Laseule façon de le savoir c'est de lui poser la question et d'en parler. Mais vu comment tu dĂ©cris les choses, je pense qu'il faut que tu prennes du recul sur cette relation. MĂȘme sur msn tu peux laisser des tracesj'espĂšre que tu n'as pas demandĂ© un historique de tes conversations. 😉. 0.
"C'est pas moi qui explique mal, c'est les autres qui sont cons" Offrez ce t-shirt amusant Ă  votre ami qui se perd toujours dans ses explications. IdĂ©al en cadeau pour un anniversaire entre amis, NoĂ«l, la fĂȘte des pĂšres, etc. PossibilitĂ© de changer la couleur du marquage, en nous envoyant un message. Toutes tailles disponible du S au 3XL. T-shirt coton 185g coupe homme, prĂ© rĂ©trĂ©ci, encolure finition bord cĂŽtelĂ© doublĂ© avec Ă©lasthanne, coupe ample. Tableau des mesures sur demandes. Fabrication 100% Française. T-shirt et marquage de qualitĂ©. Impression numĂ©rique. Soyezle premier Ă  laisser votre avis sur “Mug en CĂ©ramique – c’est pas moi qui explique mal” Annuler la rĂ©ponse. Votre adresse e-mail ne sera pas publiĂ©e. Les champs obligatoires sont indiquĂ©s avec * Votre note * Votre avis * Nom * E-mail * Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Description Avis 0 Description T-shirt Bio femme. Tous les coloris sont conçus Ă  partir de fibre de coton biologique. Les certificats OCS100 Organic Content Standard et OCS Blended Organic Content Standard sont dĂ©livrĂ©s par Ecocert Greenlife. Encolure ronde en bord-cĂŽte avec Ă©lasthanne. Bande de propretĂ© ton sur ton en encolure. Finition double aiguille bas de manches et bas de vĂȘtement. Grammage 145 g/mÂČ. Guide des tailles Tableau de tailles cm XS S M L XL 2XL 3XL TolĂ©rance A Largeur 43 46 49 52 55 58 61 10% B Hauteur 60 62 64 66 68 70 72 10% Size Guide inches XS S M L XL 2XL 3XL TolĂ©rance Width inches 16 18 19 20 21 22 24 10% Length inches 23 24 25 25 26 27 28 10% Vous regardez T-shirt col rond Bio Femme – c’est pas moi qui explique mal 19,95€ Choix des options
javais oubliĂ© aussi un matin tĂŽt, j'Ă©tais dans mon lit, j'ai senti qu'on me serrait dans les bras, j'ai ressenti une chaleur, un bien ĂȘtre, j'Ă©tais bien, j'ai compris que cet esprit tient Ă  moi, cest un esprit positif, qui aime me caresser, me toucher, le matin j'Ă©tais Ă  moitiĂ© endormi, mais je senti quelqu'un me serrait dans ses bras, avec un bien ĂȘtre, j'Ă©tais trĂšs trĂšs apaisĂ©
rip l'info vient de tomber, c'est nofake putain C'est marrant tu dis ca alors que j'Ă©coutais ses sons Rip en tout cas Noname Ahi les gars qui ont 3 ans de retard Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025014 C'est marrant tu dis ca alors que j'Ă©coutais ses sons Rip en tout cas en vrai j'ecoute h24 ses sons mais j'ai fait le deuil perso !! Et le rappeur Cambodge il va bien ? Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025114 Ahi les gars qui ont 3 ans de retardimagine, mais au moins c'est no fake Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Moi c’est mac miller ou Ă©trangement ça m’a touchĂ©Sans doute Ă  cause de la pĂ©riode Ă  laquelle je â€œĂ©coutais Message Ă©ditĂ© le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025611 par Jean-stonck Oups trompĂ© de secondaire Je reposte Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025429 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Un random ? C'Ă©tait une rockstar le mec + oui, ça m'arrive encore d'Ă©couter ses sons, mais ça me fait mal parce que maintenant je suis plus vieux que lui Ă  l'Ăąge de sa mort donc avec le temps je sais pas si je m'identifierais encore Ă  lui longtemps Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025557 Oups trompĂ© de secondaire Je reposte Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025429 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Un random ? C'Ă©tait une rockstar le mec + oui, ça m'arrive encore d'Ă©couter ses sons, mais ça me fait mal parce que maintenant je suis plus vieux que lui Ă  l'Ăąge de sa mort donc avec le temps je sais pas si je m'identifierais encore Ă  lui longtemps Oui Micheal Jackson mĂȘme Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025139 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025014 C'est marrant tu dis ca alors que j'Ă©coutais ses sons Rip en tout cas en vrai j'ecoute h24 ses sons mais j'ai fait le deuil perso !! Je le connaissais pas quand il Ă©tait vivant perso mais je trouve ça dommage il avait tellement de potentiel Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025554 Moi c’est mac miller ou Ă©trangement ça m’a touchĂ©Sans doute Ă  cause de la pĂ©riode Ă  laquelle je â€œĂ©coutaisMoi aussi Mac Miller ça m'a touchĂ© Je me souviens quand j'Ă©coutais "Small worlds" en allant Ă  mes interros Ă  la fac Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025557 Oups trompĂ© de secondaire Je reposte Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025429 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Un random ? C'Ă©tait une rockstar le mec + oui, ça m'arrive encore d'Ă©couter ses sons, mais ça me fait mal parce que maintenant je suis plus vieux que lui Ă  l'Ăąge de sa mort donc avec le temps je sais pas si je m'identifierais encore Ă  lui longtemps Faudrait faire du rock pour ĂȘtre une rockstar Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025638 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025139 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025014 C'est marrant tu dis ca alors que j'Ă©coutais ses sons Rip en tout cas en vrai j'ecoute h24 ses sons mais j'ai fait le deuil perso !! Je le connaissais pas quand il Ă©tait vivant perso mais je trouve ça dommage il avait tellement de potentiel potentiel enorme ptn de merde, quand il a sorti apres sa mort adios bahamas j'ai pleurĂ© oups Ayaaaa tu a repris mon idĂ©e Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025717 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025557 Oups trompĂ© de secondaire Je reposte Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025429 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Un random ? C'Ă©tait une rockstar le mec + oui, ça m'arrive encore d'Ă©couter ses sons, mais ça me fait mal parce que maintenant je suis plus vieux que lui Ă  l'Ăąge de sa mort donc avec le temps je sais pas si je m'identifierais encore Ă  lui longtemps Faudrait faire du rock pour ĂȘtre une rockstar Franchement c'Ă©tait tout comme Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025632 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025557 Oups trompĂ© de secondaire Je reposte Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025429 Le 16 aoĂ»t 2022 Ă  025306 Moi c'est Peep que j'arrive pas Ă  oublier ça fait 5 ans, t'as passĂ© 1/3 de ta vie Ă  chialer un random ? Un random ? C'Ă©tait une rockstar le mec + oui, ça m'arrive encore d'Ă©couter ses sons, mais ça me fait mal parce que maintenant je suis plus vieux que lui Ă  l'Ăąge de sa mort donc avec le temps je sais pas si je m'identifierais encore Ă  lui longtemps Oui Micheal Jackson mĂȘme Il Ă©tait largement meilleur le poser Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
Cest surtout ce que l'on ne comprend pas qu'on explique. - Une citation de Jules Barbey d’Aurevilly. - Une citation de Jules Barbey d’Aurevilly. Citation CĂ©lĂšbre

-20% Le deal Ă  ne pas rater OnePlus Nord CE 2 5G – 8GB RAM 128GB – Charge 65W 239 € 299 € Voir le deal LGDC Dawn CommunautĂ© De Vous Ă  NousPartagez AuteurMessageWycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 1555 Bonjour je viens faire une demande assez particuliĂšreJe viens vous demander un petit service. Il y a eu un concours sur mon forum pour son anniversaire et le prix du gagnant est de voir l'histoire qu'elle a crĂ©e pour ce concours, postĂ© sur les partenariats de notre forum dont vous faĂźtes partis. Je voulais donc savoir si c'Ă©tait possible de postĂ© cette histoire sur ce d'avance ! Etoile du Griffon♩Krys♩Fonda Tyrannique & ChefMessages 559Date d'inscription 06/07/2012Localisation Sur mon ordi DFeuille de personnageRelations Sujet Re Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 1623 Bonjour Bien entendu, ta demande est acceptĂ©e, il est intĂ©ressant de faire des Ă©changes entre Forums _________________Spoiler WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 2018 Merci beaucoup ! Voici l'histoire gagnante et si vous aussi vous avez besoin d'un service mon forum est ouvert !-Alice ? Tu m’entends ? Alice ? Tu m’écoutes ? Qu’est-ce qu’il y a dans ce courrier, Alice ? Alice ?Mathieu secouait son amie autant qu’il pouvait, il voyait bien ses yeux se remplir de larmes, au fur et Ă  mesure qu’elle parcourait la lettre cachetĂ©e. Il lui arrivait de se comporter en enfant, et de bouder, ou de fondre en larme pour un rien, c’était ce qui la rendait attachante, c’était pourquoi il l’aimait, sans doute 
 Mais lĂ , elle n’y Ă©tait pour rien, et si elle se comportait ainsi, ce n’était pas a cause de son caractĂšre, elle Ă©tait triste, vraiment. Il se baissa pour ĂȘtre Ă  sa taille, vu qu’elle Ă©tait assise sur un banc, et l’étudia quelques secondes, avant de rĂ©agir. Il prit son amie dans ses bras, et la serra avec force, pour la rĂ©conforter. Des larmes vinrent foncer l’uniforme blanc du jeune garçon, il ne rĂ©agit pas. Il la relĂącha, lui Ă©bouriffa les cheveux et lui colla un baiser sur la vais aller chercher quelqu’un qui saura quoi faire 
 marmonna-t-il pour lui-mĂȘme. Il alla dans les dortoirs des filles, mais ne trouva aucune amie d’Alice, alors il descendit Ă  la salle commune. Elles y Ă©taient presque toutes, ces filles qu’il n’aimait pas du tout. Son amie Ă©tait 
 Pure, calme, pas artificielle, pas superficielle, et il se demandait comment elle pouvait apprĂ©cier des pĂ©tasses pareilles 
 Il tira une chaise, elles firent silence et l’observĂšrent toutes avec curiositĂ©. -Vous avez vu, sa lettre ?-La lettre de qui, Pierrot ?-Celle de votre amie, celle d’ ? Tu connais une Alice, Carla ?-Non, et toi, Pierrot, tu connais une Alice ?Il dĂ©testait qu’elles l’appellent Pierrot, ce surnom mesquin et ridicule, il ne savait pas oĂč elles l’avaient trouvĂ©, il savait juste que ça signifiait clown, en japonais, et vu qu’il n’avait pas l’air d’un clown 
 Il ne leur demandait pas, mais elles n’avaient pas dĂ» chercher bien loin. En plus d’ĂȘtre superficielles, ces filles Ă©taient toutes idiotes 
 -Votre amie, pour information 
-Alice n’est plus rien 
 Elle ne sert a rien, Alice est une arqua un sourcil, rĂ©frĂ©nant l’envie de la baffer, et sortit de la salle sous les moqueries Ă  peine dĂ©guisĂ©es des filles. Elles ne considĂ©raient plus Alice comme une amie ? Parfait, mais alors, vers qui se tourner ? Il Ă©tait vrai qu’elles Ă©taient peu gentilles, et qu’il Ă©tait remarquables qu’elles lui aient souris pendant six mois, mais leur comportement a toutes le rĂ©vulsait. C’était peut ĂȘtre pour ça que la jeune fille pleurait 
 Si elles ne peuvent rien pour moi, je n’ai plus qu’a allĂ© voir Eliott 
 »Mathieu n’était pas trĂšs emballĂ© par l’idĂ©e de se tourner vers le gosse de riche qui tourmentait son amie, avant de commencer Ă  lui donner des cours de maths, mais il n’y avait que lui qui pouvait lui venir en aide puisqu’Alice lui avait dit des choses que Mathieu ne savait pas 
Si Eliott enquiquinait Alice, c’était pour une des raisons les plus idiotes. Stupide au la vie d’Alice, il y avait beaucoup de choses bizarres 
 A commencer par un rang stupide de princesse » de second rang. Eliott, lui faisait partie du second rang, mais sa famille a dĂ©trĂŽnĂ© celle d’Alice pour des raisons que Mathieu ne connaissait pas. D’ailleurs, si Eliott n’adressait jamais la parole a Alice en l’appelant par son prĂ©nom, c’était a cause de cette mĂ©sentente. Apparemment, il n’avait rien contre elle 
Il passa par le parc, il savait qu’il y trouverait la personne qu’il cherchait. Ne s’apprĂ©ciant pas tous deux, ils avaient pris l’habitude de ne presque jamais s’appeler par leurs prĂ©noms respectifs. Mathieu appelait Eliott par son nom, Raven, et Eliott n’appelait pas Mathieu. Tout le monde Ă©tait tu peux venir s’il te plait ?-Toi, tu compte un jour m’adresser la parole autrement qu’en me manquant de respect ?-Ton pseudo-rang n’est rien pour moi, Raven, alors pour une fois, sois pas l’éternel connard que tu es, et suis -******, Eliott, tu veux pas arrĂȘter d’ĂȘtre conversation, juste cinq minutes dans ta vie ?-C’est pas comme ça que tu le persuaderas de te suivre, Mathieu, il est butĂ©, dis lui pourquoi t’es lĂ  
-Il est lĂ  parce que Grimm pĂšte encore un cĂąble, qu’il ne sait pas comment la calmer, et que ça concerne ? Il ..?-Non, justement. Ecoute, Pierrot, tu diras Ă  ta copine que je n’ai pas que ça Ă  foutre. Qu’elle se dĂ©***** un se pencha en avant, et chuchota pour que seul Mathieu l’ la rejoins dans sa chambre, dĂšs que je me dĂ©barrasse de Tom. Le blondinet tourna les talons et se dirigea vers le banc ou il avait laissĂ© Alice seule. Elle Ă©tait recroquevillĂ©e contre elle-mĂȘme, le menton sur les genoux, les yeux clos, et les joues rouges et trempĂ©es. Il lui prit la main, et l’aida Ă  se relever. Elle se laissa faire, et se traina pitoyablement derriĂšre lui, sans chercher Ă  lever les pieds. Il la fit rentrer dans sa chambre, et la fit asseoir sur son lit. Elle s’adossa au mur, ferma les yeux, et attendit. Il lui essuya consciencieusement les joues, enlevant le noir qui les colorait, et il rĂ©organisa un peu ses cheveux, qui Ă©taient tous emmĂȘlĂ©s, de nouveau. Elle attrapa le peigne sans convictions, et se dĂ©noua les cheveux. Lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir, il l’embrassa sur le front, et sortit doucement. Comme Mathieu l’avait fait, Eliott se posa Ă  genoux devant elle, et lui prit les qu’est-ce qui se passe ? Elle le regarda vaguement avant de lui tendre la Alice Grimm En raison de votre Ăąge approchant les quinze ans, et du fait que vous soyez seule hĂ©ritiĂšre de la seconde famille la plus puissante du pays, vous ĂȘtes invitĂ©e Ă  venir passer votre cĂ©rĂ©monie de maturation, qui fera de vous une hĂ©ritiĂšre digne, loyale et puissante, de la noble famille Grimm. Cette cĂ©rĂ©monie comportant elle-mĂȘme la totalitĂ© des cinq autres familles, vous n’ĂȘtes plus conviĂ©e Ă  cette fĂȘte, vous devez y venir. Vous prendrez le train, avec le fils du Seigneur Raven pour arriver Ă  leur chĂąteau, car, Ă©tant donnĂ© la discorde avec votre pĂšre, il a refusĂ© de vous faire rĂ©citer le psaume. Ce sera donc le duc de la premiĂšre famille qui vous fera l’honneur d’assister Ă  votre cĂ©rĂ©monie. Mon pĂšre ? DĂ©solĂ© pour te rends compte ? Je vais ĂȘtre humiliĂ©e en publique ! C’est ma faute si Chess est mort, c’est ton pĂšre qui l’a tuĂ©, et c’est lui qui prĂ©sidera la soirĂ©e ! Je ne supporterais pas de remarques dĂ©sobligeantes, je le sens vraiment mal, Eliott ! Sans rĂ©flĂ©chir, elle se jeta dans ses bras, et se remit Ă  pleurer. Il la calma tant qu’il put, murmurant des paroles rassurantes, telles que mĂȘme si ça doit pas beaucoup te rĂ©conforter, je serais lĂ  
 » oĂč au moins tu ne verras pas ton pĂšre 
 ». Elle avait les yeux gonflĂ©s, et ils la brĂ»laient. Elle comprends, pourquoi vous nous avez dĂ©trĂŽnĂ©s 
 Regarde le comportement de l’hĂ©ritiĂšre, a-t-elle la prestance d’une Grimm ? J’en doute, Alice est non, c’est normal que tu le vives mal, ça remonte a pas si longtemps, tu sais 
Il la cajola encore un petit moment, jusqu’à ce qu’elle a reprit du poil de la bĂȘte, et que son aplomb soit de moi au moins un sourire, je dois aller rejoindre Tom, il doit me chercher partout 
Elle lui dĂ©crocha un sourire, mĂȘme si ses yeux Ă©taient encore un peu rougis, et il sortit. AussitĂŽt qu’il la laissa seule, Mathieu dĂ©boula dans la piĂšce pour vĂ©rifier l’état de son sourit, en le voyant est plus douĂ© que moi, au final 
-Mais nan, c’est juste que je lui ai refilĂ© la lettre, et qu’il m’a dit des trucs rassurants, au sujet de tu sais quoi 
-Je comprends rien a ton histoire, tu fais la gueule a ta famille, mais pourquoi ?-J’ai une idĂ©e, allons manger, je te raconte tout lĂ  bas, je meurs de sourit, reconnaissant bien son amie, et ils se dirigĂšrent vers le rĂ©fectoire en papotant de tout et de y a plus aucune table Ă  deux, il va falloir qu’on s’installe sur une table Ă  grave, personne ne s’installera, depuis qu’elles m’ont jetĂ©s, je suis grave 
 Alors, tu m’explique ?-Ouais, mais d’abord, tu saisis le contexte ? C’était il y a huit mois, la famille Grimm Ă©tait encore la plus puissante. On possĂ©dait des terres, un bon patrimoine, du savoir, de la puissance 
 Et mon chien. Chess. Ce chien, mon pĂšre et moi y tenions beaucoup, et un jour, il y a eu une sorte d’accident. Chess est passĂ© 
-Ah mais ça m’a tout l’air d’une conversation passionnante, qui pourrait m’en apprendre 
 -Ah je t’en pris, Raven, ne te donne pas la peine de parler a des personnes aussi infĂ©rieur qu’Alice et de te rabaisser fixait son repas _ qu’elle avait massacrĂ© Ă  l’aide de sa petite cuillĂšre tandis qu’elle parlait _ avec un air horrifiĂ©. Elle n’aimait pas qu’on l’écoute parler, elle n’aimait pas qu’on la surprenne, et elle allait parler d’Eliott 
. -C’est trĂšs gentil de faire attention a moi, Mathieu. Ça le fait plaisir, de voir qu’on en est revenus a de meilleurs sourire malicieux jouait sur les lĂšvres d’Eliott, elle se borna Ă  tourner la tĂȘte pour le regarder avec un air on peut s’asseoir ? Le repas risquerait de refroidir 
- Vas-y 
Tom pris place Ă  cĂŽtĂ© d’elle, et Eliott a cĂŽtĂ© de Mathieu, qui marmonnait, en dĂ©coupant en fines lamelles de pauvres regarda discrĂštement son reflet dans le dos de sa cuillĂšre, et tenta d’apaiser le rougissement de ses joues. ContrĂŽlant assez bien son corps, par moment du moins, elle y parvint a peu prĂšs, de maniĂšre a ce qu’on pense qu’elle avait juste chaud. Elle Ă©tait juste terriblement ce que tu racontais au Pier
 A Mathieu, on t hocha la tĂȘte d’un air peu sur, puis gros, il y est passĂ© direct, et mon pĂšre m’en a voulus, parce qu’il faut comprendre que ce n’est que de ma faute. J’ai Ă©tĂ© idiote, et il a dĂ©cidĂ© que j’en faisais plus partie de la famille. Sauf que chez moi, je suis la seule hĂ©ritiĂšre. S’il n’y a pas d’hĂ©ritiers, il ne peut pas me renier 
 Alors il a dĂ©cidĂ© de m’envoyer ici 
-Grimm, si Chess est mort, c’est pas vraiment de ta faute, plutĂŽt de la notre. C’est nous qui l’avons provoquĂ©s, tout en sachant ce qu’on faisait, et ce qui se passerait. Ton pĂšre a tellement de rancune envers toi qu’il en vient Ă  presque se lier d’amitiĂ© avec ses ennemis mortels 
-Mouais, si tu le qui s’est rĂ©ellement passĂ©, c’est qu’on l’a provoquĂ©, et il est rentrĂ© dans notre !Alice plaqua ses mains sur ses oreilles, ferma les yeux et baissa la tĂȘte. Se rappeler de la mort de Chess ne l’aidait pas du tout, au contraire ! En plus, ils parlaient de choses que Mathieu devait comprendre de travers. Elle Ă©tait sure que si elle regardait son ami elle lirait de la pitiĂ© a son Ă©gard, et du dĂ©gout a l’égard d’Eliott. Puis, elle regarda ses mains, tremblantes, et fut saisie de rage. Tu es Alice. Alice Grimm, fille de la seconde famille. Tu te dois de te ressaisir, et de ne pas flancher face Ă  Eliott. Tu es forte, tu es puissante, et tu ne pleureras pas. »Elle releva la tĂȘte, et dĂ©fia Eliott du regard. Il parut presque flĂ©chir, sous l’intensitĂ© et la puissance de la colĂšre d’Alice. Il savait, qu’elle n’était pas dirigĂ©e contre lui, mais il ne pu s’empĂȘcher de se dire que si elle avait l’intention de lui faire du mal, elle y parviendrait sans mal 
 Il allait falloir la briefer un peu, une fois qu’elle serait capable d’avaler ce qu’il avait Ă  rougit, mais cette fois ci, ce n’était pas de la gĂȘne. Elle dĂ©testait qu’on lui donne des ordres, elle le regarda en fronçant les sourcils, et pinça les lĂšvres quand il se mit Ă  sourire moqueusement. Elle avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans l’idĂ©e qu’elle dĂ©cidait, et qu’elle donnait les ordres, alors le simple fait qu’on lui dise de manger l’ n’ai pas faim, Raven. -Je t’en pris Grimm, je ne suis pas stupide. roula des yeux, battit des paupiĂšres et se leva, pour dĂ©barrasser son plateau. Tom saisit son poignet, et la retint assise. Elle le fusilla du regard, mais lui avait le regard plongĂ© dans celui d’Eliott. Si ce n’était pas de lui que venait l’initiative, alors il fallait remonter Ă  la source 
 Si les yeux d’Alice Ă©taient Ă©quipĂ©s de fusils, l’aristo serait mort 
-Alice, je fais pas ça pour te faire chier, tu t’en doutes, alors sois gentille, mange. Il prit sa fourchette, se leva, se pencha au dessus de la table, et traça une ligne dans son assiette. Il rapatria la viande d’un cĂŽtĂ©, et les lĂ©gumes de l’autre, piocha une carotte, l’avala, et fixa la brune avec un air manges au moins les lĂ©gumes, s’il te le regarda, et commença Ă  manger, pour pouvoir rapidement dĂ©camper, les joues rouges, et les regards plantĂ©s dans celui d’Eliott, qui se rassit, amusĂ©. Elle reporta son attention sur l’assiette, et quand elle releva la tĂȘte, elle remarqua que Tom et son ami avaient Ă©changĂ©s de place. Elle piqua un fard, et se rabattit de nouveau sur son assiette. Tout ça sous l’Ɠil Ă©bahis de Mathieu qui n’avait jamais osĂ© dĂ©crĂ©ter quoi que ce soit, alors que lorsqu’Eliott le faisais, on lui obĂ©issait. Et ce n’était pas cette stupide histoire de rang, car tout autant que lui, Alice n’en avait fur et Ă  mesure qu’elle mangeait, il t’ajoutait discrĂštement des lĂ©gumes, et de la viande, dans le cĂŽtĂ© qu’elle devait manger. Elle Ă©tait si absorbĂ©e par ce qu’elle faisait, et le fait qu’elle fuie continuellement son regard, qu’elle ne vit mĂȘme pas qu’elle avait vidĂ© son assiette. - Mais 
Un ricanement fusa Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle tourna la tĂȘte et dĂ©couvrit que Tom, Mathieu et Eliott Ă©taient morts de rire, devant sa mine mis le temps, mais t’as mangĂ©, et t’as rien dis, en plus !-T’as tout foutus du mĂȘme cĂŽtĂ© !Elle lui envoya un coup de poing amical dans l’épaule, et adopta une moue boudeuse, ce qui n’eut que l’utilitĂ© de les faire rire encore normalement, vu qu’on est en vacance, on a le droit de trainer dans le jardin, et aux alentours de la forĂȘt. Ça vous intĂ©resse ?-Ouais !Alice regarda Mathieu avec Ă©tonnement, puis elle comprit ce qu’il ressentait. Avant qu’elle n’arrive, il Ă©tait exclu. Directement, elle avait Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e, par ce garçon solitaire, un peu parano, au dĂ©but, et qui souriait dĂšs qu’il le pouvait aux jolies filles. Quand elle avait reçut ses manuels, il l’avait aidĂ© a tout portĂ©, et lui avait proposĂ© de lui tenir compagnie, pour le premier repas. Tout sourire, il avait acceptĂ©, et avaient commencĂ©s Ă  discuter, en se rendant compte qu’ils avaient pleins de points communs. DĂ©jĂ , ils Ă©taient bruns. Ensuite, ils n’avaient aucuns amis. Pour finir, et ce n’était qu’un nombreux traits commun, ils avaient le sourire facile, et Ă©taient tout les deux trĂšs sociables. La paire idĂ©ale, quoi. Officiellement, il Ă©tait presque immĂ©diatement devenu son meilleur ami. Mais, lorsqu’elle avait eut des problĂšmes en maths, c’était vers Eliott qu’elle avait dĂ» se tourner, et il avait dĂ» se sentir rejetĂ©. Au moins, si on leur proposait a tous les deux, sans inclure Mathieu dans Alice, ça lui plaisait. Pour ça, qu’il s’était empressĂ© de rĂ©pondre hocha la tĂȘte, et suivit Tom et son ami jusqu’à la Je parie que t’es jamais venus ici, vises juste ! Et finalement, c’est pas mal comme endroit !Pendant que les garçons discutaient, et qu’Eliott allumait un feu, Alice alla s’adosser a un arbre. Elle attrapa au vol la couverture qu’on lui lançait, et s’emballa dedans. Trouvant l’idĂ©e intelligente, les trois garçons s’assirent Ă  cĂŽtĂ© d’elle, collĂ©s les quatre l’un contre l’autre, elle commençait Ă  avoir conversation qu’on ai pas de cartes 
Elle regarda son voisin de droite, celui qui l’avait forcĂ© Ă  manger ce qu’elle avait dans l’assiette, et fronça les ça ?-Vous savez jouer au poker ?- Si il pense Ă  ce que je pense qu’il pense, il finit dans le buisson, ok Mathieu ? penses Ă  quoi quand tu dis poker » ? Alice le regarda, la mine soupçonneuse, et quand il eut comprit lĂ  ou elle voulait en venir, il ! Je suis pas tordus a ce point ! Et puis, on aurait pas l’air conversation, si tu gagnais 
 -Je gagne jamais au poker 
 Je suis a des cartes ?- Va te 
-Alice, tu lui as tendu la perche, tu penses Ă  des trucs glauques, toi parfois 
-Eh ! Je te signale que c’est lui qu’a rĂ©pondu a la pseudo-perche. En plus, moi j’ai dit que s’il y pensait, je l’envoyais dans le buisson, j’ai pas dis que ça m’intĂ©ressait ! -C’est vrai ? C’est dommage ça 
-J’ai pas besoin de jouer au poker pour me foutre a poil 
Les trois garçons la fixĂšrent avec un air choquĂ©, comme si c’était trĂšs inattendus de sa part, profitant de l’idĂ©e qu’elle ai pour une fois le dessus, elle prit un air aguicheur, et se dĂ©barrassa rapidement de la couverture pour s’installer a califourchon sur son ami, qui avait perdu son sourire, contre un air visiblement surpris. Plus surpris, tu meurs, bah, Eliott, t’étais pas partant pour un strip-poker ?Il la fixa avec un air perdu, tandis qu’elle se rapprochait dangereusement. Les deux autres garçons Ă©taient muets de stupeur, face au renversement de situation. ******, je croyais pas Alice comme ça ! » Pensa Mathieu, et il avait raison. Elle Ă©tait peut ĂȘtre morte de rire intĂ©rieurement, mais si elle n’avait pas Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e en leurs prĂ©sence, puis relĂąchĂ©e, et avec ça, ce sentiment d’adrĂ©naline, jamais elle n’aurait eu l’idĂ©e de ce petit jeu elle se demandait pourquoi il ne la repoussait pas. Ils Ă©taient censĂ©s se dĂ©tester, alors qu’elle Ă©tait a deux doigts de lui rouler un patin, lui la regardait juste comme si elle Ă©tait devenue folle. -Wh, Raven, tu verrais ta tĂȘte !Puis elle Ă©clata de rire, et se remit Ă  sa place, en pleurant presque. Mathieu soupirait presque de soulagement, retrouvant son amie, et bientĂŽt, Tom la rejoint. Eliott avait toujours l’air profondĂ©ment choquĂ©, qui finit mĂȘme par le dĂ©rider t’imaginerais plus coincĂ©e, tentant, vous auriez vu vos tronches !Ils souriaient tous les trois, mais quelque choses gĂȘnait Eliott, ça se voyait 
 Il l’attira contre lui, passa un bras autour de ses Ă©paules, et fit fi de ses demandes pour tu m’écrases 
 J’étouffe, je respire plus. Raven, s’tue plait, je meurs lĂ  
 Houhou ? Aille, tu m’écrases 
 ******, t’as d’la force ! MaĂŻeur, lĂąche-moi ! Fais gaffe hein, l’idĂ©e du buisson tiens toujours !-Moi aussi je t’aime les regards amusĂ©s des deux autres garçons, qui se mirent Ă  discuter d’autres choses, Eliott enfonça son index dans les cĂŽtes d’Alice qui se mit Ă  gigoter pour se dĂ©barrasser de son emprise, sans succĂšs, car il Ă©tait plus fort qu’elle. Pleurant presque de rire, elle le supplia d’arrĂȘter, ses mots avalĂ©s par sa toux, il la je suis dĂ©solĂ©e de m’ĂȘtre foutu de ta gueule, t’as dĂ» te poser des questions 
-Un peu ouais 
 M’enfin, ce n’est pas dĂ©plaisant d’avoir une jolie fille assise Ă  califourchon sur soi 
-Ah bon, y a une autre fille ici ? Un sourire moqueur se dessina sur les lĂšvres d’Eliott, Alice n’en revenait pas. Elle rĂ©ussissait Ă  le faire sourire ! Il avait de la fiĂšvre ? Il la retint de nouveau prisonniĂšre, et chuchota Ă  son oreille-Retires ce que tu viens de dire, ou je te lĂąche pas 
-D’accord, j’admets que je suis bien trop modeste, en vrai j’suis canon. Ça te va ?Il la lĂącha, et pinça les lĂšvres pour ne pas sourire, face Ă  la mimique boudeuse de la jeune bout d’un moment, a force de chahuts, et de rires, elle finit par bailler, mais refusa de partir . Elle ne savait pas quand ils seraient aussi souriants, tous les quatre, alors elle voulait profiter du moment au maximum .Elle finit d’ailleurs par s’endormir, et ne se rĂ©veilla que le lendemain matin, dans son lit . Elle regarda autour d’elle, avec un air profondĂ©ment dĂ©boussolĂ©, avant de se rappeler ou elle Ă©tait . Elle entendait trĂšs distinctement trois respirations a ses pieds, et regarda prĂšs du lit . La tĂȘte posĂ©e sur les mains, Eliott dormait, assis par terre, en appuis sur la couverture . Au sol, Mathieu et Tom, qui ronflaient eux aussi . Elle se retint de rire, et profita de l’instant pour les regarder de plus prĂšs .Elle n’avait jamais vraiment l’occasion de fixer Eliott, et en profita . Elle devait avouer que des trois, il Ă©tait le plus mignon . Et elle savait que Mathieu Ă©tait mignon 
 d’ailleurs, Tom n’était pas mal du tout non plus, mĂȘme si diffĂ©rent .Le premier, son ami depuis le dĂ©but, avait des yeux verts, mais vu qu’il avait les paupiĂšres fermĂ©es, elle ne pouvait que se les rappeler . Des cheveux bruns, mi-longs, et des traits enfantins . Le second, Tom, Ă©tait blond, mais elle ne se rappelait pas de la couleur de ses yeux . Pourtant elle se rappelait clairement l’avoir fusillĂ© du regard . Mais, bleu, verts ou bruns, elle ne se rappelait plus . Et Eliott avait des yeux bleus encore plus pĂ©tillants que les siens encore plus clair, ceux d’Alice Ă©taient lapis-lazuli, les siens Ă©taient bleu pur . Et impĂ©nĂ©trables, c’était agaçant 
 Quand a Eliott, il avait une allure Ă©trange, a vrai dire 
 Grand, un peu plus qu’elle, mais a quelques centimĂštres seulement, on voyait qu’il faisait pas mal de sport, et avait des traits 
 Un peu Ă©ffĂ©minĂ©s, mais qui restaient masculins . Des cheveux brun foncĂ©s, sans doute plus longs que les siens, raides . Elle les dĂ©visagea lentement, avant de sursauter, elle fixait le peu qu’elle voyait d’Eliott, sois une masse de cheveux bruns foncĂ©s s’éparpillant sur son front .-Profiter de notre sommeil pour nous reluquer, c’est dĂ©loyal, Grimm .***** ! Il Ă©tait rĂ©veillĂ© ! Elle rougis au maximum, mais fit mine de ne pas comprendre de quoi il parlait . Elle prit un air vexĂ©, et dĂ©clara d’une voix railleuse -Punaise, t’es vraiment narcissique en fait !-Ah ça va, je vais pas te tuer hein 
Elle enfouis son visage cramoisie sur le traversin, et dĂ©cida d’y rester .-Fais gaffe, tu vas t’étouffer 
-Si je meurs, je serais dĂ©barrassĂ©e des exercices de maths 
Un sourire malicieux joua sur les lĂšvres du garçon, pendant que Mathieu et Tom ouvraient les yeux .Un ricanement s’éleva, et c’était celui de deux personnes . Ah, Tom et Mathieu avaient entendus la conversation, et la gĂȘne d’Alice laissait croire qu’Eliott avait raison 
 L’ami de la jeune fille se dit que ce n’était pas forcĂ©ment plus mal que ça, et que de toute maniĂšre, elle ne risquait pas de trouver quelque choses d’intĂ©ressant a lui, ou a Tom . Vu le nombre de groupies qui bavaient sur Raven 
 Il rĂ©prima une bouffĂ©e de jalousie mal venue, et remit les pieds sur terre . *****, *****, ***** . » pensa-t-elle -Alice ne ferait jamais ça, voyons, tu devait avoir de la salade entre les dents 
-Mathieu, soit mignon, fait comme lui, avale de l’essence et suicide toi 
Nouveaux rires . Elle se sentait rĂ©ellement idiote, parce qu’ils dĂ©connaient sur son dos, et que mĂȘme si elle n’avait pas honte de son geste, aprĂšs tout, le peu de beaux garçons qu’il y avait dans cet Ă©tablissement, elle avait bien le droi de les regarder non ? -Au fait, qu’est-ce que vous foutez lĂ  ?! C’est MA chambre ! Et je me suis pas endormie lĂ , en plus 
-Bah, on s’est dit que tu aurais mal au dos, si tu dormais dans l’herbe, alors je t’ai portĂ© pour te ramener lĂ , et comme Mathieu s’inquiĂ©tait pour toi, Tom a proposer de rester lĂ , pour ĂȘtre sur que tu ne te rĂ©veillerai pas dans la nuit, ou que tu ne fasses pas de cauchemar 
 On a bien essayĂ© de te tenir la main, mais apparemment, ça t’intĂ©ressait pas .-En reprenant les mot de l’attardĂ©, il s’inquiĂ©tait, et il prĂ©fĂ©rait rester, et comme je tenait pas a te laisser seule avec le sociopathe, je suis restĂ© .-Pour connaitre la vĂ©ritĂ©, mieux vaut Ă©couter Mathieu .-Merci mec .-De rien .-Eh, c’est une rĂ©bellion ? Vous vous liguez contre moi, a trois ? Si c’est le cas, vous avez intĂ©rĂȘt a vite changer d’idĂ©e 
 Surtout toi, Raven, parce que je peux ĂȘtre une enquiquineuse finie 
-Je confirme 
 marmonna Mathieu, qui Ă©vita de justesse un oreiller lancĂ© afin de l’assommer . -Va te 
 Je te *****, Mathieu !Elle rougis, et dĂ©tourna encore une fois le regard . Eliott la saisis par le menton, et la fixa dans les yeux, sĂ©rieux, tout a coup .-Grimm, si tu dĂ©tournes le regard pour une simple moquerie, qu’est-ce que ce sera quand tu auras une famille a mener ? Faut affronter ses problĂšmes, c’est comme pour les maths .- Euh, ça a pas trop rapport lĂ  
-La ferme, tu affrontes le problĂšme, c’est tout .Il se releva, sans plus de cĂ©rĂ©monie, aprĂšs l’avoir lachĂ©e, elle bondit hors du lit, et lui saisit le poignet d’un air autoritaire .-Toi ! Va pas croire qu’a cause de cette idiotie, ou de ce stupide rang, tu sois autorisĂ© a me parler ainsi . Je reste une Grimm, et tu n’as aucunement le droit d’hausser le ton quand tu m’adresses la parole, je suis claire ?-Et bah voilĂ , tu vois quand tu veux, tu peux, suffit de raler un peu 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux avec un air moqueur, et elle fronça les sourcils .-Attends, tu te fous de moi lĂ , c’est ça ?-On ne peut plus 
