ducation, les rĂ©sultats du contrĂŽle sont jugĂ©s insuffisants, les parents sont mis en demeure, dans les quinze jours suivant la notification, d'inscrire leur enfant dans un Ă©tablissement d'enseignement public ou privĂ© et de faire connaĂźtre au maire, qui en informe l'autoritĂ© de l'Etat compĂ©tente en matiĂšre d'Ă©ducation, l'Ă©cole ou l'Ă©tablissement qu'ils auront choisi. EjV2G.
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