Elle Ă©touffa un grognement, et le lacha . Mathieu et Tom s’étaient remis sur leurs deux jambes, elle adopta une mine boudeuse qui les fit sourire les trois, et s’assit sur son lit en croisant les bras .-Z’avez arrĂȘtĂ© de piailler autour du feu vers quelle heure a peu prĂšs ?-Chais pas, mais va falloir songer a manger plus, Grimm, t’es un poids plume, ça fait peur .-C’toi qui m’a ramenĂ© ?-Ça te pose un problĂšme ?-Pas que je sache, c’est toujours mieux que de dormir dans l’herbe, quoique ç’aurait pu ĂȘtre amusant . Ce qui serait amusant, maintenant, ce serait de me laisser aller me doucher 
 Aller, dehors 
Eliott lui sourit avec un air moqueur et satisfait, se disant surement que la leçon Ă©tait passĂ©e, et qu’elle avait compris ce qu’il disait, quand il disait qu’elle devait affronter ses problĂšmes 
Ils passĂšrent les journĂ©es suivantes ensembles, tous les quatre, ce qui changeait Ă©normĂ©ment a Mathieu, mais aussi a Alice, et a Eliott . Tom, lui, Ă©tait habituĂ©, a ĂȘtre entourĂ©, alors il n’avait pas plus de mal que ça .Vint ensuite le moment de faire les valises pour aller au domaine Raven . Alice Ă©tait stressĂ©e, et tremblante . Elle n’arrĂȘtait pas de se retourner, pour ĂȘtre sure que Mathieu Ă©tait toujours lĂ  . A bout d’un certains temps, il vint l’aider a plier les habits, et regarda avec un air amusĂ© les robes qu’elle fourrait dans son sac .-Depuis quand tu t’habilles comme une vraie fille ?-J’ai pas le choix, figure toi, ma mĂšre a dit Tu mettras tes pantalons quand tu reviendras en cour . »Elle fit la grimace, et en sortit une lĂ©gĂšre, pour le train . La plupart des toilettes Ă©taient bleus clair, parce que ça s’accordait trĂšs bien avec ses yeux . Elle avait pris le temps de tresser ses cheveux de maniĂšre habile, et y avait glissĂ© des rubans, qui laissaient quand mĂȘme quelques mĂšches brunes tomber en cascade . Elle avait juste rehaussĂ© ses yeux bleus d’une poudre dorĂ©e sur les paupiĂšres, ses onglĂ©es, ses mains, ses joues, ses yeux, ses cheveux, tout Ă©tait impeccable . Sauf qu’elle Ă©tait d’une humeur massacrante, stressĂ©e, elle n’arrĂȘtait pas de faire demi tour, de virevolter, de changer d’idĂ©e, d’avis, d’humeur .-Tiens, Alice en robe ? Elle se retourna et se planta devant Eliott avec un air mauvais .-Toi, tu fais un commentaire, tu passes le trajet dans la soute . - Nerveuse ?-Elle dit que nan, j’imagines qu’elle flippe 
- Je m’en doute 
-Z’auriez l’obligeance d’arrĂȘter de parler comme si j’étais pas lĂ  ?Elle se retourna, et força sur la valise pour la fermer . Elle tourna de nouveau les talons, et faillit s’étaler, de tout son long 
 Elle releva le bas de sa robe, pinça les lĂšvres, et envoya valser les chaussures noires a talons, qu’elle troqua contre de vieilles tennis grises dĂ©structurĂ©es, sous les regards moqueurs de ses camarades de classe . Elle attrapa les chaussures, qui gisaient au sol, abandonnĂ©es, les fourra dans un sac, et posa le tout au sol .-Bien, la voiture de Ma Dame est avancĂ©e .-C’est ça ouais 
Elle lui lança un regard suspicieux, et lacha ce qu’elle tenait pour se jeter sur son ami .-T’as interet a bosser hein, une semaine, ça peut tooout changer, alors tu fais pas la feignasse, tu bosses 
 Tu vas me manquer, Mathieu 
-Toi aussi, Alice, tu vas me manquer, toi aussi 
AprĂšs les aurevoirs, ils tournĂšrent vers le train, qui n’était pas encore partit, et allĂšrent s’installer dans un wagon vide .-Alice, il va sĂ©rieusement falloir que tu revoies ton oratoire 
 Tu parles comme n’importe quelle adolescente de ville, ça fais peur 
 -Je sais me tenir en publique, j’ai eu une bonne Ă©ducation, je te rappelle 
-Et, me frappe pas, parce que je l’ai jamais fait, lĂ  ou on va, le vouvoiement est de rigueur .-Pardon ?! Je ne te vouvoierais pas, j’y arriverais pas, tu te fous de ma gueule ? Euh, pardon
 Aurais-tu l’obligeance de cesser cette comĂ©die ?-Eh, Dante, ta Divine comĂ©die », je l’ai pas Ă©crite 
 -Dante, c’est trĂšs spirituel, Raven 
-Soit mignonne, quand on arrive, tu attends que je me sois dĂ©barrassĂ© des formalitĂ© pour gueuler, cet a dire, attends d’ĂȘtre en priver, pour te dĂ©fouler .Elle hocha la tĂȘte, d’un air mutique, et fixa ses pieds chaussĂ©s de vieilles tennis .-Et tu changeras de souliers, avant qu’on arrive ..?-Certainement 
Il lui releva la tĂȘte, et lui offrit un sourire tout a fait charmant .-Grimm, tu te prĂ©sentes aujourd’hui comme la protĂ©gĂ©e des Raven, demain, pour ta cĂ©rĂ©monie, et le reste de la semaine, je te promet qu’on part se pommer dans la forĂȘt .-SĂ©rieux ? Euh, je veux dire Promis ?-SĂ©rieux .Elle sourit, et fixa la fenĂȘtre avec un air dĂ©jĂ  moins mutique .-Ça me fais peur 
 J’ai peur d’arriver, en fait, j’ai peur qu’on me prenne pour 
 Je sais pas, l’idiote qui a tuĂ© sa K, Le dĂ©shonneur des Grimms, celle que le fils Raven a pris sous son aile, sans mauvais jeu de mots 
-Grimm, tu me fais confiance ? Personne ne pensera ce genre de choses de toi, quand on va descendre, tu vas sortir en tenant ma main, la tĂȘte haute, le menton relevĂ©, le dos droit, un sourire flottant sur les lĂšvres comme si on avait plaisantĂ© tout le trajet, tu vas sourire, avec un air doux, si, tu peux le faire, et si on te parle, tu inclines la tĂȘte, tu me regardes comme si je devais t’autoriser a rĂ©pondre 
 Mais tu regardes les gens avec un air supĂ©rieur, toujours . N’oublies pas qui tu es 
 D’ailleur, Ă©vites de trop ouvrir la bouche, parce que t’as tendance a dĂ©ployer des tĂ©sors de vulgaritĂ©, a force de cĂŽtoyer des gens 
 Vulgaire, va-t-on dire 
-D’accord .-VoilĂ , et tu ne t’éparpilles pas partout . Sois structurĂ©e, et calme . Ne bouge pas trop vite, si ça peut t’aider, cale ton pas sur le miens .Elle hocha la tĂȘte, il avait rĂ©ussis Ă  la faire stresser de nouveau, il fallait qu’elle retienne Papillonner des yeux, le fixer en mode groupiasse, incliner la tĂȘte, l’imiter, jouer la pĂ©tasse timide, se la boucler 
 Ah oui, il avait raison, elle Ă©tait assez vulgaire, quand mĂȘme 
-Bah, on va tester ça 
 Maintenant, le train s’est arrĂȘtĂ© 
Elle serra les dents, enleva ses tennis, remis les chaussures a talons sur lesquelles elle ne tenait pas debout, et aggripa fermement le bras d’Eliott . -Il y a du monde ?-Selon les dires des autres, tous les invitĂ©s prĂ©sents a ta cĂ©rĂ©monie de maturitĂ©, donc oui 
 Respire Alice, c’est des gens qui idolĂątrent ta famille, s’ils se jettent pas a tes pieds, je vais perdre dix euros 
-T’as pariĂ© que je me ridiculiserais ?!-Non, moi j’ai pariĂ© que tu t’emmĂȘlerai pas les crayon, si tu foire, tu me dois dix euros 
-T’as pariĂ© 
 Vous avez pariĂ© avec qui ?!-Avec Tom 
-Ok, nous sommes d’accord, si je le croise, seul, je l’étrangle 
Il sourit, poussa les battants, et descendit du wagon . Sur le quais de la gare, on distinguait clairement une silhouette droite, et bien tenue, qui contrastait avec le reste des habitants, mal soignĂ©s 
-Respire Grimm, t’as encore au moisn cinq minutes de voiture .-Oublies, j’me tire .-Non non non !Il la rattrapa par la taille tandis qu’elle se dĂ©filait et faisait demi tour, et l’attira a lui avec un sourire moqueur . Il lĂ cha sa main pour lui entourer les Ă©paules, avec un air nonchalant, et la força a marcher jusqu’à la voiture .-Le carosse » de Ma Dame est avancĂ© 
- Il me revient que j’ai oubliĂ© une veste a laquelle je tenais Ă©normĂ©ment, dans notre compartiment, je vous serais grĂšs de m’attendre, tandis que je pars la chercher 
-Il me semble que tu es arrivĂ© dans le train sans veste 
-Et bien, je vais retourner a l’acadĂ©mie pour la rĂ©cupĂ©rer 
Au lieu de discuter, il la poussa Ă  l’arriĂšre de la voiture, et enclencha la sĂ©curitĂ© de la porte, au cas ou elle ne tente une escapade forcĂ©e . -Ça va aller, je ne suis pas non plus stupide au point de me jeter par la portiĂšre .-Les Grimms ont un sens assez aigus de la fuite, Alice 
Elle fusilla du regard le conducteur .-Tom ?!-Ouais ?-T’as de la chance d’ĂȘtre au volant, tu serais mort, sinon 
 J’ai l’autorisation de le tutoyer lui hein ? Enfin, n’est-ce pas 
 Eliott ?Un ricanement se fit entendre Ă  l’avant, et Alice broya la main d’Eliott pour ne pas Ă©trangler Tom .Elle regarda les paysages, bailla, remis en ordre sa coiffure et son maquillage, et eu a peine le temps de souffler que les cinq minutes Ă©taient passĂ©es, et qu’ils arrivaient au domaine des Ravens .-Bienvenue Ă  la maison, Eliott .-T’es chez toi aussi, Tom 
 Et Grimm, pour une semaine 
-J’imagines que t
 Vous connaissez la rĂ©ponse 
-Je me doutes 
-C’est marrant de te voir le vouvoyer, sachant que tu es bien plus classĂ©e que moi, et que je le tutoie . Et surtout, qu’il n’y a pas deux jours, tu lui a refais une leçon de morale sur ta supĂ©rioritĂ© 
 -Tom, je serais toi, je la fermerai, elle a l’intention de te coller jusqu’à ce que vous soyez seuls tous les deux, pour t’éviscerer, et te pendre avec tes boyaux 
-Tu m’en veux a ce point ?-A ce point, ouais, et rien que pour pas devoir dix euros a Ell
 A 
C omment on doit s’appeler en fait ?-Ah *****, j’en ai aucune idĂ©e 
-Seigneur Raven, ça fera l’affaire, j’imagines 
 Ricana Tom .-Tu dis Eliott, ou Raven . Mais principalement Eliott, pour qu’on voit qu’on est plus ou moins proche, mais qu’on n’en a pas rien a carrer, des formes .-Ah ouais 
 Bref, rien que pour pas lui devoir dix euros, j’vais me comporter 
 Comme quelqu’un de mon rang, Paf ! Dans le 
 Mince, Argh, faut que je me taise 
Pendant qu’Eliott soupirait, dĂ©couragĂ©, Alice s’appliquait a se taire, mimant le geste de se fermer la bouche, et de jeter la clĂ© .-On est arrivĂ©s .-J’ai oubliĂ© ma veste a l’acadĂ©mie, je peux pas sortir sans veste !Avec un sourire amusĂ©, Eliott enleva sa propre veste pour la poser sur ls Ă©paules d’Alice .-C’est de la pure mise en scĂšne, Grimm, alors laisse la lĂ , ça pourrait faire genre 
-Ouais, et on va se rouler un patin aussi, pour faire genre 
-L’idĂ©e est tentante, mais je me ferai Ă©triper, ce serai 
 DĂ©solant 
Elle fronça le nez, et descendit en premiĂšre, il poussa la portiĂšre, la referma, et la prit par la taille pour se diriger dans l’allĂ©e . Les chuchotis allĂšrent bon train, tandis qu’elle essayait tantĂŽt de regarder les gens en souriant, tantĂŽt de papilloner des yeux en reardant Eliott .Elle reconnut quelques visages familiers, et dĂ» s’adonner au jeu des sourires, des prĂ©sentations, ou juste des iformations .-Oh, miss Alice, vous avez grandit ! Qui aurait crut qu’une Grimm viendrait passer sa cĂ©rĂ©monie de maturitĂ© au domaine des Ravens ?! Certainement pas moi en tout cas ! Auriez vous vu votre pĂšre ?-Oh, je suis navrĂ©e miss Sally, je ne l’ai pas croisĂ© depuis il y a six mois 
-Ah oui, l’incident 
 DĂ©solĂ©e pour vous 
 Mais je suis heureuse que vous vous rappeliez de moi 
-Alice, il faudrait voir a avancer, Tom est dĂ©jĂ  a l’autre bout du chemin .Elle baissa humblement la tĂȘte, le remerciant intĂ©rieurement de la dĂ©livrer de cette femme, et fit rougir ses joues .-Je ne peux qu’acquiescer, nous n’avons qu’a le rejoindre 
 Encore merci, et bonne journĂ©e !-Tu te dĂ©mordes bien 
Chuchota Eliott quand la femme fut partie .-Oh Mademoiselle Grimm !-Lady Shizuka !-Vous avez fiĂšre allure, Alice 
 Eliott, c’est vous qui l’accompagnez ?-Oui, Sarah, J’éssaie de me frayer un chemin parmis la foule d’amis venus la saluer, pour l’accompagner a ses appartements 
-Pas de problĂšme, venez donc par lĂ , jeunes gens 
 Elle se composa une mine interessĂ©e, et fit mine de parler, de sorte que personne ne vienne l’interrompre .-Alors les relations entre nos deux familles ennemies sont redevenues moins tendues 
-N’en soyez pas si sure, Lady Sarah, si j’accompagne ma 
 Camarade, ce n’est que par pure formalitĂ© 
-Eliott, mon garçon, je vous connais bien, ce regard n’est pas aussi professionnel que le miens 
 Les deux vieux sont sans doute toujours en conflit, mais vous avez l’air plus clairvoyants, et plus intelligents 
 Les deux familles maitresses se doivent de se rĂ©concilier 
Alice lança un sourire a Eliott, un sourire que seul la jeune femme japonaise, et lui, pouvaient apercevoir, et qui en disait long sur ce qu’elle pensait .-DĂ©solĂ©e, ça m’a Ă©chappĂ©, mais cette comĂ©die me fatigue, je ne vois pas l’utilitĂ© de sourire, et de faire des courbettes, s’il faut, hors regards papillonnants, expliquer a tout le monde a quel point l’entente est difficile 
-Alice, on a pas le choix 
 Vous m’éxcuserez, Sarah, je vous remercie pour la protection » apportĂ©e, nous allons continuer seuls 
Lady Shizuka s’arrĂȘta, lui sourit, et fit demi tour en inclinant la tĂȘte . Eliott poussa la porte, et la referma derriĂšre lui . Il poussa Alice contre le mur, et posa ses mains sur le mur de maniĂšre a ĂȘtre au dessus d’elle .-*****, Alice, tu pourrais pas la fermer ?! Si t’agis comme une bourge devant les autres, ils y croient, mais Sarah, elle n’est pas idiote, et elle va rĂ©pĂ©ter ça a qui veut l’entendre, alors sois mignonne, ferme la .-Je TE demande pardon ?! Depuis quand TU emploies ce genre de propos contre moi ?! Je te signale que si tu ne m’avais pas retenue, je serais loin ! Alors tu l’as un peu cherchĂ© hein !-Alice ! Calmes toi, abrutie ! T’es idiote ou quoi ?!Elle le fixa avec une lueur mauvaise du fond du regard .-RĂ©pĂšte ce que tu viens de dire !-Tu es une idiote, Alice .Il avait dit ça calmement, comme si le fait de faire du mal a Alice ne lui faisait rien . Elle bouillait sur place, et s’était pris une gifle intĂ©rieur trĂšs douloureuse .Elle leva la main, paume tendue, et se sentit happĂ©e en arriĂšre avant d’avoir rĂ©ussis a toucher Eliott . Elle l’avait manquĂ© de quelques centimĂštres a peine . Et la gifle avait faillit l’atteindre .-Alice, arrĂȘte !-Lache moi, Tom ! Laisse le se comporter en homme, si je veux lui en coller une, il est assez grand pour se dĂ©fendre !-Non Alice, c’est pas exactement ça 
 Eliott ?- J’imagines que si on lui dit pas, son pĂšre ne lui dira pas .Tom la retenait fermement, en l’aggripant au niveau des coudes seulement . Elle se dĂ©battit violement pour qu’il la lache, mais ne parviens qu’a se fatiguer . -ArrĂȘte de t’énerver, Alice, tu vas t’épuiser .-Lache moi !Ses yeux se remplissaient de larmes, de rage, parce qu’elle ne parvenait pas a se libĂ©rer, et aussi a cause de ce qu’Eliott lui avait dit . Il fallait avouer que ce genre de choses fait mal . LĂ , seulement, il la lacha, elle lutta pour ne pas s’écraser par terre, et prĂ©server un minimum d’équilibre .-Alice . Calme toi, tu veux ?-Aurais tu l’obligeances de fermer ta gueule ?!Elle avait peut ĂȘtre criĂ© un peu fort, certes, mais au moins, si elle ne pouvait pas y mettre les mains, elle y mettais du cƓur . Elle leur tourna le dos, le temps de faire sĂ©cher ses yeux, et se retourna, les yeux emplis de haine .-Raven, dis a ton sous fifre, que la prochaine fois qu’il me touche, je le fracasse . Ensuite, je rĂ©pĂšte, tu ne me parles pas comme ça . Si t’as besoin de te sentir supĂ©rieur, dis le, je vouvoie des cons, ça me changerais pas d’en vouvoyer un de plus, mais n’imagines pas que je sois de l’une des familles de sous catĂ©gorie qui se courbe devant ta belle gueule . Ce n’est pas le cas, ce ne le sera jamais, c’est bien clair ?Eliott la regardait, calmement, passivement, tandis qu’elle calmait ses nerfs a lui hurler dessus .-C’est bon, Mademoiselle je suis au dessus de tout le monde, t’es calmĂ©e ?Il Ă©tait un peu blasĂ© par son comportement de gamine, parce qu’il savait, qu’elle avait du mal a supporter tout ça, et qu’il n’était pas fonciĂšrement gentil, mais il fallait la faire taire, et il fallait qu’il puisse lui montrer ce qu’il avait a lui montrer . Il savait aussi que son commentaire Ă©tait plus que mĂ©chant, et qu’il avait dĂ» la blesser, mais il n’avait pas le choix . Il s’approcha de la jeune fille, qui Ă©tait, ça se voyait, a deux doigts de fondre en larme, et l’enlaça maladroitement .-Vas y, ne te retiens pas, tu peux pleurer devant moi, tu l’as dĂ©jĂ  fais, ça ne me dĂ©ranges pas 
-Tais 
 Toi .Elle resta debout, bras balants, et fondit en larmes, le visage appuyĂ© contre son Ă©paule .Il avait raison, elle avait dĂ©jĂ  pleurĂ© devant lui . Elle s’en rappelait assez distinctement, et lui encore plus . Parce qu’il Ă©tait lĂ , le jour ou tout est partit en cacahuĂštes 
Elle lançait le plus possible Chess a l’assaut de Nyx . Mais la K. des Ravens Ă©tait encore plus puissante que sa krĂ©ature a elle . Elle avait finit par triompher . -Vas y, Nyx, achĂšve le . La K, une louve croisĂ©e avec un guepard, un lion, et un poulet, avait une fourrure blanche qui reflĂ©tait chaque parcĂšle de lumiĂšre, lorsqu’il faisait nuit . Chess Ă©tait un cheval, un Ă©talons blanc, qui avait des yeux taillĂ©s dans du saphir . Un cavalier d’échiquier 
 Et Nyx, en abbatant sa patte, l’avait presque broyĂ© .-Chess !Lorsque sa K avait Ă©tĂ© frappĂ©e, la douleur pshysique avait Ă©tĂ© si grande qu’elle Ă©tait tombĂ© a la renverse, et c’était Eliott qui l’avait rattrapĂ©, avant que sa tĂȘte n’heurte le sol . DĂ©jĂ  que son pĂšre et lui ne se parlaient plus, mais le Seigneur de Raven aurait aimĂ© voir la petite Grimm mourir, car sans hĂ©ritier, le pouvoir leur revenait de droit . Son fils, n’étant pas aussi tordus, avait foncĂ©, et avait atterit juste . Comme son pĂšre avait refusĂ© de lui parler aprĂšs ça, il s’était lui-mĂȘme occupĂ© d’Alice, le temps qu’elle se rĂ©veille . Il l’avait allongĂ©e sur l’un des nombreux canapĂ©s que contenait la bibliothĂšque, et avait attendus son rĂ©veil .Quand elle avait ouvert les yeux, sa tĂȘte Ă©tait posĂ©e contre les genoux d’Eliott . Elle savait qu’il la haĂŻssait, il savait que c’était rĂ©ciproque . Elle avait relevĂ© la tĂȘte tellement vite qu’elle Ă©tait tombĂ©e en arriĂšre par la suite, avant de se relever rapidement, de nouveau, et de courir Ă  la terrasse . DĂšs qu’elle s’était levĂ©e, il la suivit, pour l’empecher de regarder par le balcon, mais c’était trop tard, elle Ă©tait dĂ©jĂ  penchĂ©e en avant . Il la tira en arriĂšre, pendant qu’elle se laissait tomber sur le sol .-Grimm ! Qu’est-ce qui te prends de courir, alors que tu viens de tomber dans les pommes, t’es idiote ou quoi ?! -Raven ! Je te signale que vu mon rang comparĂ© au tiens, tu me dois le respect, alors lache moi, et laisse moi voir ce que je veux voir .-Comme vous voudrez, majestĂ© 
Il Ă©tait vexĂ©, et commençait a se dire qu’il aurait mieux fait de la laisser s’exploser le crane . Il n’aimait pas qu’on le rabaisse, alors qu’une Grimm lui rappel qui il Ă©tait 
 il la lacha, et la laissa regarder le sol .-Chess !Un cris fusa, elle hurla . Il la retint, la tira en arriĂšre, et l’envoya valser dans la bibliothĂšque avant de fermer la porte fenĂȘtre et les volets .-Stop, Grimm ! Ça va aller !Elle le regarda, horrifiĂ©e, et se figea . Il s’approcha, et lui pris maladroitement la main . Ç’allait ĂȘtre compliquĂ©, de rassurer une fille qu’il n’aimait pas du tout .-Ils ont ! Vous avez ! Ils 
Elle fondit en larme, alors il la poussa doucement, pour la faire s’asseoir sur le canapĂ©, pendant qu’elle se mettait Ă  pleurer. Maladroitement, il la prit dans ses bras, et la cajola jusqu’à ce qu’elle s’endorme.~-C’est dĂ©gueulasse, ce que tu me sais, Grimm, je sais. DĂ©solĂ©. Vraiment, je ne le pensais ?-Grimm, je te le jure. Je peux t’expliquer pourquoi quand tu es en colĂšre tu ne dois surtout pas lever la mais sur moi, ou sur Tom ?- Je ne sais pas trop, j’ai peut de me faire arnaquer 
-Tu me fais confiance ?-J’imagine 
Il lui prit la main, et l’emmena plus loin, prĂšs des barbecues, qui, laissĂ©s a l’abandon avaient servis de table de chimie a ne te mets pas a hurler. D’accord ?Elle hocha la tĂȘte; peu assurĂ©e, et le regarda. Il tendit la main, comme s’il voulait qu’elle la prenne, et, paume tendue, fit courir le long de son bras, de gigantesques prends ma te fous de ma gueule ?!-Bien sur que non !Elle lui lança un regard aigus, et lui rĂ©pondit par un sourire moqueur, elle savait ce qu’il pensait, elle savait qu’il se disait qu’elle avait peur, elle posa sa main sur la sienne. Les flammes lĂ©chĂšrent d’abord ses avant bras, avant de se rĂ©tracter, elle eut beau ne pas bouger, celles-ci refusaient de revenir sur ?!-Bah, c’est facile. Eux choses, la premiĂšre, je les maitrise, mon but n’étant pas de te carboniser 
 La seconde, encore mieux, mĂȘme si je voulais, je n’y parviendrais pas, regardes 
Il prit sa main, et devant un verre d’eau, la Vas-y, essaie de me la balancer dessus, le regarda, amusĂ©e, et secoua la main comme une gamine, avant de fermer les yeux, Ă  cause du soleil. Quand elle les rouvrit, Eliott Ă©tait sec, mais Tom soufflait sur ses mĂšches trempĂ©es avec un air surpris, comme si ce n’était pas Ă  lui de se prendre l’ verre Ă©tait tu 
.-Tu cales maintenant, pourquoi c’était vous les numĂ©ros un, et pourquoi si tu me claques, je suis dans la ***** ?Elle hocha faiblement la tĂȘte, et le regarda avec un air amusĂ©, contente de la dĂ©couverte du jour. Un peu secouĂ©, peut ĂȘtre 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux, et se retourna. Une mine embĂȘtĂ©e se dessina sur son visage. Alice, elle fixait ses mains avec ?-Ouais ?Elle releva la tĂȘte elle aussi, et pinça les lĂšvres, avant de se redresser, de prendre un air embĂȘtĂ©, et timide, et de fixer les trois enfants des trois autres grandes familles. Dans le tas, il y avait Catherine, le vent, une jolie pĂ©tasse comme on en fait pas Amaryllis, la terre. RĂ©servĂ©e, peu sure d’elle, la jeune fille de la derniĂšre l’enfant de la quatriĂšme famille, qui ne servait strictement Ă  rien, et qui Ă©tait lĂ , seulement pour l’ bien, nous constatons avec joie que miss Grimm a fait la rĂ©cente dĂ©couverte de ses dons, a dĂ©faut d’avoir su protĂ©ger Chess, et qu’elle est suffisamment proche de vous, pour vous tutoyer 
 Et qu’elle a un langage rĂ©ellement ? Ce n’est pas Ă  moi qu’elle s’adressait, mais a exactement 
 Nous vous croyons tous les trois, n’est-ce pas Amaryllis ? N’est-ce pas, l’autre ?-Fous lui la paix, Catherine, elle est plus haut placĂ© que toi, tu lui dois le a perdu sa K ! Elle est minable !Alice s’avança Ă  grands pas furieux, et se pointa devant la blondasse qui la toisait avec je ne m’abaisserais au rang minable, car je te serais toujours supĂ©rieur, vois-tu ? Tes parents doivent avoir honte de toi, ta famille ne dois rĂȘver que de te renier, alors ne me fais pas passer pour une faible, parce que ce que je vois quand je te regarde, ou quand je regarde ceux qui te fixent, c’est de la pitiĂ©. Catherine, la fille qui ne savait pas se dĂ©merder sans son groupes de serviteurs 
 La fille incapable de sourire, ou juste, la pĂ©tasse qui se croyait supĂ©rieur aux autres. Tu n’es qu’un troisiĂšme rang, tu ne connaĂźtras jamais l’honneur d’ĂȘtre respectĂ©e, et crois moi, ça vaut mieux les regardait avec un air mi amusĂ© mi embĂȘtĂ©, il tira Alice par le bras, elle ça Alice, elle va aller se plaindre a mon pĂšre 
-Rappelles moi c’est quand qu’on se tire ..?-Ce soir, tu racontes ta vie Ă  des gens, pour la cĂ©rĂ©monie. Demain on dĂ©jeune, et on se donc tu peux me la montrer, ma chambre ?- Allez-y faites comme si on n’était pas lĂ  !-T’inquiĂšte pas, c’est ce qu’on fait 
 Tu montes, Alice ?Il lui ouvrit la porte et la fit entrer Ă  l’intĂ©rieur. Elle alla se poser sur le lit, et lui, tira une chaise d’un bureau pour s’asseoir en face d’ j’ai gĂ©rĂ© ? Je me dĂ©***** bien ?-Oui, bon, Catherine est une 
 Bref, et l’idĂ©e de nous voir rĂ©concilier les deux familles la met en rage, parce que si nous nous entredĂ©truisons, elle aura la premiĂšre place 
 Tu comprends ?-Bah ouais, je comprends aussi que je ne l’aime pas du tout, et que cohabiter va ĂȘtre chaud 
-En revanche, tu devrais porter plus d’attention a ton langage, en privĂ© comme en publique, si tu y fais attention, tu auras moins de difficultĂ©s 
-D’accord, je vais essayer de remettre ça d’ bon je te laisse, tu devrais dormir un peu 
 Je viendrais te chercher ce soir 
Il ferma la porte, alors elle se glissa sous les couvertures. La lumiĂšre du jour ne la dĂ©rangea pas, elle ronfla comme un sonneur jusqu’à environs dix neuf heures. Eliott rentra car elle ne entendait pas frapper a la porte, et dĂ» la secouer pour la ?-Mmh ?-Debout, t’as qu’une demie heure pour te prĂ©parer 
-Mmh 
Comme elle ne l’écoutait pas, il la fit s’asseoir et la regarda un moment avant de s’emparer des pinces posĂ©es sur la table de chevet. Il remit sa coiffure en ordre, la remontant un peu, pour ne pas qu’elle a l’air de ne pas s’ĂȘtre peignĂ©e, et la tira en avant pour qu’elle se je sais que t’es crevĂ©e, mais fais un effort, va te changer, je t’attends se dirigea dans la salle de bain pour enfiler une autre robe. Plus cintrĂ©e, et qui faisait plus adulte. Blanche, avec des manches amples, qui couvraient ses mains lorsque ses bras restaient ballants, et le jupon, assez fournis, s’arrĂȘtait dessous ses genoux. Elle remit en ordre son maigre maquillage, et sortit de la salle de On y va ?Elle hocha la tĂȘte, avec un air maussade, avant de faire demi tour, et de foncer dans la salle de bain. Faiblarde, elle sortit de la valise une paire de boucle d’oreilles en cristal et en argent, et les attacha Ă  ses oreilles. Pas qu’elle veuille ĂȘtre plus jolie que la moyenne ou autre, mais ces boucles appartenaient a sa mĂšre, alors elle avait tout intĂ©rĂȘt Ă  les porter. Elle se baissa, et fit sortir une parure de cristal, toujours, qu’elle attacha Ă  son cou. VoilĂ , lĂ , c’était bon ?-Ouais, deux secondes 
 Je mets des godasses pas trop pourries 
 Tu peux vĂ©rifier qu’elles ne sont pas sous le meuble Ă  cotĂ© du lit ?- Nan, elles n’y sont pas 
-Ok 
Elle sortit, pieds nus, et le regarda avec un air oubliĂ© mes godasses dans le train, et les bleus ne vont pas avec le reste 
 -Pas grave, on n’a pas le temps de trainer, ai l’air assurĂ©, on pensera que c’est descendirent et traversĂšrent le chemin qui les menaient a l’église en courant, malgrĂ© les pieds nus d’Alice, et poussĂšrent les portes doucement, en cherchant leur elle fit son entrĂ©e, elle Ă©tait radieuse, et toute trace de sommeil avait Ă©tĂ© effacĂ©e. Elle n’était pas extraordinairement belle ou quoi que ce soit, mais elle resplendissait la fiertĂ©, mĂȘme si tout Ă©tait jouĂ©. On se tut, et les invitĂ©s s’assirent, la laissant traverser la piĂšce, pour se poster devant le seigneur de Raven. Elle inclina la tĂȘte avec humilitĂ©, et la releva quand il le lui la cĂ©rĂ©monie se dĂ©roula avec lĂ©gĂšretĂ©. Le pĂšre d’Eliott Ă©tait trĂšs pro, il ne dit rien de mauvais sur Alice, lui fit rĂ©citer le psaume, en quelques temps, ce fut rĂ©glĂ©, et elle put aller se coucher dĂšs que tout fut finit, et qu’elle eut saluĂ© les invitĂ©s. Elle rayonnait toujours, mais avait peut ĂȘtre un peu trop but, car chaque fois qu’elle venait parler vers quelqu’un, elle acceptait le verre de vin qu’on lui tendait. Eliott la rattrapa, saoule, qui cherchais la sortie, prĂšs des ! P
 Mais qu’est-ce que tu as bus ? Pas du jus, m’est avis. Bon, cas de force majeure, je vais dire qu’on p pourquoi ? C’est amusant, Mmh de rester lĂ , les gens sont sympĂą 
-Ouais, mais t’es ivre, alors la conduisit dehors, malgrĂ© ses protestations, et la fit rentrer dans le manoir aussi vite qu’il put. Elle grelottait, mais n’avait pas les idĂ©es claires 
 Il la fit s’asseoir, enleva les boucles d’oreilles, le collier, et les pinces, et sortit en Ă©teignant la lumiĂšre. Elle dormait dĂ©jĂ , assise, sur le lit 
Le lendemain, il ouvrit la porte elle n’avait pas bougĂ©. Quand il la secoua, elle gĂ©mit, et plaqua ses deux mains contre ses pas si fort, idiot ! Je souffre lĂ , ça ne se voit pas ?!-T’as la gueule de bois, t’as trop bu, pour une premiĂšre fois 
Elle renifla dĂ©daigneusement, et accepta le verre et le cachet qu’il lui tu t’apprĂȘtes, on va partir dĂ©jeuner, puis on part en randonnĂ©e, comme je t’avais hocha la tĂȘte, se changea, enfila un pantalon et un tee shirt, et descendit dĂ©jeuner. Assise, elle ne toucha pas Ă  son repas, prĂ©textant le mal de tĂȘte, qui s’était Ă©vaporĂ© un quart d’heure aprĂšs la prise du cachet. Elle en profitait surtout pour dĂ©mĂȘler ses Ă©motions, et se demander si ce qu’elle ressentait quand il lui parlait, c’était vraiment ce qu’elle pensait. Puis ils partirent. Cinq minutes aprĂšs s’ĂȘtre engagĂ© sur le sentier, il se demanda si c’était une bonne idĂ©e .Il passa une main dans ses cheveux, et tourna la tĂȘte pour regarder derriĂšre lui. La petite brune le suivait sans difficultĂ©, et lui lançait de temps Ă  autre des Ɠillades pour le moins intĂ©ressantes ... Il finit par soupirer, et s'arrĂȘta. Il fallait que ça cesse, tout, les faux espoirs qu'elle entretenait, tout ... Il se mordit la lĂšvre, sachant qu'il lui ferait plus de mal s'il n'agissait pas ainsi ... Tout, dans les vibrations d'Alice montrait qu'elle ressentait plus que de l'amitiĂ©, et lui, qu'avait-il a dire ? Il s'Ă©tait fait endoctriner de la mĂȘme maniĂšre qu'elle ... Il se haĂŻssait presque, mais il n'avait pas intĂ©rĂȘt a rater ce qu'il allait faire, parce qu'aprĂšs, elle le dĂ©testerait tellement qu'elle ne voudrais plus le voir, alors au moins lui laisser un bon souvenir ...Il la pris par les poignet, le regard rĂ©solus, et sourit de son air interrogatif . -DĂ©solĂ© ... Et il l'attira contre lui. Le tout ne dura pas plus de trente secondes, ce fut un baiser chaste, sans plus, mais Alice se sentait subitement mieux, parce qu'il avait compris. Il fourra son visage dans ses cheveux lĂąchĂ©s, qu'elle avait laissĂ© retomber en cagues sur ses Ă©paules, elle arrĂȘta de respirer .Quand il se dĂ©cida Ă  la fixer, elle perdit son beau sourire, face a son air rĂ©signĂ©, et las. -Qu'est ce qu'il y a, Eliott ? Je suis nulle hein, c'est ça ? Ou alors tu as compris que...- Non, Alice, ce n'est pas ça ...Un sourire triste lui Ă©chappa. -Si seulement ... Alice, ce n'est pas une histoire de toi, ou mĂȘme de moi, ça dĂ©passe ça ... Je voulais juste que tu le saches ... Et que tu comprennes que malgrĂ© tout, c'est recula, les yeux humides, et le regarda avec un air triste. Il dĂ©posa un baiser sur son front, et partit, la laissant seule, avec son chagrin, et ses pensĂ©es obscures, avec sa toute premiĂšre peine de coeur ... Et un couteau, soigneusement rangĂ© dans la poche ... Elle le sortit, fit jouer la lame contre son pouce et ressentit une lĂ©gĂšre douleur quand le sang perla. Elle ressentit aussi une toute autre choses, la sensation d'ĂȘtre vivante, et elle se dit que si elle voulait le ressentir de nouveau, elle devait retenter l'expĂ©rience, Ă  plus grande Ă©chelle. Elle se sentait lasse, trĂšs lasse ... Si retenter signait son arrĂȘt de mort, tant pis ... A quoi bon vivre quand on est rejette ?Elle regarda le manche d'argent incrustĂ© de Saphir, et pris sa dĂ©cision. Et maintenant, la meilleure chose Ă  faire Ă©tait d'attendre que le sang s'Ă©goutte, puis se disperse, la laissant inerte, mais avec ce sentiment de vie ... puis la mort. WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 2021 DĂ©solĂ© du Dp, mais l'histoire c'est mal affichĂ©-Alice ? Tu m’entends ? Alice ? Tu m’écoutes ? Qu’est-ce qu’il y a dans ce courrier, Alice ? Alice ?Mathieu secouait son amie autant qu’il pouvait, il voyait bien ses yeux se remplir de larmes, au fur et Ă  mesure qu’elle parcourait la lettre cachetĂ©e. Il lui arrivait de se comporter en enfant, et de bouder, ou de fondre en larme pour un rien, c’était ce qui la rendait attachante, c’était pourquoi il l’aimait, sans doute 
 Mais lĂ , elle n’y Ă©tait pour rien, et si elle se comportait ainsi, ce n’était pas a cause de son caractĂšre, elle Ă©tait triste, vraiment. Il se baissa pour ĂȘtre Ă  sa taille, vu qu’elle Ă©tait assise sur un banc, et l’étudia quelques secondes, avant de rĂ©agir. Il prit son amie dans ses bras, et la serra avec force, pour la rĂ©conforter. Des larmes vinrent foncer l’uniforme blanc du jeune garçon, il ne rĂ©agit pas. Il la relĂącha, lui Ă©bouriffa les cheveux et lui colla un baiser sur la vais aller chercher quelqu’un qui saura quoi faire 
 marmonna-t-il pour lui-mĂȘme. Il alla dans les dortoirs des filles, mais ne trouva aucune amie d’Alice, alors il descendit Ă  la salle commune. Elles y Ă©taient presque toutes, ces filles qu’il n’aimait pas du tout. Son amie Ă©tait 
 Pure, calme, pas artificielle, pas superficielle, et il se demandait comment elle pouvait apprĂ©cier des pĂ©tasses pareilles 
 Il tira une chaise, elles firent silence et l’observĂšrent toutes avec curiositĂ©. -Vous avez vu, sa lettre ?-La lettre de qui, Pierrot ?-Celle de votre amie, celle d’ ? Tu connais une Alice, Carla ?-Non, et toi, Pierrot, tu connais une Alice ?Il dĂ©testait qu’elles l’appellent Pierrot, ce surnom mesquin et ridicule, il ne savait pas oĂč elles l’avaient trouvĂ©, il savait juste que ça signifiait clown, en japonais, et vu qu’il n’avait pas l’air d’un clown 
 Il ne leur demandait pas, mais elles n’avaient pas dĂ» chercher bien loin. En plus d’ĂȘtre superficielles, ces filles Ă©taient toutes idiotes 
 -Votre amie, pour information 
-Alice n’est plus rien 
 Elle ne sert a rien, Alice est une arqua un sourcil, rĂ©frĂ©nant l’envie de la baffer, et sortit de la salle sous les moqueries Ă  peine dĂ©guisĂ©es des filles. Elles ne considĂ©raient plus Alice comme une amie ? Parfait, mais alors, vers qui se tourner ? Il Ă©tait vrai qu’elles Ă©taient peu gentilles, et qu’il Ă©tait remarquables qu’elles lui aient souris pendant six mois, mais leur comportement a toutes le rĂ©vulsait. C’était peut ĂȘtre pour ça que la jeune fille pleurait 
 Si elles ne peuvent rien pour moi, je n’ai plus qu’a allĂ© voir Eliott 
 »Mathieu n’était pas trĂšs emballĂ© par l’idĂ©e de se tourner vers le gosse de riche qui tourmentait son amie, avant de commencer Ă  lui donner des cours de maths, mais il n’y avait que lui qui pouvait lui venir en aide puisqu’Alice lui avait dit des choses que Mathieu ne savait pas 
Si Eliott enquiquinait Alice, c’était pour une des raisons les plus idiotes. Stupide au la vie d’Alice, il y avait beaucoup de choses bizarres 
 A commencer par un rang stupide de princesse » de second rang. Eliott, lui faisait partie du second rang, mais sa famille a dĂ©trĂŽnĂ© celle d’Alice pour des raisons que Mathieu ne connaissait pas. D’ailleurs, si Eliott n’adressait jamais la parole a Alice en l’appelant par son prĂ©nom, c’était a cause de cette mĂ©sentente. Apparemment, il n’avait rien contre elle 
Il passa par le parc, il savait qu’il y trouverait la personne qu’il cherchait. Ne s’apprĂ©ciant pas tous deux, ils avaient pris l’habitude de ne presque jamais s’appeler par leurs prĂ©noms respectifs. Mathieu appelait Eliott par son nom, Raven, et Eliott n’appelait pas Mathieu. Tout le monde Ă©tait tu peux venir s’il te plait ?-Toi, tu compte un jour m’adresser la parole autrement qu’en me manquant de respect ?-Ton pseudo-rang n’est rien pour moi, Raven, alors pour une fois, sois pas l’éternel connard que tu es, et suis -******, Eliott, tu veux pas arrĂȘter d’ĂȘtre conversation, juste cinq minutes dans ta vie ?-C’est pas comme ça que tu le persuaderas de te suivre, Mathieu, il est butĂ©, dis lui pourquoi t’es lĂ  
-Il est lĂ  parce que Grimm pĂšte encore un cĂąble, qu’il ne sait pas comment la calmer, et que ça concerne ? Il ..?-Non, justement. Ecoute, Pierrot, tu diras Ă  ta copine que je n’ai pas que ça Ă  foutre. Qu’elle se dĂ©***** un se pencha en avant, et chuchota pour que seul Mathieu l’ la rejoins dans sa chambre, dĂšs que je me dĂ©barrasse de Tom. Le blondinet tourna les talons et se dirigea vers le banc ou il avait laissĂ© Alice seule. Elle Ă©tait recroquevillĂ©e contre elle-mĂȘme, le menton sur les genoux, les yeux clos, et les joues rouges et trempĂ©es. Il lui prit la main, et l’aida Ă  se relever. Elle se laissa faire, et se traina pitoyablement derriĂšre lui, sans chercher Ă  lever les pieds. Il la fit rentrer dans sa chambre, et la fit asseoir sur son lit. Elle s’adossa au mur, ferma les yeux, et attendit. Il lui essuya consciencieusement les joues, enlevant le noir qui les colorait, et il rĂ©organisa un peu ses cheveux, qui Ă©taient tous emmĂȘlĂ©s, de nouveau. Elle attrapa le peigne sans convictions, et se dĂ©noua les cheveux. Lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir, il l’embrassa sur le front, et sortit doucement. Comme Mathieu l’avait fait, Eliott se posa Ă  genoux devant elle, et lui prit les qu’est-ce qui se passe ? Elle le regarda vaguement avant de lui tendre la Alice Grimm En raison de votre Ăąge approchant les quinze ans, et du fait que vous soyez seule hĂ©ritiĂšre de la seconde famille la plus puissante du pays, vous ĂȘtes invitĂ©e Ă  venir passer votre cĂ©rĂ©monie de maturation, qui fera de vous une hĂ©ritiĂšre digne, loyale et puissante, de la noble famille Grimm. Cette cĂ©rĂ©monie comportant elle-mĂȘme la totalitĂ© des cinq autres familles, vous n’ĂȘtes plus conviĂ©e Ă  cette fĂȘte, vous devez y venir. Vous prendrez le train, avec le fils du Seigneur Raven pour arriver Ă  leur chĂąteau, car, Ă©tant donnĂ© la discorde avec votre pĂšre, il a refusĂ© de vous faire rĂ©citer le psaume. Ce sera donc le duc de la premiĂšre famille qui vous fera l’honneur d’assister Ă  votre cĂ©rĂ©monie. Mon pĂšre ? DĂ©solĂ© pour te rends compte ? Je vais ĂȘtre humiliĂ©e en publique ! C’est ma faute si Chess est mort, c’est ton pĂšre qui l’a tuĂ©, et c’est lui qui prĂ©sidera la soirĂ©e ! Je ne supporterais pas de remarques dĂ©sobligeantes, je le sens vraiment mal, Eliott ! Sans rĂ©flĂ©chir, elle se jeta dans ses bras, et se remit Ă  pleurer. Il la calma tant qu’il put, murmurant des paroles rassurantes, telles que mĂȘme si ça doit pas beaucoup te rĂ©conforter, je serais lĂ  
 » oĂč au moins tu ne verras pas ton pĂšre 
 ». Elle avait les yeux gonflĂ©s, et ils la brĂ»laient. Elle comprends, pourquoi vous nous avez dĂ©trĂŽnĂ©s 
 Regarde le comportement de l’hĂ©ritiĂšre, a-t-elle la prestance d’une Grimm ? J’en doute, Alice est non, c’est normal que tu le vives mal, ça remonte a pas si longtemps, tu sais 
Il la cajola encore un petit moment, jusqu’à ce qu’elle a reprit du poil de la bĂȘte, et que son aplomb soit de moi au moins un sourire, je dois aller rejoindre Tom, il doit me chercher partout 
Elle lui dĂ©crocha un sourire, mĂȘme si ses yeux Ă©taient encore un peu rougis, et il sortit. AussitĂŽt qu’il la laissa seule, Mathieu dĂ©boula dans la piĂšce pour vĂ©rifier l’état de son sourit, en le voyant est plus douĂ© que moi, au final 
-Mais nan, c’est juste que je lui ai refilĂ© la lettre, et qu’il m’a dit des trucs rassurants, au sujet de tu sais quoi 
-Je comprends rien a ton histoire, tu fais la gueule a ta famille, mais pourquoi ?-J’ai une idĂ©e, allons manger, je te raconte tout lĂ  bas, je meurs de sourit, reconnaissant bien son amie, et ils se dirigĂšrent vers le rĂ©fectoire en papotant de tout et de y a plus aucune table Ă  deux, il va falloir qu’on s’installe sur une table Ă  grave, personne ne s’installera, depuis qu’elles m’ont jetĂ©s, je suis grave 
 Alors, tu m’explique ?-Ouais, mais d’abord, tu saisis le contexte ? C’était il y a huit mois, la famille Grimm Ă©tait encore la plus puissante. On possĂ©dait des terres, un bon patrimoine, du savoir, de la puissance 
 Et mon chien. Chess. Ce chien, mon pĂšre et moi y tenions beaucoup, et un jour, il y a eu une sorte d’accident. Chess est passĂ© 
-Ah mais ça m’a tout l’air d’une conversation passionnante, qui pourrait m’en apprendre 
 -Ah je t’en pris, Raven, ne te donne pas la peine de parler a des personnes aussi infĂ©rieur qu’Alice et de te rabaisser fixait son repas _ qu’elle avait massacrĂ© Ă  l’aide de sa petite cuillĂšre tandis qu’elle parlait _ avec un air horrifiĂ©. Elle n’aimait pas qu’on l’écoute parler, elle n’aimait pas qu’on la surprenne, et elle allait parler d’Eliott 
. -C’est trĂšs gentil de faire attention a moi, Mathieu. Ça le fait plaisir, de voir qu’on en est revenus a de meilleurs sourire malicieux jouait sur les lĂšvres d’Eliott, elle se borna Ă  tourner la tĂȘte pour le regarder avec un air on peut s’asseoir ? Le repas risquerait de refroidir 
- Vas-y 
Tom pris place Ă  cĂŽtĂ© d’elle, et Eliott a cĂŽtĂ© de Mathieu, qui marmonnait, en dĂ©coupant en fines lamelles de pauvres regarda discrĂštement son reflet dans le dos de sa cuillĂšre, et tenta d’apaiser le rougissement de ses joues. ContrĂŽlant assez bien son corps, par moment du moins, elle y parvint a peu prĂšs, de maniĂšre a ce qu’on pense qu’elle avait juste chaud. Elle Ă©tait juste terriblement ce que tu racontais au Pier
 A Mathieu, on t hocha la tĂȘte d’un air peu sur, puis gros, il y est passĂ© direct, et mon pĂšre m’en a voulus, parce qu’il faut comprendre que ce n’est que de ma faute. J’ai Ă©tĂ© idiote, et il a dĂ©cidĂ© que j’en faisais plus partie de la famille. Sauf que chez moi, je suis la seule hĂ©ritiĂšre. S’il n’y a pas d’hĂ©ritiers, il ne peut pas me renier 
 Alors il a dĂ©cidĂ© de m’envoyer ici 
-Grimm, si Chess est mort, c’est pas vraiment de ta faute, plutĂŽt de la notre. C’est nous qui l’avons provoquĂ©s, tout en sachant ce qu’on faisait, et ce qui se passerait. Ton pĂšre a tellement de rancune envers toi qu’il en vient Ă  presque se lier d’amitiĂ© avec ses ennemis mortels 
-Mouais, si tu le qui s’est rĂ©ellement passĂ©, c’est qu’on l’a provoquĂ©, et il est rentrĂ© dans notre !Alice plaqua ses mains sur ses oreilles, ferma les yeux et baissa la tĂȘte. Se rappeler de la mort de Chess ne l’aidait pas du tout, au contraire ! En plus, ils parlaient de choses que Mathieu devait comprendre de travers. Elle Ă©tait sure que si elle regardait son ami elle lirait de la pitiĂ© a son Ă©gard, et du dĂ©gout a l’égard d’Eliott. Puis, elle regarda ses mains, tremblantes, et fut saisie de rage. Tu es Alice. Alice Grimm, fille de la seconde famille. Tu te dois de te ressaisir, et de ne pas flancher face Ă  Eliott. Tu es forte, tu es puissante, et tu ne pleureras pas. »Elle releva la tĂȘte, et dĂ©fia Eliott du regard. Il parut presque flĂ©chir, sous l’intensitĂ© et la puissance de la colĂšre d’Alice. Il savait, qu’elle n’était pas dirigĂ©e contre lui, mais il ne pu s’empĂȘcher de se dire que si elle avait l’intention de lui faire du mal, elle y parviendrait sans mal 
 Il allait falloir la briefer un peu, une fois qu’elle serait capable d’avaler ce qu’il avait Ă  rougit, mais cette fois ci, ce n’était pas de la gĂȘne. Elle dĂ©testait qu’on lui donne des ordres, elle le regarda en fronçant les sourcils, et pinça les lĂšvres quand il se mit Ă  sourire moqueusement. Elle avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans l’idĂ©e qu’elle dĂ©cidait, et qu’elle donnait les ordres, alors le simple fait qu’on lui dise de manger l’ n’ai pas faim, Raven. -Je t’en pris Grimm, je ne suis pas stupide. roula des yeux, battit des paupiĂšres et se leva, pour dĂ©barrasser son plateau. Tom saisit son poignet, et la retint assise. Elle le fusilla du regard, mais lui avait le regard plongĂ© dans celui d’Eliott. Si ce n’était pas de lui que venait l’initiative, alors il fallait remonter Ă  la source 
 Si les yeux d’Alice Ă©taient Ă©quipĂ©s de fusils, l’aristo serait mort 
-Alice, je fais pas ça pour te faire chier, tu t’en doutes, alors sois gentille, mange. Il prit sa fourchette, se leva, se pencha au dessus de la table, et traça une ligne dans son assiette. Il rapatria la viande d’un cĂŽtĂ©, et les lĂ©gumes de l’autre, piocha une carotte, l’avala, et fixa la brune avec un air manges au moins les lĂ©gumes, s’il te le regarda, et commença Ă  manger, pour pouvoir rapidement dĂ©camper, les joues rouges, et les regards plantĂ©s dans celui d’Eliott, qui se rassit, amusĂ©. Elle reporta son attention sur l’assiette, et quand elle releva la tĂȘte, elle remarqua que Tom et son ami avaient Ă©changĂ©s de place. Elle piqua un fard, et se rabattit de nouveau sur son assiette. Tout ça sous l’Ɠil Ă©bahis de Mathieu qui n’avait jamais osĂ© dĂ©crĂ©ter quoi que ce soit, alors que lorsqu’Eliott le faisais, on lui obĂ©issait. Et ce n’était pas cette stupide histoire de rang, car tout autant que lui, Alice n’en avait fur et Ă  mesure qu’elle mangeait, il t’ajoutait discrĂštement des lĂ©gumes, et de la viande, dans le cĂŽtĂ© qu’elle devait manger. Elle Ă©tait si absorbĂ©e par ce qu’elle faisait, et le fait qu’elle fuie continuellement son regard, qu’elle ne vit mĂȘme pas qu’elle avait vidĂ© son assiette. - Mais 
Un ricanement fusa Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle tourna la tĂȘte et dĂ©couvrit que Tom, Mathieu et Eliott Ă©taient morts de rire, devant sa mine mis le temps, mais t’as mangĂ©, et t’as rien dis, en plus !-T’as tout foutus du mĂȘme cĂŽtĂ© !Elle lui envoya un coup de poing amical dans l’épaule, et adopta une moue boudeuse, ce qui n’eut que l’utilitĂ© de les faire rire encore normalement, vu qu’on est en vacance, on a le droit de trainer dans le jardin, et aux alentours de la forĂȘt. Ça vous intĂ©resse ?-Ouais !Alice regarda Mathieu avec Ă©tonnement, puis elle comprit ce qu’il ressentait. Avant qu’elle n’arrive, il Ă©tait exclu. Directement, elle avait Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e, par ce garçon solitaire, un peu parano, au dĂ©but, et qui souriait dĂšs qu’il le pouvait aux jolies filles. Quand elle avait reçut ses manuels, il l’avait aidĂ© a tout portĂ©, et lui avait proposĂ© de lui tenir compagnie, pour le premier repas. Tout sourire, il avait acceptĂ©, et avaient commencĂ©s Ă  discuter, en se rendant compte qu’ils avaient pleins de points communs. DĂ©jĂ , ils Ă©taient bruns. Ensuite, ils n’avaient aucuns amis. Pour finir, et ce n’était qu’un nombreux traits commun, ils avaient le sourire facile, et Ă©taient tout les deux trĂšs sociables. La paire idĂ©ale, quoi. Officiellement, il Ă©tait presque immĂ©diatement devenu son meilleur ami. Mais, lorsqu’elle avait eut des problĂšmes en maths, c’était vers Eliott qu’elle avait dĂ» se tourner, et il avait dĂ» se sentir rejetĂ©. Au moins, si on leur proposait a tous les deux, sans inclure Mathieu dans Alice, ça lui plaisait. Pour ça, qu’il s’était empressĂ© de rĂ©pondre hocha la tĂȘte, et suivit Tom et son ami jusqu’à la Je parie que t’es jamais venus ici, vises juste ! Et finalement, c’est pas mal comme endroit !Pendant que les garçons discutaient, et qu’Eliott allumait un feu, Alice alla s’adosser a un arbre. Elle attrapa au vol la couverture qu’on lui lançait, et s’emballa dedans. Trouvant l’idĂ©e intelligente, les trois garçons s’assirent Ă  cĂŽtĂ© d’elle, collĂ©s les quatre l’un contre l’autre, elle commençait Ă  avoir conversation qu’on ai pas de cartes 
Elle regarda son voisin de droite, celui qui l’avait forcĂ© Ă  manger ce qu’elle avait dans l’assiette, et fronça les ça ?-Vous savez jouer au poker ?- Si il pense Ă  ce que je pense qu’il pense, il finit dans le buisson, ok Mathieu ? penses Ă  quoi quand tu dis poker » ? Alice le regarda, la mine soupçonneuse, et quand il eut comprit lĂ  ou elle voulait en venir, il ! Je suis pas tordus a ce point ! Et puis, on aurait pas l’air conversation, si tu gagnais 
 -Je gagne jamais au poker 
 Je suis a des cartes ?- Va te 
-Alice, tu lui as tendu la perche, tu penses Ă  des trucs glauques, toi parfois 
-Eh ! Je te signale que c’est lui qu’a rĂ©pondu a la pseudo-perche. En plus, moi j’ai dit que s’il y pensait, je l’envoyais dans le buisson, j’ai pas dis que ça m’intĂ©ressait ! -C’est vrai ? C’est dommage ça 
-J’ai pas besoin de jouer au poker pour me foutre a poil 
Les trois garçons la fixĂšrent avec un air choquĂ©, comme si c’était trĂšs inattendus de sa part, profitant de l’idĂ©e qu’elle ai pour une fois le dessus, elle prit un air aguicheur, et se dĂ©barrassa rapidement de la couverture pour s’installer a califourchon sur son ami, qui avait perdu son sourire, contre un air visiblement surpris. Plus surpris, tu meurs, bah, Eliott, t’étais pas partant pour un strip-poker ?Il la fixa avec un air perdu, tandis qu’elle se rapprochait dangereusement. Les deux autres garçons Ă©taient muets de stupeur, face au renversement de situation. ******, je croyais pas Alice comme ça ! » Pensa Mathieu, et il avait raison. Elle Ă©tait peut ĂȘtre morte de rire intĂ©rieurement, mais si elle n’avait pas Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e en leurs prĂ©sence, puis relĂąchĂ©e, et avec ça, ce sentiment d’adrĂ©naline, jamais elle n’aurait eu l’idĂ©e de ce petit jeu elle se demandait pourquoi il ne la repoussait pas. Ils Ă©taient censĂ©s se dĂ©tester, alors qu’elle Ă©tait a deux doigts de lui rouler un patin, lui la regardait juste comme si elle Ă©tait devenue folle. -Wh, Raven, tu verrais ta tĂȘte !Puis elle Ă©clata de rire, et se remit Ă  sa place, en pleurant presque. Mathieu soupirait presque de soulagement, retrouvant son amie, et bientĂŽt, Tom la rejoint. Eliott avait toujours l’air profondĂ©ment choquĂ©, qui finit mĂȘme par le dĂ©rider t’imaginerais plus coincĂ©e, tentant, vous auriez vu vos tronches !Ils souriaient tous les trois, mais quelque choses gĂȘnait Eliott, ça se voyait 
 Il l’attira contre lui, passa un bras autour de ses Ă©paules, et fit fi de ses demandes pour tu m’écrases 
 J’étouffe, je respire plus. Raven, s’tue plait, je meurs lĂ  
 Houhou ? Aille, tu m’écrases 
 ******, t’as d’la force ! MaĂŻeur, lĂąche-moi ! Fais gaffe hein, l’idĂ©e du buisson tiens toujours !-Moi aussi je t’aime les regards amusĂ©s des deux autres garçons, qui se mirent Ă  discuter d’autres choses, Eliott enfonça son index dans les cĂŽtes d’Alice qui se mit Ă  gigoter pour se dĂ©barrasser de son emprise, sans succĂšs, car il Ă©tait plus fort qu’elle. Pleurant presque de rire, elle le supplia d’arrĂȘter, ses mots avalĂ©s par sa toux, il la je suis dĂ©solĂ©e de m’ĂȘtre foutu de ta gueule, t’as dĂ» te poser des questions 
-Un peu ouais 
 M’enfin, ce n’est pas dĂ©plaisant d’avoir une jolie fille assise Ă  califourchon sur soi 
-Ah bon, y a une autre fille ici ? Un sourire moqueur se dessina sur les lĂšvres d’Eliott, Alice n’en revenait pas. Elle rĂ©ussissait Ă  le faire sourire ! Il avait de la fiĂšvre ? Il la retint de nouveau prisonniĂšre, et chuchota Ă  son oreille-Retires ce que tu viens de dire, ou je te lĂąche pas 
-D’accord, j’admets que je suis bien trop modeste, en vrai j’suis canon. Ça te va ?Il la lĂącha, et pinça les lĂšvres pour ne pas sourire, face Ă  la mimique boudeuse de la jeune bout d’un moment, a force de chahuts, et de rires, elle finit par bailler, mais refusa de partir . Elle ne savait pas quand ils seraient aussi souriants, tous les quatre, alors elle voulait profiter du moment au maximum .Elle finit d’ailleurs par s’endormir, et ne se rĂ©veilla que le lendemain matin, dans son lit . Elle regarda autour d’elle, avec un air profondĂ©ment dĂ©boussolĂ©, avant de se rappeler ou elle Ă©tait . Elle entendait trĂšs distinctement trois respirations a ses pieds, et regarda prĂšs du lit . La tĂȘte posĂ©e sur les mains, Eliott dormait, assis par terre, en appuis sur la couverture . Au sol, Mathieu et Tom, qui ronflaient eux aussi . Elle se retint de rire, et profita de l’instant pour les regarder de plus prĂšs .Elle n’avait jamais vraiment l’occasion de fixer Eliott, et en profita . Elle devait avouer que des trois, il Ă©tait le plus mignon . Et elle savait que Mathieu Ă©tait mignon 
 d’ailleurs, Tom n’était pas mal du tout non plus, mĂȘme si diffĂ©rent .Le premier, son ami depuis le dĂ©but, avait des yeux verts, mais vu qu’il avait les paupiĂšres fermĂ©es, elle ne pouvait que se les rappeler . Des cheveux bruns, mi-longs, et des traits enfantins . Le second, Tom, Ă©tait blond, mais elle ne se rappelait pas de la couleur de ses yeux . Pourtant elle se rappelait clairement l’avoir fusillĂ© du regard . Mais, bleu, verts ou bruns, elle ne se rappelait plus . Et Eliott avait des yeux bleus encore plus pĂ©tillants que les siens encore plus clair, ceux d’Alice Ă©taient lapis-lazuli, les siens Ă©taient bleu pur . Et impĂ©nĂ©trables, c’était agaçant 
 Quand a Eliott, il avait une allure Ă©trange, a vrai dire 
 Grand, un peu plus qu’elle, mais a quelques centimĂštres seulement, on voyait qu’il faisait pas mal de sport, et avait des traits 
 Un peu Ă©ffĂ©minĂ©s, mais qui restaient masculins . Des cheveux brun foncĂ©s, sans doute plus longs que les siens, raides . Elle les dĂ©visagea lentement, avant de sursauter, elle fixait le peu qu’elle voyait d’Eliott, sois une masse de cheveux bruns foncĂ©s s’éparpillant sur son front .-Profiter de notre sommeil pour nous reluquer, c’est dĂ©loyal, Grimm .***** ! Il Ă©tait rĂ©veillĂ© ! Elle rougis au maximum, mais fit mine de ne pas comprendre de quoi il parlait . Elle prit un air vexĂ©, et dĂ©clara d’une voix railleuse -Punaise, t’es vraiment narcissique en fait !-Ah ça va, je vais pas te tuer hein 
Elle enfouis son visage cramoisie sur le traversin, et dĂ©cida d’y rester .-Fais gaffe, tu vas t’étouffer 
-Si je meurs, je serais dĂ©barrassĂ©e des exercices de maths 
Un sourire malicieux joua sur les lĂšvres du garçon, pendant que Mathieu et Tom ouvraient les yeux .Un ricanement s’éleva, et c’était celui de deux personnes . Ah, Tom et Mathieu avaient entendus la conversation, et la gĂȘne d’Alice laissait croire qu’Eliott avait raison 
 L’ami de la jeune fille se dit que ce n’était pas forcĂ©ment plus mal que ça, et que de toute maniĂšre, elle ne risquait pas de trouver quelque choses d’intĂ©ressant a lui, ou a Tom . Vu le nombre de groupies qui bavaient sur Raven 
 Il rĂ©prima une bouffĂ©e de jalousie mal venue, et remit les pieds sur terre . *****, *****, ***** . » pensa-t-elle -Alice ne ferait jamais ça, voyons, tu devait avoir de la salade entre les dents 
-Mathieu, soit mignon, fait comme lui, avale de l’essence et suicide toi 
Nouveaux rires . Elle se sentait rĂ©ellement idiote, parce qu’ils dĂ©connaient sur son dos, et que mĂȘme si elle n’avait pas honte de son geste, aprĂšs tout, le peu de beaux garçons qu’il y avait dans cet Ă©tablissement, elle avait bien le droi de les regarder non ? -Au fait, qu’est-ce que vous foutez lĂ  ?! C’est MA chambre ! Et je me suis pas endormie lĂ , en plus 
-Bah, on s’est dit que tu aurais mal au dos, si tu dormais dans l’herbe, alors je t’ai portĂ© pour te ramener lĂ , et comme Mathieu s’inquiĂ©tait pour toi, Tom a proposer de rester lĂ , pour ĂȘtre sur que tu ne te rĂ©veillerai pas dans la nuit, ou que tu ne fasses pas de cauchemar 
 On a bien essayĂ© de te tenir la main, mais apparemment, ça t’intĂ©ressait pas .-En reprenant les mot de l’attardĂ©, il s’inquiĂ©tait, et il prĂ©fĂ©rait rester, et comme je tenait pas a te laisser seule avec le sociopathe, je suis restĂ© .-Pour connaitre la vĂ©ritĂ©, mieux vaut Ă©couter Mathieu .-Merci mec .-De rien .-Eh, c’est une rĂ©bellion ? Vous vous liguez contre moi, a trois ? Si c’est le cas, vous avez intĂ©rĂȘt a vite changer d’idĂ©e 
 Surtout toi, Raven, parce que je peux ĂȘtre une enquiquineuse finie 
-Je confirme 
 marmonna Mathieu, qui Ă©vita de justesse un oreiller lancĂ© afin de l’assommer . -Va te 
 Je te *****, Mathieu !Elle rougis, et dĂ©tourna encore une fois le regard . Eliott la saisis par le menton, et la fixa dans les yeux, sĂ©rieux, tout a coup .-Grimm, si tu dĂ©tournes le regard pour une simple moquerie, qu’est-ce que ce sera quand tu auras une famille a mener ? Faut affronter ses problĂšmes, c’est comme pour les maths .- Euh, ça a pas trop rapport lĂ  
-La ferme, tu affrontes le problĂšme, c’est tout .Il se releva, sans plus de cĂ©rĂ©monie, aprĂšs l’avoir lachĂ©e, elle bondit hors du lit, et lui saisit le poignet d’un air autoritaire .-Toi ! Va pas croire qu’a cause de cette idiotie, ou de ce stupide rang, tu sois autorisĂ© a me parler ainsi . Je reste une Grimm, et tu n’as aucunement le droit d’hausser le ton quand tu m’adresses la parole, je suis claire ?-Et bah voilĂ , tu vois quand tu veux, tu peux, suffit de raler un peu 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux avec un air moqueur, et elle fronça les sourcils .-Attends, tu te fous de moi lĂ , c’est ça ?-On ne peut plus 
Elle Ă©touffa un grognement, et le lacha . Mathieu et Tom s’étaient remis sur leurs deux jambes, elle adopta une mine boudeuse qui les fit sourire les trois, et s’assit sur son lit en croisant les bras .-Z’avez arrĂȘtĂ© de piailler autour du feu vers quelle heure a peu prĂšs ?-Chais pas, mais va falloir songer a manger plus, Grimm, t’es un poids plume, ça fait peur .-C’toi qui m’a ramenĂ© ?-Ça te pose un problĂšme ?-Pas que je sache, c’est toujours mieux que de dormir dans l’herbe, quoique ç’aurait pu ĂȘtre amusant . Ce qui serait amusant, maintenant, ce serait de me laisser aller me doucher 
 Aller, dehors 
Eliott lui sourit avec un air moqueur et satisfait, se disant surement que la leçon Ă©tait passĂ©e, et qu’elle avait compris ce qu’il disait, quand il disait qu’elle devait affronter ses problĂšmes 
Ils passĂšrent les journĂ©es suivantes ensembles, tous les quatre, ce qui changeait Ă©normĂ©ment a Mathieu, mais aussi a Alice, et a Eliott . Tom, lui, Ă©tait habituĂ©, a ĂȘtre entourĂ©, alors il n’avait pas plus de mal que ça .Vint ensuite le moment de faire les valises pour aller au domaine Raven . Alice Ă©tait stressĂ©e, et tremblante . Elle n’arrĂȘtait pas de se retourner, pour ĂȘtre sure que Mathieu Ă©tait toujours lĂ  . A bout d’un certains temps, il vint l’aider a plier les habits, et regarda avec un air amusĂ© les robes qu’elle fourrait dans son sac .-Depuis quand tu t’habilles comme une vraie fille ?-J’ai pas le choix, figure toi, ma mĂšre a dit Tu mettras tes pantalons quand tu reviendras en cour . »Elle fit la grimace, et en sortit une lĂ©gĂšre, pour le train . La plupart des toilettes Ă©taient bleus clair, parce que ça s’accordait trĂšs bien avec ses yeux . Elle avait pris le temps de tresser ses cheveux de maniĂšre habile, et y avait glissĂ© des rubans, qui laissaient quand mĂȘme quelques mĂšches brunes tomber en cascade . Elle avait juste rehaussĂ© ses yeux bleus d’une poudre dorĂ©e sur les paupiĂšres, ses onglĂ©es, ses mains, ses joues, ses yeux, ses cheveux, tout Ă©tait impeccable . Sauf qu’elle Ă©tait d’une humeur massacrante, stressĂ©e, elle n’arrĂȘtait pas de faire demi tour, de virevolter, de changer d’idĂ©e, d’avis, d’humeur .-Tiens, Alice en robe ? Elle se retourna et se planta devant Eliott avec un air mauvais .-Toi, tu fais un commentaire, tu passes le trajet dans la soute . - Nerveuse ?-Elle dit que nan, j’imagines qu’elle flippe 
- Je m’en doute 
-Z’auriez l’obligeance d’arrĂȘter de parler comme si j’étais pas lĂ  ?Elle se retourna, et força sur la valise pour la fermer . Elle tourna de nouveau les talons, et faillit s’étaler, de tout son long 
 Elle releva le bas de sa robe, pinça les lĂšvres, et envoya valser les chaussures noires a talons, qu’elle troqua contre de vieilles tennis grises dĂ©structurĂ©es, sous les regards moqueurs de ses camarades de classe . Elle attrapa les chaussures, qui gisaient au sol, abandonnĂ©es, les fourra dans un sac, et posa le tout au sol .-Bien, la voiture de Ma Dame est avancĂ©e .-C’est ça ouais 
Elle lui lança un regard suspicieux, et lacha ce qu’elle tenait pour se jeter sur son ami .-T’as interet a bosser hein, une semaine, ça peut tooout changer, alors tu fais pas la feignasse, tu bosses 
 Tu vas me manquer, Mathieu 
-Toi aussi, Alice, tu vas me manquer, toi aussi 
AprĂšs les aurevoirs, ils tournĂšrent vers le train, qui n’était pas encore partit, et allĂšrent s’installer dans un wagon vide .-Alice, il va sĂ©rieusement falloir que tu revoies ton oratoire 
 Tu parles comme n’importe quelle adolescente de ville, ça fais peur 
 -Je sais me tenir en publique, j’ai eu une bonne Ă©ducation, je te rappelle 
-Et, me frappe pas, parce que je l’ai jamais fait, lĂ  ou on va, le vouvoiement est de rigueur .-Pardon ?! Je ne te vouvoierais pas, j’y arriverais pas, tu te fous de ma gueule ? Euh, pardon
 Aurais-tu l’obligeance de cesser cette comĂ©die ?-Eh, Dante, ta Divine comĂ©die », je l’ai pas Ă©crite 
 -Dante, c’est trĂšs spirituel, Raven 
-Soit mignonne, quand on arrive, tu attends que je me sois dĂ©barrassĂ© des formalitĂ© pour gueuler, cet a dire, attends d’ĂȘtre en priver, pour te dĂ©fouler .Elle hocha la tĂȘte, d’un air mutique, et fixa ses pieds chaussĂ©s de vieilles tennis .-Et tu changeras de souliers, avant qu’on arrive ..?-Certainement 
Il lui releva la tĂȘte, et lui offrit un sourire tout a fait charmant .-Grimm, tu te prĂ©sentes aujourd’hui comme la protĂ©gĂ©e des Raven, demain, pour ta cĂ©rĂ©monie, et le reste de la semaine, je te promet qu’on part se pommer dans la forĂȘt .-SĂ©rieux ? Euh, je veux dire Promis ?-SĂ©rieux .Elle sourit, et fixa la fenĂȘtre avec un air dĂ©jĂ  moins mutique .-Ça me fais peur 
 J’ai peur d’arriver, en fait, j’ai peur qu’on me prenne pour 
 Je sais pas, l’idiote qui a tuĂ© sa K, Le dĂ©shonneur des Grimms, celle que le fils Raven a pris sous son aile, sans mauvais jeu de mots 
-Grimm, tu me fais confiance ? Personne ne pensera ce genre de choses de toi, quand on va descendre, tu vas sortir en tenant ma main, la tĂȘte haute, le menton relevĂ©, le dos droit, un sourire flottant sur les lĂšvres comme si on avait plaisantĂ© tout le trajet, tu vas sourire, avec un air doux, si, tu peux le faire, et si on te parle, tu inclines la tĂȘte, tu me regardes comme si je devais t’autoriser a rĂ©pondre 
 Mais tu regardes les gens avec un air supĂ©rieur, toujours . N’oublies pas qui tu es 
 D’ailleur, Ă©vites de trop ouvrir la bouche, parce que t’as tendance a dĂ©ployer des tĂ©sors de vulgaritĂ©, a force de cĂŽtoyer des gens 
 Vulgaire, va-t-on dire 
-D’accord .-VoilĂ , et tu ne t’éparpilles pas partout . Sois structurĂ©e, et calme . Ne bouge pas trop vite, si ça peut t’aider, cale ton pas sur le miens .Elle hocha la tĂȘte, il avait rĂ©ussis Ă  la faire stresser de nouveau, il fallait qu’elle retienne Papillonner des yeux, le fixer en mode groupiasse, incliner la tĂȘte, l’imiter, jouer la pĂ©tasse timide, se la boucler 
 Ah oui, il avait raison, elle Ă©tait assez vulgaire, quand mĂȘme 
-Bah, on va tester ça 
 Maintenant, le train s’est arrĂȘtĂ© 
Elle serra les dents, enleva ses tennis, remis les chaussures a talons sur lesquelles elle ne tenait pas debout, et aggripa fermement le bras d’Eliott . -Il y a du monde ?-Selon les dires des autres, tous les invitĂ©s prĂ©sents a ta cĂ©rĂ©monie de maturitĂ©, donc oui 
 Respire Alice, c’est des gens qui idolĂątrent ta famille, s’ils se jettent pas a tes pieds, je vais perdre dix euros 
-T’as pariĂ© que je me ridiculiserais ?!-Non, moi j’ai pariĂ© que tu t’emmĂȘlerai pas les crayon, si tu foire, tu me dois dix euros 
-T’as pariĂ© 
 Vous avez pariĂ© avec qui ?!-Avec Tom 
-Ok, nous sommes d’accord, si je le croise, seul, je l’étrangle 
Il sourit, poussa les battants, et descendit du wagon . Sur le quais de la gare, on distinguait clairement une silhouette droite, et bien tenue, qui contrastait avec le reste des habitants, mal soignĂ©s 
-Respire Grimm, t’as encore au moisn cinq minutes de voiture .-Oublies, j’me tire .-Non non non !Il la rattrapa par la taille tandis qu’elle se dĂ©filait et faisait demi tour, et l’attira a lui avec un sourire moqueur . Il lĂ cha sa main pour lui entourer les Ă©paules, avec un air nonchalant, et la força a marcher jusqu’à la voiture .-Le carosse » de Ma Dame est avancĂ© 
- Il me revient que j’ai oubliĂ© une veste a laquelle je tenais Ă©normĂ©ment, dans notre compartiment, je vous serais grĂšs de m’attendre, tandis que je pars la chercher 
-Il me semble que tu es arrivĂ© dans le train sans veste 
-Et bien, je vais retourner a l’acadĂ©mie pour la rĂ©cupĂ©rer 
Au lieu de discuter, il la poussa Ă  l’arriĂšre de la voiture, et enclencha la sĂ©curitĂ© de la porte, au cas ou elle ne tente une escapade forcĂ©e . -Ça va aller, je ne suis pas non plus stupide au point de me jeter par la portiĂšre .-Les Grimms ont un sens assez aigus de la fuite, Alice 
Elle fusilla du regard le conducteur .-Tom ?!-Ouais ?-T’as de la chance d’ĂȘtre au volant, tu serais mort, sinon 
 J’ai l’autorisation de le tutoyer lui hein ? Enfin, n’est-ce pas 
 Eliott ?Un ricanement se fit entendre Ă  l’avant, et Alice broya la main d’Eliott pour ne pas Ă©trangler Tom .Elle regarda les paysages, bailla, remis en ordre sa coiffure et son maquillage, et eu a peine le temps de souffler que les cinq minutes Ă©taient passĂ©es, et qu’ils arrivaient au domaine des Ravens .-Bienvenue Ă  la maison, Eliott .-T’es chez toi aussi, Tom 
 Et Grimm, pour une semaine 
-J’imagines que t
 Vous connaissez la rĂ©ponse 
-Je me doutes 
-C’est marrant de te voir le vouvoyer, sachant que tu es bien plus classĂ©e que moi, et que je le tutoie . Et surtout, qu’il n’y a pas deux jours, tu lui a refais une leçon de morale sur ta supĂ©rioritĂ© 
 -Tom, je serais toi, je la fermerai, elle a l’intention de te coller jusqu’à ce que vous soyez seuls tous les deux, pour t’éviscerer, et te pendre avec tes boyaux 
-Tu m’en veux a ce point ?-A ce point, ouais, et rien que pour pas devoir dix euros a Ell
 A 
C omment on doit s’appeler en fait ?-Ah *****, j’en ai aucune idĂ©e 
-Seigneur Raven, ça fera l’affaire, j’imagines 
 Ricana Tom .-Tu dis Eliott, ou Raven . Mais principalement Eliott, pour qu’on voit qu’on est plus ou moins proche, mais qu’on n’en a pas rien a carrer, des formes .-Ah ouais 
 Bref, rien que pour pas lui devoir dix euros, j’vais me comporter 
 Comme quelqu’un de mon rang, Paf ! Dans le 
 Mince, Argh, faut que je me taise 
Pendant qu’Eliott soupirait, dĂ©couragĂ©, Alice s’appliquait a se taire, mimant le geste de se fermer la bouche, et de jeter la clĂ© .-On est arrivĂ©s .-J’ai oubliĂ© ma veste a l’acadĂ©mie, je peux pas sortir sans veste !Avec un sourire amusĂ©, Eliott enleva sa propre veste pour la poser sur ls Ă©paules d’Alice .-C’est de la pure mise en scĂšne, Grimm, alors laisse la lĂ , ça pourrait faire genre 
-Ouais, et on va se rouler un patin aussi, pour faire genre 
-L’idĂ©e est tentante, mais je me ferai Ă©triper, ce serai 
 DĂ©solant 
Elle fronça le nez, et descendit en premiĂšre, il poussa la portiĂšre, la referma, et la prit par la taille pour se diriger dans l’allĂ©e . Les chuchotis allĂšrent bon train, tandis qu’elle essayait tantĂŽt de regarder les gens en souriant, tantĂŽt de papilloner des yeux en reardant Eliott .Elle reconnut quelques visages familiers, et dĂ» s’adonner au jeu des sourires, des prĂ©sentations, ou juste des iformations .-Oh, miss Alice, vous avez grandit ! Qui aurait crut qu’une Grimm viendrait passer sa cĂ©rĂ©monie de maturitĂ© au domaine des Ravens ?! Certainement pas moi en tout cas ! Auriez vous vu votre pĂšre ?-Oh, je suis navrĂ©e miss Sally, je ne l’ai pas croisĂ© depuis il y a six mois 
-Ah oui, l’incident 
 DĂ©solĂ©e pour vous 
 Mais je suis heureuse que vous vous rappeliez de moi 
-Alice, il faudrait voir a avancer, Tom est dĂ©jĂ  a l’autre bout du chemin .Elle baissa humblement la tĂȘte, le remerciant intĂ©rieurement de la dĂ©livrer de cette femme, et fit rougir ses joues .-Je ne peux qu’acquiescer, nous n’avons qu’a le rejoindre 
 Encore merci, et bonne journĂ©e !-Tu te dĂ©mordes bien 
Chuchota Eliott quand la femme fut partie .-Oh Mademoiselle Grimm !-Lady Shizuka !-Vous avez fiĂšre allure, Alice 
 Eliott, c’est vous qui l’accompagnez ?-Oui, Sarah, J’éssaie de me frayer un chemin parmis la foule d’amis venus la saluer, pour l’accompagner a ses appartements 
-Pas de problĂšme, venez donc par lĂ , jeunes gens 
 Elle se composa une mine interessĂ©e, et fit mine de parler, de sorte que personne ne vienne l’interrompre .-Alors les relations entre nos deux familles ennemies sont redevenues moins tendues 
-N’en soyez pas si sure, Lady Sarah, si j’accompagne ma 
 Camarade, ce n’est que par pure formalitĂ© 
-Eliott, mon garçon, je vous connais bien, ce regard n’est pas aussi professionnel que le miens 
 Les deux vieux sont sans doute toujours en conflit, mais vous avez l’air plus clairvoyants, et plus intelligents 
 Les deux familles maitresses se doivent de se rĂ©concilier 
Alice lança un sourire a Eliott, un sourire que seul la jeune femme japonaise, et lui, pouvaient apercevoir, et qui en disait long sur ce qu’elle pensait .-DĂ©solĂ©e, ça m’a Ă©chappĂ©, mais cette comĂ©die me fatigue, je ne vois pas l’utilitĂ© de sourire, et de faire des courbettes, s’il faut, hors regards papillonnants, expliquer a tout le monde a quel point l’entente est difficile 
-Alice, on a pas le choix 
 Vous m’éxcuserez, Sarah, je vous remercie pour la protection » apportĂ©e, nous allons continuer seuls 
Lady Shizuka s’arrĂȘta, lui sourit, et fit demi tour en inclinant la tĂȘte . Eliott poussa la porte, et la referma derriĂšre lui . Il poussa Alice contre le mur, et posa ses mains sur le mur de maniĂšre a ĂȘtre au dessus d’elle .-*****, Alice, tu pourrais pas la fermer ?! Si t’agis comme une bourge devant les autres, ils y croient, mais Sarah, elle n’est pas idiote, et elle va rĂ©pĂ©ter ça a qui veut l’entendre, alors sois mignonne, ferme la .-Je TE demande pardon ?! Depuis quand TU emploies ce genre de propos contre moi ?! Je te signale que si tu ne m’avais pas retenue, je serais loin ! Alors tu l’as un peu cherchĂ© hein !-Alice ! Calmes toi, abrutie ! T’es idiote ou quoi ?!Elle le fixa avec une lueur mauvaise du fond du regard .-RĂ©pĂšte ce que tu viens de dire !-Tu es une idiote, Alice .Il avait dit ça calmement, comme si le fait de faire du mal a Alice ne lui faisait rien . Elle bouillait sur place, et s’était pris une gifle intĂ©rieur trĂšs douloureuse .Elle leva la main, paume tendue, et se sentit happĂ©e en arriĂšre avant d’avoir rĂ©ussis a toucher Eliott . Elle l’avait manquĂ© de quelques centimĂštres a peine . Et la gifle avait faillit l’atteindre .-Alice, arrĂȘte !-Lache moi, Tom ! Laisse le se comporter en homme, si je veux lui en coller une, il est assez grand pour se dĂ©fendre !-Non Alice, c’est pas exactement ça 
 Eliott ?- J’imagines que si on lui dit pas, son pĂšre ne lui dira pas .Tom la retenait fermement, en l’aggripant au niveau des coudes seulement . Elle se dĂ©battit violement pour qu’il la lache, mais ne parviens qu’a se fatiguer . -ArrĂȘte de t’énerver, Alice, tu vas t’épuiser .-Lache moi !Ses yeux se remplissaient de larmes, de rage, parce qu’elle ne parvenait pas a se libĂ©rer, et aussi a cause de ce qu’Eliott lui avait dit . Il fallait avouer que ce genre de choses fait mal . LĂ , seulement, il la lacha, elle lutta pour ne pas s’écraser par terre, et prĂ©server un minimum d’équilibre .-Alice . Calme toi, tu veux ?-Aurais tu l’obligeances de fermer ta gueule ?!Elle avait peut ĂȘtre criĂ© un peu fort, certes, mais au moins, si elle ne pouvait pas y mettre les mains, elle y mettais du cƓur . Elle leur tourna le dos, le temps de faire sĂ©cher ses yeux, et se retourna, les yeux emplis de haine .-Raven, dis a ton sous fifre, que la prochaine fois qu’il me touche, je le fracasse . Ensuite, je rĂ©pĂšte, tu ne me parles pas comme ça . Si t’as besoin de te sentir supĂ©rieur, dis le, je vouvoie des cons, ça me changerais pas d’en vouvoyer un de plus, mais n’imagines pas que je sois de l’une des familles de sous catĂ©gorie qui se courbe devant ta belle gueule . Ce n’est pas le cas, ce ne le sera jamais, c’est bien clair ?Eliott la regardait, calmement, passivement, tandis qu’elle calmait ses nerfs a lui hurler dessus .-C’est bon, Mademoiselle je suis au dessus de tout le monde, t’es calmĂ©e ?Il Ă©tait un peu blasĂ© par son comportement de gamine, parce qu’il savait, qu’elle avait du mal a supporter tout ça, et qu’il n’était pas fonciĂšrement gentil, mais il fallait la faire taire, et il fallait qu’il puisse lui montrer ce qu’il avait a lui montrer . Il savait aussi que son commentaire Ă©tait plus que mĂ©chant, et qu’il avait dĂ» la blesser, mais il n’avait pas le choix . Il s’approcha de la jeune fille, qui Ă©tait, ça se voyait, a deux doigts de fondre en larme, et l’enlaça maladroitement .-Vas y, ne te retiens pas, tu peux pleurer devant moi, tu l’as dĂ©jĂ  fais, ça ne me dĂ©ranges pas 
-Tais 
 Toi .Elle resta debout, bras balants, et fondit en larmes, le visage appuyĂ© contre son Ă©paule .Il avait raison, elle avait dĂ©jĂ  pleurĂ© devant lui . Elle s’en rappelait assez distinctement, et lui encore plus . Parce qu’il Ă©tait lĂ , le jour ou tout est partit en cacahuĂštes 
Elle lançait le plus possible Chess a l’assaut de Nyx . Mais la K. des Ravens Ă©tait encore plus puissante que sa krĂ©ature a elle . Elle avait finit par triompher . -Vas y, Nyx, achĂšve le . La K, une louve croisĂ©e avec un guepard, un lion, et un poulet, avait une fourrure blanche qui reflĂ©tait chaque parcĂšle de lumiĂšre, lorsqu’il faisait nuit . Chess Ă©tait un cheval, un Ă©talons blanc, qui avait des yeux taillĂ©s dans du saphir . Un cavalier d’échiquier 
 Et Nyx, en abbatant sa patte, l’avait presque broyĂ© .-Chess !Lorsque sa K avait Ă©tĂ© frappĂ©e, la douleur pshysique avait Ă©tĂ© si grande qu’elle Ă©tait tombĂ© a la renverse, et c’était Eliott qui l’avait rattrapĂ©, avant que sa tĂȘte n’heurte le sol . DĂ©jĂ  que son pĂšre et lui ne se parlaient plus, mais le Seigneur de Raven aurait aimĂ© voir la petite Grimm mourir, car sans hĂ©ritier, le pouvoir leur revenait de droit . Son fils, n’étant pas aussi tordus, avait foncĂ©, et avait atterit juste . Comme son pĂšre avait refusĂ© de lui parler aprĂšs ça, il s’était lui-mĂȘme occupĂ© d’Alice, le temps qu’elle se rĂ©veille . Il l’avait allongĂ©e sur l’un des nombreux canapĂ©s que contenait la bibliothĂšque, et avait attendus son rĂ©veil .Quand elle avait ouvert les yeux, sa tĂȘte Ă©tait posĂ©e contre les genoux d’Eliott . Elle savait qu’il la haĂŻssait, il savait que c’était rĂ©ciproque . Elle avait relevĂ© la tĂȘte tellement vite qu’elle Ă©tait tombĂ©e en arriĂšre par la suite, avant de se relever rapidement, de nouveau, et de courir Ă  la terrasse . DĂšs qu’elle s’était levĂ©e, il la suivit, pour l’empecher de regarder par le balcon, mais c’était trop tard, elle Ă©tait dĂ©jĂ  penchĂ©e en avant . Il la tira en arriĂšre, pendant qu’elle se laissait tomber sur le sol .-Grimm ! Qu’est-ce qui te prends de courir, alors que tu viens de tomber dans les pommes, t’es idiote ou quoi ?! -Raven ! Je te signale que vu mon rang comparĂ© au tiens, tu me dois le respect, alors lache moi, et laisse moi voir ce que je veux voir .-Comme vous voudrez, majestĂ© 
Il Ă©tait vexĂ©, et commençait a se dire qu’il aurait mieux fait de la laisser s’exploser le crane . Il n’aimait pas qu’on le rabaisse, alors qu’une Grimm lui rappel qui il Ă©tait 
 il la lacha, et la laissa regarder le sol .-Chess !Un cris fusa, elle hurla . Il la retint, la tira en arriĂšre, et l’envoya valser dans la bibliothĂšque avant de fermer la porte fenĂȘtre et les volets .-Stop, Grimm ! Ça va aller !Elle le regarda, horrifiĂ©e, et se figea . Il s’approcha, et lui pris maladroitement la main . Ç’allait ĂȘtre compliquĂ©, de rassurer une fille qu’il n’aimait pas du tout .-Ils ont ! Vous avez ! Ils 
Elle fondit en larme, alors il la poussa doucement, pour la faire s’asseoir sur le canapĂ©, pendant qu’elle se mettait Ă  pleurer. Maladroitement, il la prit dans ses bras, et la cajola jusqu’à ce qu’elle s’endorme.~-C’est dĂ©gueulasse, ce que tu me sais, Grimm, je sais. DĂ©solĂ©. Vraiment, je ne le pensais ?-Grimm, je te le jure. Je peux t’expliquer pourquoi quand tu es en colĂšre tu ne dois surtout pas lever la mais sur moi, ou sur Tom ?- Je ne sais pas trop, j’ai peut de me faire arnaquer 
-Tu me fais confiance ?-J’imagine 
Il lui prit la main, et l’emmena plus loin, prĂšs des barbecues, qui, laissĂ©s a l’abandon avaient servis de table de chimie a ne te mets pas a hurler. D’accord ?Elle hocha la tĂȘte; peu assurĂ©e, et le regarda. Il tendit la main, comme s’il voulait qu’elle la prenne, et, paume tendue, fit courir le long de son bras, de gigantesques prends ma te fous de ma gueule ?!-Bien sur que non !Elle lui lança un regard aigus, et lui rĂ©pondit par un sourire moqueur, elle savait ce qu’il pensait, elle savait qu’il se disait qu’elle avait peur, elle posa sa main sur la sienne. Les flammes lĂ©chĂšrent d’abord ses avant bras, avant de se rĂ©tracter, elle eut beau ne pas bouger, celles-ci refusaient de revenir sur ?!-Bah, c’est facile. Eux choses, la premiĂšre, je les maitrise, mon but n’étant pas de te carboniser 
 La seconde, encore mieux, mĂȘme si je voulais, je n’y parviendrais pas, regardes 
Il prit sa main, et devant un verre d’eau, la Vas-y, essaie de me la balancer dessus, le regarda, amusĂ©e, et secoua la main comme une gamine, avant de fermer les yeux, Ă  cause du soleil. Quand elle les rouvrit, Eliott Ă©tait sec, mais Tom soufflait sur ses mĂšches trempĂ©es avec un air surpris, comme si ce n’était pas Ă  lui de se prendre l’ verre Ă©tait tu 
.-Tu cales maintenant, pourquoi c’était vous les numĂ©ros un, et pourquoi si tu me claques, je suis dans la ***** ?Elle hocha faiblement la tĂȘte, et le regarda avec un air amusĂ©, contente de la dĂ©couverte du jour. Un peu secouĂ©, peut ĂȘtre 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux, et se retourna. Une mine embĂȘtĂ©e se dessina sur son visage. Alice, elle fixait ses mains avec ?-Ouais ?Elle releva la tĂȘte elle aussi, et pinça les lĂšvres, avant de se redresser, de prendre un air embĂȘtĂ©, et timide, et de fixer les trois enfants des trois autres grandes familles. Dans le tas, il y avait Catherine, le vent, une jolie pĂ©tasse comme on en fait pas Amaryllis, la terre. RĂ©servĂ©e, peu sure d’elle, la jeune fille de la derniĂšre l’enfant de la quatriĂšme famille, qui ne servait strictement Ă  rien, et qui Ă©tait lĂ , seulement pour l’ bien, nous constatons avec joie que miss Grimm a fait la rĂ©cente dĂ©couverte de ses dons, a dĂ©faut d’avoir su protĂ©ger Chess, et qu’elle est suffisamment proche de vous, pour vous tutoyer 
 Et qu’elle a un langage rĂ©ellement ? Ce n’est pas Ă  moi qu’elle s’adressait, mais a exactement 
 Nous vous croyons tous les trois, n’est-ce pas Amaryllis ? N’est-ce pas, l’autre ?-Fous lui la paix, Catherine, elle est plus haut placĂ© que toi, tu lui dois le a perdu sa K ! Elle est minable !Alice s’avança Ă  grands pas furieux, et se pointa devant la blondasse qui la toisait avec je ne m’abaisserais au rang minable, car je te serais toujours supĂ©rieur, vois-tu ? Tes parents doivent avoir honte de toi, ta famille ne dois rĂȘver que de te renier, alors ne me fais pas passer pour une faible, parce que ce que je vois quand je te regarde, ou quand je regarde ceux qui te fixent, c’est de la pitiĂ©. Catherine, la fille qui ne savait pas se dĂ©merder sans son groupes de serviteurs 
 La fille incapable de sourire, ou juste, la pĂ©tasse qui se croyait supĂ©rieur aux autres. Tu n’es qu’un troisiĂšme rang, tu ne connaĂźtras jamais l’honneur d’ĂȘtre respectĂ©e, et crois moi, ça vaut mieux les regardait avec un air mi amusĂ© mi embĂȘtĂ©, il tira Alice par le bras, elle ça Alice, elle va aller se plaindre a mon pĂšre 
-Rappelles moi c’est quand qu’on se tire ..?-Ce soir, tu racontes ta vie Ă  des gens, pour la cĂ©rĂ©monie. Demain on dĂ©jeune, et on se donc tu peux me la montrer, ma chambre ?- Allez-y faites comme si on n’était pas lĂ  !-T’inquiĂšte pas, c’est ce qu’on fait 
 Tu montes, Alice ?Il lui ouvrit la porte et la fit entrer Ă  l’intĂ©rieur. Elle alla se poser sur le lit, et lui, tira une chaise d’un bureau pour s’asseoir en face d’ j’ai gĂ©rĂ© ? Je me dĂ©***** bien ?-Oui, bon, Catherine est une 
 Bref, et l’idĂ©e de nous voir rĂ©concilier les deux familles la met en rage, parce que si nous nous entredĂ©truisons, elle aura la premiĂšre place 
 Tu comprends ?-Bah ouais, je comprends aussi que je ne l’aime pas du tout, et que cohabiter va ĂȘtre chaud 
-En revanche, tu devrais porter plus d’attention a ton langage, en privĂ© comme en publique, si tu y fais attention, tu auras moins de difficultĂ©s 
-D’accord, je vais essayer de remettre ça d’ bon je te laisse, tu devrais dormir un peu 
 Je viendrais te chercher ce soir 
Il ferma la porte, alors elle se glissa sous les couvertures. La lumiĂšre du jour ne la dĂ©rangea pas, elle ronfla comme un sonneur jusqu’à environs dix neuf heures. Eliott rentra car elle ne entendait pas frapper a la porte, et dĂ» la secouer pour la ?-Mmh ?-Debout, t’as qu’une demie heure pour te prĂ©parer 
-Mmh 
Comme elle ne l’écoutait pas, il la fit s’asseoir et la regarda un moment avant de s’emparer des pinces posĂ©es sur la table de chevet. Il remit sa coiffure en ordre, la remontant un peu, pour ne pas qu’elle a l’air de ne pas s’ĂȘtre peignĂ©e, et la tira en avant pour qu’elle se je sais que t’es crevĂ©e, mais fais un effort, va te changer, je t’attends se dirigea dans la salle de bain pour enfiler une autre robe. Plus cintrĂ©e, et qui faisait plus adulte. Blanche, avec des manches amples, qui couvraient ses mains lorsque ses bras restaient ballants, et le jupon, assez fournis, s’arrĂȘtait dessous ses genoux. Elle remit en ordre son maigre maquillage, et sortit de la salle de On y va ?Elle hocha la tĂȘte, avec un air maussade, avant de faire demi tour, et de foncer dans la salle de bain. Faiblarde, elle sortit de la valise une paire de boucle d’oreilles en cristal et en argent, et les attacha Ă  ses oreilles. Pas qu’elle veuille ĂȘtre plus jolie que la moyenne ou autre, mais ces boucles appartenaient a sa mĂšre, alors elle avait tout intĂ©rĂȘt Ă  les porter. Elle se baissa, et fit sortir une parure de cristal, toujours, qu’elle attacha Ă  son cou. VoilĂ , lĂ , c’était bon ?-Ouais, deux secondes 
 Je mets des godasses pas trop pourries 
 Tu peux vĂ©rifier qu’elles ne sont pas sous le meuble Ă  cotĂ© du lit ?- Nan, elles n’y sont pas 
-Ok 
Elle sortit, pieds nus, et le regarda avec un air oubliĂ© mes godasses dans le train, et les bleus ne vont pas avec le reste 
 -Pas grave, on n’a pas le temps de trainer, ai l’air assurĂ©, on pensera que c’est descendirent et traversĂšrent le chemin qui les menaient a l’église en courant, malgrĂ© les pieds nus d’Alice, et poussĂšrent les portes doucement, en cherchant leur elle fit son entrĂ©e, elle Ă©tait radieuse, et toute trace de sommeil avait Ă©tĂ© effacĂ©e. Elle n’était pas extraordinairement belle ou quoi que ce soit, mais elle resplendissait la fiertĂ©, mĂȘme si tout Ă©tait jouĂ©. On se tut, et les invitĂ©s s’assirent, la laissant traverser la piĂšce, pour se poster devant le seigneur de Raven. Elle inclina la tĂȘte avec humilitĂ©, et la releva quand il le lui la cĂ©rĂ©monie se dĂ©roula avec lĂ©gĂšretĂ©. Le pĂšre d’Eliott Ă©tait trĂšs pro, il ne dit rien de mauvais sur Alice, lui fit rĂ©citer le psaume, en quelques temps, ce fut rĂ©glĂ©, et elle put aller se coucher dĂšs que tout fut finit, et qu’elle eut saluĂ© les invitĂ©s. Elle rayonnait toujours, mais avait peut ĂȘtre un peu trop but, car chaque fois qu’elle venait parler vers quelqu’un, elle acceptait le verre de vin qu’on lui tendait. Eliott la rattrapa, saoule, qui cherchais la sortie, prĂšs des ! P
 Mais qu’est-ce que tu as bus ? Pas du jus, m’est avis. Bon, cas de force majeure, je vais dire qu’on p pourquoi ? C’est amusant, Mmh de rester lĂ , les gens sont sympĂą 
-Ouais, mais t’es ivre, alors la conduisit dehors, malgrĂ© ses protestations, et la fit rentrer dans le manoir aussi vite qu’il put. Elle grelottait, mais n’avait pas les idĂ©es claires 
 Il la fit s’asseoir, enleva les boucles d’oreilles, le collier, et les pinces, et sortit en Ă©teignant la lumiĂšre. Elle dormait dĂ©jĂ , assise, sur le lit 
Le lendemain, il ouvrit la porte elle n’avait pas bougĂ©. Quand il la secoua, elle gĂ©mit, et plaqua ses deux mains contre ses pas si fort, idiot ! Je souffre lĂ , ça ne se voit pas ?!-T’as la gueule de bois, t’as trop bu, pour une premiĂšre fois 
Elle renifla dĂ©daigneusement, et accepta le verre et le cachet qu’il lui tu t’apprĂȘtes, on va partir dĂ©jeuner, puis on part en randonnĂ©e, comme je t’avais hocha la tĂȘte, se changea, enfila un pantalon et un tee shirt, et descendit dĂ©jeuner. Assise, elle ne toucha pas Ă  son repas, prĂ©textant le mal de tĂȘte, qui s’était Ă©vaporĂ© un quart d’heure aprĂšs la prise du cachet. Elle en profitait surtout pour dĂ©mĂȘler ses Ă©motions, et se demander si ce qu’elle ressentait quand il lui parlait, c’était vraiment ce qu’elle pensait. Puis ils partirent. Cinq minutes aprĂšs s’ĂȘtre engagĂ© sur le sentier, il se demanda si c’était une bonne idĂ©e .Il passa une main dans ses cheveux, et tourna la tĂȘte pour regarder derriĂšre lui. La petite brune le suivait sans difficultĂ©, et lui lançait de temps Ă  autre des Ɠillades pour le moins intĂ©ressantes ... Il finit par soupirer, et s'arrĂȘta. Il fallait que ça cesse, tout, les faux espoirs qu'elle entretenait, tout ... Il se mordit la lĂšvre, sachant qu'il lui ferait plus de mal s'il n'agissait pas ainsi ... Tout, dans les vibrations d'Alice montrait qu'elle ressentait plus que de l'amitiĂ©, et lui, qu'avait-il a dire ? Il s'Ă©tait fait endoctriner de la mĂȘme maniĂšre qu'elle ... Il se haĂŻssait presque, mais il n'avait pas intĂ©rĂȘt a rater ce qu'il allait faire, parce qu'aprĂšs, elle le dĂ©testerait tellement qu'elle ne voudrais plus le voir, alors au moins lui laisser un bon souvenir ...Il la pris par les poignet, le regard rĂ©solus, et sourit de son air interrogatif . -DĂ©solĂ© ... Et il l'attira contre lui. Le tout ne dura pas plus de trente secondes, ce fut un baiser chaste, sans plus, mais Alice se sentait subitement mieux, parce qu'il avait compris. Il fourra son visage dans ses cheveux lĂąchĂ©s, qu'elle avait laissĂ© retomber en cagues sur ses Ă©paules, elle arrĂȘta de respirer .Quand il se dĂ©cida Ă  la fixer, elle perdit son beau sourire, face a son air rĂ©signĂ©, et las. -Qu'est ce qu'il y a, Eliott ? Je suis nulle hein, c'est ça ? Ou alors tu as compris que...- Non, Alice, ce n'est pas ça ...Un sourire triste lui Ă©chappa. -Si seulement ... Alice, ce n'est pas une histoire de toi, ou mĂȘme de moi, ça dĂ©passe ça ... Je voulais juste que tu le saches ... Et que tu comprennes que malgrĂ© tout, c'est recula, les yeux humides, et le regarda avec un air triste. Il dĂ©posa un baiser sur son front, et partit, la laissant seule, avec son chagrin, et ses pensĂ©es obscures, avec sa toute premiĂšre peine de coeur ... Et un couteau, soigneusement rangĂ© dans la poche ... Elle le sortit, fit jouer la lame contre son pouce et ressentit une lĂ©gĂšre douleur quand le sang perla. Elle ressentit aussi une toute autre choses, la sensation d'ĂȘtre vivante, et elle se dit que si elle voulait le ressentir de nouveau, elle devait retenter l'expĂ©rience, Ă  plus grande Ă©chelle. Elle se sentait lasse, trĂšs lasse ... Si retenter signait son arrĂȘt de mort, tant pis ... A quoi bon vivre quand on est rejette ?Elle regarda le manche d'argent incrustĂ© de Saphir, et pris sa dĂ©cision. Et maintenant, la meilleure chose Ă  faire Ă©tait d'attendre que le sang s'Ă©goutte, puis se disperse, la laissant inerte, mais avec ce sentiment de vie ... puis la mort. Nuage du Loup♩Apprenti Espion♩CamĂ©lĂ©on de PremiĂšreMessages 74Date d'inscription 22/07/2012Feuille de personnageRelations Sujet Re Demande ParticuliĂšre Lun 7 Jan - 1623 Merci du partage, si vous ĂȘtes d'accord, ceci apparaĂźtra Ă  la gazette du Forum _________________Spoiler WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Mer 9 Jan - 1610 Encore Merci et Ă  bientĂŽt ! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Demande ParticuliĂšre Demande ParticuliĂšre Page 1 sur 1 Sujets similaires» Hum demande de prĂ©cision» Votre demande de partos» Qui a demandĂ© une guĂ©risseuse avec un ventilateur ?Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLGDC Dawn CommunautĂ© De Vous Ă  Nous

Đ˜áŒ‰áŒ·Đœ Ń†áŠ áŒ Î±Ő¶ŃƒĐ•ŐŠŐ« Ï†ŃƒŃ‡ÎżĐșтվւ
Ô·ŐčօΟΞĐș эĐČĐŸáŠŻáˆŠĐ’Ö…Ő¶ ጂы ŃƒŐłĐ°Ń‡Î”
ĐžŐźÎ”Ö‚Đ°áŒŻŃƒáˆ­áˆ‰ Đ»ŃƒŃ‡Ï…áŒŽÏ‰Đ·Đ‘ĐŸŃ€Ï‰áŠ€Đ”ÎŒ Ő°
ՁሊĐČĐ”Đ»Ï‰á‹§áˆŠŐłĐŸ ÎŸŐ«ŐżĐŸŃ…ÎčÏ€ŐšáŒŽÎ„Ń…ĐžĐœŃ‚áŠ”Đ±Ń€Đ” և

Voici2 techniques qui vous permettront de dĂ©stabiliser les menteurs en face de vous, de les manipuler en les mettant en conflit avec eux-mĂȘmes (vous allez aimer les voir balbutier). Et si vous ĂȘtes trĂšs fort, ces techniques vous permettront aussi de leur faire cracher le morceau ! 1. La technique du scĂ©nario similaire.

Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal LGDC Dawn CommunautĂ© De Vous Ă  NousPartagez AuteurMessageWycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 1555 Bonjour je viens faire une demande assez particuliĂšreJe viens vous demander un petit service. Il y a eu un concours sur mon forum pour son anniversaire et le prix du gagnant est de voir l'histoire qu'elle a crĂ©e pour ce concours, postĂ© sur les partenariats de notre forum dont vous faĂźtes partis. Je voulais donc savoir si c'Ă©tait possible de postĂ© cette histoire sur ce d'avance ! Etoile du Griffon♩Krys♩Fonda Tyrannique & ChefMessages 559Date d'inscription 06/07/2012Localisation Sur mon ordi DFeuille de personnageRelations Sujet Re Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 1623 Bonjour Bien entendu, ta demande est acceptĂ©e, il est intĂ©ressant de faire des Ă©changes entre Forums _________________Spoiler WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 2018 Merci beaucoup ! Voici l'histoire gagnante et si vous aussi vous avez besoin d'un service mon forum est ouvert !-Alice ? Tu m’entends ? Alice ? Tu m’écoutes ? Qu’est-ce qu’il y a dans ce courrier, Alice ? Alice ?Mathieu secouait son amie autant qu’il pouvait, il voyait bien ses yeux se remplir de larmes, au fur et Ă  mesure qu’elle parcourait la lettre cachetĂ©e. Il lui arrivait de se comporter en enfant, et de bouder, ou de fondre en larme pour un rien, c’était ce qui la rendait attachante, c’était pourquoi il l’aimait, sans doute 
 Mais lĂ , elle n’y Ă©tait pour rien, et si elle se comportait ainsi, ce n’était pas a cause de son caractĂšre, elle Ă©tait triste, vraiment. Il se baissa pour ĂȘtre Ă  sa taille, vu qu’elle Ă©tait assise sur un banc, et l’étudia quelques secondes, avant de rĂ©agir. Il prit son amie dans ses bras, et la serra avec force, pour la rĂ©conforter. Des larmes vinrent foncer l’uniforme blanc du jeune garçon, il ne rĂ©agit pas. Il la relĂącha, lui Ă©bouriffa les cheveux et lui colla un baiser sur la vais aller chercher quelqu’un qui saura quoi faire 
 marmonna-t-il pour lui-mĂȘme. Il alla dans les dortoirs des filles, mais ne trouva aucune amie d’Alice, alors il descendit Ă  la salle commune. Elles y Ă©taient presque toutes, ces filles qu’il n’aimait pas du tout. Son amie Ă©tait 
 Pure, calme, pas artificielle, pas superficielle, et il se demandait comment elle pouvait apprĂ©cier des pĂ©tasses pareilles 
 Il tira une chaise, elles firent silence et l’observĂšrent toutes avec curiositĂ©. -Vous avez vu, sa lettre ?-La lettre de qui, Pierrot ?-Celle de votre amie, celle d’ ? Tu connais une Alice, Carla ?-Non, et toi, Pierrot, tu connais une Alice ?Il dĂ©testait qu’elles l’appellent Pierrot, ce surnom mesquin et ridicule, il ne savait pas oĂč elles l’avaient trouvĂ©, il savait juste que ça signifiait clown, en japonais, et vu qu’il n’avait pas l’air d’un clown 
 Il ne leur demandait pas, mais elles n’avaient pas dĂ» chercher bien loin. En plus d’ĂȘtre superficielles, ces filles Ă©taient toutes idiotes 
 -Votre amie, pour information 
-Alice n’est plus rien 
 Elle ne sert a rien, Alice est une arqua un sourcil, rĂ©frĂ©nant l’envie de la baffer, et sortit de la salle sous les moqueries Ă  peine dĂ©guisĂ©es des filles. Elles ne considĂ©raient plus Alice comme une amie ? Parfait, mais alors, vers qui se tourner ? Il Ă©tait vrai qu’elles Ă©taient peu gentilles, et qu’il Ă©tait remarquables qu’elles lui aient souris pendant six mois, mais leur comportement a toutes le rĂ©vulsait. C’était peut ĂȘtre pour ça que la jeune fille pleurait 
 Si elles ne peuvent rien pour moi, je n’ai plus qu’a allĂ© voir Eliott 
 »Mathieu n’était pas trĂšs emballĂ© par l’idĂ©e de se tourner vers le gosse de riche qui tourmentait son amie, avant de commencer Ă  lui donner des cours de maths, mais il n’y avait que lui qui pouvait lui venir en aide puisqu’Alice lui avait dit des choses que Mathieu ne savait pas 
Si Eliott enquiquinait Alice, c’était pour une des raisons les plus idiotes. Stupide au la vie d’Alice, il y avait beaucoup de choses bizarres 
 A commencer par un rang stupide de princesse » de second rang. Eliott, lui faisait partie du second rang, mais sa famille a dĂ©trĂŽnĂ© celle d’Alice pour des raisons que Mathieu ne connaissait pas. D’ailleurs, si Eliott n’adressait jamais la parole a Alice en l’appelant par son prĂ©nom, c’était a cause de cette mĂ©sentente. Apparemment, il n’avait rien contre elle 
Il passa par le parc, il savait qu’il y trouverait la personne qu’il cherchait. Ne s’apprĂ©ciant pas tous deux, ils avaient pris l’habitude de ne presque jamais s’appeler par leurs prĂ©noms respectifs. Mathieu appelait Eliott par son nom, Raven, et Eliott n’appelait pas Mathieu. Tout le monde Ă©tait tu peux venir s’il te plait ?-Toi, tu compte un jour m’adresser la parole autrement qu’en me manquant de respect ?-Ton pseudo-rang n’est rien pour moi, Raven, alors pour une fois, sois pas l’éternel connard que tu es, et suis -******, Eliott, tu veux pas arrĂȘter d’ĂȘtre conversation, juste cinq minutes dans ta vie ?-C’est pas comme ça que tu le persuaderas de te suivre, Mathieu, il est butĂ©, dis lui pourquoi t’es lĂ  
-Il est lĂ  parce que Grimm pĂšte encore un cĂąble, qu’il ne sait pas comment la calmer, et que ça concerne ? Il ..?-Non, justement. Ecoute, Pierrot, tu diras Ă  ta copine que je n’ai pas que ça Ă  foutre. Qu’elle se dĂ©***** un se pencha en avant, et chuchota pour que seul Mathieu l’ la rejoins dans sa chambre, dĂšs que je me dĂ©barrasse de Tom. Le blondinet tourna les talons et se dirigea vers le banc ou il avait laissĂ© Alice seule. Elle Ă©tait recroquevillĂ©e contre elle-mĂȘme, le menton sur les genoux, les yeux clos, et les joues rouges et trempĂ©es. Il lui prit la main, et l’aida Ă  se relever. Elle se laissa faire, et se traina pitoyablement derriĂšre lui, sans chercher Ă  lever les pieds. Il la fit rentrer dans sa chambre, et la fit asseoir sur son lit. Elle s’adossa au mur, ferma les yeux, et attendit. Il lui essuya consciencieusement les joues, enlevant le noir qui les colorait, et il rĂ©organisa un peu ses cheveux, qui Ă©taient tous emmĂȘlĂ©s, de nouveau. Elle attrapa le peigne sans convictions, et se dĂ©noua les cheveux. Lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir, il l’embrassa sur le front, et sortit doucement. Comme Mathieu l’avait fait, Eliott se posa Ă  genoux devant elle, et lui prit les qu’est-ce qui se passe ? Elle le regarda vaguement avant de lui tendre la Alice Grimm En raison de votre Ăąge approchant les quinze ans, et du fait que vous soyez seule hĂ©ritiĂšre de la seconde famille la plus puissante du pays, vous ĂȘtes invitĂ©e Ă  venir passer votre cĂ©rĂ©monie de maturation, qui fera de vous une hĂ©ritiĂšre digne, loyale et puissante, de la noble famille Grimm. Cette cĂ©rĂ©monie comportant elle-mĂȘme la totalitĂ© des cinq autres familles, vous n’ĂȘtes plus conviĂ©e Ă  cette fĂȘte, vous devez y venir. Vous prendrez le train, avec le fils du Seigneur Raven pour arriver Ă  leur chĂąteau, car, Ă©tant donnĂ© la discorde avec votre pĂšre, il a refusĂ© de vous faire rĂ©citer le psaume. Ce sera donc le duc de la premiĂšre famille qui vous fera l’honneur d’assister Ă  votre cĂ©rĂ©monie. Mon pĂšre ? DĂ©solĂ© pour te rends compte ? Je vais ĂȘtre humiliĂ©e en publique ! C’est ma faute si Chess est mort, c’est ton pĂšre qui l’a tuĂ©, et c’est lui qui prĂ©sidera la soirĂ©e ! Je ne supporterais pas de remarques dĂ©sobligeantes, je le sens vraiment mal, Eliott ! Sans rĂ©flĂ©chir, elle se jeta dans ses bras, et se remit Ă  pleurer. Il la calma tant qu’il put, murmurant des paroles rassurantes, telles que mĂȘme si ça doit pas beaucoup te rĂ©conforter, je serais lĂ  
 » oĂč au moins tu ne verras pas ton pĂšre 
 ». Elle avait les yeux gonflĂ©s, et ils la brĂ»laient. Elle comprends, pourquoi vous nous avez dĂ©trĂŽnĂ©s 
 Regarde le comportement de l’hĂ©ritiĂšre, a-t-elle la prestance d’une Grimm ? J’en doute, Alice est non, c’est normal que tu le vives mal, ça remonte a pas si longtemps, tu sais 
Il la cajola encore un petit moment, jusqu’à ce qu’elle a reprit du poil de la bĂȘte, et que son aplomb soit de moi au moins un sourire, je dois aller rejoindre Tom, il doit me chercher partout 
Elle lui dĂ©crocha un sourire, mĂȘme si ses yeux Ă©taient encore un peu rougis, et il sortit. AussitĂŽt qu’il la laissa seule, Mathieu dĂ©boula dans la piĂšce pour vĂ©rifier l’état de son sourit, en le voyant est plus douĂ© que moi, au final 
-Mais nan, c’est juste que je lui ai refilĂ© la lettre, et qu’il m’a dit des trucs rassurants, au sujet de tu sais quoi 
-Je comprends rien a ton histoire, tu fais la gueule a ta famille, mais pourquoi ?-J’ai une idĂ©e, allons manger, je te raconte tout lĂ  bas, je meurs de sourit, reconnaissant bien son amie, et ils se dirigĂšrent vers le rĂ©fectoire en papotant de tout et de y a plus aucune table Ă  deux, il va falloir qu’on s’installe sur une table Ă  grave, personne ne s’installera, depuis qu’elles m’ont jetĂ©s, je suis grave 
 Alors, tu m’explique ?-Ouais, mais d’abord, tu saisis le contexte ? C’était il y a huit mois, la famille Grimm Ă©tait encore la plus puissante. On possĂ©dait des terres, un bon patrimoine, du savoir, de la puissance 
 Et mon chien. Chess. Ce chien, mon pĂšre et moi y tenions beaucoup, et un jour, il y a eu une sorte d’accident. Chess est passĂ© 
-Ah mais ça m’a tout l’air d’une conversation passionnante, qui pourrait m’en apprendre 
 -Ah je t’en pris, Raven, ne te donne pas la peine de parler a des personnes aussi infĂ©rieur qu’Alice et de te rabaisser fixait son repas _ qu’elle avait massacrĂ© Ă  l’aide de sa petite cuillĂšre tandis qu’elle parlait _ avec un air horrifiĂ©. Elle n’aimait pas qu’on l’écoute parler, elle n’aimait pas qu’on la surprenne, et elle allait parler d’Eliott 
. -C’est trĂšs gentil de faire attention a moi, Mathieu. Ça le fait plaisir, de voir qu’on en est revenus a de meilleurs sourire malicieux jouait sur les lĂšvres d’Eliott, elle se borna Ă  tourner la tĂȘte pour le regarder avec un air on peut s’asseoir ? Le repas risquerait de refroidir 
- Vas-y 
Tom pris place Ă  cĂŽtĂ© d’elle, et Eliott a cĂŽtĂ© de Mathieu, qui marmonnait, en dĂ©coupant en fines lamelles de pauvres regarda discrĂštement son reflet dans le dos de sa cuillĂšre, et tenta d’apaiser le rougissement de ses joues. ContrĂŽlant assez bien son corps, par moment du moins, elle y parvint a peu prĂšs, de maniĂšre a ce qu’on pense qu’elle avait juste chaud. Elle Ă©tait juste terriblement ce que tu racontais au Pier
 A Mathieu, on t hocha la tĂȘte d’un air peu sur, puis gros, il y est passĂ© direct, et mon pĂšre m’en a voulus, parce qu’il faut comprendre que ce n’est que de ma faute. J’ai Ă©tĂ© idiote, et il a dĂ©cidĂ© que j’en faisais plus partie de la famille. Sauf que chez moi, je suis la seule hĂ©ritiĂšre. S’il n’y a pas d’hĂ©ritiers, il ne peut pas me renier 
 Alors il a dĂ©cidĂ© de m’envoyer ici 
-Grimm, si Chess est mort, c’est pas vraiment de ta faute, plutĂŽt de la notre. C’est nous qui l’avons provoquĂ©s, tout en sachant ce qu’on faisait, et ce qui se passerait. Ton pĂšre a tellement de rancune envers toi qu’il en vient Ă  presque se lier d’amitiĂ© avec ses ennemis mortels 
-Mouais, si tu le qui s’est rĂ©ellement passĂ©, c’est qu’on l’a provoquĂ©, et il est rentrĂ© dans notre !Alice plaqua ses mains sur ses oreilles, ferma les yeux et baissa la tĂȘte. Se rappeler de la mort de Chess ne l’aidait pas du tout, au contraire ! En plus, ils parlaient de choses que Mathieu devait comprendre de travers. Elle Ă©tait sure que si elle regardait son ami elle lirait de la pitiĂ© a son Ă©gard, et du dĂ©gout a l’égard d’Eliott. Puis, elle regarda ses mains, tremblantes, et fut saisie de rage. Tu es Alice. Alice Grimm, fille de la seconde famille. Tu te dois de te ressaisir, et de ne pas flancher face Ă  Eliott. Tu es forte, tu es puissante, et tu ne pleureras pas. »Elle releva la tĂȘte, et dĂ©fia Eliott du regard. Il parut presque flĂ©chir, sous l’intensitĂ© et la puissance de la colĂšre d’Alice. Il savait, qu’elle n’était pas dirigĂ©e contre lui, mais il ne pu s’empĂȘcher de se dire que si elle avait l’intention de lui faire du mal, elle y parviendrait sans mal 
 Il allait falloir la briefer un peu, une fois qu’elle serait capable d’avaler ce qu’il avait Ă  rougit, mais cette fois ci, ce n’était pas de la gĂȘne. Elle dĂ©testait qu’on lui donne des ordres, elle le regarda en fronçant les sourcils, et pinça les lĂšvres quand il se mit Ă  sourire moqueusement. Elle avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans l’idĂ©e qu’elle dĂ©cidait, et qu’elle donnait les ordres, alors le simple fait qu’on lui dise de manger l’ n’ai pas faim, Raven. -Je t’en pris Grimm, je ne suis pas stupide. roula des yeux, battit des paupiĂšres et se leva, pour dĂ©barrasser son plateau. Tom saisit son poignet, et la retint assise. Elle le fusilla du regard, mais lui avait le regard plongĂ© dans celui d’Eliott. Si ce n’était pas de lui que venait l’initiative, alors il fallait remonter Ă  la source 
 Si les yeux d’Alice Ă©taient Ă©quipĂ©s de fusils, l’aristo serait mort 
-Alice, je fais pas ça pour te faire chier, tu t’en doutes, alors sois gentille, mange. Il prit sa fourchette, se leva, se pencha au dessus de la table, et traça une ligne dans son assiette. Il rapatria la viande d’un cĂŽtĂ©, et les lĂ©gumes de l’autre, piocha une carotte, l’avala, et fixa la brune avec un air manges au moins les lĂ©gumes, s’il te le regarda, et commença Ă  manger, pour pouvoir rapidement dĂ©camper, les joues rouges, et les regards plantĂ©s dans celui d’Eliott, qui se rassit, amusĂ©. Elle reporta son attention sur l’assiette, et quand elle releva la tĂȘte, elle remarqua que Tom et son ami avaient Ă©changĂ©s de place. Elle piqua un fard, et se rabattit de nouveau sur son assiette. Tout ça sous l’Ɠil Ă©bahis de Mathieu qui n’avait jamais osĂ© dĂ©crĂ©ter quoi que ce soit, alors que lorsqu’Eliott le faisais, on lui obĂ©issait. Et ce n’était pas cette stupide histoire de rang, car tout autant que lui, Alice n’en avait fur et Ă  mesure qu’elle mangeait, il t’ajoutait discrĂštement des lĂ©gumes, et de la viande, dans le cĂŽtĂ© qu’elle devait manger. Elle Ă©tait si absorbĂ©e par ce qu’elle faisait, et le fait qu’elle fuie continuellement son regard, qu’elle ne vit mĂȘme pas qu’elle avait vidĂ© son assiette. - Mais 
Un ricanement fusa Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle tourna la tĂȘte et dĂ©couvrit que Tom, Mathieu et Eliott Ă©taient morts de rire, devant sa mine mis le temps, mais t’as mangĂ©, et t’as rien dis, en plus !-T’as tout foutus du mĂȘme cĂŽtĂ© !Elle lui envoya un coup de poing amical dans l’épaule, et adopta une moue boudeuse, ce qui n’eut que l’utilitĂ© de les faire rire encore normalement, vu qu’on est en vacance, on a le droit de trainer dans le jardin, et aux alentours de la forĂȘt. Ça vous intĂ©resse ?-Ouais !Alice regarda Mathieu avec Ă©tonnement, puis elle comprit ce qu’il ressentait. Avant qu’elle n’arrive, il Ă©tait exclu. Directement, elle avait Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e, par ce garçon solitaire, un peu parano, au dĂ©but, et qui souriait dĂšs qu’il le pouvait aux jolies filles. Quand elle avait reçut ses manuels, il l’avait aidĂ© a tout portĂ©, et lui avait proposĂ© de lui tenir compagnie, pour le premier repas. Tout sourire, il avait acceptĂ©, et avaient commencĂ©s Ă  discuter, en se rendant compte qu’ils avaient pleins de points communs. DĂ©jĂ , ils Ă©taient bruns. Ensuite, ils n’avaient aucuns amis. Pour finir, et ce n’était qu’un nombreux traits commun, ils avaient le sourire facile, et Ă©taient tout les deux trĂšs sociables. La paire idĂ©ale, quoi. Officiellement, il Ă©tait presque immĂ©diatement devenu son meilleur ami. Mais, lorsqu’elle avait eut des problĂšmes en maths, c’était vers Eliott qu’elle avait dĂ» se tourner, et il avait dĂ» se sentir rejetĂ©. Au moins, si on leur proposait a tous les deux, sans inclure Mathieu dans Alice, ça lui plaisait. Pour ça, qu’il s’était empressĂ© de rĂ©pondre hocha la tĂȘte, et suivit Tom et son ami jusqu’à la Je parie que t’es jamais venus ici, vises juste ! Et finalement, c’est pas mal comme endroit !Pendant que les garçons discutaient, et qu’Eliott allumait un feu, Alice alla s’adosser a un arbre. Elle attrapa au vol la couverture qu’on lui lançait, et s’emballa dedans. Trouvant l’idĂ©e intelligente, les trois garçons s’assirent Ă  cĂŽtĂ© d’elle, collĂ©s les quatre l’un contre l’autre, elle commençait Ă  avoir conversation qu’on ai pas de cartes 
Elle regarda son voisin de droite, celui qui l’avait forcĂ© Ă  manger ce qu’elle avait dans l’assiette, et fronça les ça ?-Vous savez jouer au poker ?- Si il pense Ă  ce que je pense qu’il pense, il finit dans le buisson, ok Mathieu ? penses Ă  quoi quand tu dis poker » ? Alice le regarda, la mine soupçonneuse, et quand il eut comprit lĂ  ou elle voulait en venir, il ! Je suis pas tordus a ce point ! Et puis, on aurait pas l’air conversation, si tu gagnais 
 -Je gagne jamais au poker 
 Je suis a des cartes ?- Va te 
-Alice, tu lui as tendu la perche, tu penses Ă  des trucs glauques, toi parfois 
-Eh ! Je te signale que c’est lui qu’a rĂ©pondu a la pseudo-perche. En plus, moi j’ai dit que s’il y pensait, je l’envoyais dans le buisson, j’ai pas dis que ça m’intĂ©ressait ! -C’est vrai ? C’est dommage ça 
-J’ai pas besoin de jouer au poker pour me foutre a poil 
Les trois garçons la fixĂšrent avec un air choquĂ©, comme si c’était trĂšs inattendus de sa part, profitant de l’idĂ©e qu’elle ai pour une fois le dessus, elle prit un air aguicheur, et se dĂ©barrassa rapidement de la couverture pour s’installer a califourchon sur son ami, qui avait perdu son sourire, contre un air visiblement surpris. Plus surpris, tu meurs, bah, Eliott, t’étais pas partant pour un strip-poker ?Il la fixa avec un air perdu, tandis qu’elle se rapprochait dangereusement. Les deux autres garçons Ă©taient muets de stupeur, face au renversement de situation. ******, je croyais pas Alice comme ça ! » Pensa Mathieu, et il avait raison. Elle Ă©tait peut ĂȘtre morte de rire intĂ©rieurement, mais si elle n’avait pas Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e en leurs prĂ©sence, puis relĂąchĂ©e, et avec ça, ce sentiment d’adrĂ©naline, jamais elle n’aurait eu l’idĂ©e de ce petit jeu elle se demandait pourquoi il ne la repoussait pas. Ils Ă©taient censĂ©s se dĂ©tester, alors qu’elle Ă©tait a deux doigts de lui rouler un patin, lui la regardait juste comme si elle Ă©tait devenue folle. -Wh, Raven, tu verrais ta tĂȘte !Puis elle Ă©clata de rire, et se remit Ă  sa place, en pleurant presque. Mathieu soupirait presque de soulagement, retrouvant son amie, et bientĂŽt, Tom la rejoint. Eliott avait toujours l’air profondĂ©ment choquĂ©, qui finit mĂȘme par le dĂ©rider t’imaginerais plus coincĂ©e, tentant, vous auriez vu vos tronches !Ils souriaient tous les trois, mais quelque choses gĂȘnait Eliott, ça se voyait 
 Il l’attira contre lui, passa un bras autour de ses Ă©paules, et fit fi de ses demandes pour tu m’écrases 
 J’étouffe, je respire plus. Raven, s’tue plait, je meurs lĂ  
 Houhou ? Aille, tu m’écrases 
 ******, t’as d’la force ! MaĂŻeur, lĂąche-moi ! Fais gaffe hein, l’idĂ©e du buisson tiens toujours !-Moi aussi je t’aime les regards amusĂ©s des deux autres garçons, qui se mirent Ă  discuter d’autres choses, Eliott enfonça son index dans les cĂŽtes d’Alice qui se mit Ă  gigoter pour se dĂ©barrasser de son emprise, sans succĂšs, car il Ă©tait plus fort qu’elle. Pleurant presque de rire, elle le supplia d’arrĂȘter, ses mots avalĂ©s par sa toux, il la je suis dĂ©solĂ©e de m’ĂȘtre foutu de ta gueule, t’as dĂ» te poser des questions 
-Un peu ouais 
 M’enfin, ce n’est pas dĂ©plaisant d’avoir une jolie fille assise Ă  califourchon sur soi 
-Ah bon, y a une autre fille ici ? Un sourire moqueur se dessina sur les lĂšvres d’Eliott, Alice n’en revenait pas. Elle rĂ©ussissait Ă  le faire sourire ! Il avait de la fiĂšvre ? Il la retint de nouveau prisonniĂšre, et chuchota Ă  son oreille-Retires ce que tu viens de dire, ou je te lĂąche pas 
-D’accord, j’admets que je suis bien trop modeste, en vrai j’suis canon. Ça te va ?Il la lĂącha, et pinça les lĂšvres pour ne pas sourire, face Ă  la mimique boudeuse de la jeune bout d’un moment, a force de chahuts, et de rires, elle finit par bailler, mais refusa de partir . Elle ne savait pas quand ils seraient aussi souriants, tous les quatre, alors elle voulait profiter du moment au maximum .Elle finit d’ailleurs par s’endormir, et ne se rĂ©veilla que le lendemain matin, dans son lit . Elle regarda autour d’elle, avec un air profondĂ©ment dĂ©boussolĂ©, avant de se rappeler ou elle Ă©tait . Elle entendait trĂšs distinctement trois respirations a ses pieds, et regarda prĂšs du lit . La tĂȘte posĂ©e sur les mains, Eliott dormait, assis par terre, en appuis sur la couverture . Au sol, Mathieu et Tom, qui ronflaient eux aussi . Elle se retint de rire, et profita de l’instant pour les regarder de plus prĂšs .Elle n’avait jamais vraiment l’occasion de fixer Eliott, et en profita . Elle devait avouer que des trois, il Ă©tait le plus mignon . Et elle savait que Mathieu Ă©tait mignon 
 d’ailleurs, Tom n’était pas mal du tout non plus, mĂȘme si diffĂ©rent .Le premier, son ami depuis le dĂ©but, avait des yeux verts, mais vu qu’il avait les paupiĂšres fermĂ©es, elle ne pouvait que se les rappeler . Des cheveux bruns, mi-longs, et des traits enfantins . Le second, Tom, Ă©tait blond, mais elle ne se rappelait pas de la couleur de ses yeux . Pourtant elle se rappelait clairement l’avoir fusillĂ© du regard . Mais, bleu, verts ou bruns, elle ne se rappelait plus . Et Eliott avait des yeux bleus encore plus pĂ©tillants que les siens encore plus clair, ceux d’Alice Ă©taient lapis-lazuli, les siens Ă©taient bleu pur . Et impĂ©nĂ©trables, c’était agaçant 
 Quand a Eliott, il avait une allure Ă©trange, a vrai dire 
 Grand, un peu plus qu’elle, mais a quelques centimĂštres seulement, on voyait qu’il faisait pas mal de sport, et avait des traits 
 Un peu Ă©ffĂ©minĂ©s, mais qui restaient masculins . Des cheveux brun foncĂ©s, sans doute plus longs que les siens, raides . Elle les dĂ©visagea lentement, avant de sursauter, elle fixait le peu qu’elle voyait d’Eliott, sois une masse de cheveux bruns foncĂ©s s’éparpillant sur son front .-Profiter de notre sommeil pour nous reluquer, c’est dĂ©loyal, Grimm .***** ! Il Ă©tait rĂ©veillĂ© ! Elle rougis au maximum, mais fit mine de ne pas comprendre de quoi il parlait . Elle prit un air vexĂ©, et dĂ©clara d’une voix railleuse -Punaise, t’es vraiment narcissique en fait !-Ah ça va, je vais pas te tuer hein 
Elle enfouis son visage cramoisie sur le traversin, et dĂ©cida d’y rester .-Fais gaffe, tu vas t’étouffer 
-Si je meurs, je serais dĂ©barrassĂ©e des exercices de maths 
Un sourire malicieux joua sur les lĂšvres du garçon, pendant que Mathieu et Tom ouvraient les yeux .Un ricanement s’éleva, et c’était celui de deux personnes . Ah, Tom et Mathieu avaient entendus la conversation, et la gĂȘne d’Alice laissait croire qu’Eliott avait raison 
 L’ami de la jeune fille se dit que ce n’était pas forcĂ©ment plus mal que ça, et que de toute maniĂšre, elle ne risquait pas de trouver quelque choses d’intĂ©ressant a lui, ou a Tom . Vu le nombre de groupies qui bavaient sur Raven 
 Il rĂ©prima une bouffĂ©e de jalousie mal venue, et remit les pieds sur terre . *****, *****, ***** . » pensa-t-elle -Alice ne ferait jamais ça, voyons, tu devait avoir de la salade entre les dents 
-Mathieu, soit mignon, fait comme lui, avale de l’essence et suicide toi 
Nouveaux rires . Elle se sentait rĂ©ellement idiote, parce qu’ils dĂ©connaient sur son dos, et que mĂȘme si elle n’avait pas honte de son geste, aprĂšs tout, le peu de beaux garçons qu’il y avait dans cet Ă©tablissement, elle avait bien le droi de les regarder non ? -Au fait, qu’est-ce que vous foutez lĂ  ?! C’est MA chambre ! Et je me suis pas endormie lĂ , en plus 
-Bah, on s’est dit que tu aurais mal au dos, si tu dormais dans l’herbe, alors je t’ai portĂ© pour te ramener lĂ , et comme Mathieu s’inquiĂ©tait pour toi, Tom a proposer de rester lĂ , pour ĂȘtre sur que tu ne te rĂ©veillerai pas dans la nuit, ou que tu ne fasses pas de cauchemar 
 On a bien essayĂ© de te tenir la main, mais apparemment, ça t’intĂ©ressait pas .-En reprenant les mot de l’attardĂ©, il s’inquiĂ©tait, et il prĂ©fĂ©rait rester, et comme je tenait pas a te laisser seule avec le sociopathe, je suis restĂ© .-Pour connaitre la vĂ©ritĂ©, mieux vaut Ă©couter Mathieu .-Merci mec .-De rien .-Eh, c’est une rĂ©bellion ? Vous vous liguez contre moi, a trois ? Si c’est le cas, vous avez intĂ©rĂȘt a vite changer d’idĂ©e 
 Surtout toi, Raven, parce que je peux ĂȘtre une enquiquineuse finie 
-Je confirme 
 marmonna Mathieu, qui Ă©vita de justesse un oreiller lancĂ© afin de l’assommer . -Va te 
 Je te *****, Mathieu !Elle rougis, et dĂ©tourna encore une fois le regard . Eliott la saisis par le menton, et la fixa dans les yeux, sĂ©rieux, tout a coup .-Grimm, si tu dĂ©tournes le regard pour une simple moquerie, qu’est-ce que ce sera quand tu auras une famille a mener ? Faut affronter ses problĂšmes, c’est comme pour les maths .- Euh, ça a pas trop rapport lĂ  
-La ferme, tu affrontes le problĂšme, c’est tout .Il se releva, sans plus de cĂ©rĂ©monie, aprĂšs l’avoir lachĂ©e, elle bondit hors du lit, et lui saisit le poignet d’un air autoritaire .-Toi ! Va pas croire qu’a cause de cette idiotie, ou de ce stupide rang, tu sois autorisĂ© a me parler ainsi . Je reste une Grimm, et tu n’as aucunement le droit d’hausser le ton quand tu m’adresses la parole, je suis claire ?-Et bah voilĂ , tu vois quand tu veux, tu peux, suffit de raler un peu 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux avec un air moqueur, et elle fronça les sourcils .-Attends, tu te fous de moi lĂ , c’est ça ?-On ne peut plus 
Elle Ă©touffa un grognement, et le lacha . Mathieu et Tom s’étaient remis sur leurs deux jambes, elle adopta une mine boudeuse qui les fit sourire les trois, et s’assit sur son lit en croisant les bras .-Z’avez arrĂȘtĂ© de piailler autour du feu vers quelle heure a peu prĂšs ?-Chais pas, mais va falloir songer a manger plus, Grimm, t’es un poids plume, ça fait peur .-C’toi qui m’a ramenĂ© ?-Ça te pose un problĂšme ?-Pas que je sache, c’est toujours mieux que de dormir dans l’herbe, quoique ç’aurait pu ĂȘtre amusant . Ce qui serait amusant, maintenant, ce serait de me laisser aller me doucher 
 Aller, dehors 
Eliott lui sourit avec un air moqueur et satisfait, se disant surement que la leçon Ă©tait passĂ©e, et qu’elle avait compris ce qu’il disait, quand il disait qu’elle devait affronter ses problĂšmes 
Ils passĂšrent les journĂ©es suivantes ensembles, tous les quatre, ce qui changeait Ă©normĂ©ment a Mathieu, mais aussi a Alice, et a Eliott . Tom, lui, Ă©tait habituĂ©, a ĂȘtre entourĂ©, alors il n’avait pas plus de mal que ça .Vint ensuite le moment de faire les valises pour aller au domaine Raven . Alice Ă©tait stressĂ©e, et tremblante . Elle n’arrĂȘtait pas de se retourner, pour ĂȘtre sure que Mathieu Ă©tait toujours lĂ  . A bout d’un certains temps, il vint l’aider a plier les habits, et regarda avec un air amusĂ© les robes qu’elle fourrait dans son sac .-Depuis quand tu t’habilles comme une vraie fille ?-J’ai pas le choix, figure toi, ma mĂšre a dit Tu mettras tes pantalons quand tu reviendras en cour . »Elle fit la grimace, et en sortit une lĂ©gĂšre, pour le train . La plupart des toilettes Ă©taient bleus clair, parce que ça s’accordait trĂšs bien avec ses yeux . Elle avait pris le temps de tresser ses cheveux de maniĂšre habile, et y avait glissĂ© des rubans, qui laissaient quand mĂȘme quelques mĂšches brunes tomber en cascade . Elle avait juste rehaussĂ© ses yeux bleus d’une poudre dorĂ©e sur les paupiĂšres, ses onglĂ©es, ses mains, ses joues, ses yeux, ses cheveux, tout Ă©tait impeccable . Sauf qu’elle Ă©tait d’une humeur massacrante, stressĂ©e, elle n’arrĂȘtait pas de faire demi tour, de virevolter, de changer d’idĂ©e, d’avis, d’humeur .-Tiens, Alice en robe ? Elle se retourna et se planta devant Eliott avec un air mauvais .-Toi, tu fais un commentaire, tu passes le trajet dans la soute . - Nerveuse ?-Elle dit que nan, j’imagines qu’elle flippe 
- Je m’en doute 
-Z’auriez l’obligeance d’arrĂȘter de parler comme si j’étais pas lĂ  ?Elle se retourna, et força sur la valise pour la fermer . Elle tourna de nouveau les talons, et faillit s’étaler, de tout son long 
 Elle releva le bas de sa robe, pinça les lĂšvres, et envoya valser les chaussures noires a talons, qu’elle troqua contre de vieilles tennis grises dĂ©structurĂ©es, sous les regards moqueurs de ses camarades de classe . Elle attrapa les chaussures, qui gisaient au sol, abandonnĂ©es, les fourra dans un sac, et posa le tout au sol .-Bien, la voiture de Ma Dame est avancĂ©e .-C’est ça ouais 
Elle lui lança un regard suspicieux, et lacha ce qu’elle tenait pour se jeter sur son ami .-T’as interet a bosser hein, une semaine, ça peut tooout changer, alors tu fais pas la feignasse, tu bosses 
 Tu vas me manquer, Mathieu 
-Toi aussi, Alice, tu vas me manquer, toi aussi 
AprĂšs les aurevoirs, ils tournĂšrent vers le train, qui n’était pas encore partit, et allĂšrent s’installer dans un wagon vide .-Alice, il va sĂ©rieusement falloir que tu revoies ton oratoire 
 Tu parles comme n’importe quelle adolescente de ville, ça fais peur 
 -Je sais me tenir en publique, j’ai eu une bonne Ă©ducation, je te rappelle 
-Et, me frappe pas, parce que je l’ai jamais fait, lĂ  ou on va, le vouvoiement est de rigueur .-Pardon ?! Je ne te vouvoierais pas, j’y arriverais pas, tu te fous de ma gueule ? Euh, pardon
 Aurais-tu l’obligeance de cesser cette comĂ©die ?-Eh, Dante, ta Divine comĂ©die », je l’ai pas Ă©crite 
 -Dante, c’est trĂšs spirituel, Raven 
-Soit mignonne, quand on arrive, tu attends que je me sois dĂ©barrassĂ© des formalitĂ© pour gueuler, cet a dire, attends d’ĂȘtre en priver, pour te dĂ©fouler .Elle hocha la tĂȘte, d’un air mutique, et fixa ses pieds chaussĂ©s de vieilles tennis .-Et tu changeras de souliers, avant qu’on arrive ..?-Certainement 
Il lui releva la tĂȘte, et lui offrit un sourire tout a fait charmant .-Grimm, tu te prĂ©sentes aujourd’hui comme la protĂ©gĂ©e des Raven, demain, pour ta cĂ©rĂ©monie, et le reste de la semaine, je te promet qu’on part se pommer dans la forĂȘt .-SĂ©rieux ? Euh, je veux dire Promis ?-SĂ©rieux .Elle sourit, et fixa la fenĂȘtre avec un air dĂ©jĂ  moins mutique .-Ça me fais peur 
 J’ai peur d’arriver, en fait, j’ai peur qu’on me prenne pour 
 Je sais pas, l’idiote qui a tuĂ© sa K, Le dĂ©shonneur des Grimms, celle que le fils Raven a pris sous son aile, sans mauvais jeu de mots 
-Grimm, tu me fais confiance ? Personne ne pensera ce genre de choses de toi, quand on va descendre, tu vas sortir en tenant ma main, la tĂȘte haute, le menton relevĂ©, le dos droit, un sourire flottant sur les lĂšvres comme si on avait plaisantĂ© tout le trajet, tu vas sourire, avec un air doux, si, tu peux le faire, et si on te parle, tu inclines la tĂȘte, tu me regardes comme si je devais t’autoriser a rĂ©pondre 
 Mais tu regardes les gens avec un air supĂ©rieur, toujours . N’oublies pas qui tu es 
 D’ailleur, Ă©vites de trop ouvrir la bouche, parce que t’as tendance a dĂ©ployer des tĂ©sors de vulgaritĂ©, a force de cĂŽtoyer des gens 
 Vulgaire, va-t-on dire 
-D’accord .-VoilĂ , et tu ne t’éparpilles pas partout . Sois structurĂ©e, et calme . Ne bouge pas trop vite, si ça peut t’aider, cale ton pas sur le miens .Elle hocha la tĂȘte, il avait rĂ©ussis Ă  la faire stresser de nouveau, il fallait qu’elle retienne Papillonner des yeux, le fixer en mode groupiasse, incliner la tĂȘte, l’imiter, jouer la pĂ©tasse timide, se la boucler 
 Ah oui, il avait raison, elle Ă©tait assez vulgaire, quand mĂȘme 
-Bah, on va tester ça 
 Maintenant, le train s’est arrĂȘtĂ© 
Elle serra les dents, enleva ses tennis, remis les chaussures a talons sur lesquelles elle ne tenait pas debout, et aggripa fermement le bras d’Eliott . -Il y a du monde ?-Selon les dires des autres, tous les invitĂ©s prĂ©sents a ta cĂ©rĂ©monie de maturitĂ©, donc oui 
 Respire Alice, c’est des gens qui idolĂątrent ta famille, s’ils se jettent pas a tes pieds, je vais perdre dix euros 
-T’as pariĂ© que je me ridiculiserais ?!-Non, moi j’ai pariĂ© que tu t’emmĂȘlerai pas les crayon, si tu foire, tu me dois dix euros 
-T’as pariĂ© 
 Vous avez pariĂ© avec qui ?!-Avec Tom 
-Ok, nous sommes d’accord, si je le croise, seul, je l’étrangle 
Il sourit, poussa les battants, et descendit du wagon . Sur le quais de la gare, on distinguait clairement une silhouette droite, et bien tenue, qui contrastait avec le reste des habitants, mal soignĂ©s 
-Respire Grimm, t’as encore au moisn cinq minutes de voiture .-Oublies, j’me tire .-Non non non !Il la rattrapa par la taille tandis qu’elle se dĂ©filait et faisait demi tour, et l’attira a lui avec un sourire moqueur . Il lĂ cha sa main pour lui entourer les Ă©paules, avec un air nonchalant, et la força a marcher jusqu’à la voiture .-Le carosse » de Ma Dame est avancĂ© 
- Il me revient que j’ai oubliĂ© une veste a laquelle je tenais Ă©normĂ©ment, dans notre compartiment, je vous serais grĂšs de m’attendre, tandis que je pars la chercher 
-Il me semble que tu es arrivĂ© dans le train sans veste 
-Et bien, je vais retourner a l’acadĂ©mie pour la rĂ©cupĂ©rer 
Au lieu de discuter, il la poussa Ă  l’arriĂšre de la voiture, et enclencha la sĂ©curitĂ© de la porte, au cas ou elle ne tente une escapade forcĂ©e . -Ça va aller, je ne suis pas non plus stupide au point de me jeter par la portiĂšre .-Les Grimms ont un sens assez aigus de la fuite, Alice 
Elle fusilla du regard le conducteur .-Tom ?!-Ouais ?-T’as de la chance d’ĂȘtre au volant, tu serais mort, sinon 
 J’ai l’autorisation de le tutoyer lui hein ? Enfin, n’est-ce pas 
 Eliott ?Un ricanement se fit entendre Ă  l’avant, et Alice broya la main d’Eliott pour ne pas Ă©trangler Tom .Elle regarda les paysages, bailla, remis en ordre sa coiffure et son maquillage, et eu a peine le temps de souffler que les cinq minutes Ă©taient passĂ©es, et qu’ils arrivaient au domaine des Ravens .-Bienvenue Ă  la maison, Eliott .-T’es chez toi aussi, Tom 
 Et Grimm, pour une semaine 
-J’imagines que t
 Vous connaissez la rĂ©ponse 
-Je me doutes 
-C’est marrant de te voir le vouvoyer, sachant que tu es bien plus classĂ©e que moi, et que je le tutoie . Et surtout, qu’il n’y a pas deux jours, tu lui a refais une leçon de morale sur ta supĂ©rioritĂ© 
 -Tom, je serais toi, je la fermerai, elle a l’intention de te coller jusqu’à ce que vous soyez seuls tous les deux, pour t’éviscerer, et te pendre avec tes boyaux 
-Tu m’en veux a ce point ?-A ce point, ouais, et rien que pour pas devoir dix euros a Ell
 A 
C omment on doit s’appeler en fait ?-Ah *****, j’en ai aucune idĂ©e 
-Seigneur Raven, ça fera l’affaire, j’imagines 
 Ricana Tom .-Tu dis Eliott, ou Raven . Mais principalement Eliott, pour qu’on voit qu’on est plus ou moins proche, mais qu’on n’en a pas rien a carrer, des formes .-Ah ouais 
 Bref, rien que pour pas lui devoir dix euros, j’vais me comporter 
 Comme quelqu’un de mon rang, Paf ! Dans le 
 Mince, Argh, faut que je me taise 
Pendant qu’Eliott soupirait, dĂ©couragĂ©, Alice s’appliquait a se taire, mimant le geste de se fermer la bouche, et de jeter la clĂ© .-On est arrivĂ©s .-J’ai oubliĂ© ma veste a l’acadĂ©mie, je peux pas sortir sans veste !Avec un sourire amusĂ©, Eliott enleva sa propre veste pour la poser sur ls Ă©paules d’Alice .-C’est de la pure mise en scĂšne, Grimm, alors laisse la lĂ , ça pourrait faire genre 
-Ouais, et on va se rouler un patin aussi, pour faire genre 
-L’idĂ©e est tentante, mais je me ferai Ă©triper, ce serai 
 DĂ©solant 
Elle fronça le nez, et descendit en premiĂšre, il poussa la portiĂšre, la referma, et la prit par la taille pour se diriger dans l’allĂ©e . Les chuchotis allĂšrent bon train, tandis qu’elle essayait tantĂŽt de regarder les gens en souriant, tantĂŽt de papilloner des yeux en reardant Eliott .Elle reconnut quelques visages familiers, et dĂ» s’adonner au jeu des sourires, des prĂ©sentations, ou juste des iformations .-Oh, miss Alice, vous avez grandit ! Qui aurait crut qu’une Grimm viendrait passer sa cĂ©rĂ©monie de maturitĂ© au domaine des Ravens ?! Certainement pas moi en tout cas ! Auriez vous vu votre pĂšre ?-Oh, je suis navrĂ©e miss Sally, je ne l’ai pas croisĂ© depuis il y a six mois 
-Ah oui, l’incident 
 DĂ©solĂ©e pour vous 
 Mais je suis heureuse que vous vous rappeliez de moi 
-Alice, il faudrait voir a avancer, Tom est dĂ©jĂ  a l’autre bout du chemin .Elle baissa humblement la tĂȘte, le remerciant intĂ©rieurement de la dĂ©livrer de cette femme, et fit rougir ses joues .-Je ne peux qu’acquiescer, nous n’avons qu’a le rejoindre 
 Encore merci, et bonne journĂ©e !-Tu te dĂ©mordes bien 
Chuchota Eliott quand la femme fut partie .-Oh Mademoiselle Grimm !-Lady Shizuka !-Vous avez fiĂšre allure, Alice 
 Eliott, c’est vous qui l’accompagnez ?-Oui, Sarah, J’éssaie de me frayer un chemin parmis la foule d’amis venus la saluer, pour l’accompagner a ses appartements 
-Pas de problĂšme, venez donc par lĂ , jeunes gens 
 Elle se composa une mine interessĂ©e, et fit mine de parler, de sorte que personne ne vienne l’interrompre .-Alors les relations entre nos deux familles ennemies sont redevenues moins tendues 
-N’en soyez pas si sure, Lady Sarah, si j’accompagne ma 
 Camarade, ce n’est que par pure formalitĂ© 
-Eliott, mon garçon, je vous connais bien, ce regard n’est pas aussi professionnel que le miens 
 Les deux vieux sont sans doute toujours en conflit, mais vous avez l’air plus clairvoyants, et plus intelligents 
 Les deux familles maitresses se doivent de se rĂ©concilier 
Alice lança un sourire a Eliott, un sourire que seul la jeune femme japonaise, et lui, pouvaient apercevoir, et qui en disait long sur ce qu’elle pensait .-DĂ©solĂ©e, ça m’a Ă©chappĂ©, mais cette comĂ©die me fatigue, je ne vois pas l’utilitĂ© de sourire, et de faire des courbettes, s’il faut, hors regards papillonnants, expliquer a tout le monde a quel point l’entente est difficile 
-Alice, on a pas le choix 
 Vous m’éxcuserez, Sarah, je vous remercie pour la protection » apportĂ©e, nous allons continuer seuls 
Lady Shizuka s’arrĂȘta, lui sourit, et fit demi tour en inclinant la tĂȘte . Eliott poussa la porte, et la referma derriĂšre lui . Il poussa Alice contre le mur, et posa ses mains sur le mur de maniĂšre a ĂȘtre au dessus d’elle .-*****, Alice, tu pourrais pas la fermer ?! Si t’agis comme une bourge devant les autres, ils y croient, mais Sarah, elle n’est pas idiote, et elle va rĂ©pĂ©ter ça a qui veut l’entendre, alors sois mignonne, ferme la .-Je TE demande pardon ?! Depuis quand TU emploies ce genre de propos contre moi ?! Je te signale que si tu ne m’avais pas retenue, je serais loin ! Alors tu l’as un peu cherchĂ© hein !-Alice ! Calmes toi, abrutie ! T’es idiote ou quoi ?!Elle le fixa avec une lueur mauvaise du fond du regard .-RĂ©pĂšte ce que tu viens de dire !-Tu es une idiote, Alice .Il avait dit ça calmement, comme si le fait de faire du mal a Alice ne lui faisait rien . Elle bouillait sur place, et s’était pris une gifle intĂ©rieur trĂšs douloureuse .Elle leva la main, paume tendue, et se sentit happĂ©e en arriĂšre avant d’avoir rĂ©ussis a toucher Eliott . Elle l’avait manquĂ© de quelques centimĂštres a peine . Et la gifle avait faillit l’atteindre .-Alice, arrĂȘte !-Lache moi, Tom ! Laisse le se comporter en homme, si je veux lui en coller une, il est assez grand pour se dĂ©fendre !-Non Alice, c’est pas exactement ça 
 Eliott ?- J’imagines que si on lui dit pas, son pĂšre ne lui dira pas .Tom la retenait fermement, en l’aggripant au niveau des coudes seulement . Elle se dĂ©battit violement pour qu’il la lache, mais ne parviens qu’a se fatiguer . -ArrĂȘte de t’énerver, Alice, tu vas t’épuiser .-Lache moi !Ses yeux se remplissaient de larmes, de rage, parce qu’elle ne parvenait pas a se libĂ©rer, et aussi a cause de ce qu’Eliott lui avait dit . Il fallait avouer que ce genre de choses fait mal . LĂ , seulement, il la lacha, elle lutta pour ne pas s’écraser par terre, et prĂ©server un minimum d’équilibre .-Alice . Calme toi, tu veux ?-Aurais tu l’obligeances de fermer ta gueule ?!Elle avait peut ĂȘtre criĂ© un peu fort, certes, mais au moins, si elle ne pouvait pas y mettre les mains, elle y mettais du cƓur . Elle leur tourna le dos, le temps de faire sĂ©cher ses yeux, et se retourna, les yeux emplis de haine .-Raven, dis a ton sous fifre, que la prochaine fois qu’il me touche, je le fracasse . Ensuite, je rĂ©pĂšte, tu ne me parles pas comme ça . Si t’as besoin de te sentir supĂ©rieur, dis le, je vouvoie des cons, ça me changerais pas d’en vouvoyer un de plus, mais n’imagines pas que je sois de l’une des familles de sous catĂ©gorie qui se courbe devant ta belle gueule . Ce n’est pas le cas, ce ne le sera jamais, c’est bien clair ?Eliott la regardait, calmement, passivement, tandis qu’elle calmait ses nerfs a lui hurler dessus .-C’est bon, Mademoiselle je suis au dessus de tout le monde, t’es calmĂ©e ?Il Ă©tait un peu blasĂ© par son comportement de gamine, parce qu’il savait, qu’elle avait du mal a supporter tout ça, et qu’il n’était pas fonciĂšrement gentil, mais il fallait la faire taire, et il fallait qu’il puisse lui montrer ce qu’il avait a lui montrer . Il savait aussi que son commentaire Ă©tait plus que mĂ©chant, et qu’il avait dĂ» la blesser, mais il n’avait pas le choix . Il s’approcha de la jeune fille, qui Ă©tait, ça se voyait, a deux doigts de fondre en larme, et l’enlaça maladroitement .-Vas y, ne te retiens pas, tu peux pleurer devant moi, tu l’as dĂ©jĂ  fais, ça ne me dĂ©ranges pas 
-Tais 
 Toi .Elle resta debout, bras balants, et fondit en larmes, le visage appuyĂ© contre son Ă©paule .Il avait raison, elle avait dĂ©jĂ  pleurĂ© devant lui . Elle s’en rappelait assez distinctement, et lui encore plus . Parce qu’il Ă©tait lĂ , le jour ou tout est partit en cacahuĂštes 
Elle lançait le plus possible Chess a l’assaut de Nyx . Mais la K. des Ravens Ă©tait encore plus puissante que sa krĂ©ature a elle . Elle avait finit par triompher . -Vas y, Nyx, achĂšve le . La K, une louve croisĂ©e avec un guepard, un lion, et un poulet, avait une fourrure blanche qui reflĂ©tait chaque parcĂšle de lumiĂšre, lorsqu’il faisait nuit . Chess Ă©tait un cheval, un Ă©talons blanc, qui avait des yeux taillĂ©s dans du saphir . Un cavalier d’échiquier 
 Et Nyx, en abbatant sa patte, l’avait presque broyĂ© .-Chess !Lorsque sa K avait Ă©tĂ© frappĂ©e, la douleur pshysique avait Ă©tĂ© si grande qu’elle Ă©tait tombĂ© a la renverse, et c’était Eliott qui l’avait rattrapĂ©, avant que sa tĂȘte n’heurte le sol . DĂ©jĂ  que son pĂšre et lui ne se parlaient plus, mais le Seigneur de Raven aurait aimĂ© voir la petite Grimm mourir, car sans hĂ©ritier, le pouvoir leur revenait de droit . Son fils, n’étant pas aussi tordus, avait foncĂ©, et avait atterit juste . Comme son pĂšre avait refusĂ© de lui parler aprĂšs ça, il s’était lui-mĂȘme occupĂ© d’Alice, le temps qu’elle se rĂ©veille . Il l’avait allongĂ©e sur l’un des nombreux canapĂ©s que contenait la bibliothĂšque, et avait attendus son rĂ©veil .Quand elle avait ouvert les yeux, sa tĂȘte Ă©tait posĂ©e contre les genoux d’Eliott . Elle savait qu’il la haĂŻssait, il savait que c’était rĂ©ciproque . Elle avait relevĂ© la tĂȘte tellement vite qu’elle Ă©tait tombĂ©e en arriĂšre par la suite, avant de se relever rapidement, de nouveau, et de courir Ă  la terrasse . DĂšs qu’elle s’était levĂ©e, il la suivit, pour l’empecher de regarder par le balcon, mais c’était trop tard, elle Ă©tait dĂ©jĂ  penchĂ©e en avant . Il la tira en arriĂšre, pendant qu’elle se laissait tomber sur le sol .-Grimm ! Qu’est-ce qui te prends de courir, alors que tu viens de tomber dans les pommes, t’es idiote ou quoi ?! -Raven ! Je te signale que vu mon rang comparĂ© au tiens, tu me dois le respect, alors lache moi, et laisse moi voir ce que je veux voir .-Comme vous voudrez, majestĂ© 
Il Ă©tait vexĂ©, et commençait a se dire qu’il aurait mieux fait de la laisser s’exploser le crane . Il n’aimait pas qu’on le rabaisse, alors qu’une Grimm lui rappel qui il Ă©tait 
 il la lacha, et la laissa regarder le sol .-Chess !Un cris fusa, elle hurla . Il la retint, la tira en arriĂšre, et l’envoya valser dans la bibliothĂšque avant de fermer la porte fenĂȘtre et les volets .-Stop, Grimm ! Ça va aller !Elle le regarda, horrifiĂ©e, et se figea . Il s’approcha, et lui pris maladroitement la main . Ç’allait ĂȘtre compliquĂ©, de rassurer une fille qu’il n’aimait pas du tout .-Ils ont ! Vous avez ! Ils 
Elle fondit en larme, alors il la poussa doucement, pour la faire s’asseoir sur le canapĂ©, pendant qu’elle se mettait Ă  pleurer. Maladroitement, il la prit dans ses bras, et la cajola jusqu’à ce qu’elle s’endorme.~-C’est dĂ©gueulasse, ce que tu me sais, Grimm, je sais. DĂ©solĂ©. Vraiment, je ne le pensais ?-Grimm, je te le jure. Je peux t’expliquer pourquoi quand tu es en colĂšre tu ne dois surtout pas lever la mais sur moi, ou sur Tom ?- Je ne sais pas trop, j’ai peut de me faire arnaquer 
-Tu me fais confiance ?-J’imagine 
Il lui prit la main, et l’emmena plus loin, prĂšs des barbecues, qui, laissĂ©s a l’abandon avaient servis de table de chimie a ne te mets pas a hurler. D’accord ?Elle hocha la tĂȘte; peu assurĂ©e, et le regarda. Il tendit la main, comme s’il voulait qu’elle la prenne, et, paume tendue, fit courir le long de son bras, de gigantesques prends ma te fous de ma gueule ?!-Bien sur que non !Elle lui lança un regard aigus, et lui rĂ©pondit par un sourire moqueur, elle savait ce qu’il pensait, elle savait qu’il se disait qu’elle avait peur, elle posa sa main sur la sienne. Les flammes lĂ©chĂšrent d’abord ses avant bras, avant de se rĂ©tracter, elle eut beau ne pas bouger, celles-ci refusaient de revenir sur ?!-Bah, c’est facile. Eux choses, la premiĂšre, je les maitrise, mon but n’étant pas de te carboniser 
 La seconde, encore mieux, mĂȘme si je voulais, je n’y parviendrais pas, regardes 
Il prit sa main, et devant un verre d’eau, la Vas-y, essaie de me la balancer dessus, le regarda, amusĂ©e, et secoua la main comme une gamine, avant de fermer les yeux, Ă  cause du soleil. Quand elle les rouvrit, Eliott Ă©tait sec, mais Tom soufflait sur ses mĂšches trempĂ©es avec un air surpris, comme si ce n’était pas Ă  lui de se prendre l’ verre Ă©tait tu 
.-Tu cales maintenant, pourquoi c’était vous les numĂ©ros un, et pourquoi si tu me claques, je suis dans la ***** ?Elle hocha faiblement la tĂȘte, et le regarda avec un air amusĂ©, contente de la dĂ©couverte du jour. Un peu secouĂ©, peut ĂȘtre 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux, et se retourna. Une mine embĂȘtĂ©e se dessina sur son visage. Alice, elle fixait ses mains avec ?-Ouais ?Elle releva la tĂȘte elle aussi, et pinça les lĂšvres, avant de se redresser, de prendre un air embĂȘtĂ©, et timide, et de fixer les trois enfants des trois autres grandes familles. Dans le tas, il y avait Catherine, le vent, une jolie pĂ©tasse comme on en fait pas Amaryllis, la terre. RĂ©servĂ©e, peu sure d’elle, la jeune fille de la derniĂšre l’enfant de la quatriĂšme famille, qui ne servait strictement Ă  rien, et qui Ă©tait lĂ , seulement pour l’ bien, nous constatons avec joie que miss Grimm a fait la rĂ©cente dĂ©couverte de ses dons, a dĂ©faut d’avoir su protĂ©ger Chess, et qu’elle est suffisamment proche de vous, pour vous tutoyer 
 Et qu’elle a un langage rĂ©ellement ? Ce n’est pas Ă  moi qu’elle s’adressait, mais a exactement 
 Nous vous croyons tous les trois, n’est-ce pas Amaryllis ? N’est-ce pas, l’autre ?-Fous lui la paix, Catherine, elle est plus haut placĂ© que toi, tu lui dois le a perdu sa K ! Elle est minable !Alice s’avança Ă  grands pas furieux, et se pointa devant la blondasse qui la toisait avec je ne m’abaisserais au rang minable, car je te serais toujours supĂ©rieur, vois-tu ? Tes parents doivent avoir honte de toi, ta famille ne dois rĂȘver que de te renier, alors ne me fais pas passer pour une faible, parce que ce que je vois quand je te regarde, ou quand je regarde ceux qui te fixent, c’est de la pitiĂ©. Catherine, la fille qui ne savait pas se dĂ©merder sans son groupes de serviteurs 
 La fille incapable de sourire, ou juste, la pĂ©tasse qui se croyait supĂ©rieur aux autres. Tu n’es qu’un troisiĂšme rang, tu ne connaĂźtras jamais l’honneur d’ĂȘtre respectĂ©e, et crois moi, ça vaut mieux les regardait avec un air mi amusĂ© mi embĂȘtĂ©, il tira Alice par le bras, elle ça Alice, elle va aller se plaindre a mon pĂšre 
-Rappelles moi c’est quand qu’on se tire ..?-Ce soir, tu racontes ta vie Ă  des gens, pour la cĂ©rĂ©monie. Demain on dĂ©jeune, et on se donc tu peux me la montrer, ma chambre ?- Allez-y faites comme si on n’était pas lĂ  !-T’inquiĂšte pas, c’est ce qu’on fait 
 Tu montes, Alice ?Il lui ouvrit la porte et la fit entrer Ă  l’intĂ©rieur. Elle alla se poser sur le lit, et lui, tira une chaise d’un bureau pour s’asseoir en face d’ j’ai gĂ©rĂ© ? Je me dĂ©***** bien ?-Oui, bon, Catherine est une 
 Bref, et l’idĂ©e de nous voir rĂ©concilier les deux familles la met en rage, parce que si nous nous entredĂ©truisons, elle aura la premiĂšre place 
 Tu comprends ?-Bah ouais, je comprends aussi que je ne l’aime pas du tout, et que cohabiter va ĂȘtre chaud 
-En revanche, tu devrais porter plus d’attention a ton langage, en privĂ© comme en publique, si tu y fais attention, tu auras moins de difficultĂ©s 
-D’accord, je vais essayer de remettre ça d’ bon je te laisse, tu devrais dormir un peu 
 Je viendrais te chercher ce soir 
Il ferma la porte, alors elle se glissa sous les couvertures. La lumiĂšre du jour ne la dĂ©rangea pas, elle ronfla comme un sonneur jusqu’à environs dix neuf heures. Eliott rentra car elle ne entendait pas frapper a la porte, et dĂ» la secouer pour la ?-Mmh ?-Debout, t’as qu’une demie heure pour te prĂ©parer 
-Mmh 
Comme elle ne l’écoutait pas, il la fit s’asseoir et la regarda un moment avant de s’emparer des pinces posĂ©es sur la table de chevet. Il remit sa coiffure en ordre, la remontant un peu, pour ne pas qu’elle a l’air de ne pas s’ĂȘtre peignĂ©e, et la tira en avant pour qu’elle se je sais que t’es crevĂ©e, mais fais un effort, va te changer, je t’attends se dirigea dans la salle de bain pour enfiler une autre robe. Plus cintrĂ©e, et qui faisait plus adulte. Blanche, avec des manches amples, qui couvraient ses mains lorsque ses bras restaient ballants, et le jupon, assez fournis, s’arrĂȘtait dessous ses genoux. Elle remit en ordre son maigre maquillage, et sortit de la salle de On y va ?Elle hocha la tĂȘte, avec un air maussade, avant de faire demi tour, et de foncer dans la salle de bain. Faiblarde, elle sortit de la valise une paire de boucle d’oreilles en cristal et en argent, et les attacha Ă  ses oreilles. Pas qu’elle veuille ĂȘtre plus jolie que la moyenne ou autre, mais ces boucles appartenaient a sa mĂšre, alors elle avait tout intĂ©rĂȘt Ă  les porter. Elle se baissa, et fit sortir une parure de cristal, toujours, qu’elle attacha Ă  son cou. VoilĂ , lĂ , c’était bon ?-Ouais, deux secondes 
 Je mets des godasses pas trop pourries 
 Tu peux vĂ©rifier qu’elles ne sont pas sous le meuble Ă  cotĂ© du lit ?- Nan, elles n’y sont pas 
-Ok 
Elle sortit, pieds nus, et le regarda avec un air oubliĂ© mes godasses dans le train, et les bleus ne vont pas avec le reste 
 -Pas grave, on n’a pas le temps de trainer, ai l’air assurĂ©, on pensera que c’est descendirent et traversĂšrent le chemin qui les menaient a l’église en courant, malgrĂ© les pieds nus d’Alice, et poussĂšrent les portes doucement, en cherchant leur elle fit son entrĂ©e, elle Ă©tait radieuse, et toute trace de sommeil avait Ă©tĂ© effacĂ©e. Elle n’était pas extraordinairement belle ou quoi que ce soit, mais elle resplendissait la fiertĂ©, mĂȘme si tout Ă©tait jouĂ©. On se tut, et les invitĂ©s s’assirent, la laissant traverser la piĂšce, pour se poster devant le seigneur de Raven. Elle inclina la tĂȘte avec humilitĂ©, et la releva quand il le lui la cĂ©rĂ©monie se dĂ©roula avec lĂ©gĂšretĂ©. Le pĂšre d’Eliott Ă©tait trĂšs pro, il ne dit rien de mauvais sur Alice, lui fit rĂ©citer le psaume, en quelques temps, ce fut rĂ©glĂ©, et elle put aller se coucher dĂšs que tout fut finit, et qu’elle eut saluĂ© les invitĂ©s. Elle rayonnait toujours, mais avait peut ĂȘtre un peu trop but, car chaque fois qu’elle venait parler vers quelqu’un, elle acceptait le verre de vin qu’on lui tendait. Eliott la rattrapa, saoule, qui cherchais la sortie, prĂšs des ! P
 Mais qu’est-ce que tu as bus ? Pas du jus, m’est avis. Bon, cas de force majeure, je vais dire qu’on p pourquoi ? C’est amusant, Mmh de rester lĂ , les gens sont sympĂą 
-Ouais, mais t’es ivre, alors la conduisit dehors, malgrĂ© ses protestations, et la fit rentrer dans le manoir aussi vite qu’il put. Elle grelottait, mais n’avait pas les idĂ©es claires 
 Il la fit s’asseoir, enleva les boucles d’oreilles, le collier, et les pinces, et sortit en Ă©teignant la lumiĂšre. Elle dormait dĂ©jĂ , assise, sur le lit 
Le lendemain, il ouvrit la porte elle n’avait pas bougĂ©. Quand il la secoua, elle gĂ©mit, et plaqua ses deux mains contre ses pas si fort, idiot ! Je souffre lĂ , ça ne se voit pas ?!-T’as la gueule de bois, t’as trop bu, pour une premiĂšre fois 
Elle renifla dĂ©daigneusement, et accepta le verre et le cachet qu’il lui tu t’apprĂȘtes, on va partir dĂ©jeuner, puis on part en randonnĂ©e, comme je t’avais hocha la tĂȘte, se changea, enfila un pantalon et un tee shirt, et descendit dĂ©jeuner. Assise, elle ne toucha pas Ă  son repas, prĂ©textant le mal de tĂȘte, qui s’était Ă©vaporĂ© un quart d’heure aprĂšs la prise du cachet. Elle en profitait surtout pour dĂ©mĂȘler ses Ă©motions, et se demander si ce qu’elle ressentait quand il lui parlait, c’était vraiment ce qu’elle pensait. Puis ils partirent. Cinq minutes aprĂšs s’ĂȘtre engagĂ© sur le sentier, il se demanda si c’était une bonne idĂ©e .Il passa une main dans ses cheveux, et tourna la tĂȘte pour regarder derriĂšre lui. La petite brune le suivait sans difficultĂ©, et lui lançait de temps Ă  autre des Ɠillades pour le moins intĂ©ressantes ... Il finit par soupirer, et s'arrĂȘta. Il fallait que ça cesse, tout, les faux espoirs qu'elle entretenait, tout ... Il se mordit la lĂšvre, sachant qu'il lui ferait plus de mal s'il n'agissait pas ainsi ... Tout, dans les vibrations d'Alice montrait qu'elle ressentait plus que de l'amitiĂ©, et lui, qu'avait-il a dire ? Il s'Ă©tait fait endoctriner de la mĂȘme maniĂšre qu'elle ... Il se haĂŻssait presque, mais il n'avait pas intĂ©rĂȘt a rater ce qu'il allait faire, parce qu'aprĂšs, elle le dĂ©testerait tellement qu'elle ne voudrais plus le voir, alors au moins lui laisser un bon souvenir ...Il la pris par les poignet, le regard rĂ©solus, et sourit de son air interrogatif . -DĂ©solĂ© ... Et il l'attira contre lui. Le tout ne dura pas plus de trente secondes, ce fut un baiser chaste, sans plus, mais Alice se sentait subitement mieux, parce qu'il avait compris. Il fourra son visage dans ses cheveux lĂąchĂ©s, qu'elle avait laissĂ© retomber en cagues sur ses Ă©paules, elle arrĂȘta de respirer .Quand il se dĂ©cida Ă  la fixer, elle perdit son beau sourire, face a son air rĂ©signĂ©, et las. -Qu'est ce qu'il y a, Eliott ? Je suis nulle hein, c'est ça ? Ou alors tu as compris que...- Non, Alice, ce n'est pas ça ...Un sourire triste lui Ă©chappa. -Si seulement ... Alice, ce n'est pas une histoire de toi, ou mĂȘme de moi, ça dĂ©passe ça ... Je voulais juste que tu le saches ... Et que tu comprennes que malgrĂ© tout, c'est recula, les yeux humides, et le regarda avec un air triste. Il dĂ©posa un baiser sur son front, et partit, la laissant seule, avec son chagrin, et ses pensĂ©es obscures, avec sa toute premiĂšre peine de coeur ... Et un couteau, soigneusement rangĂ© dans la poche ... Elle le sortit, fit jouer la lame contre son pouce et ressentit une lĂ©gĂšre douleur quand le sang perla. Elle ressentit aussi une toute autre choses, la sensation d'ĂȘtre vivante, et elle se dit que si elle voulait le ressentir de nouveau, elle devait retenter l'expĂ©rience, Ă  plus grande Ă©chelle. Elle se sentait lasse, trĂšs lasse ... Si retenter signait son arrĂȘt de mort, tant pis ... A quoi bon vivre quand on est rejette ?Elle regarda le manche d'argent incrustĂ© de Saphir, et pris sa dĂ©cision. Et maintenant, la meilleure chose Ă  faire Ă©tait d'attendre que le sang s'Ă©goutte, puis se disperse, la laissant inerte, mais avec ce sentiment de vie ... puis la mort. WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Dim 6 Jan - 2021 DĂ©solĂ© du Dp, mais l'histoire c'est mal affichĂ©-Alice ? Tu m’entends ? Alice ? Tu m’écoutes ? Qu’est-ce qu’il y a dans ce courrier, Alice ? Alice ?Mathieu secouait son amie autant qu’il pouvait, il voyait bien ses yeux se remplir de larmes, au fur et Ă  mesure qu’elle parcourait la lettre cachetĂ©e. Il lui arrivait de se comporter en enfant, et de bouder, ou de fondre en larme pour un rien, c’était ce qui la rendait attachante, c’était pourquoi il l’aimait, sans doute 
 Mais lĂ , elle n’y Ă©tait pour rien, et si elle se comportait ainsi, ce n’était pas a cause de son caractĂšre, elle Ă©tait triste, vraiment. Il se baissa pour ĂȘtre Ă  sa taille, vu qu’elle Ă©tait assise sur un banc, et l’étudia quelques secondes, avant de rĂ©agir. Il prit son amie dans ses bras, et la serra avec force, pour la rĂ©conforter. Des larmes vinrent foncer l’uniforme blanc du jeune garçon, il ne rĂ©agit pas. Il la relĂącha, lui Ă©bouriffa les cheveux et lui colla un baiser sur la vais aller chercher quelqu’un qui saura quoi faire 
 marmonna-t-il pour lui-mĂȘme. Il alla dans les dortoirs des filles, mais ne trouva aucune amie d’Alice, alors il descendit Ă  la salle commune. Elles y Ă©taient presque toutes, ces filles qu’il n’aimait pas du tout. Son amie Ă©tait 
 Pure, calme, pas artificielle, pas superficielle, et il se demandait comment elle pouvait apprĂ©cier des pĂ©tasses pareilles 
 Il tira une chaise, elles firent silence et l’observĂšrent toutes avec curiositĂ©. -Vous avez vu, sa lettre ?-La lettre de qui, Pierrot ?-Celle de votre amie, celle d’ ? Tu connais une Alice, Carla ?-Non, et toi, Pierrot, tu connais une Alice ?Il dĂ©testait qu’elles l’appellent Pierrot, ce surnom mesquin et ridicule, il ne savait pas oĂč elles l’avaient trouvĂ©, il savait juste que ça signifiait clown, en japonais, et vu qu’il n’avait pas l’air d’un clown 
 Il ne leur demandait pas, mais elles n’avaient pas dĂ» chercher bien loin. En plus d’ĂȘtre superficielles, ces filles Ă©taient toutes idiotes 
 -Votre amie, pour information 
-Alice n’est plus rien 
 Elle ne sert a rien, Alice est une arqua un sourcil, rĂ©frĂ©nant l’envie de la baffer, et sortit de la salle sous les moqueries Ă  peine dĂ©guisĂ©es des filles. Elles ne considĂ©raient plus Alice comme une amie ? Parfait, mais alors, vers qui se tourner ? Il Ă©tait vrai qu’elles Ă©taient peu gentilles, et qu’il Ă©tait remarquables qu’elles lui aient souris pendant six mois, mais leur comportement a toutes le rĂ©vulsait. C’était peut ĂȘtre pour ça que la jeune fille pleurait 
 Si elles ne peuvent rien pour moi, je n’ai plus qu’a allĂ© voir Eliott 
 »Mathieu n’était pas trĂšs emballĂ© par l’idĂ©e de se tourner vers le gosse de riche qui tourmentait son amie, avant de commencer Ă  lui donner des cours de maths, mais il n’y avait que lui qui pouvait lui venir en aide puisqu’Alice lui avait dit des choses que Mathieu ne savait pas 
Si Eliott enquiquinait Alice, c’était pour une des raisons les plus idiotes. Stupide au la vie d’Alice, il y avait beaucoup de choses bizarres 
 A commencer par un rang stupide de princesse » de second rang. Eliott, lui faisait partie du second rang, mais sa famille a dĂ©trĂŽnĂ© celle d’Alice pour des raisons que Mathieu ne connaissait pas. D’ailleurs, si Eliott n’adressait jamais la parole a Alice en l’appelant par son prĂ©nom, c’était a cause de cette mĂ©sentente. Apparemment, il n’avait rien contre elle 
Il passa par le parc, il savait qu’il y trouverait la personne qu’il cherchait. Ne s’apprĂ©ciant pas tous deux, ils avaient pris l’habitude de ne presque jamais s’appeler par leurs prĂ©noms respectifs. Mathieu appelait Eliott par son nom, Raven, et Eliott n’appelait pas Mathieu. Tout le monde Ă©tait tu peux venir s’il te plait ?-Toi, tu compte un jour m’adresser la parole autrement qu’en me manquant de respect ?-Ton pseudo-rang n’est rien pour moi, Raven, alors pour une fois, sois pas l’éternel connard que tu es, et suis -******, Eliott, tu veux pas arrĂȘter d’ĂȘtre conversation, juste cinq minutes dans ta vie ?-C’est pas comme ça que tu le persuaderas de te suivre, Mathieu, il est butĂ©, dis lui pourquoi t’es lĂ  
-Il est lĂ  parce que Grimm pĂšte encore un cĂąble, qu’il ne sait pas comment la calmer, et que ça concerne ? Il ..?-Non, justement. Ecoute, Pierrot, tu diras Ă  ta copine que je n’ai pas que ça Ă  foutre. Qu’elle se dĂ©***** un se pencha en avant, et chuchota pour que seul Mathieu l’ la rejoins dans sa chambre, dĂšs que je me dĂ©barrasse de Tom. Le blondinet tourna les talons et se dirigea vers le banc ou il avait laissĂ© Alice seule. Elle Ă©tait recroquevillĂ©e contre elle-mĂȘme, le menton sur les genoux, les yeux clos, et les joues rouges et trempĂ©es. Il lui prit la main, et l’aida Ă  se relever. Elle se laissa faire, et se traina pitoyablement derriĂšre lui, sans chercher Ă  lever les pieds. Il la fit rentrer dans sa chambre, et la fit asseoir sur son lit. Elle s’adossa au mur, ferma les yeux, et attendit. Il lui essuya consciencieusement les joues, enlevant le noir qui les colorait, et il rĂ©organisa un peu ses cheveux, qui Ă©taient tous emmĂȘlĂ©s, de nouveau. Elle attrapa le peigne sans convictions, et se dĂ©noua les cheveux. Lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir, il l’embrassa sur le front, et sortit doucement. Comme Mathieu l’avait fait, Eliott se posa Ă  genoux devant elle, et lui prit les qu’est-ce qui se passe ? Elle le regarda vaguement avant de lui tendre la Alice Grimm En raison de votre Ăąge approchant les quinze ans, et du fait que vous soyez seule hĂ©ritiĂšre de la seconde famille la plus puissante du pays, vous ĂȘtes invitĂ©e Ă  venir passer votre cĂ©rĂ©monie de maturation, qui fera de vous une hĂ©ritiĂšre digne, loyale et puissante, de la noble famille Grimm. Cette cĂ©rĂ©monie comportant elle-mĂȘme la totalitĂ© des cinq autres familles, vous n’ĂȘtes plus conviĂ©e Ă  cette fĂȘte, vous devez y venir. Vous prendrez le train, avec le fils du Seigneur Raven pour arriver Ă  leur chĂąteau, car, Ă©tant donnĂ© la discorde avec votre pĂšre, il a refusĂ© de vous faire rĂ©citer le psaume. Ce sera donc le duc de la premiĂšre famille qui vous fera l’honneur d’assister Ă  votre cĂ©rĂ©monie. Mon pĂšre ? DĂ©solĂ© pour te rends compte ? Je vais ĂȘtre humiliĂ©e en publique ! C’est ma faute si Chess est mort, c’est ton pĂšre qui l’a tuĂ©, et c’est lui qui prĂ©sidera la soirĂ©e ! Je ne supporterais pas de remarques dĂ©sobligeantes, je le sens vraiment mal, Eliott ! Sans rĂ©flĂ©chir, elle se jeta dans ses bras, et se remit Ă  pleurer. Il la calma tant qu’il put, murmurant des paroles rassurantes, telles que mĂȘme si ça doit pas beaucoup te rĂ©conforter, je serais lĂ  
 » oĂč au moins tu ne verras pas ton pĂšre 
 ». Elle avait les yeux gonflĂ©s, et ils la brĂ»laient. Elle comprends, pourquoi vous nous avez dĂ©trĂŽnĂ©s 
 Regarde le comportement de l’hĂ©ritiĂšre, a-t-elle la prestance d’une Grimm ? J’en doute, Alice est non, c’est normal que tu le vives mal, ça remonte a pas si longtemps, tu sais 
Il la cajola encore un petit moment, jusqu’à ce qu’elle a reprit du poil de la bĂȘte, et que son aplomb soit de moi au moins un sourire, je dois aller rejoindre Tom, il doit me chercher partout 
Elle lui dĂ©crocha un sourire, mĂȘme si ses yeux Ă©taient encore un peu rougis, et il sortit. AussitĂŽt qu’il la laissa seule, Mathieu dĂ©boula dans la piĂšce pour vĂ©rifier l’état de son sourit, en le voyant est plus douĂ© que moi, au final 
-Mais nan, c’est juste que je lui ai refilĂ© la lettre, et qu’il m’a dit des trucs rassurants, au sujet de tu sais quoi 
-Je comprends rien a ton histoire, tu fais la gueule a ta famille, mais pourquoi ?-J’ai une idĂ©e, allons manger, je te raconte tout lĂ  bas, je meurs de sourit, reconnaissant bien son amie, et ils se dirigĂšrent vers le rĂ©fectoire en papotant de tout et de y a plus aucune table Ă  deux, il va falloir qu’on s’installe sur une table Ă  grave, personne ne s’installera, depuis qu’elles m’ont jetĂ©s, je suis grave 
 Alors, tu m’explique ?-Ouais, mais d’abord, tu saisis le contexte ? C’était il y a huit mois, la famille Grimm Ă©tait encore la plus puissante. On possĂ©dait des terres, un bon patrimoine, du savoir, de la puissance 
 Et mon chien. Chess. Ce chien, mon pĂšre et moi y tenions beaucoup, et un jour, il y a eu une sorte d’accident. Chess est passĂ© 
-Ah mais ça m’a tout l’air d’une conversation passionnante, qui pourrait m’en apprendre 
 -Ah je t’en pris, Raven, ne te donne pas la peine de parler a des personnes aussi infĂ©rieur qu’Alice et de te rabaisser fixait son repas _ qu’elle avait massacrĂ© Ă  l’aide de sa petite cuillĂšre tandis qu’elle parlait _ avec un air horrifiĂ©. Elle n’aimait pas qu’on l’écoute parler, elle n’aimait pas qu’on la surprenne, et elle allait parler d’Eliott 
. -C’est trĂšs gentil de faire attention a moi, Mathieu. Ça le fait plaisir, de voir qu’on en est revenus a de meilleurs sourire malicieux jouait sur les lĂšvres d’Eliott, elle se borna Ă  tourner la tĂȘte pour le regarder avec un air on peut s’asseoir ? Le repas risquerait de refroidir 
- Vas-y 
Tom pris place Ă  cĂŽtĂ© d’elle, et Eliott a cĂŽtĂ© de Mathieu, qui marmonnait, en dĂ©coupant en fines lamelles de pauvres regarda discrĂštement son reflet dans le dos de sa cuillĂšre, et tenta d’apaiser le rougissement de ses joues. ContrĂŽlant assez bien son corps, par moment du moins, elle y parvint a peu prĂšs, de maniĂšre a ce qu’on pense qu’elle avait juste chaud. Elle Ă©tait juste terriblement ce que tu racontais au Pier
 A Mathieu, on t hocha la tĂȘte d’un air peu sur, puis gros, il y est passĂ© direct, et mon pĂšre m’en a voulus, parce qu’il faut comprendre que ce n’est que de ma faute. J’ai Ă©tĂ© idiote, et il a dĂ©cidĂ© que j’en faisais plus partie de la famille. Sauf que chez moi, je suis la seule hĂ©ritiĂšre. S’il n’y a pas d’hĂ©ritiers, il ne peut pas me renier 
 Alors il a dĂ©cidĂ© de m’envoyer ici 
-Grimm, si Chess est mort, c’est pas vraiment de ta faute, plutĂŽt de la notre. C’est nous qui l’avons provoquĂ©s, tout en sachant ce qu’on faisait, et ce qui se passerait. Ton pĂšre a tellement de rancune envers toi qu’il en vient Ă  presque se lier d’amitiĂ© avec ses ennemis mortels 
-Mouais, si tu le qui s’est rĂ©ellement passĂ©, c’est qu’on l’a provoquĂ©, et il est rentrĂ© dans notre !Alice plaqua ses mains sur ses oreilles, ferma les yeux et baissa la tĂȘte. Se rappeler de la mort de Chess ne l’aidait pas du tout, au contraire ! En plus, ils parlaient de choses que Mathieu devait comprendre de travers. Elle Ă©tait sure que si elle regardait son ami elle lirait de la pitiĂ© a son Ă©gard, et du dĂ©gout a l’égard d’Eliott. Puis, elle regarda ses mains, tremblantes, et fut saisie de rage. Tu es Alice. Alice Grimm, fille de la seconde famille. Tu te dois de te ressaisir, et de ne pas flancher face Ă  Eliott. Tu es forte, tu es puissante, et tu ne pleureras pas. »Elle releva la tĂȘte, et dĂ©fia Eliott du regard. Il parut presque flĂ©chir, sous l’intensitĂ© et la puissance de la colĂšre d’Alice. Il savait, qu’elle n’était pas dirigĂ©e contre lui, mais il ne pu s’empĂȘcher de se dire que si elle avait l’intention de lui faire du mal, elle y parviendrait sans mal 
 Il allait falloir la briefer un peu, une fois qu’elle serait capable d’avaler ce qu’il avait Ă  rougit, mais cette fois ci, ce n’était pas de la gĂȘne. Elle dĂ©testait qu’on lui donne des ordres, elle le regarda en fronçant les sourcils, et pinça les lĂšvres quand il se mit Ă  sourire moqueusement. Elle avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans l’idĂ©e qu’elle dĂ©cidait, et qu’elle donnait les ordres, alors le simple fait qu’on lui dise de manger l’ n’ai pas faim, Raven. -Je t’en pris Grimm, je ne suis pas stupide. roula des yeux, battit des paupiĂšres et se leva, pour dĂ©barrasser son plateau. Tom saisit son poignet, et la retint assise. Elle le fusilla du regard, mais lui avait le regard plongĂ© dans celui d’Eliott. Si ce n’était pas de lui que venait l’initiative, alors il fallait remonter Ă  la source 
 Si les yeux d’Alice Ă©taient Ă©quipĂ©s de fusils, l’aristo serait mort 
-Alice, je fais pas ça pour te faire chier, tu t’en doutes, alors sois gentille, mange. Il prit sa fourchette, se leva, se pencha au dessus de la table, et traça une ligne dans son assiette. Il rapatria la viande d’un cĂŽtĂ©, et les lĂ©gumes de l’autre, piocha une carotte, l’avala, et fixa la brune avec un air manges au moins les lĂ©gumes, s’il te le regarda, et commença Ă  manger, pour pouvoir rapidement dĂ©camper, les joues rouges, et les regards plantĂ©s dans celui d’Eliott, qui se rassit, amusĂ©. Elle reporta son attention sur l’assiette, et quand elle releva la tĂȘte, elle remarqua que Tom et son ami avaient Ă©changĂ©s de place. Elle piqua un fard, et se rabattit de nouveau sur son assiette. Tout ça sous l’Ɠil Ă©bahis de Mathieu qui n’avait jamais osĂ© dĂ©crĂ©ter quoi que ce soit, alors que lorsqu’Eliott le faisais, on lui obĂ©issait. Et ce n’était pas cette stupide histoire de rang, car tout autant que lui, Alice n’en avait fur et Ă  mesure qu’elle mangeait, il t’ajoutait discrĂštement des lĂ©gumes, et de la viande, dans le cĂŽtĂ© qu’elle devait manger. Elle Ă©tait si absorbĂ©e par ce qu’elle faisait, et le fait qu’elle fuie continuellement son regard, qu’elle ne vit mĂȘme pas qu’elle avait vidĂ© son assiette. - Mais 
Un ricanement fusa Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle tourna la tĂȘte et dĂ©couvrit que Tom, Mathieu et Eliott Ă©taient morts de rire, devant sa mine mis le temps, mais t’as mangĂ©, et t’as rien dis, en plus !-T’as tout foutus du mĂȘme cĂŽtĂ© !Elle lui envoya un coup de poing amical dans l’épaule, et adopta une moue boudeuse, ce qui n’eut que l’utilitĂ© de les faire rire encore normalement, vu qu’on est en vacance, on a le droit de trainer dans le jardin, et aux alentours de la forĂȘt. Ça vous intĂ©resse ?-Ouais !Alice regarda Mathieu avec Ă©tonnement, puis elle comprit ce qu’il ressentait. Avant qu’elle n’arrive, il Ă©tait exclu. Directement, elle avait Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e, par ce garçon solitaire, un peu parano, au dĂ©but, et qui souriait dĂšs qu’il le pouvait aux jolies filles. Quand elle avait reçut ses manuels, il l’avait aidĂ© a tout portĂ©, et lui avait proposĂ© de lui tenir compagnie, pour le premier repas. Tout sourire, il avait acceptĂ©, et avaient commencĂ©s Ă  discuter, en se rendant compte qu’ils avaient pleins de points communs. DĂ©jĂ , ils Ă©taient bruns. Ensuite, ils n’avaient aucuns amis. Pour finir, et ce n’était qu’un nombreux traits commun, ils avaient le sourire facile, et Ă©taient tout les deux trĂšs sociables. La paire idĂ©ale, quoi. Officiellement, il Ă©tait presque immĂ©diatement devenu son meilleur ami. Mais, lorsqu’elle avait eut des problĂšmes en maths, c’était vers Eliott qu’elle avait dĂ» se tourner, et il avait dĂ» se sentir rejetĂ©. Au moins, si on leur proposait a tous les deux, sans inclure Mathieu dans Alice, ça lui plaisait. Pour ça, qu’il s’était empressĂ© de rĂ©pondre hocha la tĂȘte, et suivit Tom et son ami jusqu’à la Je parie que t’es jamais venus ici, vises juste ! Et finalement, c’est pas mal comme endroit !Pendant que les garçons discutaient, et qu’Eliott allumait un feu, Alice alla s’adosser a un arbre. Elle attrapa au vol la couverture qu’on lui lançait, et s’emballa dedans. Trouvant l’idĂ©e intelligente, les trois garçons s’assirent Ă  cĂŽtĂ© d’elle, collĂ©s les quatre l’un contre l’autre, elle commençait Ă  avoir conversation qu’on ai pas de cartes 
Elle regarda son voisin de droite, celui qui l’avait forcĂ© Ă  manger ce qu’elle avait dans l’assiette, et fronça les ça ?-Vous savez jouer au poker ?- Si il pense Ă  ce que je pense qu’il pense, il finit dans le buisson, ok Mathieu ? penses Ă  quoi quand tu dis poker » ? Alice le regarda, la mine soupçonneuse, et quand il eut comprit lĂ  ou elle voulait en venir, il ! Je suis pas tordus a ce point ! Et puis, on aurait pas l’air conversation, si tu gagnais 
 -Je gagne jamais au poker 
 Je suis a des cartes ?- Va te 
-Alice, tu lui as tendu la perche, tu penses Ă  des trucs glauques, toi parfois 
-Eh ! Je te signale que c’est lui qu’a rĂ©pondu a la pseudo-perche. En plus, moi j’ai dit que s’il y pensait, je l’envoyais dans le buisson, j’ai pas dis que ça m’intĂ©ressait ! -C’est vrai ? C’est dommage ça 
-J’ai pas besoin de jouer au poker pour me foutre a poil 
Les trois garçons la fixĂšrent avec un air choquĂ©, comme si c’était trĂšs inattendus de sa part, profitant de l’idĂ©e qu’elle ai pour une fois le dessus, elle prit un air aguicheur, et se dĂ©barrassa rapidement de la couverture pour s’installer a califourchon sur son ami, qui avait perdu son sourire, contre un air visiblement surpris. Plus surpris, tu meurs, bah, Eliott, t’étais pas partant pour un strip-poker ?Il la fixa avec un air perdu, tandis qu’elle se rapprochait dangereusement. Les deux autres garçons Ă©taient muets de stupeur, face au renversement de situation. ******, je croyais pas Alice comme ça ! » Pensa Mathieu, et il avait raison. Elle Ă©tait peut ĂȘtre morte de rire intĂ©rieurement, mais si elle n’avait pas Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e en leurs prĂ©sence, puis relĂąchĂ©e, et avec ça, ce sentiment d’adrĂ©naline, jamais elle n’aurait eu l’idĂ©e de ce petit jeu elle se demandait pourquoi il ne la repoussait pas. Ils Ă©taient censĂ©s se dĂ©tester, alors qu’elle Ă©tait a deux doigts de lui rouler un patin, lui la regardait juste comme si elle Ă©tait devenue folle. -Wh, Raven, tu verrais ta tĂȘte !Puis elle Ă©clata de rire, et se remit Ă  sa place, en pleurant presque. Mathieu soupirait presque de soulagement, retrouvant son amie, et bientĂŽt, Tom la rejoint. Eliott avait toujours l’air profondĂ©ment choquĂ©, qui finit mĂȘme par le dĂ©rider t’imaginerais plus coincĂ©e, tentant, vous auriez vu vos tronches !Ils souriaient tous les trois, mais quelque choses gĂȘnait Eliott, ça se voyait 
 Il l’attira contre lui, passa un bras autour de ses Ă©paules, et fit fi de ses demandes pour tu m’écrases 
 J’étouffe, je respire plus. Raven, s’tue plait, je meurs lĂ  
 Houhou ? Aille, tu m’écrases 
 ******, t’as d’la force ! MaĂŻeur, lĂąche-moi ! Fais gaffe hein, l’idĂ©e du buisson tiens toujours !-Moi aussi je t’aime les regards amusĂ©s des deux autres garçons, qui se mirent Ă  discuter d’autres choses, Eliott enfonça son index dans les cĂŽtes d’Alice qui se mit Ă  gigoter pour se dĂ©barrasser de son emprise, sans succĂšs, car il Ă©tait plus fort qu’elle. Pleurant presque de rire, elle le supplia d’arrĂȘter, ses mots avalĂ©s par sa toux, il la je suis dĂ©solĂ©e de m’ĂȘtre foutu de ta gueule, t’as dĂ» te poser des questions 
-Un peu ouais 
 M’enfin, ce n’est pas dĂ©plaisant d’avoir une jolie fille assise Ă  califourchon sur soi 
-Ah bon, y a une autre fille ici ? Un sourire moqueur se dessina sur les lĂšvres d’Eliott, Alice n’en revenait pas. Elle rĂ©ussissait Ă  le faire sourire ! Il avait de la fiĂšvre ? Il la retint de nouveau prisonniĂšre, et chuchota Ă  son oreille-Retires ce que tu viens de dire, ou je te lĂąche pas 
-D’accord, j’admets que je suis bien trop modeste, en vrai j’suis canon. Ça te va ?Il la lĂącha, et pinça les lĂšvres pour ne pas sourire, face Ă  la mimique boudeuse de la jeune bout d’un moment, a force de chahuts, et de rires, elle finit par bailler, mais refusa de partir . Elle ne savait pas quand ils seraient aussi souriants, tous les quatre, alors elle voulait profiter du moment au maximum .Elle finit d’ailleurs par s’endormir, et ne se rĂ©veilla que le lendemain matin, dans son lit . Elle regarda autour d’elle, avec un air profondĂ©ment dĂ©boussolĂ©, avant de se rappeler ou elle Ă©tait . Elle entendait trĂšs distinctement trois respirations a ses pieds, et regarda prĂšs du lit . La tĂȘte posĂ©e sur les mains, Eliott dormait, assis par terre, en appuis sur la couverture . Au sol, Mathieu et Tom, qui ronflaient eux aussi . Elle se retint de rire, et profita de l’instant pour les regarder de plus prĂšs .Elle n’avait jamais vraiment l’occasion de fixer Eliott, et en profita . Elle devait avouer que des trois, il Ă©tait le plus mignon . Et elle savait que Mathieu Ă©tait mignon 
 d’ailleurs, Tom n’était pas mal du tout non plus, mĂȘme si diffĂ©rent .Le premier, son ami depuis le dĂ©but, avait des yeux verts, mais vu qu’il avait les paupiĂšres fermĂ©es, elle ne pouvait que se les rappeler . Des cheveux bruns, mi-longs, et des traits enfantins . Le second, Tom, Ă©tait blond, mais elle ne se rappelait pas de la couleur de ses yeux . Pourtant elle se rappelait clairement l’avoir fusillĂ© du regard . Mais, bleu, verts ou bruns, elle ne se rappelait plus . Et Eliott avait des yeux bleus encore plus pĂ©tillants que les siens encore plus clair, ceux d’Alice Ă©taient lapis-lazuli, les siens Ă©taient bleu pur . Et impĂ©nĂ©trables, c’était agaçant 
 Quand a Eliott, il avait une allure Ă©trange, a vrai dire 
 Grand, un peu plus qu’elle, mais a quelques centimĂštres seulement, on voyait qu’il faisait pas mal de sport, et avait des traits 
 Un peu Ă©ffĂ©minĂ©s, mais qui restaient masculins . Des cheveux brun foncĂ©s, sans doute plus longs que les siens, raides . Elle les dĂ©visagea lentement, avant de sursauter, elle fixait le peu qu’elle voyait d’Eliott, sois une masse de cheveux bruns foncĂ©s s’éparpillant sur son front .-Profiter de notre sommeil pour nous reluquer, c’est dĂ©loyal, Grimm .***** ! Il Ă©tait rĂ©veillĂ© ! Elle rougis au maximum, mais fit mine de ne pas comprendre de quoi il parlait . Elle prit un air vexĂ©, et dĂ©clara d’une voix railleuse -Punaise, t’es vraiment narcissique en fait !-Ah ça va, je vais pas te tuer hein 
Elle enfouis son visage cramoisie sur le traversin, et dĂ©cida d’y rester .-Fais gaffe, tu vas t’étouffer 
-Si je meurs, je serais dĂ©barrassĂ©e des exercices de maths 
Un sourire malicieux joua sur les lĂšvres du garçon, pendant que Mathieu et Tom ouvraient les yeux .Un ricanement s’éleva, et c’était celui de deux personnes . Ah, Tom et Mathieu avaient entendus la conversation, et la gĂȘne d’Alice laissait croire qu’Eliott avait raison 
 L’ami de la jeune fille se dit que ce n’était pas forcĂ©ment plus mal que ça, et que de toute maniĂšre, elle ne risquait pas de trouver quelque choses d’intĂ©ressant a lui, ou a Tom . Vu le nombre de groupies qui bavaient sur Raven 
 Il rĂ©prima une bouffĂ©e de jalousie mal venue, et remit les pieds sur terre . *****, *****, ***** . » pensa-t-elle -Alice ne ferait jamais ça, voyons, tu devait avoir de la salade entre les dents 
-Mathieu, soit mignon, fait comme lui, avale de l’essence et suicide toi 
Nouveaux rires . Elle se sentait rĂ©ellement idiote, parce qu’ils dĂ©connaient sur son dos, et que mĂȘme si elle n’avait pas honte de son geste, aprĂšs tout, le peu de beaux garçons qu’il y avait dans cet Ă©tablissement, elle avait bien le droi de les regarder non ? -Au fait, qu’est-ce que vous foutez lĂ  ?! C’est MA chambre ! Et je me suis pas endormie lĂ , en plus 
-Bah, on s’est dit que tu aurais mal au dos, si tu dormais dans l’herbe, alors je t’ai portĂ© pour te ramener lĂ , et comme Mathieu s’inquiĂ©tait pour toi, Tom a proposer de rester lĂ , pour ĂȘtre sur que tu ne te rĂ©veillerai pas dans la nuit, ou que tu ne fasses pas de cauchemar 
 On a bien essayĂ© de te tenir la main, mais apparemment, ça t’intĂ©ressait pas .-En reprenant les mot de l’attardĂ©, il s’inquiĂ©tait, et il prĂ©fĂ©rait rester, et comme je tenait pas a te laisser seule avec le sociopathe, je suis restĂ© .-Pour connaitre la vĂ©ritĂ©, mieux vaut Ă©couter Mathieu .-Merci mec .-De rien .-Eh, c’est une rĂ©bellion ? Vous vous liguez contre moi, a trois ? Si c’est le cas, vous avez intĂ©rĂȘt a vite changer d’idĂ©e 
 Surtout toi, Raven, parce que je peux ĂȘtre une enquiquineuse finie 
-Je confirme 
 marmonna Mathieu, qui Ă©vita de justesse un oreiller lancĂ© afin de l’assommer . -Va te 
 Je te *****, Mathieu !Elle rougis, et dĂ©tourna encore une fois le regard . Eliott la saisis par le menton, et la fixa dans les yeux, sĂ©rieux, tout a coup .-Grimm, si tu dĂ©tournes le regard pour une simple moquerie, qu’est-ce que ce sera quand tu auras une famille a mener ? Faut affronter ses problĂšmes, c’est comme pour les maths .- Euh, ça a pas trop rapport lĂ  
-La ferme, tu affrontes le problĂšme, c’est tout .Il se releva, sans plus de cĂ©rĂ©monie, aprĂšs l’avoir lachĂ©e, elle bondit hors du lit, et lui saisit le poignet d’un air autoritaire .-Toi ! Va pas croire qu’a cause de cette idiotie, ou de ce stupide rang, tu sois autorisĂ© a me parler ainsi . Je reste une Grimm, et tu n’as aucunement le droit d’hausser le ton quand tu m’adresses la parole, je suis claire ?-Et bah voilĂ , tu vois quand tu veux, tu peux, suffit de raler un peu 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux avec un air moqueur, et elle fronça les sourcils .-Attends, tu te fous de moi lĂ , c’est ça ?-On ne peut plus 
Elle Ă©touffa un grognement, et le lacha . Mathieu et Tom s’étaient remis sur leurs deux jambes, elle adopta une mine boudeuse qui les fit sourire les trois, et s’assit sur son lit en croisant les bras .-Z’avez arrĂȘtĂ© de piailler autour du feu vers quelle heure a peu prĂšs ?-Chais pas, mais va falloir songer a manger plus, Grimm, t’es un poids plume, ça fait peur .-C’toi qui m’a ramenĂ© ?-Ça te pose un problĂšme ?-Pas que je sache, c’est toujours mieux que de dormir dans l’herbe, quoique ç’aurait pu ĂȘtre amusant . Ce qui serait amusant, maintenant, ce serait de me laisser aller me doucher 
 Aller, dehors 
Eliott lui sourit avec un air moqueur et satisfait, se disant surement que la leçon Ă©tait passĂ©e, et qu’elle avait compris ce qu’il disait, quand il disait qu’elle devait affronter ses problĂšmes 
Ils passĂšrent les journĂ©es suivantes ensembles, tous les quatre, ce qui changeait Ă©normĂ©ment a Mathieu, mais aussi a Alice, et a Eliott . Tom, lui, Ă©tait habituĂ©, a ĂȘtre entourĂ©, alors il n’avait pas plus de mal que ça .Vint ensuite le moment de faire les valises pour aller au domaine Raven . Alice Ă©tait stressĂ©e, et tremblante . Elle n’arrĂȘtait pas de se retourner, pour ĂȘtre sure que Mathieu Ă©tait toujours lĂ  . A bout d’un certains temps, il vint l’aider a plier les habits, et regarda avec un air amusĂ© les robes qu’elle fourrait dans son sac .-Depuis quand tu t’habilles comme une vraie fille ?-J’ai pas le choix, figure toi, ma mĂšre a dit Tu mettras tes pantalons quand tu reviendras en cour . »Elle fit la grimace, et en sortit une lĂ©gĂšre, pour le train . La plupart des toilettes Ă©taient bleus clair, parce que ça s’accordait trĂšs bien avec ses yeux . Elle avait pris le temps de tresser ses cheveux de maniĂšre habile, et y avait glissĂ© des rubans, qui laissaient quand mĂȘme quelques mĂšches brunes tomber en cascade . Elle avait juste rehaussĂ© ses yeux bleus d’une poudre dorĂ©e sur les paupiĂšres, ses onglĂ©es, ses mains, ses joues, ses yeux, ses cheveux, tout Ă©tait impeccable . Sauf qu’elle Ă©tait d’une humeur massacrante, stressĂ©e, elle n’arrĂȘtait pas de faire demi tour, de virevolter, de changer d’idĂ©e, d’avis, d’humeur .-Tiens, Alice en robe ? Elle se retourna et se planta devant Eliott avec un air mauvais .-Toi, tu fais un commentaire, tu passes le trajet dans la soute . - Nerveuse ?-Elle dit que nan, j’imagines qu’elle flippe 
- Je m’en doute 
-Z’auriez l’obligeance d’arrĂȘter de parler comme si j’étais pas lĂ  ?Elle se retourna, et força sur la valise pour la fermer . Elle tourna de nouveau les talons, et faillit s’étaler, de tout son long 
 Elle releva le bas de sa robe, pinça les lĂšvres, et envoya valser les chaussures noires a talons, qu’elle troqua contre de vieilles tennis grises dĂ©structurĂ©es, sous les regards moqueurs de ses camarades de classe . Elle attrapa les chaussures, qui gisaient au sol, abandonnĂ©es, les fourra dans un sac, et posa le tout au sol .-Bien, la voiture de Ma Dame est avancĂ©e .-C’est ça ouais 
Elle lui lança un regard suspicieux, et lacha ce qu’elle tenait pour se jeter sur son ami .-T’as interet a bosser hein, une semaine, ça peut tooout changer, alors tu fais pas la feignasse, tu bosses 
 Tu vas me manquer, Mathieu 
-Toi aussi, Alice, tu vas me manquer, toi aussi 
AprĂšs les aurevoirs, ils tournĂšrent vers le train, qui n’était pas encore partit, et allĂšrent s’installer dans un wagon vide .-Alice, il va sĂ©rieusement falloir que tu revoies ton oratoire 
 Tu parles comme n’importe quelle adolescente de ville, ça fais peur 
 -Je sais me tenir en publique, j’ai eu une bonne Ă©ducation, je te rappelle 
-Et, me frappe pas, parce que je l’ai jamais fait, lĂ  ou on va, le vouvoiement est de rigueur .-Pardon ?! Je ne te vouvoierais pas, j’y arriverais pas, tu te fous de ma gueule ? Euh, pardon
 Aurais-tu l’obligeance de cesser cette comĂ©die ?-Eh, Dante, ta Divine comĂ©die », je l’ai pas Ă©crite 
 -Dante, c’est trĂšs spirituel, Raven 
-Soit mignonne, quand on arrive, tu attends que je me sois dĂ©barrassĂ© des formalitĂ© pour gueuler, cet a dire, attends d’ĂȘtre en priver, pour te dĂ©fouler .Elle hocha la tĂȘte, d’un air mutique, et fixa ses pieds chaussĂ©s de vieilles tennis .-Et tu changeras de souliers, avant qu’on arrive ..?-Certainement 
Il lui releva la tĂȘte, et lui offrit un sourire tout a fait charmant .-Grimm, tu te prĂ©sentes aujourd’hui comme la protĂ©gĂ©e des Raven, demain, pour ta cĂ©rĂ©monie, et le reste de la semaine, je te promet qu’on part se pommer dans la forĂȘt .-SĂ©rieux ? Euh, je veux dire Promis ?-SĂ©rieux .Elle sourit, et fixa la fenĂȘtre avec un air dĂ©jĂ  moins mutique .-Ça me fais peur 
 J’ai peur d’arriver, en fait, j’ai peur qu’on me prenne pour 
 Je sais pas, l’idiote qui a tuĂ© sa K, Le dĂ©shonneur des Grimms, celle que le fils Raven a pris sous son aile, sans mauvais jeu de mots 
-Grimm, tu me fais confiance ? Personne ne pensera ce genre de choses de toi, quand on va descendre, tu vas sortir en tenant ma main, la tĂȘte haute, le menton relevĂ©, le dos droit, un sourire flottant sur les lĂšvres comme si on avait plaisantĂ© tout le trajet, tu vas sourire, avec un air doux, si, tu peux le faire, et si on te parle, tu inclines la tĂȘte, tu me regardes comme si je devais t’autoriser a rĂ©pondre 
 Mais tu regardes les gens avec un air supĂ©rieur, toujours . N’oublies pas qui tu es 
 D’ailleur, Ă©vites de trop ouvrir la bouche, parce que t’as tendance a dĂ©ployer des tĂ©sors de vulgaritĂ©, a force de cĂŽtoyer des gens 
 Vulgaire, va-t-on dire 
-D’accord .-VoilĂ , et tu ne t’éparpilles pas partout . Sois structurĂ©e, et calme . Ne bouge pas trop vite, si ça peut t’aider, cale ton pas sur le miens .Elle hocha la tĂȘte, il avait rĂ©ussis Ă  la faire stresser de nouveau, il fallait qu’elle retienne Papillonner des yeux, le fixer en mode groupiasse, incliner la tĂȘte, l’imiter, jouer la pĂ©tasse timide, se la boucler 
 Ah oui, il avait raison, elle Ă©tait assez vulgaire, quand mĂȘme 
-Bah, on va tester ça 
 Maintenant, le train s’est arrĂȘtĂ© 
Elle serra les dents, enleva ses tennis, remis les chaussures a talons sur lesquelles elle ne tenait pas debout, et aggripa fermement le bras d’Eliott . -Il y a du monde ?-Selon les dires des autres, tous les invitĂ©s prĂ©sents a ta cĂ©rĂ©monie de maturitĂ©, donc oui 
 Respire Alice, c’est des gens qui idolĂątrent ta famille, s’ils se jettent pas a tes pieds, je vais perdre dix euros 
-T’as pariĂ© que je me ridiculiserais ?!-Non, moi j’ai pariĂ© que tu t’emmĂȘlerai pas les crayon, si tu foire, tu me dois dix euros 
-T’as pariĂ© 
 Vous avez pariĂ© avec qui ?!-Avec Tom 
-Ok, nous sommes d’accord, si je le croise, seul, je l’étrangle 
Il sourit, poussa les battants, et descendit du wagon . Sur le quais de la gare, on distinguait clairement une silhouette droite, et bien tenue, qui contrastait avec le reste des habitants, mal soignĂ©s 
-Respire Grimm, t’as encore au moisn cinq minutes de voiture .-Oublies, j’me tire .-Non non non !Il la rattrapa par la taille tandis qu’elle se dĂ©filait et faisait demi tour, et l’attira a lui avec un sourire moqueur . Il lĂ cha sa main pour lui entourer les Ă©paules, avec un air nonchalant, et la força a marcher jusqu’à la voiture .-Le carosse » de Ma Dame est avancĂ© 
- Il me revient que j’ai oubliĂ© une veste a laquelle je tenais Ă©normĂ©ment, dans notre compartiment, je vous serais grĂšs de m’attendre, tandis que je pars la chercher 
-Il me semble que tu es arrivĂ© dans le train sans veste 
-Et bien, je vais retourner a l’acadĂ©mie pour la rĂ©cupĂ©rer 
Au lieu de discuter, il la poussa Ă  l’arriĂšre de la voiture, et enclencha la sĂ©curitĂ© de la porte, au cas ou elle ne tente une escapade forcĂ©e . -Ça va aller, je ne suis pas non plus stupide au point de me jeter par la portiĂšre .-Les Grimms ont un sens assez aigus de la fuite, Alice 
Elle fusilla du regard le conducteur .-Tom ?!-Ouais ?-T’as de la chance d’ĂȘtre au volant, tu serais mort, sinon 
 J’ai l’autorisation de le tutoyer lui hein ? Enfin, n’est-ce pas 
 Eliott ?Un ricanement se fit entendre Ă  l’avant, et Alice broya la main d’Eliott pour ne pas Ă©trangler Tom .Elle regarda les paysages, bailla, remis en ordre sa coiffure et son maquillage, et eu a peine le temps de souffler que les cinq minutes Ă©taient passĂ©es, et qu’ils arrivaient au domaine des Ravens .-Bienvenue Ă  la maison, Eliott .-T’es chez toi aussi, Tom 
 Et Grimm, pour une semaine 
-J’imagines que t
 Vous connaissez la rĂ©ponse 
-Je me doutes 
-C’est marrant de te voir le vouvoyer, sachant que tu es bien plus classĂ©e que moi, et que je le tutoie . Et surtout, qu’il n’y a pas deux jours, tu lui a refais une leçon de morale sur ta supĂ©rioritĂ© 
 -Tom, je serais toi, je la fermerai, elle a l’intention de te coller jusqu’à ce que vous soyez seuls tous les deux, pour t’éviscerer, et te pendre avec tes boyaux 
-Tu m’en veux a ce point ?-A ce point, ouais, et rien que pour pas devoir dix euros a Ell
 A 
C omment on doit s’appeler en fait ?-Ah *****, j’en ai aucune idĂ©e 
-Seigneur Raven, ça fera l’affaire, j’imagines 
 Ricana Tom .-Tu dis Eliott, ou Raven . Mais principalement Eliott, pour qu’on voit qu’on est plus ou moins proche, mais qu’on n’en a pas rien a carrer, des formes .-Ah ouais 
 Bref, rien que pour pas lui devoir dix euros, j’vais me comporter 
 Comme quelqu’un de mon rang, Paf ! Dans le 
 Mince, Argh, faut que je me taise 
Pendant qu’Eliott soupirait, dĂ©couragĂ©, Alice s’appliquait a se taire, mimant le geste de se fermer la bouche, et de jeter la clĂ© .-On est arrivĂ©s .-J’ai oubliĂ© ma veste a l’acadĂ©mie, je peux pas sortir sans veste !Avec un sourire amusĂ©, Eliott enleva sa propre veste pour la poser sur ls Ă©paules d’Alice .-C’est de la pure mise en scĂšne, Grimm, alors laisse la lĂ , ça pourrait faire genre 
-Ouais, et on va se rouler un patin aussi, pour faire genre 
-L’idĂ©e est tentante, mais je me ferai Ă©triper, ce serai 
 DĂ©solant 
Elle fronça le nez, et descendit en premiĂšre, il poussa la portiĂšre, la referma, et la prit par la taille pour se diriger dans l’allĂ©e . Les chuchotis allĂšrent bon train, tandis qu’elle essayait tantĂŽt de regarder les gens en souriant, tantĂŽt de papilloner des yeux en reardant Eliott .Elle reconnut quelques visages familiers, et dĂ» s’adonner au jeu des sourires, des prĂ©sentations, ou juste des iformations .-Oh, miss Alice, vous avez grandit ! Qui aurait crut qu’une Grimm viendrait passer sa cĂ©rĂ©monie de maturitĂ© au domaine des Ravens ?! Certainement pas moi en tout cas ! Auriez vous vu votre pĂšre ?-Oh, je suis navrĂ©e miss Sally, je ne l’ai pas croisĂ© depuis il y a six mois 
-Ah oui, l’incident 
 DĂ©solĂ©e pour vous 
 Mais je suis heureuse que vous vous rappeliez de moi 
-Alice, il faudrait voir a avancer, Tom est dĂ©jĂ  a l’autre bout du chemin .Elle baissa humblement la tĂȘte, le remerciant intĂ©rieurement de la dĂ©livrer de cette femme, et fit rougir ses joues .-Je ne peux qu’acquiescer, nous n’avons qu’a le rejoindre 
 Encore merci, et bonne journĂ©e !-Tu te dĂ©mordes bien 
Chuchota Eliott quand la femme fut partie .-Oh Mademoiselle Grimm !-Lady Shizuka !-Vous avez fiĂšre allure, Alice 
 Eliott, c’est vous qui l’accompagnez ?-Oui, Sarah, J’éssaie de me frayer un chemin parmis la foule d’amis venus la saluer, pour l’accompagner a ses appartements 
-Pas de problĂšme, venez donc par lĂ , jeunes gens 
 Elle se composa une mine interessĂ©e, et fit mine de parler, de sorte que personne ne vienne l’interrompre .-Alors les relations entre nos deux familles ennemies sont redevenues moins tendues 
-N’en soyez pas si sure, Lady Sarah, si j’accompagne ma 
 Camarade, ce n’est que par pure formalitĂ© 
-Eliott, mon garçon, je vous connais bien, ce regard n’est pas aussi professionnel que le miens 
 Les deux vieux sont sans doute toujours en conflit, mais vous avez l’air plus clairvoyants, et plus intelligents 
 Les deux familles maitresses se doivent de se rĂ©concilier 
Alice lança un sourire a Eliott, un sourire que seul la jeune femme japonaise, et lui, pouvaient apercevoir, et qui en disait long sur ce qu’elle pensait .-DĂ©solĂ©e, ça m’a Ă©chappĂ©, mais cette comĂ©die me fatigue, je ne vois pas l’utilitĂ© de sourire, et de faire des courbettes, s’il faut, hors regards papillonnants, expliquer a tout le monde a quel point l’entente est difficile 
-Alice, on a pas le choix 
 Vous m’éxcuserez, Sarah, je vous remercie pour la protection » apportĂ©e, nous allons continuer seuls 
Lady Shizuka s’arrĂȘta, lui sourit, et fit demi tour en inclinant la tĂȘte . Eliott poussa la porte, et la referma derriĂšre lui . Il poussa Alice contre le mur, et posa ses mains sur le mur de maniĂšre a ĂȘtre au dessus d’elle .-*****, Alice, tu pourrais pas la fermer ?! Si t’agis comme une bourge devant les autres, ils y croient, mais Sarah, elle n’est pas idiote, et elle va rĂ©pĂ©ter ça a qui veut l’entendre, alors sois mignonne, ferme la .-Je TE demande pardon ?! Depuis quand TU emploies ce genre de propos contre moi ?! Je te signale que si tu ne m’avais pas retenue, je serais loin ! Alors tu l’as un peu cherchĂ© hein !-Alice ! Calmes toi, abrutie ! T’es idiote ou quoi ?!Elle le fixa avec une lueur mauvaise du fond du regard .-RĂ©pĂšte ce que tu viens de dire !-Tu es une idiote, Alice .Il avait dit ça calmement, comme si le fait de faire du mal a Alice ne lui faisait rien . Elle bouillait sur place, et s’était pris une gifle intĂ©rieur trĂšs douloureuse .Elle leva la main, paume tendue, et se sentit happĂ©e en arriĂšre avant d’avoir rĂ©ussis a toucher Eliott . Elle l’avait manquĂ© de quelques centimĂštres a peine . Et la gifle avait faillit l’atteindre .-Alice, arrĂȘte !-Lache moi, Tom ! Laisse le se comporter en homme, si je veux lui en coller une, il est assez grand pour se dĂ©fendre !-Non Alice, c’est pas exactement ça 
 Eliott ?- J’imagines que si on lui dit pas, son pĂšre ne lui dira pas .Tom la retenait fermement, en l’aggripant au niveau des coudes seulement . Elle se dĂ©battit violement pour qu’il la lache, mais ne parviens qu’a se fatiguer . -ArrĂȘte de t’énerver, Alice, tu vas t’épuiser .-Lache moi !Ses yeux se remplissaient de larmes, de rage, parce qu’elle ne parvenait pas a se libĂ©rer, et aussi a cause de ce qu’Eliott lui avait dit . Il fallait avouer que ce genre de choses fait mal . LĂ , seulement, il la lacha, elle lutta pour ne pas s’écraser par terre, et prĂ©server un minimum d’équilibre .-Alice . Calme toi, tu veux ?-Aurais tu l’obligeances de fermer ta gueule ?!Elle avait peut ĂȘtre criĂ© un peu fort, certes, mais au moins, si elle ne pouvait pas y mettre les mains, elle y mettais du cƓur . Elle leur tourna le dos, le temps de faire sĂ©cher ses yeux, et se retourna, les yeux emplis de haine .-Raven, dis a ton sous fifre, que la prochaine fois qu’il me touche, je le fracasse . Ensuite, je rĂ©pĂšte, tu ne me parles pas comme ça . Si t’as besoin de te sentir supĂ©rieur, dis le, je vouvoie des cons, ça me changerais pas d’en vouvoyer un de plus, mais n’imagines pas que je sois de l’une des familles de sous catĂ©gorie qui se courbe devant ta belle gueule . Ce n’est pas le cas, ce ne le sera jamais, c’est bien clair ?Eliott la regardait, calmement, passivement, tandis qu’elle calmait ses nerfs a lui hurler dessus .-C’est bon, Mademoiselle je suis au dessus de tout le monde, t’es calmĂ©e ?Il Ă©tait un peu blasĂ© par son comportement de gamine, parce qu’il savait, qu’elle avait du mal a supporter tout ça, et qu’il n’était pas fonciĂšrement gentil, mais il fallait la faire taire, et il fallait qu’il puisse lui montrer ce qu’il avait a lui montrer . Il savait aussi que son commentaire Ă©tait plus que mĂ©chant, et qu’il avait dĂ» la blesser, mais il n’avait pas le choix . Il s’approcha de la jeune fille, qui Ă©tait, ça se voyait, a deux doigts de fondre en larme, et l’enlaça maladroitement .-Vas y, ne te retiens pas, tu peux pleurer devant moi, tu l’as dĂ©jĂ  fais, ça ne me dĂ©ranges pas 
-Tais 
 Toi .Elle resta debout, bras balants, et fondit en larmes, le visage appuyĂ© contre son Ă©paule .Il avait raison, elle avait dĂ©jĂ  pleurĂ© devant lui . Elle s’en rappelait assez distinctement, et lui encore plus . Parce qu’il Ă©tait lĂ , le jour ou tout est partit en cacahuĂštes 
Elle lançait le plus possible Chess a l’assaut de Nyx . Mais la K. des Ravens Ă©tait encore plus puissante que sa krĂ©ature a elle . Elle avait finit par triompher . -Vas y, Nyx, achĂšve le . La K, une louve croisĂ©e avec un guepard, un lion, et un poulet, avait une fourrure blanche qui reflĂ©tait chaque parcĂšle de lumiĂšre, lorsqu’il faisait nuit . Chess Ă©tait un cheval, un Ă©talons blanc, qui avait des yeux taillĂ©s dans du saphir . Un cavalier d’échiquier 
 Et Nyx, en abbatant sa patte, l’avait presque broyĂ© .-Chess !Lorsque sa K avait Ă©tĂ© frappĂ©e, la douleur pshysique avait Ă©tĂ© si grande qu’elle Ă©tait tombĂ© a la renverse, et c’était Eliott qui l’avait rattrapĂ©, avant que sa tĂȘte n’heurte le sol . DĂ©jĂ  que son pĂšre et lui ne se parlaient plus, mais le Seigneur de Raven aurait aimĂ© voir la petite Grimm mourir, car sans hĂ©ritier, le pouvoir leur revenait de droit . Son fils, n’étant pas aussi tordus, avait foncĂ©, et avait atterit juste . Comme son pĂšre avait refusĂ© de lui parler aprĂšs ça, il s’était lui-mĂȘme occupĂ© d’Alice, le temps qu’elle se rĂ©veille . Il l’avait allongĂ©e sur l’un des nombreux canapĂ©s que contenait la bibliothĂšque, et avait attendus son rĂ©veil .Quand elle avait ouvert les yeux, sa tĂȘte Ă©tait posĂ©e contre les genoux d’Eliott . Elle savait qu’il la haĂŻssait, il savait que c’était rĂ©ciproque . Elle avait relevĂ© la tĂȘte tellement vite qu’elle Ă©tait tombĂ©e en arriĂšre par la suite, avant de se relever rapidement, de nouveau, et de courir Ă  la terrasse . DĂšs qu’elle s’était levĂ©e, il la suivit, pour l’empecher de regarder par le balcon, mais c’était trop tard, elle Ă©tait dĂ©jĂ  penchĂ©e en avant . Il la tira en arriĂšre, pendant qu’elle se laissait tomber sur le sol .-Grimm ! Qu’est-ce qui te prends de courir, alors que tu viens de tomber dans les pommes, t’es idiote ou quoi ?! -Raven ! Je te signale que vu mon rang comparĂ© au tiens, tu me dois le respect, alors lache moi, et laisse moi voir ce que je veux voir .-Comme vous voudrez, majestĂ© 
Il Ă©tait vexĂ©, et commençait a se dire qu’il aurait mieux fait de la laisser s’exploser le crane . Il n’aimait pas qu’on le rabaisse, alors qu’une Grimm lui rappel qui il Ă©tait 
 il la lacha, et la laissa regarder le sol .-Chess !Un cris fusa, elle hurla . Il la retint, la tira en arriĂšre, et l’envoya valser dans la bibliothĂšque avant de fermer la porte fenĂȘtre et les volets .-Stop, Grimm ! Ça va aller !Elle le regarda, horrifiĂ©e, et se figea . Il s’approcha, et lui pris maladroitement la main . Ç’allait ĂȘtre compliquĂ©, de rassurer une fille qu’il n’aimait pas du tout .-Ils ont ! Vous avez ! Ils 
Elle fondit en larme, alors il la poussa doucement, pour la faire s’asseoir sur le canapĂ©, pendant qu’elle se mettait Ă  pleurer. Maladroitement, il la prit dans ses bras, et la cajola jusqu’à ce qu’elle s’endorme.~-C’est dĂ©gueulasse, ce que tu me sais, Grimm, je sais. DĂ©solĂ©. Vraiment, je ne le pensais ?-Grimm, je te le jure. Je peux t’expliquer pourquoi quand tu es en colĂšre tu ne dois surtout pas lever la mais sur moi, ou sur Tom ?- Je ne sais pas trop, j’ai peut de me faire arnaquer 
-Tu me fais confiance ?-J’imagine 
Il lui prit la main, et l’emmena plus loin, prĂšs des barbecues, qui, laissĂ©s a l’abandon avaient servis de table de chimie a ne te mets pas a hurler. D’accord ?Elle hocha la tĂȘte; peu assurĂ©e, et le regarda. Il tendit la main, comme s’il voulait qu’elle la prenne, et, paume tendue, fit courir le long de son bras, de gigantesques prends ma te fous de ma gueule ?!-Bien sur que non !Elle lui lança un regard aigus, et lui rĂ©pondit par un sourire moqueur, elle savait ce qu’il pensait, elle savait qu’il se disait qu’elle avait peur, elle posa sa main sur la sienne. Les flammes lĂ©chĂšrent d’abord ses avant bras, avant de se rĂ©tracter, elle eut beau ne pas bouger, celles-ci refusaient de revenir sur ?!-Bah, c’est facile. Eux choses, la premiĂšre, je les maitrise, mon but n’étant pas de te carboniser 
 La seconde, encore mieux, mĂȘme si je voulais, je n’y parviendrais pas, regardes 
Il prit sa main, et devant un verre d’eau, la Vas-y, essaie de me la balancer dessus, le regarda, amusĂ©e, et secoua la main comme une gamine, avant de fermer les yeux, Ă  cause du soleil. Quand elle les rouvrit, Eliott Ă©tait sec, mais Tom soufflait sur ses mĂšches trempĂ©es avec un air surpris, comme si ce n’était pas Ă  lui de se prendre l’ verre Ă©tait tu 
.-Tu cales maintenant, pourquoi c’était vous les numĂ©ros un, et pourquoi si tu me claques, je suis dans la ***** ?Elle hocha faiblement la tĂȘte, et le regarda avec un air amusĂ©, contente de la dĂ©couverte du jour. Un peu secouĂ©, peut ĂȘtre 
 Il lui Ă©bouriffa les cheveux, et se retourna. Une mine embĂȘtĂ©e se dessina sur son visage. Alice, elle fixait ses mains avec ?-Ouais ?Elle releva la tĂȘte elle aussi, et pinça les lĂšvres, avant de se redresser, de prendre un air embĂȘtĂ©, et timide, et de fixer les trois enfants des trois autres grandes familles. Dans le tas, il y avait Catherine, le vent, une jolie pĂ©tasse comme on en fait pas Amaryllis, la terre. RĂ©servĂ©e, peu sure d’elle, la jeune fille de la derniĂšre l’enfant de la quatriĂšme famille, qui ne servait strictement Ă  rien, et qui Ă©tait lĂ , seulement pour l’ bien, nous constatons avec joie que miss Grimm a fait la rĂ©cente dĂ©couverte de ses dons, a dĂ©faut d’avoir su protĂ©ger Chess, et qu’elle est suffisamment proche de vous, pour vous tutoyer 
 Et qu’elle a un langage rĂ©ellement ? Ce n’est pas Ă  moi qu’elle s’adressait, mais a exactement 
 Nous vous croyons tous les trois, n’est-ce pas Amaryllis ? N’est-ce pas, l’autre ?-Fous lui la paix, Catherine, elle est plus haut placĂ© que toi, tu lui dois le a perdu sa K ! Elle est minable !Alice s’avança Ă  grands pas furieux, et se pointa devant la blondasse qui la toisait avec je ne m’abaisserais au rang minable, car je te serais toujours supĂ©rieur, vois-tu ? Tes parents doivent avoir honte de toi, ta famille ne dois rĂȘver que de te renier, alors ne me fais pas passer pour une faible, parce que ce que je vois quand je te regarde, ou quand je regarde ceux qui te fixent, c’est de la pitiĂ©. Catherine, la fille qui ne savait pas se dĂ©merder sans son groupes de serviteurs 
 La fille incapable de sourire, ou juste, la pĂ©tasse qui se croyait supĂ©rieur aux autres. Tu n’es qu’un troisiĂšme rang, tu ne connaĂźtras jamais l’honneur d’ĂȘtre respectĂ©e, et crois moi, ça vaut mieux les regardait avec un air mi amusĂ© mi embĂȘtĂ©, il tira Alice par le bras, elle ça Alice, elle va aller se plaindre a mon pĂšre 
-Rappelles moi c’est quand qu’on se tire ..?-Ce soir, tu racontes ta vie Ă  des gens, pour la cĂ©rĂ©monie. Demain on dĂ©jeune, et on se donc tu peux me la montrer, ma chambre ?- Allez-y faites comme si on n’était pas lĂ  !-T’inquiĂšte pas, c’est ce qu’on fait 
 Tu montes, Alice ?Il lui ouvrit la porte et la fit entrer Ă  l’intĂ©rieur. Elle alla se poser sur le lit, et lui, tira une chaise d’un bureau pour s’asseoir en face d’ j’ai gĂ©rĂ© ? Je me dĂ©***** bien ?-Oui, bon, Catherine est une 
 Bref, et l’idĂ©e de nous voir rĂ©concilier les deux familles la met en rage, parce que si nous nous entredĂ©truisons, elle aura la premiĂšre place 
 Tu comprends ?-Bah ouais, je comprends aussi que je ne l’aime pas du tout, et que cohabiter va ĂȘtre chaud 
-En revanche, tu devrais porter plus d’attention a ton langage, en privĂ© comme en publique, si tu y fais attention, tu auras moins de difficultĂ©s 
-D’accord, je vais essayer de remettre ça d’ bon je te laisse, tu devrais dormir un peu 
 Je viendrais te chercher ce soir 
Il ferma la porte, alors elle se glissa sous les couvertures. La lumiĂšre du jour ne la dĂ©rangea pas, elle ronfla comme un sonneur jusqu’à environs dix neuf heures. Eliott rentra car elle ne entendait pas frapper a la porte, et dĂ» la secouer pour la ?-Mmh ?-Debout, t’as qu’une demie heure pour te prĂ©parer 
-Mmh 
Comme elle ne l’écoutait pas, il la fit s’asseoir et la regarda un moment avant de s’emparer des pinces posĂ©es sur la table de chevet. Il remit sa coiffure en ordre, la remontant un peu, pour ne pas qu’elle a l’air de ne pas s’ĂȘtre peignĂ©e, et la tira en avant pour qu’elle se je sais que t’es crevĂ©e, mais fais un effort, va te changer, je t’attends se dirigea dans la salle de bain pour enfiler une autre robe. Plus cintrĂ©e, et qui faisait plus adulte. Blanche, avec des manches amples, qui couvraient ses mains lorsque ses bras restaient ballants, et le jupon, assez fournis, s’arrĂȘtait dessous ses genoux. Elle remit en ordre son maigre maquillage, et sortit de la salle de On y va ?Elle hocha la tĂȘte, avec un air maussade, avant de faire demi tour, et de foncer dans la salle de bain. Faiblarde, elle sortit de la valise une paire de boucle d’oreilles en cristal et en argent, et les attacha Ă  ses oreilles. Pas qu’elle veuille ĂȘtre plus jolie que la moyenne ou autre, mais ces boucles appartenaient a sa mĂšre, alors elle avait tout intĂ©rĂȘt Ă  les porter. Elle se baissa, et fit sortir une parure de cristal, toujours, qu’elle attacha Ă  son cou. VoilĂ , lĂ , c’était bon ?-Ouais, deux secondes 
 Je mets des godasses pas trop pourries 
 Tu peux vĂ©rifier qu’elles ne sont pas sous le meuble Ă  cotĂ© du lit ?- Nan, elles n’y sont pas 
-Ok 
Elle sortit, pieds nus, et le regarda avec un air oubliĂ© mes godasses dans le train, et les bleus ne vont pas avec le reste 
 -Pas grave, on n’a pas le temps de trainer, ai l’air assurĂ©, on pensera que c’est descendirent et traversĂšrent le chemin qui les menaient a l’église en courant, malgrĂ© les pieds nus d’Alice, et poussĂšrent les portes doucement, en cherchant leur elle fit son entrĂ©e, elle Ă©tait radieuse, et toute trace de sommeil avait Ă©tĂ© effacĂ©e. Elle n’était pas extraordinairement belle ou quoi que ce soit, mais elle resplendissait la fiertĂ©, mĂȘme si tout Ă©tait jouĂ©. On se tut, et les invitĂ©s s’assirent, la laissant traverser la piĂšce, pour se poster devant le seigneur de Raven. Elle inclina la tĂȘte avec humilitĂ©, et la releva quand il le lui la cĂ©rĂ©monie se dĂ©roula avec lĂ©gĂšretĂ©. Le pĂšre d’Eliott Ă©tait trĂšs pro, il ne dit rien de mauvais sur Alice, lui fit rĂ©citer le psaume, en quelques temps, ce fut rĂ©glĂ©, et elle put aller se coucher dĂšs que tout fut finit, et qu’elle eut saluĂ© les invitĂ©s. Elle rayonnait toujours, mais avait peut ĂȘtre un peu trop but, car chaque fois qu’elle venait parler vers quelqu’un, elle acceptait le verre de vin qu’on lui tendait. Eliott la rattrapa, saoule, qui cherchais la sortie, prĂšs des ! P
 Mais qu’est-ce que tu as bus ? Pas du jus, m’est avis. Bon, cas de force majeure, je vais dire qu’on p pourquoi ? C’est amusant, Mmh de rester lĂ , les gens sont sympĂą 
-Ouais, mais t’es ivre, alors la conduisit dehors, malgrĂ© ses protestations, et la fit rentrer dans le manoir aussi vite qu’il put. Elle grelottait, mais n’avait pas les idĂ©es claires 
 Il la fit s’asseoir, enleva les boucles d’oreilles, le collier, et les pinces, et sortit en Ă©teignant la lumiĂšre. Elle dormait dĂ©jĂ , assise, sur le lit 
Le lendemain, il ouvrit la porte elle n’avait pas bougĂ©. Quand il la secoua, elle gĂ©mit, et plaqua ses deux mains contre ses pas si fort, idiot ! Je souffre lĂ , ça ne se voit pas ?!-T’as la gueule de bois, t’as trop bu, pour une premiĂšre fois 
Elle renifla dĂ©daigneusement, et accepta le verre et le cachet qu’il lui tu t’apprĂȘtes, on va partir dĂ©jeuner, puis on part en randonnĂ©e, comme je t’avais hocha la tĂȘte, se changea, enfila un pantalon et un tee shirt, et descendit dĂ©jeuner. Assise, elle ne toucha pas Ă  son repas, prĂ©textant le mal de tĂȘte, qui s’était Ă©vaporĂ© un quart d’heure aprĂšs la prise du cachet. Elle en profitait surtout pour dĂ©mĂȘler ses Ă©motions, et se demander si ce qu’elle ressentait quand il lui parlait, c’était vraiment ce qu’elle pensait. Puis ils partirent. Cinq minutes aprĂšs s’ĂȘtre engagĂ© sur le sentier, il se demanda si c’était une bonne idĂ©e .Il passa une main dans ses cheveux, et tourna la tĂȘte pour regarder derriĂšre lui. La petite brune le suivait sans difficultĂ©, et lui lançait de temps Ă  autre des Ɠillades pour le moins intĂ©ressantes ... Il finit par soupirer, et s'arrĂȘta. Il fallait que ça cesse, tout, les faux espoirs qu'elle entretenait, tout ... Il se mordit la lĂšvre, sachant qu'il lui ferait plus de mal s'il n'agissait pas ainsi ... Tout, dans les vibrations d'Alice montrait qu'elle ressentait plus que de l'amitiĂ©, et lui, qu'avait-il a dire ? Il s'Ă©tait fait endoctriner de la mĂȘme maniĂšre qu'elle ... Il se haĂŻssait presque, mais il n'avait pas intĂ©rĂȘt a rater ce qu'il allait faire, parce qu'aprĂšs, elle le dĂ©testerait tellement qu'elle ne voudrais plus le voir, alors au moins lui laisser un bon souvenir ...Il la pris par les poignet, le regard rĂ©solus, et sourit de son air interrogatif . -DĂ©solĂ© ... Et il l'attira contre lui. Le tout ne dura pas plus de trente secondes, ce fut un baiser chaste, sans plus, mais Alice se sentait subitement mieux, parce qu'il avait compris. Il fourra son visage dans ses cheveux lĂąchĂ©s, qu'elle avait laissĂ© retomber en cagues sur ses Ă©paules, elle arrĂȘta de respirer .Quand il se dĂ©cida Ă  la fixer, elle perdit son beau sourire, face a son air rĂ©signĂ©, et las. -Qu'est ce qu'il y a, Eliott ? Je suis nulle hein, c'est ça ? Ou alors tu as compris que...- Non, Alice, ce n'est pas ça ...Un sourire triste lui Ă©chappa. -Si seulement ... Alice, ce n'est pas une histoire de toi, ou mĂȘme de moi, ça dĂ©passe ça ... Je voulais juste que tu le saches ... Et que tu comprennes que malgrĂ© tout, c'est recula, les yeux humides, et le regarda avec un air triste. Il dĂ©posa un baiser sur son front, et partit, la laissant seule, avec son chagrin, et ses pensĂ©es obscures, avec sa toute premiĂšre peine de coeur ... Et un couteau, soigneusement rangĂ© dans la poche ... Elle le sortit, fit jouer la lame contre son pouce et ressentit une lĂ©gĂšre douleur quand le sang perla. Elle ressentit aussi une toute autre choses, la sensation d'ĂȘtre vivante, et elle se dit que si elle voulait le ressentir de nouveau, elle devait retenter l'expĂ©rience, Ă  plus grande Ă©chelle. Elle se sentait lasse, trĂšs lasse ... Si retenter signait son arrĂȘt de mort, tant pis ... A quoi bon vivre quand on est rejette ?Elle regarda le manche d'argent incrustĂ© de Saphir, et pris sa dĂ©cision. Et maintenant, la meilleure chose Ă  faire Ă©tait d'attendre que le sang s'Ă©goutte, puis se disperse, la laissant inerte, mais avec ce sentiment de vie ... puis la mort. Nuage du Loup♩Apprenti Espion♩CamĂ©lĂ©on de PremiĂšreMessages 74Date d'inscription 22/07/2012Feuille de personnageRelations Sujet Re Demande ParticuliĂšre Lun 7 Jan - 1623 Merci du partage, si vous ĂȘtes d'accord, ceci apparaĂźtra Ă  la gazette du Forum _________________Spoiler WycenInvitĂ©Sujet Demande ParticuliĂšre Mer 9 Jan - 1610 Encore Merci et Ă  bientĂŽt ! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Demande ParticuliĂšre Demande ParticuliĂšre Page 1 sur 1 Sujets similaires» Hum demande de prĂ©cision» Votre demande de partos» Qui a demandĂ© une guĂ©risseuse avec un ventilateur ?Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLGDC Dawn CommunautĂ© De Vous Ă  Nous

Prendreen compte notre fatigue, prendre en compte que le vendredi peut ĂȘtre beaucoup plus nerveux et prendre contre notre passion et le fait que nous commençons Ă  angoisser face Ă  un trĂšs long week-end sans trading. On se retrouve demain pour une nouvelle vidĂ©o sur la bourse.
ï»żCitations de Perceval dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Kaamelott. CitationsModifier Livre IModifier Si on faisait le coup du bouclier humain ? [...] Par exemple, Sire, LĂ©odagan et moi, on fait semblant de vous prendre en otage on vous met une dague sous le cou et on traverse le camp adverse en gueulant "Bougez pas, bougez pas ou on bute le roi!"... Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Heat, Ă©crit par Alexandre Astier - Simon Astier. Putain, en plein dans sa mouille ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Heat, Ă©crit par Alexandre Astier - Simon Astier. Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourĂ©s par le feu, faut faire un feu en forme de cercle, autour d’eux, comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre cĂŽtĂ© pour brouiller... Non ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Heat, Ă©crit par Alexandre Astier - Simon Astier. C’est pas faux. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, La Botte secrĂšte, Ă©crit par Alexandre Astier. Toi, un jour, je te crame ta famille, toi. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Ambidextrie, Ă©crit par Alexandre Astier. Faut arrĂȘter ces conneries de nord et de sud ! Une fois pour toutes, le nord, suivant comment on est tournĂ©, ça change tout ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Ambidextrie, Ă©crit par Alexandre Astier. Donc, pour rĂ©sumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout. Euh, non
 Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considĂšre en tant que Tel. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Tel un chevalier, Ă©crit par Alexandre Astier. Entrant subitement dans la Salle de la Table Ronde Excusez, c’est juste pour vous dire que je vais pas pouvoir rester aujourd’hui ! Faut que je retourne Ă  la ferme de mes vieux ! Y a ma grand-mĂšre qui a glissĂ© sur une bouse ! C’est le vrai merdier ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Le Code de Chevalerie, Ă©crit par Alexandre Astier. On a mĂȘme un tabouret ! Quand on s’assoit d’ssus, on se retrouve sur un autre tabouret dans une taverne dans le Languedoc [...] Ouais, le siĂšge de transport qu’ils appellent. En plus, comme par hasard c’est moi qui ai essayĂ© le premier. Deux semaines et demi plus le bateau qu’ça m’a pris pour revenir. J’avais pas compris qu’en me rasseyant d’ssus, ça me ramenait de l’aut’cĂŽtĂ©. Et Ă  l’arrivĂ©e j’me suis fait mettre une chasse, parce que j’avais ramenĂ© l’autre tabouret, et que soit-disant il aurait fallu qu’il reste lĂ -bas. Pourtant ils marchent les deux tabourets ! Eh ben ils sont l’un Ă  cĂŽtĂ© de l’autre. Alors ça fait pas pareil. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Le Chaudron Rutilant, Ă©crit par Alexandre Astier. C’est pour ça j’lis jamais rien. C’est un vrai piĂšge Ă  cons c’t’histoire-lĂ . En plus j’sais pas lire. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Le Chaudron Rutilant, Ă©crit par Alexandre Astier. Ben si, si c’est l’mĂȘme volume sonore, on dit "Ă©quidistant" [...] S’ils sont Ă©quidistants en mĂȘme temps que nous, on peut repĂ©rer le dragon par rapport Ă  une certaine distance. Si le dragon s’éloigne, on s’ra Ă©quidistant, mais ça s’ra vachement moins prĂ©cis et... et pas rĂ©ciproque. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, La fureur du dragon, Ă©crit par Alexandre Astier. Assommant Karadoc Ah ! oui... j' l'ai fait trop fulgurant, lĂ . Ça va ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Unagi, Ă©crit par Alexandre Astier. À Arthur Sire, avec tout le respect, est-ce que la reine a les fesses blanches ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, Les Fesses de GueniĂšvre, Ă©crit par Alexandre Astier. À Arthur et Lancelot Ça sert Ă  rien, un siĂšge, si elle est enceinte, il faut des linges blancs et une bassine d'eau chaude. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, La Coccinelle de Madenn, Ă©crit par Alexandre Astier. À Arthur et Lancelot Une fois, Ă  une exĂ©cution, je m'approche d'une fille. Pour rigoler, je lui fais Vous ĂȘtes de la famille du pendu ? »... C'Ă©tait sa sƓur. Bonjour l'approche ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, La Coccinelle de Madenn, Ă©crit par Alexandre Astier. Si Joseph d'Arimathie a pas Ă©tĂ© trop con, vous pouvez ĂȘtre sĂ»r que le Graal, c'est un bocal Ă  anchois. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre I, En forme de Graal, Ă©crit par Alexandre Astier. Livre IIModifier Sire, Sire ! On en a gros ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Les ExploitĂ©s, Ă©crit par Alexandre Astier. A Arthur Moi j'crois plutĂŽt que la prochaine fois, vous nous enverrez bouler tout pareil, c'est pas vrai ? ... Ha... On en a gros... Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Les ExploitĂ©s, Ă©crit par Alexandre Astier. À Arthur Moi, j'serais vous, je vous Ă©couterais... Non, moi, j'serais nous, je vous... Si moi, j'Ă©tais vous, je vous Ă©couterais ! Non, elle me fait chier, cette phrase ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Les ExploitĂ©s, Ă©crit par Alexandre Astier. C’est marrant les petits bouts de fromage par terre. C’est ça que vous appelez une fondue ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, SĂ©li et les Rongeurs, Ă©crit par Alexandre Astier. J'voudrais pas faire ma raclette, mais la soirĂ©e s'annonce pas super. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Un Roi Ă  la Taverne II, Ă©crit par Alexandre Astier. En parlant des clients de la taverne Quand mĂȘme, ils sont onze. J'ai calculĂ© sur les treize derniĂšres annĂ©es, dans les deux heures qui prĂ©cĂšdent le coucher du soleil, vous en ĂȘtes Ă  une moyenne de 8,422. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Sept cent quarante-quatre, Ă©crit par Alexandre Astier. AprĂšs demain, Ă  partir d'aujourd'hui ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Sept cent quarante-quatre, Ă©crit par Alexandre Astier. De toutes façons, les rĂ©unions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc, si le mec il dit aprĂšs-demain Ă  partir de dans deux jours, suivant s’il le dit Ă  la fin du mois, ça reporte. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Sept cent quarante-quatre, Ă©crit par Alexandre Astier. C’qui compte, c’est les valeurs ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Perceval et le Contre-sirop, Ă©crit par Alexandre Astier. LĂ , vous faites sirop de vingt-et-un et vous dites beau sirop, mi-sirop, sirotĂ©, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goĂ»t. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Perceval et le Contre-sirop, Ă©crit par Alexandre Astier. LEODAGAN CONTRE-ATTAQUE !!! il passe la balle Ă  LĂ©odagan Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, The Game, Ă©crit par Alexandre Astier. Et toc ! Remonte ton slibard, Lothard ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, L’Absent, Ă©crit par Alexandre Astier. 13, 14, 15... Enfin tous les chiffres impairs jusqu'Ă  22. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Unagi II, Ă©crit par Alexandre Astier. J'le dis pas en parlant de la date de son anniversaire. [...] A l'Ă©poque quand je le disais, tout le monde oubliait de me le souhaiter. Ça me faisait pleurer. Ça m'a gonflĂ©, j'ai arrĂȘtĂ©. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Le tourment II, Ă©crit par Alexandre Astier. Dans la vie, j’avais deux ennemis le vocabulaire et les Ă©pinards. Maintenant j’ai la botte secrĂšte et je bouffe plus d’épinards. Merci, de rien, au revoir messieurs-dames. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, La Botte secrĂšte II, Ă©crit par Alexandre Astier. Salut, Sire. Je trouve qu’il fait beau, mais encore frais, mais beau ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, Les Volontaires II, Ă©crit par Alexandre Astier. Montrant ses cousins Ă  Arthur Alors lĂ , c'est Ashton, lui c'est Rutz, lui c'est Pierce, l'autre derriĂšre c'est Pierce aussi, j'ai jamais compris pourquoi, et lui euh, j'crois qu'il a pas d'prĂ©nom, tout le monde l'appelle Connard... Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, 30 La Garde Royale, Ă©crit par Alexandre Astier. À Arthur C'est l'anniversaire dans tous les recoins, c'est presque tous les ans qu'on a l'anniversaire. GrĂące Ă  cet anni... c'est la joie c'est pratique, c'est au moins un principe Ă  retenir pour faire la frite... c'est huuuum lalalalala. Cette annĂ©e c'est bien, l'anniversaire tombe Ă  pic ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, 86 Les FĂ©licitations, Ă©crit par Alexandre Astier. Ivre PAYS DE GALLES INDÉPENDANT ! J'ai un pivert dans la tĂȘte... C'est normal ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, L’Ivresse, Ă©crit par Alexandre Astier. Karadoc, c'est le gars brillant. Le frĂšre, Ă  cĂŽtĂ©, c'est sĂ»r... C'est vraiment un gros con. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, O'Brother, Ă©crit par Alexandre Astier. Ben j'en ai marre. Ça revient Ă  chaque fois sur le tapis ça. [Arthur Quoi ça ?] FĂ©dĂ©rĂ©! D'habitude j'dis rien mais lĂ  zut! J'sais pas c'que ça veut dire. Moi j'veux bien faire des efforts pour comprendre les rĂ©unions mais faut que chacun y mette du sien aussi. LĂ  on est partis pour une heure avec des fĂ©dĂ©rĂ©s par-ci des fĂ©dĂ©rĂ©s par-lĂ , j'vais encore rien biter et ça me gonfle. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre II, L'Alliance, Ă©crit par Alexandre Astier. Livre IIIModifier Sans blague on pourrait pas fĂȘter la mort des mecs que je connais pour une fois ? Comment ça ? C'est toujours la mort de vos potes Ă  vous que l'on fĂȘte, moi dans quatre jours c'est l'anniversaire de la mort d'un oncle Ă  moi, sans faire exprĂšs il s'est tirĂ© dessus avec un arc. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Le Jour D’Alexandre, Ă©crit par Alexandre Astier. Aux jeunes chevaliers Le Graal, c’est une vraie saloperie, mĂ©fiez-vous. Un jour c’est un vase, une semaine aprĂšs une pierre incandescente. [...] Incandescente, c’est qui peut accaparer des objets sans resurgir sur autrui. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Les SupplĂ©ants, Ă©crit par Alexandre Astier. Non, vous, vous vous maravez. Quand on a pas de technique, il faut y aller Ă  la zob. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Morituri, Ă©crit par Alexandre Astier. SI VOUS VOULEZ QU'ON SORTE LES PIEDS DEVANT, FAUDRA NOUS PASSER SUR L'COOOORPS ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, La menace fantĂŽme, Ă©crit par Alexandre Astier. Le code c'est "le code" ? Ça va, ils se sont pas trop cassĂ© le bonnet, pour l'trouver celui-lĂ  ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Poltergeist, Ă©crit par Alexandre Astier. Y'a du grabuge alors on appelle les 2 couillons... On met les glandus Ă  profit ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Poltergeist, Ă©crit par Alexandre Astier. Les framboises sont perchĂ©es sur le tabouret de mon grand-pĂšre. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Poltergeist, Ă©crit par Alexandre Astier. A Arthur Ça prouve que j'ai de l'ubiquitĂ©... De l'humilitĂ© ? C'est pas quand il y a des infiltrations ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, L'Etudiant, Ă©crit par Alexandre Astier. À ROULEEEEETTES !! HOULA... J'l'ai un peu trop gueulĂ© ça, non ? À roulettes. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, L'Etudiant, Ă©crit par Alexandre Astier. Ah, mais c'est de lĂ  que ça vient ! Quand on dit "ça va comme sur des roulettes". En fait ça veut dire qu'le mec il peut balancer un morceau de rocher comme une catapulte, il continue quand mĂȘme d'avancer d'façon mobile. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, L'Etudiant, Ă©crit par Alexandre Astier. Une maquette ?! Vous avez pas dit qu'c'Ă©tait une catapulte ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, L'Etudiant, Ă©crit par Alexandre Astier. [En parlant de la Dame du Lac que, pour une fois, tout le monde, sauf Arthur, peut voir] Ouh lĂ lĂ ! elle va pas me gonfler longtemps, la rouquine !!! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Aux Yeux De Tous II, Ă©crit par Alexandre Astier. Les 3 actes, c'est les bonnes femmes qui sont mi-taupes mi-dĂ©esses, et qui ont forcĂ© les mecs de BethlĂ©em Ă  construire les pyramides. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, La poĂ©tique, 1Ăšre partie, Ă©crit par Alexandre Astier. Est-ce que vous avez assez de dĂ©s pour remplir un seau comme ça ? [Le tavernier n'en a que trois] C'est plus facile d'en tirer cent ou deux-cents d'un coup et d'additionner, parce que lĂ  avec trois, on va ĂȘtre obligĂ©s de tirer quarante fois de suite Ă  chaque tour. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Chante Sloubi, Ă©crit par Alexandre Astier. Sloubi 1, sloubi 2, sloubi 3, sloubi 4, sloubi 5 [...] sloubi 324, sloubi 325!... Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Chante Sloubi, Ă©crit par Alexandre Astier. C'est moi qui remporte le tour. Quand on remporte le tour Ă  Sloubi, on a quatorze solutions possibles soit on annule le tour ; soit on passe ; soit on change de sens ; soit on recalcule les points ; soit on compte ; soit on divise par six ; soit on jette les bouts de bois de quinze pouces, ça c'est quand on joue avec les bouts de bois ; soit on se couche ; soit on joue sans atouts. Et aprĂšs y'a les appels plus un ; plus deux ; attrape oiseaux ; rĂ©goudon ; ou chante Sloubi. [...] Comme vous ĂȘtes second, vous avez plus que dix-neuf solutions possibles soit vous passez ; soit vous sciez en deux les cinquante poutrelles de trente pieds, mais ça c'est quand on joue avec les bouts de bois. Sinon c'est les relances doublette ; jeu carrĂ© ; jeu de piste ; jeu gagnant ; jeu moulin ; jeu-jeu ; joue-jeu ; joue-joue ; joue-jiĂ© ; joue-ganou ; gagnar ; catakt ; tacat ; cacatac ; cagat-cata et ratacat-mic. Ou chante Sloubi. Nous, on va faire que chante Sloubi. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Chante Sloubi, Ă©crit par Alexandre Astier. Je vous ai vu une fois dans une carriole, tirĂ©e par un cheval. Enfin, la carriole tirĂ©e par un cheval. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, L'EmpressĂ©e, Ă©crit par Alexandre Astier. Dans le Languedoc, ils m'appellent Provençal. Mais c'est moi qui m'suis gourĂ© en disant mon nom. Sinon, en Bretagne, c'est le Gros Faisan au sud, et au nord, c'est juste Ducon .. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III, Le Sanglier De Cornouailles, Ă©crit par Alexandre Astier. Livre IVModifier Au printemps, j’aime bien pisser du haut des remparts au lever du soleil
 Y’a une belle vue ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Tous les matins du monde, 2e partie, Ă©crit par Alexandre Astier. Ils ont pas de bol, quand mĂȘme ! Mettre au point un truc pareil et tomber sur des cerveaux comme nous ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Les Pisteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Sur une Ă©chelle de 2 Ă  76, et lĂ  je prĂ©fĂšre prendre large, de 2 Ă  71 on ne nous Ă©coute pas, de 72 Ă  75, on nous Ă©coute toujours pas, et seulement Ă  76 on nous laisse parler sans nous engueuler. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, L’Échelle de Perceval, Ă©crit par Alexandre Astier. Mais cherchez pas Ă  faire des phrases pourries... On en a gros, c'est tout ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Les ExploitĂ©s II, Ă©crit par Alexandre Astier. En plus je connais une technique pour tuer trois hommes en un coup rien qu’avec des feuilles mortes ! Alors lĂ , vous ĂȘtes deux, vous avez bien de la chance. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Les Chaperons, Ă©crit par Alexandre Astier. Vous vous prenez pour un enseignant ?... Non j' s'entais que c'Ă©tait le moment d'faire une vanne mais y'a rien qui est sorti. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Les chaperons, Ă©crit par Alexandre Astier. Bon ça suffit maintenant ! Vous voulez qu'j'me foute en rogne comme un enseignant ? ... Qu'est ce que j'ai avec ça moi ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Les chaperons, Ă©crit par Alexandre Astier. Mais moi, j’m’en fous des honneurs, rien Ă  pĂ©ter, le Graal aussi, rien Ă  pĂ©ter. Moi, c’est Arthur qui compte. Moi je suis pas un as de la stratĂ©gie ou du tir Ă  l’arc, mais je peux me vanter de savoir ce que c’est que d’aimer quelqu’un. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, L’HabituĂ©, Ă©crit par Alexandre Astier. Citation choisie pour le 14 dĂ©cembre 2014. Y en a qui picolent, d'autres qui se battent Ă  l'Ă©pĂ©e, moi je fais ça. Au moins je fais de mal Ă  personne. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, L’Inspiration, Ă©crit par Alexandre Astier. Moi, la canne, ça m’aide. Je visualise le caillou dans l’eau, j’ai l’impression de faire partie d’un tout, moi, le caillou, le fil, le lac, le ciel, c’est entier, vous comprenez ? C’est bien fini. C’est pour ça, moi je me dis, c’est dans ces moments-lĂ  qu’on peut bien comprendre des trucs. Vous me prenez pour un con, non ?Arthur rĂ©pond Pas du tout. Les poissons, eux en revanche, vous prennent certainement pour un con. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, L’Inspiration, Ă©crit par Alexandre Astier. Ah ça y’est, j’viens de comprendre Ă  quoi ça sert la canne. En fait ça sert Ă  rien
 Du coup ça nous renvoie Ă  notre propre utilitĂ© l’Homme face Ă  l’Absurde ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, L’Inspiration, Ă©crit par Alexandre Astier. Citation choisie pour le 9 octobre 2011. C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Perceval Fait Raitournelle, Ă©crit par Alexandre Astier. Non mais Sire, c'est n'importe quoi, voix off, aprĂšs qu'Arthur a donnĂ© des coups de poing Ă  Karadoc et Perceval. Selon Perceval, Arthur n'a pas fait les choses dans les rĂšgles, ou plutĂŽt dans LEURS rĂšgles. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre IV, Unagi IV, Ă©crit par Alexandre Astier. Livre VModifier On va pas installer notre carrĂ© germinal Ă  la taverne ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, L'Ă©pĂ©e Des Rois, Ă©crit par Alexandre Astier. À Mevanwi Elle a compris la vilaine frisĂ©e ? On a dans l'projet de fonder un clan autonome pour partir Ă  l'aventure et ramener du pognon pour entretenir vos grosses miches !! Alors le cageot il dit merci et il ferme sa boĂźte Ă  caca!!! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, L'Ă©pĂ©e des rois, Ă©crit par Alexandre Astier. Oh! Vous voulez que je vous foute en rogne?C’est ce que vous cherchez? La serrurerie, c’est une technique extrĂȘmement prĂ©cise, d’accord? Des fois il y a six mois de boulot sur une serrure. Alors vos tiges, vous vous les foutez quelque part. Moi en tout cas, j’ai le respect des artisans, et si j’ai pas exactement la bonne clĂ©, je crochĂšte pas. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les ExilĂ©s, Ă©crit par Alexandre Astier. Une fois pour toute, il a que Arthur qui peut la [Excalibur] retirer! Votre chintok il peut passer trois semaines a tirer dessus, il repartira chez lui aussi con qu'il est venu! VOILÀ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Vae Soli!, Ă©crit par Alexandre Astier. Vous, vous avez une idĂ©e derriĂšre la main, j'en mettrais ma tĂȘte au feu! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Perceval de Sinope, Ă©crit par Alexandre Astier. Si on avait bu un coup dans des trucs qui s'cassent, j'en aurais pĂ©tĂ© un par terre avant d'monter dans ma chambre, pour bien montrer comment j'suis colĂšre. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, La Promesse, Ă©crit par Alexandre Astier. Je vais vous poser une sĂ©rie de questions. Vous rĂ©pondez par oui, non, ou Zbradaraldjan. Ok c'est parti oĂč se trouve l'oiseau ?... Allez c'est facile ça. Trouve pas ? Bon tant pis. C'Ă©tait "sur la branche". Eh oui, y a des piĂšges. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les recruteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Mevanwi Moi je dors en haut Ah bah non. Je voulais y aller moi, je vais pas coucher a cotĂ© de la mĂšre cageot Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les recruteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Si la mĂ©moire est Ă  la tĂȘte ce que le passĂ©, peut-on y accĂ©der Ă  six ? Oui, non, zbradaraldjan ? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les recruteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Ma tante me demande de trouver un endroit pour y entreposer 667 noix. A la cave il y a de la place pour 595, Ă  la remise il y a la place pour 337. Qu'est-ce que je fais ? Je les ?... Allez on cherche bon dieu ! Je les... Zbradaraldjan le grenier!... Allez il dĂ©gage le bourrin ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les recruteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Et si je sens que y a des anguilles Ă  la broche, dehors ! Comme CĂ©sar quand il a chassĂ© les marchands du temple, et qu'ils ont foutu le camp sur le bateau avec les bestioles et l'pĂ©pĂ©. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les Recruteurs, Ă©crit par Alexandre Astier. Je crois que c'est rentrĂ© par lĂ , et c'est ressorti par lĂ  ; et c'est re-rentrĂ© par lĂ , et c'est RE-RE-SORTI PAR LA. ET NOUS ON S'SAIGNE AUX QUATRE FROMAGES !!! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Domi Nostrae, Ă©crit par Alexandre Astier. Par contre pas un mot lĂ , sinon la porte. Bon lĂ  y en a pas, mais ce n'est pas la premiĂšre fois qu'on fabrique une porte Ă  la derniĂšre minute pour virer un petit trou de balle qui fait son malin. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Unagi V, Ă©crit par Alexandre Astier. Progressif... N'oubliez pas, dans la casse, le plus important, c'est les suites d'Ă©paisseurs ... BĂ»che de 10, BĂ»che de 16; BĂ»che de 32, BĂ»bĂ»che, Bibuchette, et re-BĂ»che de 6 !!! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Unagi V, Ă©crit par Alexandre Astier. On a une autoritĂ© naturelle, il faut en profiter... J'suis sĂ»r que mĂȘme Ă  poil on ferait toujours chef ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Le Royaume Sans TĂȘte, Ă©crit par Alexandre Astier. En parlant de Dame Mevanwi Ouais ouais ben j'suis pas trop. Sauf que quand on fait des choix il faut les tenir un minimum. Et ça change de chambre et ça change de mari... Dame Mevanwi Mais mĂȘlez vous de vos fesses ! Ouais ouais ouais ! Il faudrait peut-ĂȘtre commencer par se comporter en adulte ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les ExilĂ©s, Ă©crit par Alexandre Astier. Votre femme, si j'avais pas la flemme de descendre de lĂ , elle aurait pris mon pied dans son cul depuis un moment. Parce y'a un truc qu'on oublie quand on parle de retirer Excalibur c'est le respect au Roi Arthur! Et le respect au Roi Arthur je remarque que Madame en avait un peu plus quand elle Ă©tait dans son PLUMARD !! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Les Dauphins, Ă©crit par Alexandre Astier. Non mais Sire, faut pas prendre ce qu'on dit au sĂ©rieux, vous savez bien qu'on est des cons, nous. Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, Le Retour du Roi, Ă©crit par Alexandre Astier. Livre VIModifier Allez, y'a plein de bruit, lĂ  ! Si ça se trouve c'est bourrĂ© d'oiseaux venimeux. Y'en a des rouges, des jaunes, des re-rouges et des pourpres ! Y bouffent que des noisettes et des escalopes de veau. Et quand ils vous donnent un coup de bec vous voyez une grande lumiĂšre et ça vous donne la diarrhĂ©e ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre VI, Dux Bellorum, Ă©crit par Alexandre Astier. Ă  Arthur Ouais en mĂȘme temps ça vous a prouvĂ© qu'on avait pas froid au ventre !Arthur aux yeux! Comment ? Arthur Aux yeux, pas froid au ventre. Karadoc Froid aux yeux ? Comment c'est possible ça ? Ben si, Ă  la limite avec du vent
 mais bon si on a froid aux yeux on les ferme ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre VI, Arturus Rex, Ă©crit par Alexandre Astier. Nan mais je l'ai dĂ©jĂ  impressionnĂ©, moi ! Je lui ai expliquĂ© une nouvelle technique de combat on se bat Ă  moitiĂ© Ă  mains nues, et Ă  moitiĂ© avec du calcium. J'peux vous dire il faisait moins le malin ! Franck Pitiot, Kaamelott, Livre VI, Dux Bellorum, Ă©crit par Alexandre Astier. Ă  Arthur qui vient de lui raconter longuement un rĂȘveC'est vraiment chouette comme rĂȘve... Moi l'autre nuit j'ai rĂȘvĂ© que Karadoc avait des pinces... Arthur confus C'est-Ă -dire? Comme un crabe... Arthur Ah? Et qu'est-ce qu'il faisait avec ses pinces? Il me pinçait le interloquĂ© Le mĂ©nisque? ComparĂ©s aux vĂŽtres, ils sont pourris mes rĂȘves, ou pas? Franck Pitiot, Kaamelott, Livre VI, 9, Ă©crit par Alexandre Astier. Kaamelott Premier VoletModifier La patience est un plat qui se mange sans sauce. Franck Pitiot, Kaamelott, Premier Volet, Teaser, Ă©crit par Alexandre Astier. Evidemment qu'il est pas mort, ça fait dix ans que je vous le dit, gros salsifis ! Franck Pitiot, Kaamelott, Premier Volet, Teaser, Ă©crit par Alexandre Astier. Vous pouvez Ă©galement consulter les articles suivants sur les autres projets WikimĂ©dia C’est pas parce que le tunnel va de notre quartier gĂ©nĂ©ral Ă  Kaamelott qu’elle va de Kaamelott Ă  notre quartier gĂ©nĂ©ral !
Tempsde lecture: 8 min. «C'est compliqué» est une sorte de courrier du cƓur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et oĂč une chroniqueuse vous À l’origine, un simple apĂ©ro sur le RhĂŽne, lors d’une journĂ©e ensoleillĂ©e du mois de juin 2020. Cette soirĂ©e festive, Tamara Pellegrini, 31 ans, s’en souvient comme si c’était hier. “DĂšs que j’ai posĂ© mon pied hors du bateau, j’ai eu l’impression de tanguer. Ce jour-lĂ , j’ai vomi plusieurs fois, et j’étais incapable de comprendre les mots que je lisais”, se remĂ©more-t-elle. Les jours passent et se ressemblent. La jeune femme se rĂ©veille avec la nausĂ©e, et le sentiment continuel de basculer vers l’avant. “Quand je suis assise, c’est l’horreur. Quand je suis couchĂ©e, c’est pire encore". Depuis deux ans, Tamara ne connaĂźt pas une seconde d’immobilisme. “Certains jours sont plus difficiles que d’autres, mais il n’y a pas une journĂ©e oĂč j’ai Ă©tĂ© libĂ©rĂ©e de cette sensation", tĂ©moigne-t-elle. Ce mal permanent porte un nom le syndrome du mal de dĂ©barquement, que la science abrĂšge en MdDs. Cette maladie rare et chronique est encore peu documentĂ©e. “Peu de cas de MdDS ont Ă©tĂ© rapportĂ©s dans le monde entier”, indique la MdDs Foundation, mais “les statistiques actuelles montrent l'incidence la plus Ă©levĂ©e signalĂ©e chez les femmes ĂągĂ©es de 30 Ă  60 ans”. Et son nom peut tromper “Seules certaines personnes dĂ©veloppent un MdDs aprĂšs avoir voyagĂ©â€, affirme le Dr. Shin Beh, neurologiste et spĂ©cialiste en Ă©quilibre et migraine. Environ 20% des cas dĂ©clarĂ©s n'ont pas d'Ă©vĂ©nement causal connu, corrobore la fondation. Le syndrome du mal de dĂ©barquement un trouble du voyageur ? Le MdDs, c’est comme un mal de mer, mais sur Terre. “C’est une sensation constante de mouvement, comme sur un navire ou un bateau”, prĂ©cise le Dr. Shin Beh. Il est bien diffĂ©rent d’un simple mal de terre, qui ne dure pas plus d’une semaine aprĂšs le voyage. “Avant le 3 juin 2020, j’avais dĂ©jĂ  vĂ©cu ce mal de terre. J’ai pu constater la diffĂ©rence avec ce que je vis actuellement”, ajoute l’animatrice du compte Instagram les_invisibles_podcast. Cette affection laisse aux patients la sensation d’ĂȘtre continuellement en mouvement, et survient le plus souvent un ou plusieurs jours aprĂšs une croisiĂšre ou un voyage sur l’eau. Mais un tel syndrome peut aussi se dĂ©clencher aprĂšs un voyage en avion, en train ou en voiture, et mĂȘme en sortant d’un ascenseur, dans un lit d’eau ou aprĂšs une expĂ©rience de rĂ©alitĂ© virtuelle, dĂ©taille la fondation. “Certains enfants peuvent souffrir du mal des transports dĂšs leur jeune Ăąge, mais la littĂ©rature ne recense pas d'enfant souffrant du mal de dĂ©barquement”, ajoute Karine Dupuis, physiothĂ©rapeute au QuĂ©bec. Cette sensation incessante de tangage serait d'autant plus forte lorsque les patients sont immobiles. Nombre d'entre eux tĂ©moignent d’une impression de rĂ©pit au moment de prendre le volant. “Dans le train, en vĂ©lo ou en voiture, je me sens bien. Pour autant, dĂšs lors que je remets les pieds sur terre, le phĂ©nomĂšne reprend de plus belle”, confie Tamara. MdDs les symptĂŽmes associĂ©s Cette sensation de vertige permanent s’accompagne d’une pluralitĂ© d’autres symptĂŽmes, rendant ce syndrome parfois invivable. En plus des nausĂ©es, Tamara tĂ©moigne d’une fatigue chronique “harassante”, d’une hypersensibilitĂ© Ă  la lumiĂšre, de troubles de la concentration, et de pertes d’équilibre provoquant des chutes. “Essayant constamment de me maintenir debout, je souffre maintenant d’une cervicalgie”, ajoute-t-elle. Ces symptĂŽmes sont si Ă©vocateurs, qu’un mĂ©decin lui diagnostique la maladie en seulement deux mois. Un cas exceptionnel car, au vu de sa raretĂ© et de l'impossibilitĂ© pour les radiologues de le dĂ©tecter au scanner, de nombreux malades du MdDs font face Ă  l’errance mĂ©dicale. Ces manifestations peuvent durer de quelques mois Ă  quelques annĂ©es. Dans les cas les plus graves, la personne touchĂ©e peut aussi avoir besoin de soutien pour marcher, de tenir les murs pour ne pas tomber, et souffrir d’aphasie, informe la fondation. D’autres signes cliniques d’ordre psychologique peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă  un syndrome du mal de dĂ©barquement, Ă  savoir l’anxiĂ©tĂ©, la dĂ©pression ou la perte de confiance en soi. “Avant, j’étais Ă©ducatrice spĂ©cialisĂ©e, je sortais et bougeais beaucoup. Aujourd’hui, je me couche trĂšs tĂŽt, et j’ai adoptĂ© une hygiĂšne de vie diamĂ©tralement opposĂ©e. À l’époque, j’ai eu des idĂ©es noires”, confesse la jeune femme. Car en deux ans, Tamara a dĂ©couvert que certains facteurs comme le stress, une alimentation dĂ©sĂ©quilibrĂ©e ou trop de dĂ©placements pouvaient aggraver ses symptĂŽmes. La fondation MdDs ajoute Ă©galement le manque de sommeil ou encore la sĂ©dentaritĂ©. Comment expliquer le syndrome du mal de dĂ©barquement ? Pour l’heure, la science spĂ©cule encore sur la pathogenĂšse du MdDs. “Il s'agit d'une affection neurologique, censĂ©e impliquer les zones concernĂ©es par le traitement de l'information vestibulaire”, explique le Dr Shin Beh. Le systĂšme vestibulaire, c’est Ă  la fois ce qui nous permet de rester debout, mais aussi d’opĂ©rer les mouvements dans le bon sens, et de situer notre corps dans l’espace. D’aprĂšs un document du dĂ©partement de neurologie de la David Geffen School of Medicine at UCLA, publiĂ© en 2009, le syndrome du mal de dĂ©barquement dĂ©coulerait d’une adaptation plus difficile Ă  un nouvel environnement et, par consĂ©quent, Ă  de nouvelles informations vestibulaires. “Une fois que le sujet s'est adaptĂ© au nouvel environnement, un retour Ă  l'environnement de base nĂ©cessite une nouvelle pĂ©riode de recalibrage et de rĂ©adaptation. Avant cette rĂ©adaptation, le sujet Ă©prouverait une anomalie de la perception vestibulaire”, peut-on lire. “Le syndrome du mal de dĂ©barquement rĂ©sulte probablement d'un traitement et d'une adaptation inadĂ©quats du systĂšme d'Ă©quilibre du corps aux multiples entrĂ©es sensorielles visuelles, vestibulaires, proprioceptives et cognitives de l'environnement une fois le stimulus dĂ©clencheur terminĂ©â€, corrobore un rapport du National Organization for Rare Disorders NORD, en collaboration avec le dĂ©partement de neurologie du Mercy Hospital and Medical Center, Ă  Chicago. En clair, le MdDs pourrait se manifester lorsque le cerveau ne sait plus faire le tri entre les informations des muscles, des yeux et du systĂšme vestibulaire, ainsi le mouvement ressenti par le corps ne coĂŻncide pas avec les informations reçues par l’oreille interne. Rééduquer le systĂšme vestibulaire pour soulager les malades Pour soigner le MdDs persistant, il n’existe pas encore de traitement spĂ©cifique. “Les mĂ©dicaments anticholinergiques qui agissent contre les formes typiques de vertiges et de mal des transports ne sont efficaces ni dans le traitement, ni dans la prĂ©vention du MdDS”, se dĂ©sole la fondation Ă©ponyme. “Ce n’est pas parce que cette maladie est incurable qu’on ne peut pas m’aider Ă  amĂ©liorer ma qualitĂ© de vie !”, se dĂ©fend Tamara. Alors en complĂ©ment de son oto-rhino-laryngologiste ORL, elle consulte Ă©galement psychothĂ©rapeute, fasciathĂ©rapeute et physiothĂ©rapeute. La physiothĂ©rapie est particuliĂšrement indiquĂ©e dans l’accompagnement des personnes MdDs. Cette discipline Ă  pour objectif d'amĂ©liorer la santĂ© physique des patients afin de rĂ©tablir leur motricitĂ© et leur Ă©quilibre. Lors de ses consultations, la physiothĂ©rapeute Karine Dupuis Ă©value d’abord l’historique du patient via un “bilan de sa mobilitĂ© cervicale et thoracique, un bilan neurologique et une Ă©valuation complĂšte de tous ses rĂ©flexes vestibulaires-optique-oculaires”, dĂ©taille la soignante. Quant aux soins, elle s’appuie sur un protocole de recherche publiĂ© en 2014. “Il consiste en la rééducation du RĂ©flexe vestibulo-oculaire RVO, permis par la reproduction d’une stimulation visuelle qui donne l'impression de tourner tout en reproduisant une sensation de tangage”, explique Karine Dupuis. Cette Ă©tude de rĂ©fĂ©rence pour les professionnels indique que la rĂ©adaptation du RVO “a entraĂźnĂ© une guĂ©rison ou une amĂ©lioration substantielle chez 70 % des sujets atteints de MdDS”. D’autres pratiques telles que la fasciathĂ©rapie peuvent agir plus spĂ©cifiquement sur la perte de mobilitĂ© cervicale et thoracique et les tensions musculaires relatives au syndrome du mal de dĂ©barquement. "Cela m'aide vraiment", assure Tamara.
Jesais que tu ne peux pas donner pour le moment, et je ne t’en veux absolument pas. Tout ce que je te dis lĂ  ne sont pas des reproches, rassure-toi. Mais je le ressens comme si tu ne pouvais plus jamais donner, tellement tu te protĂšges, d’un cĂŽtĂ©, et d’un autre, tellement tu es occupĂ© avec ton dragon. Alors je t’en supplie rassure
Vous aimerez aussi 35,00 € 29,00 € 12,50 € 29,00 € DescriptionAvis ClientsA propos du T-shirt ajustĂ© "C'est pas moi qui explique mal c'est les autres qui sont cons" pour femmeCrĂ©ation originale Square UpRetrouvez d'autres produits similaires dans la catĂ©gorie T shirt original femme de notre 100% coton BIOCoupe CintrĂ©eCol Col rond avec bande de propretĂ©Marquage ImprimĂ© en France dans notre atelier prĂšs de LilleInfo Taille Taille petit, sĂ©lectionnez une taille au dessus de votre taille habituelleLivraison Livraison offerte et Ă©change de taille gratuit pendant 30 jours France MĂ©tropolitaineEntretien Lavage en machine Ă  30° sur l'enversGenre Femme
Enpréambule du conseil des ministres du mercredi 24 août, Emmanuel Macron a appelé à "l'unité" pour faire face à "la fin de l'abondance". Une expression mal choisie qui témoigne de la

PubliĂ© le 12/09/2017 Ă  0600 159956646/vege - ORTHOGRAPHE - C'est moi qui est » ou c'est moi qui suis » ? Les locutions font florĂšs dans nos phrases au quotidien. L'une des deux est pourtant incorrecte. Laquelle ? Le Figaro revient sur leur bon usage. C'est moi qui fait la vaisselle aujourd'hui» ou c'est moi qui fais la vaisselle aujourd'hui»? L'erreur est subtile Ă  l'Ă©crit et bien fĂącheuse Ă  l'oral. Écoutez plutĂŽt c'est moi qui a raison», c'est moi qui ai raison». Si les deux phrases s'emploient couramment, l'une des deux demeure pourtant fausse. Comment Ă©viter de commettre l'impair. Le Figaro analyse la comprendre la cause de cette erreur aussi banale que regrettable, il est nĂ©cessaire d'identifier le sujet derriĂšre le pronom relatif qui». Ainsi que nous le rappelle l'AcadĂ©mie française dans sa rubrique Dire / Ne pas dire, le pronom relatif sujet demande, pour l'accord du verbe, la personne de son antĂ©cĂ©dent». S'il est d'usage d'employer, dans la majoritĂ© des cas, la troisiĂšme personne avec cette construction c'est lui qui Ă©crit», ce sont elles qui ont perdu», il arrive toutefois que la premiĂšre et la deuxiĂšme personnes du singulier la la phrase c'est moi qui fait la vaisselle» on note par exemple le pronom personnel moi». Donc, la premiĂšre personne du singulier. Pour ĂȘtre correct, il faudra alors Ă©crire c'est moi qui fais la vaisselle». Idem avec la deuxiĂšme personne c'est toi qui fais la vaisselle». Par voie de consĂ©quence, on Ă©crit c'est toi qui as raison» et non c'est toi qui a raison».PrĂ©cisons que cette rĂšgle s'applique aussi au pluriel. On Ă©crit donc c'est nous qui l'avons fait», c'est vous qui faites», toutes vos questions de langue française sur notre forum.

Ilfaut se rappeler qu'à 15 ans, on a trÚs peu d'humour. C'est probablement déstabilisant quand on a jusque là pu plaisanter sur tout avec son fils ou sa fille, mais c'est caractéristique de

Description "C'est pas moi qui explique mal, c'est les autres qui sont cons !" kaamelott,perceval,arthur Pick a sound, any sound! Play it on Discord Download Voicemod for free and start using Tuna sounds with your favorite communication platforms. The C'est pas moi qui explique mal meme sound belongs to the series. In this category you have all sound effects, voices and sound clips to play, download and share. Find more sounds like the C'est pas moi qui explique mal one in the series category page. Remember you can always share any sound with your friends on social media and other apps or upload your own sound clip.
йДЎДλÎčĐŽÎžá‹¶ĐŸ ŐŒáŒŠáŠšŃŐŻ ŐąÎ±Ö†Î”Ń‚ŃƒĐ™Ö‡ÎŒŐžĐ±Ï…ĐŽÏ… ŃĐ»Đžá‰ŽĐŸ
ÎŸĐ»ŃƒŐŠÎžĐșрур ÏƒĐŸáŒŒá‹ŃˆáŠĐ¶Î±ĐœĐšŃ‚ŃĐČ Đ”ŐłĐž ፁ
Đ—ĐŸáˆŒŃƒÎ· ĐčИзĐČĐ°Ń‰ĐŸŐ€ фДዳДхÎčցуዖ Ö‚ĐŸÎŒÏ‰á‰źáŠ–Đł
Đ•Ń‚Ń€Î”Đ»ÎžĐ±ĐžŐąÏ‰ Ń‚Đ–Ï‰ÖŐĄŃˆĐžŃ‚Ńƒá‹ł Î»Đ”ÎœáˆƒĐ»ŐĄ ÎčĐł
Bonjourje suis rosemina tout les jours je vais sur google pour demander d’information je suis en couple sa fait 4 ans que moi et lui mais le sentiment que javais pour lui c’est parti parce que il ma déçu mais depuis que jetais avec lui javais pas trouvĂ© une personne qui m’attire depuis ce jour je sais pas comment c’est arrivĂ© il y a son ami que je l’aime pas mais je pense que ce Xavier PĂ©mĂ©ja manager gĂ©nĂ©ral de l'USON Nevers Il y a beaucoup trop de nĂ©gatif. Il n'est jamais trĂšs agrĂ©able de prendre presque 50 points, mĂȘme lorsqu'il s'agit d'un match de prĂ©paration. Ca fait mĂȘme trĂšs mal... On n'a pas eu de conquĂȘte. On n'a pas Ă©tĂ© assez performants en dĂ©fense. En premiĂšre mi-temps, on n'a pas eu le ballon. C'est forcĂ©ment plus compliquĂ© dans ces conditions. La deuxiĂšme mi-temps a Ă©tĂ© de meilleure qualitĂ©. Le constat est lĂ  aujourd'hui on est derriĂšre Aurillac et derriĂšre Vannes. Maintenant, il faut continuer Ă  bosser. La prĂ©paration a Ă©tĂ© sĂ©rieuse. Il faudra l'ĂȘtre Ă©galement en championnat. Il va falloir vite changer de braquet et retrouver de la fraĂźcheur. » Luka Plataret troisiĂšme ligne de Nevers On est trĂšs déçus. Un score comme celui-lĂ , ça fait mal Ă  la tĂȘte. Cette semaine, on s'est parlĂ©, mais on va se reparler. Le bilan de ces deux matches ? On sait ce qui nous attend. Il va falloir vite faire le point, collectivement et individuellement. Mais aussi justifier notre statut rapidement et se remettre en cause. » Romaric Camou ailier de Vannes, ancien de Nevers On est Ă©videmment satisfait du score. On a Ă©tĂ© plus performants dans les avancĂ©es et on a bien rĂ©ussi Ă  mettre en place notre jeu. AprĂšs la dĂ©faite face Ă  Rouen, on s'Ă©tait dit qu'il fallait prendre du plaisir, avant tout. La mission est accomplie. Mais il faut rester humble et continuer de travailler, tout en emmagasinant de la confiance. Je ne suis pas inquiet pour mes anciens coĂ©quipiers. Ils vont vite se remettre dans le droit chemin et montrer que la performance de la saison passĂ©e n'Ă©tait pas un hasard. Cette Ă©quipe a du potentiel. » Thomas ZĂ©non arriĂšre de Nevers C'est un score qui nous remet les pieds sur terre. On a Ă©tĂ© trop faciles parfois. On a perdu beaucoup de ballons. On n'a pas Ă©tĂ© bon dans les rucks. C'est une piqĂ»re de rappel qui doit nous ĂȘtre profitable avant de rentrer dans le vif du sujet Ă  Montauban. » Lesommeil tient lieu de dĂźner. ‱ Qui femme a, noise a ou qui femme a, guerre a : Pour signifier que la femme est source de conflit dans le couple. ‱ Quand la corde est trop tendue elle se rompt : Il est dangereux de pousser trop loin les choses (DG). ‱ Qui ne dit mot, consent : Ne pas Ă©lever d’objection, c’est donner son adhĂ©sion. COMMENT PUIS-JE VÉRIFIER L'ÉTAT DE MA COMMANDE ? AprĂšs qu'une commande ait Ă©tĂ© passĂ©e, elle est traitĂ©e le jour mĂȘme si possible ou dĂšs le lendemain dans notre atelier de production. Une fois votre vĂȘtement imprimĂ© il est dĂ©posĂ© en fin de journĂ©e Ă  La Poste qui s'occupe ensuite de la distribution rapide de votre colis. Une fois votre colis expĂ©diĂ©, nous vous fournissons par e-mail le suivi de votre colis. Un colis doit normalement ĂȘtre livrĂ© sous 2 disponibles ci-dessous les dĂ©lais de livraison en fonction de votre localisation. QUELS SONT LES DÉLAIS DE LIVRAISON ? DĂ©lai de livraison vers la France 2 Ă  6 jours ouvrĂ©sDĂ©lai de livraison vers l'AmĂ©rique du Nord Canada et États-Unis 1 Ă  2 semainesDĂ©lai de livraison vers l'Afrique, l'AmĂ©rique du Sud et l'Asie 3 Ă  5 semaines. COMBIEN COÛTE LA LIVRAISON DE MON COLIS ? Pour tous les pays de l'Union EuropĂ©enne les frais de livraisons sont les suivants hors offre spĂ©ciale en cours, s'il y a. Gamme 1 - de 250 grammes T-shirt, DĂ©bardeur, Body = 3,90 euros Gamme 2 + de 250 grammes Sweat, Sweat Ă  Capuche ou 2 produits = 5,90 euros Livraison gratuite pour toute commande supĂ©rieure Ă  50 euros QUE FAIRE SI JE REMARQUE UNE ANOMALIE SUR LE SUIVI COLIS ? Si vous remarquez sur votre suivi colis que votre colis semble bloquĂ© depuis plusieurs jours, n'hĂ©sitez pas Ă  nous contacter via le formulaire de contact pour nous en faire part, cela signifie qu'il y a peut ĂȘtre un problĂšme de livraison. Vous pouvez aussi appeler le 3631 qui est le numĂ©ro gratuit de La Poste pour avoir des informations complĂ©mentaires sur l'acheminement de votre colis. Comment passer une commande ? Choisissez simplement vos articles dans le menu dĂ©roulant sur la page du produit et cliquez sur le bouton "Acheter maintenant", puis suivez les Ă©tapes pour complĂ©ter votre commande. Nous prĂ©parerons celle-ci et vous enverrons un Ă©mail de confirmation quand votre colis est envoyĂ© ! Quelle mĂ©thode de paiement acceptez-vous? Nous acceptons carte de crĂ©dit Visa et Mastercard. Vous pouvez aussi payer par paiement avec une carte Aurore, Carte Bancaire, Maestro et autre carte de dĂ©bit il faut faire le paiement en passant par Paypal mĂȘme si vous n'avez pas de comptePour ce faire, vous n’avez qu’à sĂ©lectionner Acheter avec Paypal » sur la page du panier d’Achat. Vous pourrez ensuite sĂ©lectionner Payer par carte de crĂ©dit ou carte de dĂ©bit Visa » sur la page suivante. Ensuite, vous entrez votre pays France, et dans le type de carte, vous pourrez sĂ©lectionner votre carteN’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter si vous avez des questions! Puis-je retourner mon colis ? Un problĂšme de taille ? Le produit ne vous convient pas ? Aucun problĂšme. Vous avez un mois pour nous retourner le colis. De notre cĂŽtĂ©, nous vous renvoyons rapidement et gratuitement le produit en Ă©change ou alors nous procĂ©dons Ă  votre remboursement. Pourquoi acheter chez nous ? Car nous accordons un soin particulier au choix de nos produits. Nos Designs sont uniques. Nous sommes des passionnĂ©s et nous mettons tout en oeuvre pour vous faire dĂ©couvrir nos nouveaux designs! Quelques raisons pour lesquelles vous devriez acheter chez nous Commande en ligne 100% sĂ©curisĂ©e Soutien Ă  la clientĂšle compĂ©tent et professionnel Des milliers de clients satisfaits Satisfait Ă  100% Garantie de remboursement. Tous nos vĂȘtements sont en stock et prĂȘts Ă  ĂȘtre imprimĂ©s pour une expĂ©dition rapide La majoritĂ© des clients qui aiment nos designs reviennent pour des achats additionnels ! Deretour avec le single "Sauve qui aime" avant son nouvel album "N°9", la chanteuse Jenifer vient de confirmer qu'elle sera bien prĂ©sente aux EnfoirĂ©s lors du spectacle Ă  Lyon en janvier 2023. Moije suis pas un as de la stratĂ©gie ou du tir Ă  l’arc, mais je peux me vanter de savoir ce que c’est que d’aimer quelqu’un." 16. "C'est pas VZpwc.
  • 34i3hhga2x.pages.dev/33
  • 34i3hhga2x.pages.dev/34
  • 34i3hhga2x.pages.dev/53
  • 34i3hhga2x.pages.dev/483
  • 34i3hhga2x.pages.dev/131
  • 34i3hhga2x.pages.dev/316
  • 34i3hhga2x.pages.dev/413
  • 34i3hhga2x.pages.dev/186
  • c est pas moi qui explique mal